C’est avec ce double écho qu’on aborde un livre de 1.001 chapitres souvent très brefs, micro-récits, faits bruts, considérations philosophiques, qui par mille et une touches obscures, mille et une nuits, nous raconte l’histoire (authentique à l’origine) de deux pères inconsolables si ce n’est par la paix partagée qu’ils se sont promise : l’un est juif israélien, l’autre musulman palestinien, dans ce conflit ils ont tous deux perdu une fille, l’une de 13, l’autre de 10 ans, et ils ne peuvent se reconstruire qu’ensemble. Il fallait un Irlandais pour raconter la déchirure, transformer la douleur en monument de littérature.
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