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EAN : 9782756423913
464 pages
Pygmalion-Gérard Watelet (21/02/2018)
3.54/5   53 notes
Résumé :
De retour de vacances, vous vous rendez compte qu'un tueur sévit dans votre ville et que toutes ses victimes vous ressemblent. Ça pourrait être une simple coïncidence ou une mauvaise blague, mais c'est ce que vit Kate, jeune avocate de vingt-huit ans, quand elle rentre. Habituée au calme des rues de Stockton Heath, elle ne se sent plus en sécurité. Très vite, elle est convaincue qu'on l'espionne, qu'elle est suivie. Est-elle le jouet de son imagination ou la prochai... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (25) Voir plus Ajouter une critique
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Tout d'abord un grand merci aux éditions Pygmalion et à Babelio pour ce petit shoot policier. de temps en temps, ça ne fait pas de mal et force est de constater qu'en dehors d'Agatha Christie, ma PAL est devenue bien pauvre concernant ce genre littéraire. Ca tombe bien, "Killing Kate", second roman d'Alex Lake, parvient à remplir un minimum syndical malgré… des défauts !

En premier lieu, je vais nous épargner un résumé pour au moins deux raisons : la première est que la quatrième de couverture fait son job et la seconde est que vers la moitié du roman vous aurez devinés de quoi il en retourne. Petite balle dans le pied qui alourdit énormément le final et ce d'autant plus lorsque le tueur déballe tout son sac. Entre une autocongratulation lassante (non, t'es pas aussi intelligent que tu le penses !), un rabâchage des pourquoi et comment (on avait déjà tout compris bien avant, te fatigue pas !) et du blah blah blah interminable, la mort n'est finalement plus une si mauvaise option si l'on s'imagine à la place de Kate. La source de ce gros problème de prévisibilité tient surtout au nombre très faible de suspects et aux trop nombreuses informations partagées. Ainsi, il n'est pas difficile de démêler le tout pour un jackpot si évident qu'il n'en a presque plus aucune saveur. Dommage...

En second lieu, pour un roman policier, ben la police n'est pas au top. Elle est même effacée et peu efficace. Ou l'art et la manière de s'obstiner sur un suspect en faisant tout pour que les preuves plus ou moins circonstancielles, collent. Inutile alors de vanter l'intelligence du capitaine Wynne (elle n'a rien fait et n'a pas plus compris quoi que ce soit !). Si l'on rajoute la tendance paradoxale de Kate a dissimuler des informations, à rester dans le déni (pourquoi pas, on va dire que ça participe au jeu du tueur…) et à vouloir se débrouiller toute seule tout en s'échinant à narguer son prédateur, pas étonnant qu'elle se retrouve coincée en petite proie apeurée. de plus, on ne peut pas qualifier l'ambiance de ce roman d'étouffante, sombre ou anxiogène. Cela en partie à cause de la nonchalance de l'héroïne à poursuivre son dating malgré son instinct. Par moment, je me suis donc demandé si l'on n'était pas ici dans un croisement hybride entre la chick-lit et le policier… Entre ses copines qui la taquinent sur sa ressemblance avec les victimes, ses rencards, son quotidien boulot/dodo et son ex-épave qui ne cesse de s'échouer sur le pas de sa porte, l'aspect policier disparaît fréquemment.

En parlant de Phil (la fameuse épave qui s'échoue immanquablement sur le perron de Kate), il est étrangement le personnage le plus chiant (désolé…) et l'un des plus intéressants. Largué en début de roman, il ne se remet pas de cette rupture si soudaine alors qu'il avait déjà planifié voire même écrit le roman de sa vie conjugale future avec Kate. Certes c'est brusque et douloureux pour lui mais de là à devenir un stalker pleurnichard… Et puis, en réfléchissant, j'en suis venu à la conclusion que, malheureusement, ce genre de mecs existe en vrai avec tout ce que cela comporte de sentiment d'abandon et autre. Alors pourquoi pas ! Ce n'est finalement pas si irréaliste. Sans compter que c'est le personnage qui évolue le plus d'un bout à l'autre du roman. Phil, je te pardonne !

