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Monique Lebailly (Traducteur)
EAN : 9782266055376
296 pages
Pocket (22/04/1993)
3.71/5   217 notes
Résumé :
Némésis, l'étoile du châtiment, se dirige inexorablement vers le soleil. Mais les Terriens n'en savent rien, car l'astre mortel est caché par un nuage de poussière. Le danger n'est connu que de quelques savants postés sur un lointain satellite artificiel, mais certains d'entre eux, oubliant la solidarité des hommes, ne pensent qu'à fonder une société nouvelle sur Erythro, une planète du système de Némésis. Qui va sauver la Terre ?
Marlène, la mal-aimée, qui s... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (14) Voir plus Ajouter une critique
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Némésis de Isaac Asimov est un superbe récit de space opera assez hard-science . Un texte aussi bien pour la jeunesse que pour les adultes .

Le système solaire est colonisé de longue date et certains colons se sont lancés encore plus loin dans la nuit inconnue . Une de ces colonies , assez isolationniste est bien placée pour repérer et prévoir le passage d'un énorme géo croiseur aux abords du système solaire .

Ce corps céleste devrait bouleverser les subtiles lois de la gravité de notre système en menaçant de bouleverser irrémédiablement la mécanique céleste des planètes du système .

Autour de cette menace l'auteur anime un univers assez riche avec des personnages tangibles qui se confronteront de façons crédibles à cette menace redoutable . Pour se faire, certains colons devront dépasser les rapports personnels ambigus qu'ils entretiennent avec la terre mère ,qui est loin d'être une société parfaite et exemplaire .

Némésis , la justice vengeresse des grecs , est un bon titre pour roman où l'auteur pose ce concept de justice aveugle et le place au coeur de sa fiction .

Donc ; de la bonne vieille science-fiction de derrière les fagots ..
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"Ce livre ne fait pas partie de la série Fondation, ni de celle de l'Empire, ni du cycle des Robots." Isaac Asimov.

C'est une des raisons qui m'a fait lire Némésis. Ça et l'envie de lire autre chose que ses recueils de nouvelles. Non pas que je sois lassé (comment pourrait-on l'être ?), mais curieux plutôt.

Bilan des courses, un roman fort sympathique, pas un coup de coeur donc, mais-bon-on-peut-pas-avoir-un-coup-de-coeur-à-chaque-fois.

La Terre est toujours là, mais les humains vivent aussi dans l'espace, dans des colonies pour être précis, raillant et méprisant la planète-mère. Ceux-ci se sont divisés par race dans chaque colonie, aiment l'homogénéité, la propreté, l'uniformité,… bref deviennent chiants et racistes comme c'est pas permis. Une colonie, Rotor, a réussi à partir du système solaire et s'est installée autour de Némésis, une naine rouge et de son satellite, Erythro. L'Événement de Némésis c'est que cette étoile va, dans 5000 ans (et des poussières), passer très près de la Terre et rendre celle-ci inhabitable. Voilà pour l'événement -pour le moins- perturbateur.

Némésis se situe au croisement de la S-F, bien sûr, et du thriller psychologique (on parle d'Asimov là, donc conversations, discussions, etc… forment une bonne partie du roman). Par dessus tout ça, Asimov introduit un paquet de concepts d'astronomie, de physique,… qu'il vulgarise du mieux qu'il peut, mais qui m'a, tout au long du livre, tenu un peu à l'écart. Je ne dirais même pas que j'ai tout compris, ni même que j'ai vraiment essayé, mais assez pour comprendre l'histoire.

Il y a heureusement tous ces personnages, dont on distingue des similarités avec d'autres personnages asimoviens ; le personnage moyen mais futé, le personnage très (très) intelligent,… Seule ombre au tableau, et fait assez rare pour être souligné, un des personnages m'a tapé sur le système tout au long du livre. le rôle de la mère inquiète et stressée est assez exaspérant, en ce sens qu'elle ne fait que suivre, n'apporte rien d'autre au récit que des jérémiades et des plaintes.
Ce qui apporte beaucoup à l'histoire en revanche, c'est la planète Erythro elle-même. Par les éléments qui la constituent (atmosphère, couleur,…) mais surtout par sa conscience. Je n'en dirai pas plus à ce sujet, mais c'est vraiment le point du roman qui m'a le plus emballé. La relation Erythro/Marlène est aussi un autre point fort, tout en subtilité et brillamment décrit par Asimov. Erythro n'est pas sans rappeler Gaïa dans Fondation d'ailleurs.

