La collection Pabloïd des éditions Alma vous propose ce livre fantastique.
C'est l'histoire d'une femme, écrivain, qui tourne tout le long autour du pot pour nous raconter une histoire de chien...
Pour cela elle passera par les différentes lubies animales de son fils, Nelson, qui a ses peines et qui calme celles de sa mère.
L'écriture est très poétique, malgré quelques fautes d'orthographes et de syntaxe... Il y a énormément de références a d'autres auteurs avec leurs citations, tout est fait dans les règles de l'art pour notre plus grand plaisir. Alors évadez vous, attendez un pingouin au coin d'une rue, et profitez de cette évasion pour oublier vos petits problèmes ! Il est a seulement 13,80€ !
Commenter  J’apprécie         00
C'est vrai que ce texte est troublant, différent, non identifie. Mais l'anti-héroïne est attachante par sa façon de résister. Ce petit texte sur la révolte est vraiment à découvrir
Commenter  J’apprécie         20
Le début est plutôt sympa, l'écriture est parfois bien enlevée, stylée, originale, Brisac est une écrivaine. Ceci dit, je me suis vite ennuyé, je ne comprends pas le but, l'intérêt, le sens de ce travail, et je l'oublierai plus que probablement très vite.
Commenter  J’apprécie         10
Je ne sais que penser de ce livre.. Je crois que je n'ai rien compris... Et pourtant il y a de beaux passages, mais il ne m'a pas du tout touchée... Dommage (pour moi) j'avais vraiment très envie de le lire...
Commenter  J’apprécie         00
Un curieux petit livre au titre aussi énigmatique que poétique, Moi, j'attends de voir passer un pingouin. Un de ces livres au ton faussement badin et léger, dont les pages résonnent longtemps en vous.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Moi, j'attends de voir passer un pingouin est un livre aux apparences légères, porté par des situations qui font sourire, des animaux bizarres, des expressions populaires agaçantes comme une vieille rengaine.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Le roman est gai, espiègle, élégant, emporté par cette fantaisie piquante qui est la marque de l'auteur. On rit avec les larmes au bord des yeux.
Lire la critique sur le site : Telerama
L'homme devrait pouvoir vivre deux vies, disait l'écrivain Italo Svevo, l'une pour
lui-même, l'autre pour les autres. Il pensait qu'ainsi, doté de deux vies, il en aurait consacré une au bonheur de son ennuyeuse famille. Par devoir et par reconnaissance.
Et l'autre à sa vraie vie, à sa rêverie, à ses écrits.
Regarder les femmes tomber.
Très drôle. Personne ne nous regarde, quand nous tombons, et le plus souvent personne ne nous ramasse.
Et j'ai renoncé ce jour-là, au moins provisoirement, à me faire adopter et adouber par ce monde-là, qui était le mien, et où seul un chien...
Sans exagération, la vie ne vaut rien ,ai-je répondu.Et je le pense, je le pense vraiment.
L'évolution ne s'est pas faite pour rien.
Mais peut-être n'est-elle pas finie - c'est même certain - alors la mémoire rejoindra, quelque part, notre queue perdue. Les mots imprimés sont la marque de cet oubli en cours.
Il va de soi que l'écrivain est un espion tapi au milieu des siens
Les nouvelles. Lecture de « Une société », par Anne Alvaro, Geneviève Brisac, Agnès Desarthe.
« … non seulement les femmes se prêtent moins aisément à l'analyse que les hommes, mais ce qui fait leur vie échappe aux méthodes habituelles par lesquelles nous examinons et sondons l'existence. »