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Les Rougon-Macquart tome 4 sur 20

Armand Lanoux (Autre)
EAN : 9782253008941
508 pages
Le Livre de Poche (01/10/1971)
3.97/5   1174 notes
Résumé :
«Il détachait son cheval, dont il avait noué les guides à une persienne, lorsque l'abbé Faujas, qui rentrait, passa au milieu du groupe, avec un léger salut. On eût dit une ombre noire filant sans bruit. Félicité se tourna lentement, le poursuivit du regard jusque dans l'escalier, n'ayant pas eu le temps de le dévisager. Macquart, muet de surprise, hochait la tête, murmurant :
- Comment, mon garçon, tu loges des curés chez toi, maintenant ? Et il a un oeil si... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (157) Voir plus Ajouter une critique
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La Conquête de Plassans est chronologiquement le 4ème volet du cycle des Rougon-Macquart, l'oeuvre majeure d'Émile Zola.

Après deux épisodes parisiens, l'auteur nous reconduit à Plassans, petite ville de province (et de Provence par la même occasion puisqu'elle dépeint, sans la nommer, Aix-en-Provence, d'où est originaire l'auteur) où nous avions déjà assisté au coup d'état de Napoléon III dans La Fortune des Rougon. (Notons encore que le nom fictif de Plassans provient de Flassans-sur-Issole, située dans le Var à environ 70 km d'Aix et où Zola connaissait un certain... Rougon ! le nom est d'ailleurs encore présent dans cette commune.)

Ici, Zola nous conte l'arrivée en catimini d'un prêtre de Besançon, l'abbé Faujas, d'aspect piteux et au passé aussi louche qu'obscur. Il arrive chez les Mouret, le couple consanguin de la famille, où le mari, François Mouret est un descendant du rameau Macquart tandis que sa femme Marthe est la dernière fille de Pierre Rougon.

Les Mouret sont de braves commerçants prospères de sensibilité républicaine. L'arrivée du prêtre va révolutionner la vie de ce couple paisible et bien assis dans la société de Plassans.

Après des débuts difficiles, l'abbé Faujas va réussir à se faire accepter et à devenir un personnage incontournable de la vie politique et sociale de la ville grâce au concours de Marthe Mouret, dont il va parvenir à faire une dévote, elle qui n'était pas même sûre d'être croyante auparavant. Non content de semer la zizanie dans le couple, l'abbé et surtout sa famille (mère, soeur et beau-frère de Faujas qui s'incrustent comme une belle infection parasitaire) vont littéralement dépouiller les Mouret de leur bien.

On y voit la lente mais inéluctable aliénation du couple, qui se fait siphonner par le cerveau et par le porte-monnaie jusqu'au trognon. le parachutage de l'abbé Faujas à Plassans ne doit rien au hasard et semble avoir été minutieusement pilotée depuis Paris par le ministre en personne (à savoir Eugène Rougon, voir Son Excellence Eugène Rougon) dans le but d'assurer le résultat des élections législatives à venir...

Avec ce 4ème roman, Émile Zola franchit une étape dans son style où il abandonne les longues descriptions du Ventre de Paris et nous plonge plus directement dans l'action.

C'est pourtant un ouvrage très balzacien, à mon sens, assez proche du roman le Curé de Tours, aussi bien dans le ton que dans le propos. le texte est découpé en beaucoup plus de chapitres que précédemment, tendance qu'il poursuivra avec La Faute de l'Abbé Mouret et par la suite, ce qui rend la lecture plus agréable à mon goût.
On n'est pas encore à l'apogée de la série mais on s'en rapproche avec cette Conquête de Plassans, du moins c'est mon avis, et vous savez la suite...
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Après Paris, retour à Plassans pour une escale dans le berceau de la famille Rougon-Macquart. Si vous comptiez vous détendre à l'ombre d'un olivier, bercé par le chant des cigales, oubliez, car ça va encore swinguer dans les chaumières.

Ce quatrième opus marque l'entrée fracassante dans l'arène du couple Mouret, François et Marthe, dont le mariage consanguin est abordé dans La Fortune des Rougon. Républicains et non croyants, ce sont de riches commerçants de Marseille retirés à Plassans. Entourés de leurs trois enfants, Serge, Octave et Désirée, la petite tribu mène une vie paisible qui ne va pas tarder à être perturbée quand François décide de louer le deuxième étage de leur maison à l'abbé Faujas et sa mère.
L'abbé, avec sa soutane trouée et sa mine grave va essuyer les moqueries de Mouret et de la bonne société de Plassans, soucieuse de son image de marque. D'abord discret, peu à peu, il va s'insinuer dans la vie familiale du couple en faisant de Marthe une dévote acharnée. La pauvre femme n'est en fait qu' un instrument pour accélérer l'ascension sociale de cet homme de "Dieu" au passé plus que louche.
Son emprise sur sa propriétaire acquise, sa crédibilité dans ses fonctions se trouvant accrue, Faujas va étendre ses tentacules pour faire la conquête de Plassans...

