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EAN : 9782212571257
296 pages
Eyrolles (06/06/2019)
4.12/5   70 notes
Résumé :
À 31 ans, Élise vit recluse dans son chagrin. Quelle idée saugrenue a eu son mari de mourir sans prévenir alors qu’elle était enceinte de leur premier enfant ?


Depuis ce jour, son fils est la seule chose qui la tient en vie, ou presque. Dans le quartier parisien où tout lui rappelle la présence de l’homme de sa vie, elle cultive sa solitude au gré de routines farouchement entretenues : les visites au cimetière le mardi, les promenades au squar... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (42) Voir plus Ajouter une critique
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J'ai un peu de mal à rédiger une critique sur ce livre. Comment dire ?
En cours de lecture, il m'est arrivé d'être tentée d'abandonner devant certains passages alambiqués, trop recherchés et/ou trop longs ; j'avais l'impression que l'autrice se regardait écrire et alignait les mots pour le seul plaisir de les agencer. Mais, allez savoir pourquoi, je ne pouvais pas laisser tomber ; il fallait que je continue… et j'ai continué jusqu'au bout d'une traite et sans pouvoir lâcher.
Une fois le livre refermé (je ne savais toujours pas si j'avais aimé ou pas), je suis passée à autre chose. Et alors, fait surprenant, le livre me revenait souvent en mémoire ; et plus je me souvenais et plus j'appréciais ce que j'avais lu… comme un vin qu'il faut laisser décanter pour en trouver toute la saveur. Cette histoire de traumatismes d'enfance, de deuils et de difficiles sorties de deuil prenait soudain une profondeur qui m'avait échappée en cours de lecture. In fine, j'ai aimé ce roman. J'ai aimé Elise, Clément, Manou et Monique, leurs fêlures et leur volonté (à des degrés divers) de ne pas laisser le destin leur dicter sa loi et de tirer le meilleur parti de ce que la vie leur offre.

Ce n'est pas un coup de coeur, mais c'est une petite musique réconfortante qui vous trotte dans la tête.


PS : Merci aux éditions Eyrolles et à Babélio pour cette lecture en avant-première de la rencontre avec Marion McGuiness
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J'ai eu beaucoup de difficulté à entrer dans cette histoire, à tel point que j'ai suspendu ma lecture attendant de rencontrer l'auteure pour comprendre ce que je lisais.
Il s'agit d'un roman, ça je savais, un premier, même si Manon McGuinness écrivait depuis, déjà, pas mal de temps. Elle aura mis huit ans pour terminer ce récit.
Comment peut-on écrire sur un tel sujet sans l'avoir vécu soi même ? Alors, certes, on peut imaginer ce qu'est l'enfermement d'après décès, car c'est de cela qu'il s'agit : Elise vit en recluse avec son fils de trois mois. Pour faire la conversation c'est loupé. Elle fait porter à la terre entière le décès de son mari sans aucune exception, moins on lui parle, mieux elle se porte.
Jusqu'au jour où ,par le biais d'une porte cochère qu'un beau jeune homme retient, qu'elle rabrouera, pareillement que les autres, un déclic inconscient opérera, ce que tout lecteur digne de son nom aura deviné, un coin de ciel bleu dans son monde. Pas tout de suite mais assurément, après un certain nombre de pages pas forcément nécessaires.
Donc, après avoir rencontré l'auteure, je suis allé jusqu'au bout ..car pour juger autant savoir ce que l'on juge!
Je me suis ennuyé dans ces pages, ces retours en arrières, ces discussions avec le défunt, le cimetière à jours fixes, les chocolats avec la grand-mère du dessus, le gentil bébé, Ian, qui dort mal, la mer, Pornic... Vraiment je ne me suis pas senti concerné ou si peu dans ce récit qui ne démarre pas, n'explique pas le mal ressenti, ne porte aucun message alors que là est l'attente du lectorat, on ne solutionne pas et rien. Ou alors j'ai mal lu ou pas compris, qui sait?
Certes elle ne fait pas dans le pathos, le misérabilisme, le pôvre de moi, non mais on rabâche, on rabâche, on rabâche et puis, trop c'est trop. Certains y ont vu de la poésie, là aussi, à part quelques belles images et quelques phrases plus personnelles, rien de transcendant.
Alors à la rencontre il y avait une quarantaine de femmes pour deux hommes. Les avis sur ce livre sont tous ou presque dithyrambiques venant des dames, beaucoup moins venant des hommes.
Serait-ça la vérité? Un livre réservé aux dames ? Allez savoir.

