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EAN : 9782253051237
182 pages
Le Livre de Poche (09/11/1989)
3.71/5   68 notes
Résumé :
Quatrième de couverture :

La réalité de la survie après la mort devient maintenant un fait scientifique. L'humanité commence à entrer en communication avec l'au-delà.

L'ouvrage de François Brune nous fournit tous les éléments de ce dossier encore objet de suspicion. Il fait le point sur les principales découvertes scientifiques les plus récentes : on enregistre les voix des morts sur bande magnétique. On capte les images vidéo de l'au-d... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (15) Voir plus Ajouter une critique
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François Brune aimerait changer la vie de ceux qui ne pensent jamais au-delà de la mort, sans se douter que ceux-ci ne liront sans doute jamais son livre. Quant aux autres, cela tombe bien, ils n'attendent qu'une démonstration habile de leurs croyances.


Les premiers chapitres compilent presque objectivement les expériences commises au cours de ces derniers siècles dans le domaine de la communication avec les morts. François Brune ne cherche pas à les expliquer rationnellement car il admet que certains phénomènes doivent rester un mystère pour l'homme : nous pouvons les expérimenter, mais nous n'avons pas encore les moyens de les comprendre. Quelques pistes sont parfois lancées sous forme de modestes propositions : ainsi l'inertie des images et des sons, pouvant parfois se prolonger de nombreuses années après leur apparition, pourraient expliquer certaines visions ou enregistrements magnétiques. Mais ils n'expliquent pas les dialogues directement enregistrés entre un homme vivant et un esprit de l'au-delà alors que les témoignages foisonnent.


Cette première partie, proposant et critiquant modestement une certaine quantité de formes de communication avec l'au-delà, ne se poursuit malheureusement pas sur le même ton. Bientôt, François Brune se désintéresse des phénomènes en eux-mêmes pour bâtir une théorie de la vie dans l'au-delà. Bien qu'il admette que la grande quantité des témoignages rapportés de l'autre monde se contredisent très souvent et représentent une diversité des personnalités aussi riche que celle qui régit notre monde, il essaie de repérer les facteurs communs des conversations rapportées afin de dessiner l'image la plus probable possible du monde qui nous attend après notre mort. le discours devient alors très banal. Les Expériences de Mort Imminente transmettent une énergie lumineuse puissante qui est la force d'amour ; nous retrouvons nos proches décédés voire notre ange gardien ; nous retrouvons notre vie dans toute son étendue afin de juger de ses accomplissements et de ses échecs. Tout ceci a bien sûr une fonction édifiante et devrait nous permettre de progresser, bien qu'on ne sache pas précisément dans quelle direction.


François Brune redéfinit sans cesse les conceptions catholiques de l'au-delà et surprend par sa souplesse d'esprit, quasi-reniement de sa fonction ecclésiastique de prêtre, pour mieux s'accorder avec les constantes universelles de toutes les religions confondues. Les morts nous encourageraient non pas à viser la perfection mais l'Amour (personne ne peut donc se dérober) et dans cette liesse cosmique, alors que François Brune nous a presque convaincu de l'indéniable égalité de toutes les formes de la foi, Jésus Christ fait une apparition triomphale. La dernière partie du livre est une ode en son honneur, et chaque témoignage ne devient plus qu'une métaphore humblement soumise au Messie chrétien.


