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Erica Falck et Patrik Hedström tome 7 sur 10
EAN : 9782330018962
480 pages
Actes Sud (05/06/2013)
  Existe en édition audio
3.88/5   2412 notes
Résumé :
Par une nuit d’été, une femme se jette dans sa voiture. Les mains qu’elle pose sur le volant sont couvertes de sang. Avec son petit garçon sur le siège arrière, Annie s’enfuit vers le seul endroit où elle se sent en sécurité : la maison de vacances familiale, l’ancienne résidence du gardien de phare, sur l’île de Gråskär, dans l’archipel de Fjällbacka. Quelques jours plus tard, un homme est assassiné dans son appartement à Fjällbacka.
Mats Sverin venait de re... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (210) Voir plus Ajouter une critique
3,88

sur 2412 notes
J'aimais beaucoup Fred Vargas... Puis un jour j'ai arrêté de la lire. Parce que j'avais l'impression de lire sans fin le même livre. Je crains que ça soit bientôt pareil pour Camilla Läckberg...

Dans 'Le gardien de phare', elle donne presque dans l'auto-caricature, si je peux me permettre ce néologisme. Pour preuve les innombrables boulettes, maladresses et autres idées débiles de Patrick et ses collègues enquêteurs qui parviennent pourtant, étonnamment, à trouver le coupable (longtemps après qu'on ait deviné, quand même). Pour preuve également les improbables péripéties familiales, entre infarctus, accident, deuil, dépression, meurtre d'enfant, femmes battues, tensions de couple, bouffées délirantes, drogue... mais bizarrement pas de grossesse ou de naissance cette fois-ci ! Pour preuve enfin la construction habituelle avec différents points de vues entrecoupés de flashbacks et la non moins habituelle capacité d'Erica à mettre les pieds dans le plat. Bref, les ficelles sont tellement grosses qu'elles commencent à gâcher le plaisir.

Il reste du plaisir, malgré tout : passées les 100 premières pages un peu poussives, c'est très efficace et on plonge dans l'histoire aux côtés de nos vieux copains de Fjällbacka pour prendre une petite dose de suspense, de tendresse et d'exotisme scandinave. Une lecture de vacances agréable, en somme (mais je passerai probablement mon tour pour les vacances 2014 !).
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Il y a un paradoxe avec les livres de Camilla läcberg, j'éprouve toujours du plaisir à retrouver les personnages et pourtant, comme beaucoup je trouve qu'Erica est une caricature de la femme un peu "nunuche" et l'intrigue reste souvent "gentillette". Pour moi, ce tome " le gardien de phare" est le livre parfait pour la plage, même si je l'ai lu dans le tram pour aller au travail!!! il se lit très facilement, à côté de l'intrigue policière, il y a toujours la vie de famille avec Erica , ses enfants, sa soeur ... Paradoxe, je disais car tout en m'agaçant, je continue à acheter et lire la suite de cette série. Hé oui, tout ne s'explique pas.
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Septième enquête pour Erica et Patrik et toujours le même plaisir de les retrouver. le gardien de faire suit plusieurs personnages dans le passé et le présent. Dans le présent, Patrik travaille à résoudre le meurtre de Mats Sverin tandis que l'on suit l'histoire des fantômes de l'île de Gråskär et de ses habitants. Jusqu'aux dernières pages, il est difficile de faire le lien et pourtant certains éléments étaient assez prévisibles.

L'enquête est prenante et le suspense est bien présent du début à la fin. Mais c'est surtout le duo Erica et Patrik qui apporte beaucoup au roman. Erica va encore une fois fourrer son nez dans les affaires de son mari et trouver la faille. Patrik quant à lui est toujours aussi mignon et attentionné. Sur un plan plus personnel, Erica est sur tous les fronts car elle essaie de soutenir sa soeur qui est encore une fois frappé par une tragédie.