Pour glisser lentement vers une conclusion, "Killing Kate" surfe allègrement sur la vague du fameux Pervers Narcissique. En majuscule évidemment parce que c'est le grand croquemitaine du moment. Les ouvrages se multiplient que ce soit des rééditions théorico-cliniques de professionnels comme Racamier ou Eiguer, des témoignages, des articles plus ou moins pseudo-vulgarisants, de nouvelles productions ou encore des guides pour les "reconnaître" : les librairies et les médias croulent sous cette nouvelle figure monstrueuse. La raison en est simple, les pervers narcissiques manipulateurs sont partout, tout le monde en a côtoyé au moins un dans son entourage privé ou professionnel et beaucoup se vantent d'y avoir réchapper. Loin de moi l'idée de nier la réalité, ça existe mais laissons plutôt les professionnels attribuer ce genre d'étiquettes, suffisamment circulent sans que l'on en rajoute sous prétexte que ça nous arrange bien et nous rassure psycho-émotionnellement. Mon propos n'est pas sans lien avec le roman puisque c'est exactement ce que je déplore chez Kate : sa méconnaissance du sujet que ce soit du crime en série ou de la perversité. Elle balance des idées au bonheur la chance qui sont au mieux des clichés au pire des bourdes. Et je me dis alors qu'il aurait mieux valu que ce soit Beth l'héroïne. Son point de vue aurait été beaucoup plus fort, puissant et légitime pour évoquer les violences conjugales et la figure du pervers narcissique.

En fin de compte, "Killing Kate" est un roman policier léger et maladroit qui se lit somme toute rapidement. Une fois passée la première partie nunuche bourrée de clichés, j'ai pris plaisir dans un milieu d'ouvrage où tout se dénouer et se révéler pour en finir avec une laborieuse et interminable fin gâchée par une trop grande prévisibilité de l'intrigue. Je terminerai sur une lassitude face à la monstroisation (navré pour ce barbarisme) d'une certaine catégorie de criminels voire de la population qui, si elle s'explique par une volonté de distanciation face à des actes inacceptables, n'en cache pas moins la réalité que les monstres n'existent pas et que de tels individus sont justement dangereux parce qu'ils sont humains, à leur manière. La violence et l'inacceptable sont tapis en chacun de nous et comme les dernières pages le montrent, il ne suffit de pas grand-chose, d'une faiblesse, pour franchir cette éternelle ligne entre le Bien et le Mal. Moi je veux bien que certain(e)s (pour ne pas dire beaucoup) réclament mort/torture/sang en avançant plein d'excuses, fondées ou non, pour normaliser et légitimer la chose, il n'en reste pas moins qu'à la fin, ils ne sont pas si différents des monstres qu'ils/elles conspuent. Mais bon, chacun sa morale...
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Après la lecture de After Anna, que j'avais beaucoup aimé, je me suis dit que j'avais envie de suivre de près ce que faisait cet auteur anonyme... C'est donc tout naturellement que j'ai ajouté ce présent titre dans ma PAL. Lors de ma dernière virée à la bibliothèque, je l'ai emprunté et me suis plongé dedans. Alors, ce livre se lit très rapidement. Les pages se tournent vite, parce que l'histoire est intéressante et il y a beaucoup de dialogue... le hic, c'est qu'on voit venir la chute rapidement... Ou du moins, moi, je l'ai vu venir rapidement. Ça gâche un peu la surprise, mais ça ne gâche pas le plaisir de se rendre au bout du livre. J'ai trouvé les personnages de Kate, Phil et Beth très attachants, même si... Leurs psychologies est très bien développées... et j'ai aimé suivre leurs évolutions. Bref, un bon page turner, même si un peu prévisible. J'ai déjà ajouté le dernier titre de l'auteur dans ma PAL.
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Kate, est une jeune femme qui vient de sortir d'une longue relation – la première apparemment – et part en vacances pour souffler après la rupture. Avant qu'elle parte et à son retour, un tueur sévit en ville faisant plusieurs victimes. Toutes les victimes ont un lien de ressemblance. Kate fait partie des descriptions des victimes, elle s'inquiète, essaye de se protéger. Mais ce n'est pas assez… Quel est le lien avec le passé ? Pourquoi le tueur en a après elle spécifiquement ?

L'histoire est vraiment prenante au départ, on découvre l'univers, les personnages, on fait des suppositions qui s'avèrent juste mais il manque quelque chose. Quand on devine dès que le personnage apparaît, le roman souffle beaucoup. Il n'y a plus aucun suspense, sauf du côté de Beth. Les informations la concernant tombent au compte-goutte et nous tient en haleine. Mais c'est dommage qu'on n'en sache pas davantage, on ne sait pas toutes les émotions que Beth a ressenti pendant toutes ses épreuves, les sentiments qu'elle a. Toute la psychologie très effleurée et non appuyée.
Le scénario n'a pas de tensions, en tout cas je n'ai rien ressenti. le suspense est de temps en temps pour passer au néant. Il y a des événements mais une incapacité évidente des protagonistes. C'est basé sur les relations autour de Kate et ça coupe le récit. le mystère autour d'un personnage est vraiment intéressant, c'est ce qui tient le roman d'ailleurs quand on s'ennuie des hormones de Kate. C'est peut-être l'écriture vraiment qui ne m'a pas plu en plus de la personnalité et des choix de Kate. Même Phil ce qu'il fait est peut-être stupide et désespéré mais son évolution est vraiment sympa à suivre. En tout cas, c'est dommage. Je me faisais une telle joie de lire son nouveau roman. C'est raté... Je vais expliquer ce qui m'a le plus énervé, je radote aussi… Ce n'est que mon avis et rien que mon avis.