Je remercie Babelio de m'avoir choisi pour cette rencontre et es éditions Eyrolles de m'avoir fait parvenir ce livre.
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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Titre :  EGARER LA TRISTESSE

Auteur : Marion MCGUINNESS

Editions : Eyrolles

Genre : roman

Nombre de pages : 293

Date : 2019 (avril)

Prix : 16 €



Présentation physique du livre :

Un livre de moyen format contenant près de 300 pages.

La couverture représente une fleur sur une barrière blanche.



Résumé : 

À 31 ans, Élise vit recluse dans son chagrin. Quelle idée saugrenue a eu son mari de mourir sans prévenir alors qu'elle était enceinte de leur premier enfant ?

Depuis ce jour, son fils est la seule chose qui la tient en vie, ou presque. Dans le quartier parisien où tout lui rappelle la présence de l'homme de sa vie, elle cultive sa solitude au gré de routines farouchement entretenues : les visites au cimetière le mardi, les promenades au square avec son petit garçon, les siestes partagées l'après-midi…

Pourtant, quand sa vieille voisine Manou lui tend les clés de sa maison sur la côte atlantique, Élise consent à y délocaliser sa tristesse. À Pornic, son appétit de solitude va vite se trouver contrarié : un colocataire inattendu s'invite à la villa, avec lequel la jeune femme est contrainte de cohabiter.


Sur l'auteur et son univers cf Babelio

Nationalité : France 

Biographie : 

Marion McGuinness est rédactrice et traductrice indépendante, pour des maisons d'édition, des sites parentaux ou encore des marques de vêtements pour enfants.

Elle écrit sur des sujets aussi variés que la grossesse, la maternité, le maternage et la petite-enfance. 

Elle est l'auteure du blog "Maxi Best of McMaman" et rédactrice en chef du blog participatif, "Je suis une Seinte" (https://jesuisuneseinte.wordpress.com/).

"Égarer la tristesse" (2019) est son premier roman.

Elle vit à Angers avec sa famille.


Sur les éditions 

https://www.eyrolles.com/Qui-Sommes-Nous/



Le Groupe Eyrolles est présent sur Internet depuis 1997, avec des sites web consacrés à son activité de diffuseur et d'éditeur, et met en place assez tôt la possibilité de commander des livres de son fonds au travers de ces sites.

En 1999, le groupe décide d'ouvrir un véritable site marchand, en s'appuyant sur l'expertise de sa librairie spécialisée parisienne et sur sa structure de vente à distance (EyrollesPro anciennement Dlivres). le site Eyrolles.com est lancé en juillet de la même année et ouvre avec un premier rayon : l'Informatique.

En 2000, les rayons Entreprise-management et BTP sont ajoutés sur le site et des partenariats sont mis en place avec quelques sites positionnés sur ces secteurs.

Depuis de nombreux rayons ont été rajouté, suivant ainsi à la fois les évolutions de l'activité de libraire et les nouveaux thèmes éditoriaux français.




AVIS



Un roman vraiment très agréable qui m'a fait passé un très bon moment.

Début du livre

Elise lisait son horoscope, coincé entre une pub de crèm amincissante et un jeu-concours pour gagner un affreux sac à main à la coleur indéterminé.



Elise est une jeune femme d'une trentaine d'années. Elle est veuve depuis un an.

Son mari depuis quelques années est décédé sans crier gare alors qu'Elise était enceinte de leur unique enfant.

Un bouleversement pour Elise qui fait que depuis, elle ne fait que survivre pour Ian, leur enfant né quelques temps après.

