Il y a toujours quelque chose d'absent qui nie tourmente, crie sans fin Camille Claudel et j'ignore si c'est elle, ou si c'est moi qui crie, peut-être crie-t-elle pour moi, ou crions-nous ensemble pour faire surgir de la disparition d'Ibni, de son absence même, pour extraire de son corps meurtri, de sa voix rompue, la création d'une parole commune.
Et je me souviens qu'un jour, une autre femme, au creux d'une maison d'argile rouge, a porté en ses flancs un e...
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