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EAN : 9782266143561
Pocket (01/04/2004)
3.27/5   58 notes
Résumé :
Etrange, ce clochard mort de faim à quelques mètres d'un réfrigérateur bien garni dans ce garage de la luxueuse demeure d'Amanda Powell. Encore plus étrange qu'elle lui paye des obsèques, alors qu'elle affirme ne l'avoir jamais rencontré auparavant.

Pour Michael Deacon,reporter spécialiste des sans-abri, l'acharnement d'Amanda à connaître la vérité devient suspect. Il se lance alors dans une enquête dont les énigmes semblent parfois faire écho à sa p... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
J'ai déterré cette auteure grâce à @Nicolak. Depuis je m'amuse à collectionner ses livres. Mais pas seulement… à les lire aussi.

Je suis rapidement rentré dans l'histoire. Et je me suis également (ou évidemment) lié aux personnages : Michael (reporter) et Terry (jeune SDF).
C'est un méli-mélo de décès, qui nous mène à un ou plusieurs coupables (ça, c'est à vous de le découvrir !).
Entre enquêtes de voisinages, lecture de journaux et semée d'une tendre complicité, nos deux acolytes vont nous mener droit vers la vérité.
Un récit attachant, captivant et truffé de petite marque d'humour qui me fait dire que ce ne sera pas le dernier livre de Minette Walters que je lirais.

Bonne lecture !
Lien : https://angelscath.blogspot...
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Un polar de temps en temps, ce n'est pas désagréable, surtoout quan il est bien mené comme c'est le cas ici.
C'est Michael Deacon, un journaliste qui enquête. A la demande de son patron, il se rend chez Amanda Powell. Un clochard a été découvert mort de faim dans son garage.
Mais pas très claire, cette Amanda ! Elle a payé les obsèques de cet inconnu et prétend ne pas le connaître. Or son mari a disparu mystérieusement quelques années auparavant.
De nombreuses questions se posent, de nombreux personnages interviennent.
C'est assez précis, bien mené et avec Michael Deacon, on avance, on patauge, on recoupe les informations.
Bref, un bon moment.
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J'ai bien aimé ce roman un peu confus au départ. Qui est Billy Blake, le SDF retrouvé mort dans le garage d'une demeure résidentielle du nouveau Londres, près des anciens docks ? Comment expliquer l'attitude d'Amanda Powell, la propriétaire des lieux, qui manifeste beaucoup de sollicitude à l'égard d'un parfait inconnu ? Sur ces interrogations, un journaliste décide d'enquêter. Même si, à la fin, on n'a pas toujours très bien suivi les nombreux méandres de l'intrigue, on s'est régalé de personnages bien campés : Michael Deacon, le journaliste sur le retour, et son étrange ange gardien, Terry.
Minette Walters possède deux dons. le premier est de faire vivre des personnages, atypiques, qui suscitent notre intérêt par la manière vivante qu'elle a de les cerner et de les suivre dans leur psychologie. le second est de se servir des ressorts sociaux pour pousser les protagonistes de son histoire sur un fond de questions très contemporaines : l'exclusion, le déclassement, l'ambition démesurée d'une Amanda Powell. Son histoire a une double résonance car elle renvoie aux rouages mêmes de la société, des rouages capables de broyer des individus comme de les faire rebondir.
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Walters Minette
Résonances
J'ai beaucoup aimé plusieurs romans de cette auteure, mais ici, je me suis franchement lassée car dès les deux premiers chapitres lus, j'avais compris tout le reste de l'histoire ou de l'intrigue et cela j'aime pas vraiment, j'aime être tenue en haleine jusque la fin, donc j'ai lu plus de la moitié du livre en diagonale sachant plus ou moins où l'on allait. C'est pas du tout agréable et on a vraiment envie d'abandonner.
Quatrième de couverture
Etrange ce clochard, mort de faim à quelques mètres d'un réfrigérateur bien garni dans le garage de la luxueuse demeure d'Amanda Powell, plus étrange qu'elle lui paye des obsèques, alors qu'elle affirme ne l'avoir jamais rencontré auparavant.
Pour Deacon, reporter spécialiste du monde des sans-abris, l'acharnement d'Amanda à connaître la véritable identité du vagabond devient suspect
Il se lance alors dans une enquête dont les énigmes semblent parfois faire écho à sa propre vie
A vous de le lire peut-être, moi je n'ai pas aimé du tout. Il y a certes des intrigues, des rebondissements, mais ils sont comme on dit téléphonés et cela coupe le rythme et l'entrain que l'on peut avoir quand on lit un policier ou un thriller.
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Citations et extraits (23) Voir plus Ajouter une citation
IRVINE: Dans quelle catégorie vous situez-vous ?
BLAKE: Ni l'une ni l'autre. Je suis incapable d'une pensée libre. Mon esprit est esclave.
IRVINE: De quoi?
BLAKE: De la même chose que le vôtre, docteur. L'intellect. Vous avez trop de bon sens pour agir contre vos intérêts, c'est pourquoi votre vie manque de spontanéité. Vous mourrez dans les chaînes que vous vous êtes vous-même forgé.
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Il se frotta énergiquement le visage, histoire de se remettre les idées en place.
- "Eh bien, désolé, mais je dois m'en aller à présent." Il se leva. "Ça m'a fait plaisir de parler avec vous, Lawrence. Bon Noël."
Les prunelles du vieil homme pétillèrent de malice.
- "Que pourrait-il avoir de bon ? Je suis juif. Croyez-vous que cela m'amuse de me rappeler que les trois quarts du monde civilisé condamne mon peuple pour ce qu'il a fait il y a deux mille ans ?
- Vous ne confondriez pas Noël et Pâques ? "
Lawrence leva les yeux au ciel.
- "Je lui parle de deux mille ans de persécution et il chipote sur quelques mois ! "
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"Je regrette, mais nous ne sommes pas de la même espèce, vous et moi. Je serais aussi incapable de poser, la larme à l'œil, là où est mort Billy que de mettre vos fringues et votre maquillage. Voyez-vous, je ne suis ni assez vulgaire ni assez bouleversée pour que cela se remarque."
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C’est la nouvelle forme de tyrannie. Désormais, on n’a plus le droit de mourir, seulement de finir sa vie dans la sénilité. Il ne faut pas que je fume, que je boive ou que je mange de plats un tant soit peu relevés des fois que ça me tuerait. Apparemment, mourir d’ennui est politiquement correct alors que succomber à quoi que soit d’agréable ne l’est pas.
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Comme beaucoup de femmes, elle avait sans cesse besoin de preuves d’affection, probablement parce que mon vrai père était un coureur de jupons et que leur mariage avait été un échec. Il se peut qu’elle se soit sentie délaissée, du fait qu’il était très pris par son travail à cette époque-là, et qu’elle ait choisi l’infidélité par frustration.
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Minette Walters répond aux questions de Barbara Peters. 1/6
Non sous-titré.
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