Elle vit cloitrée dans son appatrement avec son fils. Seule sa voisine du dessus, une grand mère sans âge, à qui elle rend visite régulièrement, la sort de sa tristesse et de son désespoir.

Jusqu'au jour où cette dernière liu confie les clés de sa maison de Pornic et lui demande d'aller sur place pour recommencer à vivre.

Elise hésite quelques jours. Et c'est à ce moment là qu'elle croise un homme dans l'ascenseur qui essaie d'entamer la conversation et qu'elle envoie sur les roses.

Elle apprend par la suite que ce dernier est le petit fils de Manou, dont elle lui parle si souvent car elle l'a élevée suite au départ de sa mère.

Et un jour, prenant son courage à deux mains, Elise prend Ian sous le bras et part en direction de Pornic.

Mais après quelques jours tranquilles, un colocataire inattendu va poindre le bout de son nez et s'installer.



Les personnages :

Elise : jeune trentenaire totalement effondrée suite au décès brutal d'Arthur, l'amour de sa vie, et père de son futur enfant. Elle n'arrive pas à surmonter son chagrin.

Clément : petit fils de Manou qui l'a élevé. Il se remet de sa rupture amoureuse Magali avec laquelle il vivait sans aucun amour.

Manou : grand mère à qui on a du mal à donner un âge. Va avoir avec Elise une relation de mamie et surtout de confidente. 



Le point fort de l'histoire : la renaissance d'une jeune veuve frappée par le dès brutal de son amour. Elle va se relever de la plus belle des manières, sans avoir à renier son caractère assez sauvage.

Depuis le décès elle n'a plus aucune vie sociale et vit renfermée sur elle-même et sur son fils.



Le style de l'auteur

Une écriture vraiment très agréable qui permet au lecteur une plongée dans l'histoire en douceur.

Alors je suis encore sortie de ma zone de prédilection, et j'ai été agréablement surprise. Je pensais ne pas accrocher mais j'ai bien aimé. Cela n'a pas été un coup de coeur pour autant.

Les descriptions des personnages, ainsi que des lieux est très présente, peut être un peu trop à mon goût.

Mais je n'ai pas pu lâcher ce livre avant de l'avoir terminé.

L'auteure a su rendre ses personnages très attachants et émouvants, surtout Clément.

Quant au personnage de Magali, j'ai vraiment trouvé qu'il était tout à fait à sa place dans le livre, avec son côté peste et hautain, ne s'avouant pas facilement vaincue.

Elise quant à elle est affublée d'une personnalité assez sauvage et surtout on sent qu'elle ne recherche pas la compagnie. Elle s'interdit tout plaisir préférent se focaliser sur le bien être de son fils.



Le genre

Un roman



La forme de l histoire

Le récit est divisé en plusieurs chapitres.

Le texte est très aéré et l'écriture est fluide. Ce qui en fait une lecture très agréable.

J'ai trouvé quelques passages un peu long et n'apportant pas grand chose.



Conclusion :