Elle est entre le mode je m'inquiète que des femmes tuées me ressemblent et son besoin d'expérimenter sa vie sexuelle. Nan mais sérieusement je peux comprendre qu'elle a envie d'expérimenter après 10 ans de relations (première si j'ai bien compris, en plus) mais le pack stupidité et être contrôlé par le sexe est obligé ? le pire c'est quand tu sais qui est le tueur et que les longueurs traînent car elle veut jouer à l'étoile de mer. Coucou le poulpe coucou !
Il me suit vous comprenez ?! Comment il pouvait le savoir pauvre cloche ? Réponse auto-donnée et complètement bête. En plus elle ne dit rien à la police... Et si on me dit qu'elle a peur ou/et elle est manipulée... Rien du tout. Tsss tsss
Il y a un gros contraste entre Kate et Beth, la manipulation n'est absolument pas identique. Et encore pour moi, Kate n'a pas été manipulée.

Kate est fade et la vision qu'elle a d'une relation est trop classique, pas exactement, plutôt trop plate. Fan de tueur en série, elle est stupide dans son raisonnement. J'allais dire est parano mais même pas, elle extrapole, toujours dans le trop et ne connaît pas tellement le sujet. On peut être amatrice du phénomène tueur en série en s'intéressant au sujet, en y connaissant rien et même en extrapolant, ça peut être mimi mais là nop. C'est soulant. Exaspérant. Des meilleures amies tout aussi stupides...
Nous avons parallèlement Phil, ex de Kate, après sa rupture est en train de faire une dépression, ne supporte pas cette séparation, fait n'importe quoi et comment à se découvrir seul et vivre pour lui et non à travers autrui. Il a toujours du mal mais commence à penser sa plaie.

Dès que la personne est apparue, j'ai su qui c'était. Quand les états d'âmes de Kate commençaient à devenir long, très tôt donc, je suis allée jeter un oeil à la fin. Oh c'est pas vrai ?! Z'avais raison. Désolée d'être si sarcastique mais certains moments m'ont gonflé et j'ai fait traîner le livre en longueur au lieu de la joie que j'avais de le dévorer. Cette joie était dû au fait que j'avais avalé les pages de After Anna, du même auteur. D'ailleurs dans les deux romans les femmes sont séparées, viennent/sont en train de le faire d'ailleurs... 😂😂😂😂 Pendant des pages et des pages on voit Kate, le suspense n'est plus là et quand le clic se fait (les cuisses se ferment) trop tard... NIARK NIARK NIARK. Mais ce qui me fait tenir est l'aura mystérieuse autour de Beth, tellement intéressante qu'on veut juste aller voir vraiment le pourquoi du comment et oublier Kate. Oui je ne l'ai pas aimé. Au départ ça allait je faisais sa rencontre mais après sa stupidité m'a insupporté.

Des policiers quasi absents et on dirait qu'ils ne font pas leur travail. À la fin du récit, on dit qu'une personne comme douée. What ? C'est vraiment dommage qu'on n'eût pas d'autres points de vue pour le coup. On aurait vu le raisonnement des policiers. Remarquez, vu que Kate se la jouait perso, les policiers auraient eu du mal. J'adore quand elle cache des informations (ah les escalopes qui font bravo).
Je reste dubitative vers la fin quand je lisais le raisonnement de Kate, ses réflexions. C'est très mal géré. La psychologie est très bizarre, c'est comme si c'était surjoué, ça ne fait pas naturel. En plus, Kate a une vision des relations de couples très étroite ce qui fait que quand elle "découvre" ce n'est pas gagné. Je veux bien qu'elle expérimente mais la remise en question on repassera. Pour le coup Phil se questionne beaucoup. C'est chouette et rattrape les personnages. Même si tout le monde devient fade. Peut-être que c'est l'écriture et le style de narration qui ne m'a pas plu ? Comment s'est construit...
Puis à la fin Kate devient aussi coupable que le tueur. Je ne supporte absolument pas cette façon de penser. Mes convictions persos, tout ça, tout ça.

Des personnages sont là et on ne sait pas pourquoi.


