Un gouverneur fait fusiller son peuple affamé qui est en grève et durant tout le livre se sent coupable de cette action infâme..... Bon... Assez énervant ce gouverneur. Je ne sais pas, s'il avait plutôt décidé de se repentir en action, de demander pardon, de mettre des choses en place, de devenir un nouvel homme! Mais non... Il attend la mort et ne fait plus rien à part penser à son abominable crime............
Un Raskolnikov mais en plus lâche, en moins fou, en moins intéressant en somme...
Le livre est très bien écrit, très court (110 pages), se lit vite, il est aéré et l'écriture n'est pas lourde. Mais une fois terminé je ne m'en souviendrais sans doute pas très longtemps...
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Le Mur, fable symbolique, fait frissonner : un mur inébranlable se dresse avec cruauté devant des lépreux et des affamés se pressant à ses pieds et leur interdit l’accès à une vie heureuse. Ils représentent l’humanité dans sa lutte pour le bonheur et la liberté.
Lecture de Judith Beuret.