Ce roman est vraiment ce que j'appelle une lecture détente et idéal pour lire en vacances. 
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Elise a perdu son mari, victime d'une rupture d'anévrisme, alors qu'elle est enceinte de leur premier enfant. Elle vit recluse dans son chagrin avec pour seule contact, sa vieille voisine et amie Manou qui lui propose de délocalise sa tristesse dans sa maison de Pornic, sans lui préciser toutefois qu'elle aura un colocataire.
Je pourrais dire encore une histoire de femme seule qui après quelque temps va rencontrer un homme, son futur amour, NON.
Marion MacGUINESS nous livre avec pudeur et sans pathos exagéré, le récit de sa reconstruction d'autant plus difficile qu' Elise ait allergique à toutes relations sociales, sauf Manou, présentée comme une vieille femme qui cultive le mystère comme d'autres font du tricot.
Alors bien sûr, il y aura de l'amour, mais n'est-ce pas la seule valeur sûre de la vie, l'amour d'Elise pour son fils Ian qui lui prend tout son temps et puis, et puis...
L'auteure, je n'aime pas l'autrice ça ne sonne pas bien à mon oreille, désolé pour ceux qui préfèrent le contraire, décrit avec justesse le cheminement du deuil, la solitude, l'accablement, le déni, l'acceptation, la culpabilité. Et puis il y a Pornic, cette demeure , à deux pas de l'océan, typique maison de famille que l'on imagine plein de charme et de souvenirs.
C'est le premier roman de cette écrivaine qui promet, j'imagine, de belles surprises pour la suite.
A lire sans hésiter.
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Élise est une jeune veuve qui a du mal à faire le deuil de son mari et qui ne continue à avancer que pour son fils. Sa vieille voisine lui confie les clés de sa résidence secondaire à Pornic afin que la jeune femme se libère du poids du deuil.
Étant donné la thématique du roman, il est difficile de qualifier cette lecture de plaisante. En effet, on passe beaucoup de temps à suivre le travail de reconstruction psychologique d'Elise suite à la perte de son mari. Dans ces moments-là, l'autrice abuse peut-être un peu trop de métaphores mais parvient tout de même à traduire l'état d'esprit de son personnage et à nous le rendre attachant. On ne peut pas dire qu'il se passe grand-chose ni que le récit nous réserve de grandes surprises mais il ne me semble pas que l'intérêt du roman réside dans ces points. Certains pourront le regretter, moi cela ne m'a pas dérangé car, à mon avis, l'intérêt de ce roman réside dans son aspect introspectif. Je n'ai pas eu le malheur de vivre les deuils vécus par les personnages mais j'ose imaginer que la lecture de ce roman pourrait aider ceux ayant vécu les mêmes traumatismes. Car ce roman montre qu'il n'y a pas de règles à suivre pour vivre son deuil, qu'il n'y a pas une date de péremption associée à la fin de celui-ci mais que la vie peut quand même se poursuivre, certes pas comme avant, mais on peut continuer à avancer. L'autrice n'omet pas les problématiques de sociabilisation liées à la perte d'un être cher et le fait de manière habile. La seule chose que je pourrais regretter c'est la redondance de certains sentiments et réflexions , on peut avoir l'impression de tourner en rond même si d'un autre côté cela montre bien la spirale dans laquelle on peut vite s'enfermer. C'est dans ces moments là que j'ai eu un peu plus de mal dans ma lecture car j'avais l'impression que les choses n'avançaient pas vraiment.
De manière générale, j'ai donc aimé la manière dont l'autrice aborde le deuil et la manière d'y faire face mais j'ai pu regretter certaines « facilités » . Je respecte cependant le choix de l'autrice car, même s'il me semble assez convenu, cet aspect de l'histoire est bien traité dans l'ensemble.
Pour conclure, j'ai apprécié cette histoire qui traite d'un sujet difficile avec délicatesse et justesse. Je regrette juste d'avoir eu l'impression que les choses tournaient parfois en rond. Tout comme je regrette que la reconstruction du personnage passe en partie par un dépaysement et une nouvelle histoire d'amour, des ressorts qui me semblent assez convenus dans les ouvrages traitant de cette thématique. Certes, cela est sous-entendu dans le résumé, mais j'aurais aimé plus de prises de risque à ce niveau-là, même s'il n'y a pas de recette miracle pour se reconstruire après la perte d'un être aimé.
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Citations et extraits (32) Voir plus Ajouter une citation
> Décider de faire un enfant à deux relevait déjà de la pathologie psychiatrique, un sérieux problème de sous-estimation des risques et de l'inconnu.
