Le plus palpitant de la série feel good dont Marie-Aude Murail continue à tirer le fil, sans n’avoir rien prémédité, demeure le profil psychologique des personnages, la justesse de leurs émotions et leur ambivalence dans cette galerie de portraits qui dresse, en ce début du vingt et unième siècle, une cartographie de l’enfance et de l’adolescence, ainsi que de la société tout entière.
Lien :
https://www.lalibre.be/cultu..