Asimov a l'intelligence (pléonasme) de livrer deux histoires qui finiront par se rejoindre : d'un côté les personnages d'Erythro/Rotor et de l'autre la Terre qui essaie de trouver une solution pour s'en sortir. Ça dynamise le récit et permet d'avoir une fin bien gérée (même si j'attendais plus de celle-ci, mais ça c'est une mauvaise habitude prise à cause de toutes ses nouvelles à chute).

Agréable donc. Mais pour les non-initiés à Asimov, je conseillerais de commencer par le cycle de Fondation. Némésis est sympa mais pas une de ses oeuvres majeures. Et pour les autres, faites vous plaisir, ça reste une bonne découverte.

Un petit point supplémentaire, j'ai lu ce roman sur liseuse et je n'ai aucune idée de la taille du livre. Mais j'ai tout de même l'impression d'un roman assez long.
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Une astronome de Rotor, colonie humaine orbitale, découvre une étoile naine proche et la population décide d'y émigrer pour créer une nouvelle civilisation. Sur Terre et dans les autres colonies, c'est la stupéfaction: personne ne sait où ils sont partis, ni comment. Aussitôt, les scientifiques terriens se mettent au travail pour les rejoindre et, si besoin, leur voler leur nouveau territoire. Car la Terre est menacée de destruction…

J'ai un problème avec Asimov… J'apprécie énormément ses idées et l'usage qu'il en fait. Il aborde à la fois des théories scientifiques et des travers humains pour développer son propos. C'est toujours super intéressant et ça fait réfléchir sur un tas de choses. Mais à côté de ça, je ne me sens pas impliquée dans le récit, du fait que je ne trouve pas ses personnages attachants ou même un minimum sympathiques.

Ici on a pourtant foison de personnages aussi différents les uns des autres qu'ils peuvent l'être, même si beaucoup ont des défauts ou des visions somme toute assez similaires. Mais je n'en ai aimé ou même juste apprécié aucun. Ils m'ont tous au mieux agacée, au pire je les ai carrément détestés.

L'intrigue en elle-même est pourtant super intéressante et on reconnaît certaines idées qui ont inspiré ensuite par d'autres auteurs ou scénaristes. Rien ou presque ne m'a semblé prévisible pour autant (mais c'est peut-être parce que je suis une bille pour tout ce qui touche à la science et aux mathématiques, ceci dit 😆 ) et j'ai apprécié l'histoire.

Malgré tout, j'ai trouvé le temps long (alors que le livre ne fait que 300 pages à peu près) et ma lecture a été souvent fastidieuse. le fait que mon bouquin tombait littéralement en morceaux entre mes mains (je l'avais acheté d'occasion dans une bourse aux livres, pourtant en bon état, mais les pages se sont décollées par blocs au fil de mon avancée) n'a certainement pas aidé, mais je n'avais pas très envie de me replonger dedans lorsque je reprenais.

Au final, je ne regrette pas d'avoir persévéré et d'être allée jusqu'au bout, mais ça m'inquiète un peu pour les autres titres de l'auteur qui restent dans ma PAL et qui semblent être de plus gros morceaux (quelques tomes des Robots et le tome 1 de Fondation). Si vous les avez lus, dites-moi ce que vous en avez pensé, vous pourrez peut-être me rassurer à leur sujet ^^

En résumé: une lecture intéressante pour les sujets abordés et le développement de l'intrigue, mais qui manque cruellement de personnages attachants ou juste sympathiques. Je suis restée trop extérieure à ma lecture pour réellement l'apprécier, dommage…
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Globalement Némésis est une lecture qui m'a laissée de marbre. Il y a de bonnes idées mais la manière dont l'histoire est racontée ne m'a pas convaincue.
Un des bémol est qu'il y a énormément d'explications liées à l'astronomie, l'astrophysique, et tout ce qui va avec, ce qui a rendu ma lecture un peu difficile et abstraite par moment car je ne comprenais pas tout. Mais d'un côté cela permet aussi d'apprendre des choses donc ce n'est pas tout à fait négatif non plus. Je pense que la proportion de ces explications sont un peu trop importante et cela m'a un peu coupé dans mon rythme de lecture.