Erreur de fin de parcours ou conviction réelle de François Brune, cette fixation christique qui semble relever d'une confession de foi personnelle amoindrit la portée des premières considérations. Encore une fois, dans le domaine du paranormal, l'objectivité et la subjectivité réunies conduisent à de curieuses conclusions…
Lien : http://colimasson.blogspot.f..
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J'ai toujours eu le sentiment que la conscience ne pouvait se limiter à un simple phénomène émergent produit par l'activité du cerveau et qu'elle était peut-être l'indice que l'Univers n'était pas formé que de matière et d'énergie, ces deux constituants qui, avec le vide, forment la base de ce que la science est capable d'appréhender à ce jour. J'ai donc toujours suspecté l'existence d'une autre composante, encore inconnue du monde scientifique, et que, faute de mieux, on pourrait appeler « esprit ».
Avec cette idée en tête, je cherche depuis longtemps, entre autres au travers de mes lectures, des indices possibles de l'existence éventuelle d'un hypothétique « monde de l'esprit » en interaction avec le monde, relativement bien connu aujourd'hui, de la matière-énergie et dont il serait complémentaire. « L'esprit » pourrait même n'être qu'une autre forme de ces composantes de matière et d'énergie utilisées actuellement dans une représentation « matérialiste » de la réalité. Cet autre état du réel pourrait peut-être rendre compte de l'existence de la conscience ainsi que de sa possible survie à la mort du corps physique.
Cette quête m'a amené à lire de nombreux ouvrages relatifs à des témoignages divers faisant état de cette existence d'un « autre monde ». Mais depuis l'atroce épreuve qu'a été pour moi le décès brutal de mon épouse, cette recherche s'est encore amplifiée.
Ce livre de François Brune est, de très loin, le plus documenté de tous ceux que j'ai lus.
Au cours de mes recherches, je me suis souvent demandé pourquoi la science, les religions et plus généralement le grand public, ne s'intéressaient pas plus à la foule de témoignages concernant les expériences de mort imminente (EMI), les expériences de hors-corps (out-of-body experience ou OBE en anglais) ainsi qu'à tous les récits de contacts médiumniques avec des consciences désincarnées. Une première explication peut être trouvée dans une sorte de matérialisme, affiché ou latent, omniprésent dans le monde contemporain. Mais je commence à comprendre qu'il existe sans doute une autre raison : la grande complexité de cet « autre monde », s'il existe, et une grande difficulté à trouver des explications cohérentes.
Il semblerait qu'un monde de l'esprit existe bien, mais que ses lois soient tellement différentes de celles de notre monde de la matière-énergie expérimenté quotidiennement que les interprétations données par des témoins de phénomènes attribuables à cet autre monde soient extrêmement délicates.
Cette difficulté s'ajoutant à l'existence de nombreux imposteurs (dans ce monde et vraisemblablement aussi dans l'autre) doit décourager nombre de bonnes volontés qui essayent de tirer les choses au clair. Ainsi, alors que les témoignages de communications avec les personnes « décédées » sont très nombreux, les interprétations, même quand elles ne sont pas purement matérialistes, ne plaident pas toujours clairement pour la mise en oeuvre dans les expériences vécues d'un réel contact avec des consciences désincarnées.
De plus, les scientifiques craignent souvent encore de mettre en danger leur réputation en étudiant ouvertement ces phénomènes. Quant aux personnes qui en ont expérimentés ou qui s'y intéressent, elles craignent fréquemment de passer pour des attardés ou des débiles mentaux...
Bien que prêtre, François Brune est d'une grande honnêteté dans sa quête : il présente tous les aspects des témoignages, même quand ils ne vont pas dans le sens retenu habituellement par sa religion et il met clairement en lumière toutes les interprétations possibles. Il ne cache rien, dans son enquête détaillée, de la grande confusion apparente soulevée par ces expériences subjectives. Il ne jette pas, comme beaucoup en l'occurrence, l'enfant avec l'eau du bain : cette confusion voire ces contradictions ne proviennent sans doute pas toujours d'un manque de fiabilité des témoins mais plutôt de la nature du monde spirituel très différente de celle de notre monde et donc de la grande difficulté à en rendre compte avec les concepts de la science actuelle. Galilée aurait sans doute éprouvé des difficultés semblables à exprimer en termes compréhensibles pour la science naissante de son époque et pour ses contemporains les réalités connues aujourd'hui des ondes électromagnétiques ou de la physique quantique.
Pour tous ceux qui ont l'esprit bien ouvert, qu'ils soient scientifiques ou simplement curieux et rationnels, ce livre offrira un sérieux support à leur réflexion et fermera la porte à bien des préjugés qui circulent encore bien souvent dans notre monde qui ne s'éveille que très lentement au "post-matérialisme" scientifique.
Au delà de la recherche et de la présentation très complètes et très minutieuses des expériences vécues, François Brune nous livre une sorte de synthèse difficile des multiples témoignages épars. Il propose une tentative quasi scientifique pour les réconcilier, pour trouver le vrai dans une diversité confuse.
À vous de voir si le résultat vous convainc !
Pour ce qui me concerne, cet ouvrage a bien enrichi ma quête de vérité en me fournissant quelques pistes, mais bien sûr, je suis loin d'avoir fini et je continue de chercher.
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Les morts nous parlent fait partie de ces ouvrages incontournables sur la mort et l'Au-Delà. Pour qui s'intéresse à la question et souhaite en savoir un peu plus sur l'après-vie, l'ouvrage de François Brune apporte de nombreux témoignages.

Paru en 1992, Les morts nous parlent est dans le droit fil de l'ouvrage de Jean Prieur ( Les morts ont donné signe de vie - 1976) et de celui de Pierre Jovanovic (Enquête sur l'existence des anges gardiens - 2006).

Lorsque François Brune fait paraître son livre, les expériences de mort imminente (NDE) sont déjà bien connues. Pour ce qui est de ceux qui sont réellement passés de l'autre côté et qui témoignent de ce qui s'y trouve, le sujet est plus innovant, ce qui oblige François Brune à étayer ses propos avec de très nombreuses explications techniques et références temporelles quant au contexte de réception du témoignage (recueilli scientifiquement), ce qui alourdi un peu la lecture dans les premiers chapitres.