> Ses journées étaient prévisibles - les surprises, c'était bon pour ceux qui n'en avaient pas reçu d'assez mauvaises.
> Elise avait toujours aimé les chats ; ils ajoutaient de la vie au silence sans faire de bruit.
> Leur premier regard, leurs premiers mots. Il y avait des rencontres qui étaient des évidences.
> Elise avait du mal à comprendre ces gens qui portaient un air heureux sur le visage en toutes circonstances.
> D'un côté, les gens heureux, qui savent profiter de l'instant présent sans se laisser assombrir par son caractère fugace et de l'autre, les gens tristes, qui en sont viscéralement incapables, sachant pertinemment que l'instant présent sera vite envolé.
> Comme beaucoup de jeunes mères, Elise se sentait un peu honteuse de son aspiration à la liberté, mais elle en venait peu à peu à penser que même les personnes les plus indispensables avaient aussi le droit de reprendre leur souffle - pour ne pas se noyer.
> Elle s'extirpait peu à peu de ce présent douloureux qui résumait sa dernière année, mettait de l'ordre dans ses souvenirs, époussetait les jolis, roulait les moches en boule, pour y voir plus clair dans ce capharnaüm.
> Additionner le malheur, soustraire l'espoir, et obtenir toujours le même résultat, sans parvenir, pour autant, à chasser la culpabilité insidieuse.
> -J'ai appris deux choses tout au long de ma vie : repasser ses vêtements ne sert à rien, et, surtout, il y a plus effrayant que mourir : c'est rater sa vie. Il y encore tant de chocolats que tu n'as pas goutés.
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Les livres l’avaient littéralement sauvé, oui. Certains avaient une bande d’amis, lui avait une énorme bibliothèque. Il avait vécu tant d’autres vies depuis le départ de sa mère que parfois il ne savait plus faire la différence entre la réalité et la fiction.
[...] Il avait toujours dans son sac quelques livres de poche déformés par ses longs doigts qui s’enroulaient autour des pages afin d’éviter que le vent ne lui divulgue trop vite la suite de l’histoire.
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Avant de perdre son mari - perdre, elle s'était toujours moquée de ce mot, trop doux, trop optimiste, comme si elle avait égaré Arthur dans un rayon du supermarché pendant leurs courses hebdomadaires et qu'il allait finir par la retrouver, accroupie devant des tablettes de chocolat ou du café moulu -, elle n'avait perdu aucun être à qui elle tenait vraiment, à part son chat.
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À quoi bon se laver si personne ne vous voit, à quoi bon manger si on a juste la force nécessaire, à quoi bon sortir quand on n'a envie de parler à personne ? Éliser s'était mise en veille - vivre lui coûtait trop cher et elle sentait bien qu'elle n'en avait pas les moyens.
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Une tristesse qu'elle n'avait pas vu arriver, dont elle ne s'était pas doutée, et qui creusait déjà en elle un trou aussi profond qu'une fosse mortuaire.
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Vidéo de Marion McGuinness
Dans son nouveau livre, Marion McGuinness nous embarque pour un tour du monde du bonheur.
Du Japon au Chili, de la Nouvelle Zélande à la Scandinavie, partez à la découverte de ce qui rend les gens heureux ! Dans toutes les langues et cultures du monde, des mots sont utilisés pour définir des concepts parfois complexes. En quelques syllabes, des arts de vivre, des visions du bonheur ou de la façon d?y parvenir sont ainsi «résumés ». Derrière chaque mot, tout un univers de valeurs, d?histoire et de mode de vie jaillit.
Ce tour du monde du bonheur est une fenêtre ouverte sur le monde entier, sur différents regards et cultures, pour que chacun puisse piocher ce qui lui « parle» le plus, ce qui a le plus de résonance en lui, et l?aide à avancer sur son chemin du bonheur.
Le tour du monde du bonheur, de Marion McGuinness 9782807323186 ? Éd. 1 ? 192 pages ? 24,95? https://www.deboecksuperieur.com/ouvrage/9782807323186-le-tour-du-monde-du-bonheur Sortie le 1er octobre 2019
Maman de deux enfants, Marion McGuinness se passionne depuis près de 10 ans pour les domaines de la périnatalité, de la parentalité et du bonheur. Elle est auteure de guides pratiques et traductrice d?ouvrages consacrés au bien-être.
Retrouvez-nous sur : ? Notre site Internet : https://www.deboecksuperieur.com/ ? Facebook : https://www.facebook.com/deboecksuperieur ? LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/groupe-de-boeck
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