Au final j'ai donc lu ce livre de manière tout à fait neutre, sans que cela me plaise vraiment, ni sans que cela me déplaise non plus. J'ai commencé à apprécier en réalité vers la fin, c'est-à-dire environs aux 70 dernières pages, car tout se met en place et prend un sens. Avant cela je n'ai pas été transportée par le récit. Et sur un roman d'un peu plus de 400 pages, seulement apprécier les 70 ou 100 dernières c'est pas fameux. En fait je regrette que ces premières centaines de pages aient mis un peu trop longtemps à placer le décor, mais en même temps on se rend compte à la fin que cette mise en place est indispensable. Encore une fois c'est le proportion qui ne m'a pas plus: on a une trop grosse "introduction" pour un final terminé en deux temps, trois mouvements. J'aurais voulu d'avantage d'explications et de développement sur la fin car c'est là que ça commençait à devenir intéressant pour moi.
Cependant j'ai retrouvé un style d'écriture assez plaisant, et certains des personnages avaient une psychologie assez bien travaillés pour que cela me tienne malgré tout.
Autre point positif: l'histoire est découpée en plusieurs parties qui au début sont tout à fait indépendantes l'une de l'autre, mais qui finissent un moment donnée par aboutir à une explication commune. C'est une manière de faire que j'aime beaucoup dans un livre et cet aspect est particulièrement bien réussi dans celui-ci.

Pour conclure je dirais que c'est un roman de science-fiction, anticipation assez intéressant, mais dont il manque trop de choses pour être considérés comme vraiment abouti. Je le conseille néanmoins à ceux qui sont fan du genre afin de se faire leur propre avis, ou à ceux qui veulent découvrir l'oeuvre de Isaac Asimov dans son ensemble. Un auteur ne peut pas écrire que des livres extraordinaires, mais ce n'est pas parce qu'il est moins bon, qu'il ne vaut pas le coup d'oeil. Je ne le mettrais pas en priorité par contre.

Au vu des avis que j'ai déjà pu lire sur Asimov, je ne pense pas que Némésis soit son meilleur (je l'espère en tout cas). J'avais d'ailleurs nettement mieux appréciés le tome Tome 1 de son Cycle des Robots. Je ne compte donc pas m'arrêter en si bon chemin et continuer à découvrir les oeuvres de ce maître de la science-fiction.
Lien : http://voyageaucentredeslivr..
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Hors cycle de Fondation, peut être mon Asimov préféré. Plus cohérent dans l'intrigue que certains du cycle des Robots, même, en tout cas moins daté que ceux-ci.

Pour un Asimov, il a une recherche des personnages assez inhabituelle. Ceux-ci ne sont pas juste des noms sans psychologie (comme ça peut être le cas dans beaucoup des romans de l'auteur). Il y a une situation familiale complexe en toile de fond, c'est plutôt agréable pour changer de voir des personnages féminins étoffés, une petite fille avec sa personalité vraiment à part, des hommes aux ambitions différentes et parcours de vie originaux. Ici, les personnages ne sont pas des faire-valoirs au déroulement de l'histoire, comme Asimov a souvent pu le faire (bien qu'avec talent!) mais les acteurs de cette histoire.

Tout est cohérent et on suit l'histoire avec beaucoup d'intérêt, c'est agréable, malgré comme toujours quelque coïncidences heureuses. L'intrigue semble montrer en pression et la résolution finale est assez intéressante, pas trop attendue, malgré un côté un peu "happy ending" qui fait sourire (mais à ce compte là, on est loin d'Elijah Bailey qui s'en va bras dessus bras dessous avec Daneel Olivaw, dans une scène très kitsch à la fin des Cavernes d'acier je crois...)