J'ai pris plaisir à dévorer ce roman et il me tarde maintenant de commencer La faiseuse d'ange. le dépaysement est à nouveau total et me donne à chaque fois plus envie de sillonner la Suède.
Lien : https://missmolko1.blogspot...
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Annie vient de s'enfuir de chez elle en emmenant son fils dans ses bras. Elle est couverte de sang, mais ne pense qu'à une chose : fuir loin, très loin pour se réfugier sur l'île de Graskär qui lui appartient et que les gens du coin appelle « l'île aux esprits » car les gens qui y sont morts la hanteraient à jamais. C'est le domaine de son enfance, où son père était gardien de phare.
Elle prévient les parents de son ami d'enfance Mats Sverin pour qu'ils lui apportent de la nourriture et elle apprend ainsi que Mats est revenu habiter à Fjällbacka après avoir travaillé plusieurs années à Göteborg. Il travaille actuellement sur su projet de la mairie pour transformer en centre de bien-être un lieu jadis beau bâtiment mais tombé en décrépitude.
Mats va la voir, ils passent la nuit ensemble et au réveil d'Annie il n'est plus là. On apprendra qu'il a été assassiné d'une balle dans la tête dans son appartement.
Une enquête difficile commence car Mats semble très mystérieux, personne ne le connaît vraiment, son passé est un mystère pour ceux qui travaillent avec lui.
C'est là que Patrick, notre inspecteur, entre en scène. Il assiste avec sa femme Erica à l'enterrement de l'enfant mort-né d'Anna, la soeur d'Erica. (à la fin de « la sirène » on se souvient qu'Erica et Anna, toutes les deux enceintes, avaient eu un grave accident de voiture. Cet accident à en fait déclenché la naissance prématurée des jumeaux d'Erica mais Anna a eu moins de chance : coma, enfant mort-né.
La cérémonie est extrêmement triste, Anna est un zombie, elle tient tout le monde à distance, rendant toute communication impossible.
C'est dans ce contexte lourd de tristesse que l'enquête démarre. On apprend que Mats a été agressé avant de revenir à Fjällbacka, de façon très violente avec hospitalisation, il a prétendu que c'était des jeunes loubards qu'il ne connaissait et que cela n'avait aucun rapport avec son travail : il travaillait dans une association « Refuge » qui s'occupe des femmes battues, les aide dans les démarches car elles ont tellement peur et sont tellement sous domination qu'elles n'ont pas confiance en elle.
L'enquête fouille dans le passé et dans le présent. A la mairie, tout le monde semblait content de lui, mais il semblait avoir des doutes sur la comptabilité du projet à la tête duquel se trouve Erling, un homme que l'on a déjà rencontré dans un précédent livre (une émission de téléréalité qui ratait) il avait alors fait un séjour de remise en forme où il avait rencontré Vivianne, et son frère Anders. Vivianne l'avait aidé à reprendre le dessus après le fiasco de l'émission de télé réalité.
En parallèle, Camilla nous raconte l'histoire d'une jeune femme Emelie qui est arrivée sur l'île en 1870 et y a vécu quelques années très dures avec son mari Karl et un homme odieux, méchant qui l'aide sur le phare.
L'enquête prend un tournant différent quand, la police est appelée car des enfants ont consommé de la drogue trouvée dans un poubelle, à côté de l'école, tout près de l'endroit où habitait Mats.
Le commissaire Melberg en profite pour commettre, comme à son habitude, une bévue lamentable, lourde de conséquences. Et on apprendra aussi que le mari d'Annie a été retrouvé mort, abattu chez lui, alors qu'il est un mafieux notoire et violent. Mais, je ne vais pas gâcher le plaisir et je vous laisse découvrir la suite.

Ce que j'en pense :

C'est le sixième roman de cette auteure que je lis et j'ai retrouvé avec plaisir, une Erica redevenue la journaliste écrivain curieuse que l'on connaissait (et qu'on avait du mal à reconnaitre dans « la sirène ».
Elle s'occupe avec tendresse de sa soeur qui s'enfonce dans la dépression et avec qui elle arrivera à établir le contact par le biais du toucher, en s'allongeant près d'elle pour dormir et la protéger en lui faisant un rempart de son corps comme le lui a conseillé Vivianne.
Ce livre nous parle de la souffrance des femmes battues, maltraitées physiquement et psychiquement devant leurs enfants, du combat difficile qu'elles doivent mener car la perversité de leur mari a détruit le peu d'estime d'elles-mêmes qu'elles peuvent avoir. Ces traumatismes de l'enfance et de la femme se retrouvent chez plusieurs personnages du roman.
J'aime bien l'histoire d'Emelie qui nous est décrite en toile de fond, avec l'évolution graduelle de la violence, ses « contacts » avec les personnes décédées sur l'île, la dureté du travail sur l'île fin du XIXe siècle avec lessive à la main, lessivage des sols, dureté des travaux ménagers pour une femme qui n'est que la bonne et le souffre douleur de son époux pervers sadique, cruel….
Camilla Läckberg raconte aussi la culpabilité d'avoir des jumeaux en bonne santé par rapport à sa soeur, qui, maltraitée aussi dans son premier mariage pensait enfin s'en sortir et perd son bébé. Il y a une réflexion sur la notion de destin, de répétition des scenarii de vies. Elle parle du déni, du deuil qu'on ne veut ou ne peut pas faire et jusqu'où il peut conduire (cf. le délire d'Annie vis-à-vis de son fils)
Elle analyse avec pertinence le problème des femmes battues qui retournent vers leur bourreau au risque d'y perdre la vie, mais je suis restée sur ma faim. L'atmosphère est lourde, mais on sent très bien que cette histoire est improbable, certes, il y a très souvent un supérieur tout puissant qu'il faut maintenir à l'écart de l'enquête mais là cela frise le ridicule dans le commissariat et c'est dommage.
J'ai passé un bon moment, je n'ai pas cherché à découvrir qui était le meurtrier car c'était évident même s'il fallait trouver des liens entre les meurtres, je me suis contentée de lire l'histoire telle qu'elle.
Ce roman est meilleur que la sirène mais je ne le classe pas dans les polars ou à la rigueur « polar parodique » ou « polar burlesque » : un gentil inspecteur, sa femme gaffeuse, son chef complètement déjanté qui devient sympathique quand il change les couches de bébé, une petite ville où tout le monde se connait sans se connaitre.
7/10. Je vais revoir mes notations à la baisse pour Camilla Läckberg, en fait cela mérite 3, 5 étoiles.