François Brune étant un théologien catholique, j'émets sur son ouvrage la même critique que sur ceux de Pierre Jovanovic et Jean Prieur, orientés vers un Au-Delà à dimension sinon purement catholique, à tout le moins chrétien.

Il n'en reste pas moins que Les morts nous parlent est un livre majeur en ce qui concerne la réalité de l'après-vie. Patricia Darré le soulignait encore dans une récente vidéo sur sa page Facebook, incitant ses "followers" à le lire : "Il y a absolument TOUT dedans" indiquait-elle.

Malgré tout, pour qui souhaite une approche non religieuse de la question, il est préférable selon moi d'aborder cette thématique à traverses ouvrages de Patricia Darré. Son tout dernier livre - Mes rendez-vous avec Walter Höffer - est une bonne synthèse du sujet. (Il n'est donc pas nécessaire de lire ses ouvrages dans l'ordre de parution - à partir de 2012).

De plus, Mes rendez-vous avec Walter Höffer a le mérite d'être en quelque sorte la dernière "mise à jour" sur la question. La lecture du livre de François Brune pouvant venir ensuite, comme une illustration des propos de Patricia Darré / Walter Höffer, à travers les très nombreux témoignages qu'il donne sur la survie de l'âme, la vie dans l'Au-Delà et l'évolution spirituelle qui sous-tend tout le processus.
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J'ai trouvé que c'était un livre assez difficile à aborder et à lire. le sujet de cet essai, est sérieux, on ne peut le nier. le livre compte plus de 300 pages, avec un nombre impressionnant de notes, d'exemples aussi qui parfois sont un peu contradictoires ou au contraire répétitifs. N'étant pas spécialiste dans ce domaine, et voulant m'informer, je ressors de cette lecture l'esprit confus. Je ne mets cependant pas en doute les qualités de l'auteur ni le sérieux de son travail, et dans la bibliographie j'ai relevé des ouvrages qui pourraient compléter mes informations.
L'essai par lui-même se divise en dix chapitres :
- Personne ne meurt
- La mort est une deuxième naissance
- Notre nouveau corps dans l'autre vie
- Aux frontières de la mort
- Les premiers pas dans l'au-delà
- Au coeur du Bien et du Mal
- L'exil dans les mondes du malheur
- La réincarnation : ultime épreuve de l'âme malheureuse
- le retour dans les mondes du bonheur
- L'union à Dieu : ultime expérience de l'âme bienheureuse
Quoi qu'il en soit, le livre fait réfléchir et invite à approfondir les questions soulevées par cet essai.
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Comme il est précisé sur la quatrième de couverture, ce livre est, effectivement, un ouvrage de référence, car le Père François Brune explore en profondeur les domaines de l'après-vie tels que les EFM (expériences aux frontières de la mort), les EHC (expériences hors corps) et toutes sortes de communication avec les décédés qui nous incitent à révolutionner notre manière d'envisager la mort et donc notre propre vie. Car cet ouvrage, qui conclut à l'éternité de la vie spirituelle, met scrupuleusement en lumière les résultats des recherches les plus avancées dans le domaine de la science contemporaine. Si ces sujets vous intéressent, je ne peux que vous conseiller ces 2 Tomes passionnants et extrêmement bien documentés.
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Citations et extraits (38) Voir plus Ajouter une citation
C'était le 17 septembre 1952. Le père Pellegrino Ernetti, qui se trouvait alors avec lui dans son laboratoire de physique expérimentale, s'en souvient parfaitement et c'est lui qui me l'a raconté lorsque je suis allé le voir dans son monastère San Giorgio Maggiore, à Venise. Ils travaillaient alors ensemble à filtrer des voix pour essayer d'en éliminer les harmoniques. Ils utilisaient pour cela un oscillographe et de vieux magnétophones qui ne fonctionnaient pas encore avec des bandes mais avec des fils. Ceux-ci rompaient tout le temps, nécessitant des opérations délicates et provoquant des pertes de temps. Or, depuis bien des années, depuis la mort de son père, chaque fois que le père Gemelli rencontrait une difficulté quelconque, il avait l'habitude de s'adresser immédiatement à son père défunt en l'appelant familièrement : "Papa, aide moi!" Dans ce travail, les occasions de l'appeler à l'aide ne manquaient pas. Ce jour-là, donc, le fil s'était à nouveau rompu, et, tout en faisant la réparation nécessaire, le père Gemelli avait lancé son appel habituel. C'est alors que, remettant l'appareil en marche, au lieu d'écouter le chant grégorien qu'ils étaient en train d'enregistrer, ces mots se firent entendre, distinctement : "Mais bien sûr que je t'aide, je suis toujours avec toi!"
Le père Gemelli, sur le coup, fut terrorisé. Il commença à trembler et à transpirer. Le père Ernetti l'encouragea cependant à faire un nouvel essai et la même voix se fit alors à nouveau entendre, claire mais un peu ironique : "Mais oui, gros bêta, tu ne vois donc pas que c'est bien moi?" Gros bêta (zuccone), c'était ainsi que son père l'appelait toujours affectueusement.
Les deux religieux se hâtèrent d'aller rendre compte de l'événement à Pie XII. Celui-ci rassura alors le père Gemelli :
"Mon cher Père, soyez tranquille, ceci est un fait strictement scientifique et n'a rien à voir avec le spiritisme ; l'enregistreur est un appareil objectif qu'on ne peut pas suggestionner, il capte et enregistre les vibrations sonores d'où qu'elles viennent. Cette expérience pourra peut-être marquer le début d'une nouvelle étude scientifique pour confirmer la foi dans l'au-delà."
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Les différents niveaux de l'au-delà