Pour un roman qui s'inscrit hors du cycle de l'histoire du futur par Asimov, il est très intéressant, je le recommande si quelqu'un veut lire Asimov mais ne pas se lancer dans un cycle entier (même si je recommanderais Fondation avant tout), bien plus que Les Dieux Eux-Même ou La fin de l'Eternité, sans comparaison.
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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
C’était bizarre de repenser ainsi à la Terre. La vie sur cette planète ne lui avait pas plu. Elle n’avait pas aimé ses multitudes, sa désorganisation, son mélange d’anarchie dans les choses importantes et de tracasseries administratives dans les petites.
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Quelle différence cela ferait-il ? — Une énorme différence, Eugenia. Si on laisse les colonies s’entasser comme elles veulent, nous aurons des milliers de cultures différentes qui apporteront avec elles toutes les haines, toutes les inadaptations produites par la lamentable histoire de la Terre. Laissez-nous le temps d’y aller seuls et nous édifierons un système de colonies dont la culture et l’environnement écologique seront uniformes. Ce sera une situation infiniment meilleure – moins chaotique, moins anarchique.
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Marlène l’avait démasquée sans effort. Ce n’était pas la première fois. Insigna commençait à penser que Marlène analysait les inflexions de voix, les hésitations, les gestes, et comprenait toujours ce qu’on tentait de lui cacher. C’était sans doute à cause de ce don qu’Insigna avait de plus en plus peur de Marlène. On n’a pas envie d’être transparent au regard dédaigneux d’une autre personne.
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Sais-tu à quoi ressemble aujourd’hui la Terre ? C’est une poubelle invivable. C’est pour cela que les gens l’ont abandonnée pour les colonies spatiales. Ils sont partis du vaste monde à soulever le cœur pour vivre dans de petites colonies civilisées. Personne n’a envie de faire le chemin en sens inverse.
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Les lois sur l’immigration étaient rigoureuses. Toute colonie spatiale atteignant une certaine population les appliquait sans douceur : il ne fallait pas que les effectifs dépassent un seuil compatible avec le confort des habitants ; il ne fallait pas non plus que l’équilibre écologique soit menacé de près ou de loin. Les gens venus de la Terre – ou d’autres colonies spatiales – qui venaient traiter leurs affaires devaient se soumettre à une assommante procédure de décontamination et à un sévère isolement, puis repartir aussitôt que possible.
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grâce à Pitt, à ses paroles, aux films qu’il lui conseilla de voir, elle prit conscience de la Terre et de ses milliards d’habitants, de sa famine et de sa violence endémiques, de ses drogues et de son aliénation. Elle comprit que c’était un insondable puits de misère, un espace de souffrance qu’il fallait fuir à tout prix. Elle ne se demanda plus pourquoi Crile Fisher en était parti, mais pourquoi si peu de Terriens suivaient son exemple.
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C’est une planète surpeuplée, aux ressources épuisées, pleine de haines, de famines et de souffrances. Je suis désolée pour elle. Pauvre Terre.
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Janus Pitt n’avait plus rien d’un homme jeune, bien que ses cheveux soient toujours noirs et son visage dépourvu de rides. Il y avait quelque chose de tourmenté dans son regard, toute joie semblait l’avoir abandonné, seules ses responsabilités laissaient des traces visibles.
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Il avait peiné longtemps, il allait continuer longtemps encore, et pourtant personne ne l’appréciait... à sa juste valeur. Et tout cela prendrait fin car l’Idée serait noyée dans l’océan de médiocrité qui vient constamment lécher les chevilles de ceux qui voient plus loin que le présent.
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Il avait l’impression que Marlène mourait d’envie d’être aimée, comme les gens sans beauté, parfois. Comme lui-même. Un flot de sympathie l’envahit soudain.
.../...