Lien : http://eveyeshe.canalblog.co..
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Tout le monde connaît ce proverbe : “Toutes les bonnes choses ont une fin.” Hé bien c'est le message que j'ai envie de faire passer à cette bonne Camilla Läckberg. C'était déjà le sentiment que j'avais eu lors de son avant dernier roman, La Sirène. Roman qui se terminait en queue de poisson si je puis dire (sans mauvais jeu de mots..) et qui amenait fortement à suivre la suite des aventures d'Erica Falck dans ce 7ème volet, le gardien de Phare.

C'est bien d'avoir LA formule qui marche mais c'est aussi bien de savoir y mettre un terme ! Parce qu'entre nous il est vrai que les romans de Camilla Läckberg se lisent comme des petits pains ou plutôt se vendent comme des petits pains mais il y a un moment où il faut dire stop ! Pour ceux qui connaissent un petit peu ses romans, je ne sais pas ce que vous en pensez mais moi j'adhère complètement à son système de mini chapitres (3-4 pages en général) qui mettent en scène les différents protagonistes. Pas le temps de s'ennuyer et comble de la réussite on avale les pages pour retomber sur les personnages que nous chérissons le plus ! Futé n'est ce pas ? Et puis agréable à lire aussi, avouons le. Résultat : ça se lit bien ! Par contre je mettrai un bémol sur le concept des flash back parce que le filon a été beaucoup trop exploité à mon goût ! Ma chère Camilla Läckberg il va falloir se renouveler !

Dans ce 7ème volet, la révélation qui m'avait déjà pendu au nez la fois dernière m'a carrément sauté à la figure : c'est nian nian, cul cul la praline, on est en immersion dans le monde des bisounours et les ficelles sont beaucoup trop grosses et prévisibles ! Bref je crois que je suis en pleine overdose ! Je ne supporte plus Melberg et sa stupidité complètement improbable, Erica qui met constamment les pieds dans le plat, les gentils méchants et les gentils tout courts…. STOP ! Tout ça gâche mon plaisir, ça m'énerve et puis en plus j'avais deviné qui était l'assassin et ça ce n'est pas un bon argument de vente pour un polar !

Deux, trois mots sur l'histoire tout de même… Dans ce 7ème volet, Mats Sverin, directeur financier du nouveau projet de bien être de la ville de Fjällbacka est retrouvé assassiné à son appartement une balle dans la tête. Patrick et ses petits copains n'ont pas beaucoup d'indices à se mettre sous la dent… Mats Sverin semble être un homme sans histoire et tout ce qu'il y a de plus gentil. (Tiens, tiens encore un gentil...pffff c'est chiant !) L'intrigue est plutôt plate, les rebondissements à dormir debout, j'ai eu l'impression de regarder le mauvais feuilleton de l'été. Finalement l'auteur s'intéresse plus à la petite vie de ses personnages qu'à l'enquête. En même temps ils n'avaient pas été épargnés dans le 6ème volet, c'est d'ailleurs ça qui m'a poussé à me lancer dans le 7ème, puis-je donc lui en vouloir à ce point ?!