Une histoire qui traîne en longueur et vers la fin, je n'avais plus aucun intérêt pour tout le monde mais vraiment. Des personnages fades, limite un qui rattrape le tout. le suspense et le mystère sont dès les premières pages mais le manque de tension change complètement le roman et l'intérêt se perd. Je n'ai vraiment pas aimé, ça me désole. Peut-être que l'écriture a joué ? Et pour la psychologie… no comment.
Lien : https://de-fil-en-histoire.b..
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Un thriller qui commence plutôt bien. L'histoire se lit facilement et rapidement, la mise en place de l'histoire est au départ très bonne. Puis arrive la partie où tout est prévisible pour finir par une fin qui ne tient pas du tout la route.
L'auteur a choisi d'insérer dans son histoire le passé de certains personnages qui du coup dévoile l'intrigue bien trop tôt. Mauvais choix pour moi.
Quelle dommage, l'écriture est plutôt agréable.
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Découvert, et, surtout lu ce polar psychologique tout à fait par hasard, j'avoue avoir été agréablement surprise par ma lecture.

Il n'y a aucun temps morts, et, la tension nerveuse monte subtilement au fil des pages, et cela même si l'on devine l'identité du tueur en série bien avant le dénouement, voire même assez rapidement bien qu'Alex Lake mène ses lecteurs en bateau pendant un assez long moment, en brouillant les pistes à "fond la caisse" c'est à dire en mêlant les indices entre aux afin de les diriger vers l'un des protagonistes au comportement plus que bizarre , mais, qui s'avère ne pas être coupable, ni avoir perpétré ces meurtres en série.

Le dénouement, quant à lui, est plus que surprenant. Il est vrai que l'on ne s'attend pas à une fin pareille, du moins en ce qui me concerne. L'imagination aidant, je me suis même demandée si c'était vraiment fini ...
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Citations et extraits (43) Voir plus Ajouter une citation
Nous sommes des avocats, pas des pourvoyeurs de miracles. Ils sont dans leur tort, on pourra faire tout ce qu'on voudra, ça n'y changera rien. Si c'est ce qu'ils cherchent, ils n'ont qu'à aller faire un tour à Poudlard et demander à Harry Potter s'il ne veut pas bosser pour eux une fois son diplôme en poche.
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Il détestait son nom, haïssait l’allitération de Phil et Flanagan. Il s’était toujours dit qu’il en changerait, un jour ; à l’origine, il avait prévu de profiter de son mariage pour faire d’une pierre deux coups : se débarrasser de cet horrible nom et se faire passer pour un grand romantique en adoptant le patronyme de Kate. Mais ses plans avaient pris l’eau, maintenant qu’elle l’avait largué, au prétexte qu’elle avait besoin de son putain d’espace, de voir à quoi la vie ressemblait sans lui. La vie sans elle, il pouvait lui dire à quoi ça ressemblait : c’était merdique, totalement merdique. Une succession de minutes, d’heures et de jours qui se fondaient en un bourbier dans lequel elle lui manquait, dans lequel il passait son temps à se demander où elle était et si elle s’envoyait en l’air avec un gros connard de touriste étranger.
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Les vacances, tourbillon de mouvement, d'activités et de fous rires entre copines, avaient été géniales. En dehors des appels de Phil [...], il avait été simple d'oublier la rupture et tout ce qu'elle impliquait. Exactement ce dont elle avait besoin.
Mais les vacances étaient finies, et la réalité lui revenait en pleine poire. Et la réalité, c'est que rien n'allait être facile.
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La vie sans elle, il pouvait lui dire à quoi ça ressemblait : c’était merdique, totalement merdique. Une succession de minutes, d’heures et de jours qui se fondaient en un bourbier dans lequel elle lui manquait, dans lequel il passait son temps à se demander où elle était et si elle s’envoyait en l’air avec un gros connard de touriste étranger. Et, à l’arrière-plan, la question : pourquoi, mais pourquoi, avait-elle fait une chose pareille ?
Et qu’était-il censé faire, maintenant ? Sa vie entière avait tourné autour d’elle : se marier d’ici un an, avoir des enfants, des petits-enfants, prendre leur retraite, puis passer leurs dernières années dans quelque résidence pour vieux à bouffer de la soupe, avant de mourir, elle d’abord, puis lui, le cœur brisé.
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Ce n’est pas qu’elle n’aimait pas ses parents – au contraire –, mais vivre avec eux était une autre histoire. Les enfants quittent le nid familial à un certain âge ; certains à la fin de l’adolescence, d’autres pas avant cinquante ans, mais tous ont ceci en commun qu’ils sont prêts à vivre leur vie. Il y a toujours une période de transition, où l’on revient à la maison pour le repas dominical, pour faire une machine, pour mentionner que l’on est un peu juste ce mois-ci dans l’espoir de se voir octroyer une petite rallonge, pour emprunter la voiture de maman, plus fiable pour un long trajet, mais cette période ne dure jamais, et quand elle prend fin, l’oisillon vole de ses propres ailes.
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