Beaucoup distinguent sept plans (niveaux ou sphères, tous ces termes sont ici synonymes). Ainsi Georges Morrannier précise-t-il que chacun de ceux-ci comporte à son tour sept paliers. Mais attention, la Terre constitue dans son système le plan zéro et, en fin de parcours, tout le monde n'aboutit pas au septième. Il y a birfurcation après le cinquième vers le sixième ou le septième, ce dernier plan étant réservé aux saints, aux missionnaires, aux moines, aux grands fondateurs de religion ou grands initiés, à tous ceux qui se sont consacrés à Dieu, et qui, selon Georges Morrannier, ont en conséquence renoncé à fonder une famille et à perpétuer la race. On se demande alors où il situe Mahomet, qui était loin d'être célibataire avec ses dix-huit femmes, et même quelle place il accorde aux pasteurs protestants ou aux prêtres orthodoxes, mariés et pourtant consacrés au service de Dieu, ainsi même que tant d'évêques de la primitive Eglise pendant de nombreux siècles, à commencer par saint Pierre. Ajoutons que, la première sphère dans son système étant remplie de criminels, nombre d'entre-nous arriveront, espérons-le, à échapper à cette sphère et peut-être même à la deuxième, pleine de gens encore bien charnels et bien rivés à la terre.
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Tous les cimetières sont vides. On ne le répétera jamais assez. Plus précisément, les tombes ne contiennent que de vieux vêtements en cours de décomposition. Vieux vêtements d'étoffe et vieux vêtements de chair. Infiniment respectables sans doute puisqu'ils ont été les derniers vêtements de ceux que nous aimons. Mais eux sont ailleurs. Sous ces dalles ne gît personne, ne repose personne.
Requiescat in pace : qu'il repose en paix, dit toujours le prêtre lors de l'enterrement. La paix dont il s'agit n'est pas précisément un repos. C'est un glissement de sens, dû à une traduction trop littérale, d'abord en grec (eirènè), puis en latin (pax), enfin en français (paix), du mot hébreu shalom, dont le sens est beaucoup plus riche. C'est la paix, mais aussi le bonheur, la plénitude de vie. Dans bien des religions, les rites censés assurer le "repos" des morts visaient surtout à rassurer les vivants, qui n'avaient que trop peur de voir les morts revenir sous forme de fantômes insatisfaits. Cela a probablement activé ce glissement de sens. On leur souhaite beaucoup plus de rester tranquilles que de vivre dans la plénitude.
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Donc, la mort n'est pas la mort. Elle n'est qu'un passage à une nouvelle forme de vie, comme une nouvelle naissance. Mais comment ce passage se fait-il? En quoi consiste cette nouvelle existence? Procédons par étapes.
D'abord, il faut le dire, parce qu'il est toujours utile de savoir, pour le cas où... plus exactement pour le moment où il faudra bien faire ce passage : c'est merveilleux de mourir! Reconnaissons honnêtement qu'avant, on peut souffrir et même terriblement. Mais c'est du passage lui-même que je veux parler.
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Requiescat in pace –qu’il repose en paix, dit toujours le prêtre lors de l’enterrement. La paix dont il s’agit n’est pas précisément un repos. C’est un glissement de sens, dû à une traduction trop littérale, d’abord en grec (eirène), puis en latin (pax) enfin en français (paix) du mot hébreu shalom dont le sens est beaucoup plus riche. C’est la paix, mais aussi le bonheur, la plénitude, la vie. Dans bien des religions, les rites censés assurer le « repos des morts visaient surtout à rassurer les vivants qui n’avaient que trop peur de voir les morts revenir sous forme de fantômes insatisfaits.
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Vidéo de François Brune
François Brune, prêtre catholique a parlé et parle aux morts. Images et conversations exclusives. René Ferron producteur de Caméra89 présente ce phénomène.
Dans la catégorie : SpiritismeVoir plus
>Phénomènes paranormaux. Pseudo-sciences>Parapsychologie et occultisme>Spiritisme (93)
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