A son tour,
Zoé Valdés se fait alors peintre et ses pages ont la couleur et la démesure des paysages cubains, du rouge pourpre aux bleus caribéens. On pense à
Fernando Botero, à Alvaro Meijas... Mais, si la leçon est limpide, mâtinée d'un humour féroce - on ne quitte pas un univers par la grâce d'un radeau de fortune, il vous poursuit envers et contre tout -, elle est également amère.
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