Quitte à me faire taper sur les doigts par certains lecteurs, ma première exclamation en refermant ce livre a été : "Oh p....n". Je n'hésite pas à dire que je me serai pris une mandale, cela m'aurait fait moins mal. Ce quatrième volet des Rougon-Macquart est noir de chez noir, mêlant politique, religion et analyse de la folie. Pas de longues descriptions cette fois-ci, Zola nous offre une immersion immédiate dans l'intrigue qui va aller crescendo et nous emmener dans la décadence la plus totale.
Entre les parvenus avides de pouvoir, les curés vendus et les politiques manipulateurs, nous avons là une magnifique brochette de vautours prêts à tout pour rogner quelques lambeaux de splendeur, semant panique et désolation dans une famille qui a eu le malheur de traverser leur route....
Je crois que je deviens de plus en plus accroc de Zola, j'adore sa manière de mettre en scène les situations les plus horribles sans tomber dans l'excès. Depuis que je me suis lancée dans la lecture des Rougon-Macquart, je vais de surprise en surprise sans être déçue une seule seconde. Même si j'ai éprouvé de l'indignation et de la peine avec La Conquête de Plassans, j'ai adoré ce roman qui va encore plus loin dans l'horreur humaine.
Cinq étoiles un jour, cinq étoiles toujours, un vrai coup de coeur qui ne laisse pas indifférent. A lire !
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Encore une fois Zola reste le maître incontesté de la description. Il va chercher d'infimes détails qui apportent une ampleur a ses écrits. Il maîtrise les décors, mais également les caractères des personnages.

Il dirige le lecteur vers une critique sociale assez impressionnante.

Je reste étonnée de sa façon de voir les êtres humains, qui est si juste et si bouleversante. Il écrit pourtant avec "douceur" et poésie, et pourtant au fond il est cruel, il est cynique et mordant.

J'ai beaucoup aimé la curiosité quasi maladive de François Mouret. Et là Zola, encore très perspicace, rentre une fois encore au fond de la nature humaine, car le voyeurisme est un des vices de l'Homme. (on le voit aujourd'hui fortement avec le succès incompréhensible de la télé réalité).
Et puis pour mon plus grand plaisir il s'amuse a montrer les malversations de l'église, capable de tout pour arriver a ses fins. La manipulation religieuse a des fins politique. Et quel meilleur moyen que de le faire a travers les femmes.
Et puis Zola n'oublie pas de traiter la folie qui monte doucement, une folie qui peut être héréditaire, qui peut être liée a une certaine consanguinité.

Ce roman est jubilatoire de subtilité et de cynisme.
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Nous voici donc de retour à Plassant, dans le Sud de la France chère à Zola (lui-même natif d'Aix en Provence) loin de la vie parisienne trépidante des deux tomes précédents.

J'ai retrouvé avec plaisir Félicité, que j'avais bien aimée dans « La fortune des Rougon », ses rapports un peu bizarres avec sa fille, Marthe, dont elle n'est pas très proche. Seulement, Marthe lui est utile lors de ses réceptions du jeudi, où se côtoient les personnages importants de la ville :il est de bon ton de se critiquer, mais de se faire voir aussi…

Le personnage principal est l'abbé Faujas, qui se promène dans la ville, tout miteux, la soutane raccommodée, (il n'en a qu'une !) et apparemment modeste, ne s'intéressant qu'à Dieu. Il s'infiltre peu à peu dans la ville, la vampirisant, la domptant pour mieux la dominer. Il s'immisce ensuite dans tous les pans de la société de la ville, même les jeunes, il s'agit de convaincre tout le monde.

Pour établir son emprise, il est plus simple de commencer par les femmes, grenouilles de bénitier. Il s'attaque d'abord à Marthe, épouse soumise, éprise de raccommodage, de travaux d'aiguille, athée, devinant une frustration chez elle, il va l'amener à l'Église, au salut. Il en fait une dévote, intégriste, comme souvent les nouveaux convertis, la rudoie, refusant d'être son confesseur, lui imposant ses règles de façon drastique et malsaine.

