Peu d'écrivains ont entretenu une amitié aussi entière avec les livres, de Blondin ou Nabokov, Céline ou Zola, Calet ou Suarès. Pour entrer dans cette fraternité, il suffisait comme Louis Nucéra de rejeter " le frelaté, le fabriqué, les paradoxes oiseux " et d'avouer la même " haine des imposteurs ".
On devenait alors digne des Boudard, Cocteau, Fallet, Hardellet, Joseph Kessel ou Jacques Perret, dont la conversation prolongeait les oeuvr...
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