Sebastião Salgado a parcouru le monde pour fixer sur la pellicule la dignité des silhouettes et des visages de nos frères humains.
Des mines à ciel ouvert du Brésil, où les hommes-fourmis semblent se livrer à un labeur pharaonique, aux grands lacs asséchés d’Afrique de l’Ouest, où femmes et enfants décharnés n’ont plus assez d’eau dans le corps pour pleurer, c’est le même regard qui est à l’œuvre.