Zola nous décrit à merveille, la manière dont cet homme qui méprise les femmes qu'il considère comme impures (tiens donc !) tisse sa toile pour arriver à ses fins, dans un rapport sado-masochiste, car c'est ce qu'on appelle de nos jours un pervers narcissique. Il aime dominer, se donner du mal pour conquérir, se faisant passer pour ce qu'il n'est pas. Seule la conquête est source de jouissance !

« L'abbé avait un mépris d'homme ou de prêtre pour la femme ; il l'écartait, ainsi qu'un obstacle honteux, indigne des forts. Malgré lui, ce mépris perçait souvent dans une parole plus rude. Et Marthe, alors prise d'une anxiété étrange, levait les yeux, avec une de ces peurs brusques qui font regarder derrière soi si quelque ennemi caché ne va pas lever le bras. « P 96

Le couple Mouret est intéressant par son évolution car on voit les deux personnes changer presque radicalement et la relation entre eux se modifie : François Mouret est davantage sur ses gardes quand l'abbé arrive chez lui ; il essaie bien de railler le personnage et la religion, mais bientôt il n'est plus maître chez lui et ne peut que regarder sa femme sombrer.

Marthe confond la dévotion avec l'amour, car elle est amoureuse du prêtre, pas de Dieu ou de Jésus. Elle s'autoflagelle au propre et au figuré. Vit-elle sa passion ou sa Passion ?

La mère du prêtre est gratinée aussi : en extase devant son rejeton, qu'elle vénère, elle est prête à tout pour qu'il réussisse… « Elle trouvait, d'ailleurs, leur adoration naturelle, les regardait comme très heureuses d'être ainsi à genoux devant son Dieu » P 226

Zola traite dans ce roman, de l'influence du pouvoir sur l'homme mais surtout de la folie sous toutes ses formes : manipulations, perversité, délire mystique… Marthe et François ont, tous les deux, peur de la folie, car ils ont toujours présent à l'esprit leur grand-mère Adélaïde, la fameuse tante Dide de « La fortune des Rougon » qui est depuis des années dans un asile, aux Tulettes : la folie est-elle héréditaire ? Y-a-t-il un maillon faible dans la génétique, la consanguinité (leur fille Désirée a un retard mental) donc est-ce qu'ils risquent de devenir fou ? C'est la question qu'ils se posent….

Il change de technique dans ce roman, alors que dans les trois premiers tomes, on avait une scène présentant tous les protagonistes dans le premier chapitre, suivi de cinq ou six chapitres longs, racontant l'histoire et les personnages, ici il procède par petits chapitres (23 pour être précise), ce qui donne du rythme à l'histoire qu'il raconte, et il n'y a pas de flash-back. Par contre, les langues de vipères, les ragots sont toujours bien présents.

Ce roman est jubilatoire, dans sa férocité à décrire les protagonistes et leurs petitesses, le rôle de l'Église en politique à l'époque et se termine en feu d'artifice.

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Après des années de dur labeur dans le commerce de l'huile et des vins à Marseille, François et Marthe Mouret vivent une retraite paisible à Plassans, le fief familial des Rougon dont ils sont tous deux issus. le couple vit retiré, loin de l'agitation mondaine et politique. Un bonheur simple qu'égaient leurs trois enfants, Octave, Serge et Désirée. Marthe est une épouse effacée et soumise, une mère aimante et dévouée. François est parfois un brin autoritaire, maniaque et avare mais la famille vit en parfaite harmonie. Tout change lorsque le maître de maison décide de louer l'étage à l'abbé Faujas et à sa mère, venus tout droit de Besançon. Missionné secrètement par Paris pour remettre Plassans dans le giron bonapartiste, l'homme d'église rate son entrée dans le monde. Félicité Rougon lui a bien ouvert son fameux salon vert, mais l'homme, avec ses manières brusques, son visage sévère et sa soutane usée a fait mauvaise impression. C'est par Marthe qu'il va conquérir les dames de la bonne société. A son contact, l'épouse modèle, et jusque là athée, s'ouvre à la foi la plus ardente et l'introduit chez les notables de la ville. Faujas, sous ses dehors réservé, s'immisce peu à peu dans la vie de ses propriétaires. Sa soeur Olympe et son mari viennent eux aussi loger chez les Mouret, bien décidés à obtenir leur part du gâteau. Octave, Serge et Désirée sont envoyés au loin, François, qui résistait à cette emprise, est déclaré fou et interné, Marthe se retrouve à la merci de l'abbé pour qui elle est prête à toutes les extrémités. Soutenue et recommandée par la nouvellement dévote, Faujas devient l'homme fort de la ville, bien vu du camp bonapartiste comme de celui des légitimistes auxquels il a ouvert le jardin des Mouret, terrain neutre où tout le monde se rencontre, discute et complote. Dépouillée de tous ses biens sans même sans rendre compte, rejeté par Faujas qui méprise les femmes, Marthe sombre dans la folie. le drame rôde, le dénouement ne pourra être que fatal.

