Les personnages de Mallory et de Charles décrits comme des détectives/flics non conventionnels dans un duo atypique renversent les codes. Bien que les « défauts » et « qualités » de la jeune enquêtrice hors normes soient un peu récursifs, son côté irrévérencieux et illicite lui permet d'arriver à une fin qui tient dans un mouchoir de poche, au dénouement bien ficelé.
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"Le mensonge est le propre de l'homme; la plupart sont sans conséquence, seuls quelques-uns sont mortels. Celui qui foudroya Amanda Bosch est inavouable."
Excellent roman ou l'action et le suspens sont bien présents.
J'ai apprécié lire ce roman.
Je ne connaissait pas cet auteur mais j'ai apprécié son style.
Auteur à suivre
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La quatrième de couverture était alléchante. J'étais ravie de commencer ce livre. Et quelle déception ! Rien ne m'a plu. le personnage principal présente peu d'intérêt pour moi. L'intrigue est lente. S'ensuit un chaos dans les faits chronologiques. J'étais très souvent perdue. Les chapitres sont longs. Cette lecture était une belle perte de temps.
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J'ai bien aimé les 100 premières pages ensuite j'ai calé. J'ai trouvé que l'histoire trainait en longueur. L'auteur nous rappelle sans cesse l'absence d'émotion de l'héroïne ainsi que ses particularité et ses magnifiques facultés, cela en devient lassant.
Ce tome est a priori le tome 2 de la série Mallory.
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Lâché au bout de 70 pages !
L'intrigue traîne en longueur, des descriptions hors sujet, des interférences chronologiques qui brouillent et annulent le suspens...
Une immense impression de perdre mon temps.
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Mallory acquiesça. C'était un renseignement utile pour son enquête, ce qui parut réjouir Charles. N'import qi pouvait voir qu'il était amoureux de cette fille. Tant mieux, il était heureux au moins. Du bon travail... Cora commençait à épreuver de la sympathie pour cet homme.
Elle se leva en annonçant qu'il fallait qu'elle rentre. Charles l'escorta dans l'ascenseur et la conduisit jusqu'à un taxi. Il insista pour payer sa course. La vieille dame lui serra la main en disant :
- Vous n'êtes pas né dans le siècle qu vous méritez, cher ami...
Quand nous disons la vérité, nous parlons toujours de la même vérité. Quand nous mentons, en revanche, il faut avoir une mémoire d'éléphant pour dire chaque fois le même mensonge.
Ce genre de pervers parle toujours trop, même quand on lui lit ses droits. Ces types mentent, mais ils parlent et se contredisent. Si nous ne le coinçons pas avant qu'un avocat lui dise de la fermer, nous avons perdu la partie. Sans preuves, il n'y a pas d'inculpation possible. La rapidité est indispensable dans ce genre d'affaire, sinon le meurtrier s'en tire.
On reconnaît tout de suite les enfants de riches. Si le mari ou la femme se tire, ils ne mangeront pas pendant une semaine. On peut voir combien ils sont bouleversés par la quantité d'alcool et de tranquillisants qu'ils ingurgitent. Mais si la femme de ménage s'en va, tout leur univers s'écroule. Ils retournent à l'état de bête.
Je ne pense pas qu'un écrivain s'inspire de sa propre existence plus qu'un acteur qui doit entrer dans la peau d'un personnage. L'acteur ne joue pas sa vie et j'imagine qu'un écrivain, même quand il fait son autobiographie, ne transcrit pas intégralement sa vie privée.