Conclusion, je ne vais pas vous faire un dessin car je sais que vous êtes très très intelligents, j'ai été assez déçue et je ne pense pas renouveler l'expérience de sitôt. Mon polar de l'été 2014 ne sera pas signé Camilla Läckberg ! C'est dommage car elle a plein de qualité et j'avais vraiment beaucoup aimé ses premiers romans. Je n'aime pas qu'on me prenne pour un pigeon ! Pauvre Camilla Läckberg, je suis un peu dure avec elle quand même… Mais c'est comme ça ! Passez votre tour !
Lien : http://www.nola-tagada.fr/ca..
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Citations et extraits (67) Voir plus Ajouter une citation
Elle était probablement de ces personnes insupportablement positives et joyeuses, se dit Gösta. Le genre qu'il ne voulait pas près de lui à sept heures du matin avant d'avoir bu sa première tasse de café. Sa défunte femme chérie avait heureusement partagé sa mauvaise humeur matinale tout au long de leur vie commune, si bien qu'à chaque petit-déjeuner, ils avaient pu ronchonner à loisir chacun dans son coin.
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Le soleil s’était levé mais ne chauffait pas encore. Elle sentait ses muscles se relâcher petit à petit, la tension cédait et l’horreur de la nuit perdait un peu de son emprise. Elle regarda Sam. Pourvu qu’il n’en garde pas de séquelles. À cinq ans, on est fragile. Comment savoir si rien ne s’était brisé en lui ? Elle ferait tout ce qui était en son pouvoir pour le guérir. Des bisous pour éloigner le mal, comme quand il tombait à vélo et s’écorchait les genoux.
Elle connaissait bien le trajet. Chaque île, chaque rocher. Elle mit le cap sur Väderöbod et s’éloigna de plus en plus de la côte. Les vagues étaient plus grosses ici, et l’étrave cognait contre l’eau en retombant après chaque crête. Elle savoura la sensation des embruns lui éclaboussant le visage et s’autorisa à fermer les yeux quelques secondes. En les rouvrant, elle aperçut Gråskär au loin. Son cœur frétilla comme toujours quand l’île apparaissait et qu’elle voyait la petite maison et le phare, blanc et fier, dressé vers le ciel bleu. Elle était encore trop loin pour voir la couleur de la maison, mais elle se rappelait sa nuance gris clair et les menuiseries blanches. Et les roses trémières qui poussaient devant le mur le plus abrité. C’était son refuge, son paradis. Son île. Gråskär.
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Tout à coup, son ventre se noua au souvenir des dernières années de collège qui avaient été marquées par tant d’angoisses. Elle se rappela l’impression de ne pas avoir sa place, de n’appartenir à aucun groupe. La quête permanente de ce qui lui permettrait d’accéder au cercle des cools et des branchés. Elle avait essayé. Imité des coiffures et des styles vestimentaires, utilisé les mêmes mots et expressions que certaines filles de sa classe. Des filles comme Annie. Elle n’y était jamais parvenue. Elle n’avait pas fait partie des plus nulles non plus, c’est vrai, de celles qu’on prenait constamment pour cible et qui n’avaient aucune chance de s’en sortir. Non, elle avait surnagé dans la masse grise des invisibles.
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Six heures plus tard, ils arrivèrent. Fjällbacka se réveillait tout juste. Elle gara la voiture devant le Sauvetage en mer et se demanda un instant comment elle ferait pour tout emporter.
Sam dormait toujours profondément. Elle trouva un paquet de mouchoirs en papier dans la boîte à gants et s’essuya les mains du mieux qu’elle put. Le sang était tenace, il était difficile à nettoyer. Puis elle sortit les valises du coffre arrière et les tira rapidement vers Badholmen où le bateau était amarré. De peur que Sam ne se réveille pendant son absence, elle avait fermé la voiture à clé pour qu’il ne puisse pas en sortir et tomber à l’eau. Elle descendit péniblement les valises jusqu’au bateau et ouvrit le cadenas de la chaîne censée protéger des vols. Puis elle retourna à la voiture en courant presque et constata avec soulagement que Sam dormait encore paisiblement. Elle le souleva et le porta, enveloppé dans sa couverture. Le regard fixé sur ses pieds, elle parvint à monter à bord sans glisser. Doucement, elle posa Sam directement sur le plancher et tourna la clé de contact. Le moteur toussa, puis démarra à la première tentative. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas piloté ce bateau, mais elle était confiante, elle y arriverait. Quittant l’emplacement en marche arrière, elle sortit du port.
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On commet souvent l’erreur de ne pas vouloir déranger celui qui pleure. On pense qu’il lui faut du calme et de la tranquillité, qu’on doit le laisser en paix. C’est totalement faux. L’être humain est un animal de meute. Il a besoin d’être entouré, il a besoin de proximité, de chaleur et du contact d’autrui.
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Tant d'émotions partagés entre les fans et les artistes en ce mois de mai : la fougue de Peter Doherty, la beauté d'Archive, la bienveillance de Guillaume Musso, le charisme de Danièle Thompson, la douceur de Vendredi sur Mer, l'énergie d'Hervé ou encore la bonne humeur de Camilla Läckberg, on aura tout eu, quel bonheur !
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