Je ne le reconnaîtrais pas devant tout le monde, mais je suis obligé de te dire la vérité puisque tu décèles toujours le mensonge. — Tu n’as pas peur, oncle Siever ? Le Gouverneur avait peur, et Aurinel aurait eu peur... si je lui avais laissé voir ce dont je suis capable. — Je n’ai pas peur, Marlène, parce que je me suis livré à toi, tu comprends. J’ai décidé qu’avec toi, je suis transparent comme du verre. En réalité, c’est reposant. Mentir, c’est un gros travail, quand on y pense. Si les gens étaient réellement paresseux, ils ne mentiraient jamais. »
.../...
Dans les premiers temps de l’histoire, des êtres humains se sont installés dans des îles et ont été coupés de leur lieu d’origine. Les Irlandais ont colonisé l’Islande ; les Norvégiens ont colonisé le Groenland ; des mutins ont colonisé l’île Pitcairn ; les Polynésiens ont colonisé l’île de Pâques. Résultat ? Les colons se sont étiolés, ils se sont parfois totalement éteints. Toujours la stagnation. Aucune civilisation ne s’est développée ailleurs que sur les continents ou sur des îles situées à proximité d’un continent. L’humanité a besoin d’espace, de variété, d’un horizon, d’une frontière. Vous voyez ?
— Oui, monsieur le directeur. » (Passé un certain point, pourquoi discuter ?)
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"Si on laisse les colonies s'entasser comme elles veulent, nous aurons des milliers de cultures différentes, qui apporteront avec elles toutes les haines, toutes les inadaptations produites par la lamentable histoire de la Terre. Laissez-nous le temps d'y aller seuls et nous édifierons un système de colonies dont la culture et l'environnement écologique seront uniformes. Ce sera une situation infiniment meilleure - moins chaotique, moins anarchique.
-Moins intéressante. Moins variée. Moins vivante.
-Pas du tout. Nous nous diversifierons, j'en suis sûr. Les colonies auront chacune leurs différences, mais à partir d'une base commune. Elles formeront un groupe bien plus homogène. C'est une expérience qui vaut la peine d'être tentée. Pourquoi ne pas consacrer un système solaire à une expansion raisonnée et voir si ça marche? On peut prendre une étoile, une naine rouge qui n'a l'air de rien et à laquelle personne ne s'intéresserait, et s'en servir pour voir si on peut édifier une nouvelle sorte de société, peut-être meilleure que les autres. Voyons ce que nous pourrions faire, pousuivit-il, si nos énergies n'étaient pas épuisées et brisées par d'inutiles différences culturelles, et notre biologie constamment dénaturée par des incursions écologiques étrangères.
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( au sujet du système solaire ),
Elle avait beaucoup lu à ce sujet , mais rien de toute cette litterature n'avait pu lui donner l'impression que le système solaire avait pu être une part d'elle-meme , ni qu'elle en avait fait partie .
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Ainsi l'espèce humaine a tendance à se rendre dans un endroit bien précis, et si une colonie réussit à s'y installer, les autres suivent rapidement le même chemin, jusqu'à ce que le nouveau système soit aussi surpeuplé que le premier, qu'il y ait beaucoup de peuples aux nombreuses cultures, et pour finir, beaucoup de colonies aux environnements écologiques divers.
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Rien dans l'univers n'est aussi intéressant qu'une autre forme de vie intelligente... ni aussi dangereux. Il vaudrait mieux être au courant.
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Vidéo de Isaac Asimov
Traduit pour la première fois en langue française, Isaac Asimov, le célèbre auteur du Cycle de Fondation, raconte l'histoire d'une petite tribu semi-civilisée qui a créé en l'espace de 500 ans, grâce à leur audace et leur ingéniosité, l'une des civilisations les plus brillantes jamais vues : Rome. Son don extraordinaire pour croquer des figures historiques, rendre simples et lumineux des batailles et des événements pourtant complexes plonger au coeur des systèmes socio-politiques pour en tirer les plus évidentes leçons, entraîne le lecteur dans une aventure mémorable aux quatre coins de l'Europe. A travers cette chronique menée tambour battant, c'est aussi notre histoire qu'il raconte tant les Romains ont influencé la forme de notre vie quotidienne, nos institutions et nos idéaux de justices et d'honneur.
Vidéo réalisée par Benjamin van Blancke à partir des illustrations du livre.
Disponible en librairie. Pour en savoir plus sur cet ouvrage, écouter un extrait audio ou feuilleter des bonnes pages : https://bit.ly/46V7V84
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