Avec le quatrième tome de sa saga, Zola revient à la source, Plassans, pour un roman sombre et plein de tensions. On s'introduit dans la vie des Mouret, des époux consanguins puisqu'ils sont cousins. Jouissant de leur rente dans une maison coincée entre la sous-préfecture bonapartiste et la résidence du président du tribunal civil, légitimiste, les Mouret s'occupent peu de politique et n'ont pas de vie mondaine. Pourtant Plassans est un chaudron où chacun cherche la fortune, la reconnaissance, la gloire ou le pouvoir. Pour cela, on complote, on s'allie, on retourne même sa veste. A Paris, on s'inquiète de cette ville de province qui a élu un légitimiste aux dernières législatives. Faujas est donc envoyé à la reconquête de Plassans, à l'approche des prochaines élections. Dur, calculateur et ambitieux, l'abbé est pour Zola une proie de choix pour une critique du Clergé, plus préoccupé des choses terrestres que des affaires de Dieu, la piété de ses ouailles n'étant qu'un levier pour ses ambitions politiques. Autre thème : la folie. La grand-mère, Adélaïde Fouque, a semé cette graine chez des descendants, effrayés à l'idée de sombrer, toujours sur le fil du rasoir. François et Marthe n'échappent pas à la tare familiale : un grain de sable dans les rouages de leur vie tranquille et tout part à vau-l'eau. Et puis il y a Plassans, lieu de toutes les intrigues. Les camps opposés se livrent une guerre de prestige, de réputation, de relations. On s'épie, on médit, on complote, le moindre geste est disséqué, chaque parole interprétée, tout faux pas cher payé...
Avec cette Conquête de Plassans, Zola s'est surpassé dans la dissection de la noirceur humaine. Tous ces personnages en sont marqués, sans rédemption possible. Ambition démesurée, envie, jalousie, mesquinerie, maniaquerie, conspiration, avarice, vénalité, autoritarisme, fanatisme, autant de vices qu'il nous décrit par le menu dans un récit vif et, il faut le dire, plein de suspens. Addictif et brillant !
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Citations et extraits (249) Voir plus Ajouter une citation
Mouret passa une heure, les oreilles aux aguets. Ce fut Olympe qui succomba la première au sommeil ; il entendit le roman tomber sur le tapis. Puis l'abbé Faujas posa sa plume, se déshabilla avec des frôlements discrets de pantoufles : les vêtements glissaient mollement, le lit ne craqua même pas. Toute la maison était couchée. Mais le fou sentait, à l'haleine trop grêle de l'abbé, qu'il ne dormait pas. Peu à peu, cette haleine grossit. Toute la maison dormait.
Mouret attendit encore une demi-heure. (...)
Alors il prit un sarment. Il alluma les tas. Il commença par les tas de la terrasse, sous les fenêtres.
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Elle s'arrêta un instant devant le bénitier, ôtant son gant, se signant d'un geste joli. Sa robe de soie eut un murmure dans l'étroit chemin ménagé entre les chaises. Quand elle s'agenouilla, elle emplit la haute voûte du frisson de ses jupes.
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Dans cette nature si longtemps soumise, des colères inconnues soufflaient ; une haine grandissait contre cet homme qui rôdait sans cesse autour d'elle, pareil à un remords.
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Ce n'est pas bon pour la santé, de manger sans parler.
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La sœur du moribond vint leur ouvrir. En voyant les deux prêtres, elle éclata en sanglots, balbutiant au milieu de ses larmes :
- Tout est fini. Il vient de passer entre mes bras... J'étais seule. Il a regardé autour de lui en mourant, il a murmuré : " J'ai donc la peste, qu'on m'a abandonné..." Ah ! messieurs, il est mort avec des larmes plein les yeux.
Ils entrèrent dans la petite chambre où le curé Compan, la tête sur l'oreiller, paraissait dormir. Ses yeux étaient restés ouverts, et cette face blanche, profondément triste, pleurait encore ; les larmes coulaient le long des joues. Alors, l'abbé Bourrette tomba à genoux, sanglotant, priant, le front contre les couvertures qui pendaient. L'abbé Faujas resta debout, regardant le pauvre mort ; puis, après s'être agenouillé un instant, il sortit discrètement.
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