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EAN : 9782253083979
281 pages
Le Livre de Poche (01/01/2008)
3.77/5   120 notes
Résumé :
Le cap des trente livres passé, j'éprouve le besoin de faire le point sur la question de l'hédonisme. Si je devais le réduire à une interrogation, ce serait évidemment celle de Spinoza : "que peut le corps?". A quoi il me faut ajouter : en quoi est-il devenu l'objet philosophique de pré-dilection ? Puis, questions en cascade : comment penser en artiste ? De quelle manière installer l'éthique sur le terrain esthétique ? Quelle place laisser à Dionysos dans une civili... >Voir plus
Que lire après La puissance d'exister : Manifeste hédonisteVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (18) Voir plus Ajouter une critique
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Philo ou philosophie ? Un article du « Monde » de juillet 2014 s'interrogeait sur l'intérêt et le risque lié à une « vulgarisation de la philosophie » par des philosophes tels que Michel Onfray.
J'en retiens en ce qui me concerne : « il n'y a jamais trop de philosophie » et « la philo est une gigantesque demande de sens qui n'est plus réservée à une élite »

Pourquoi cette introduction : pour donner le contexte de mon appréciation de ce « manifeste hédoniste ». J'ai apprécié le lien que cherche à faire ce livre entre philosophie et « manière de vivre ». Aisément critiquable, ce genre d'exercice est pourtant celui qui est susceptible à la philosophie de partager ses richesses (que je ne prétends pas connaitre : je ne suis pas un « professionnel » de la philosophie).
« Genre d'exercice » disais-je : aller retour entre concept (parfois vite esquissés certes) et propositions de vie : périlleux mais exercice incontournable pour passer du conceptuel (nécessaire) à l'action, bref la vie.
Mais aussi parce que le livre cherche à exposer un système complet, cohérent (et non une collection de vues partielles)…en moins d e 1000 pages ! Ce qui donne l'occasion de ne pas s'arrêter/ s'enfermer sur un thème, mais de penser à l'articulation entre eux.
Critiquable ? Oui. Certaines propositions semblent discutables, peu étayées à mon gout. Mais elles forcent à la réflexion et surtout incitent à la construction de notre propre système de référence. Et nous invient ainsi à ne pas tomber dans l'ornière du « prêt à penser » qu'évoquait l'article mentionné au début.

Ajoutons, j'allais dire sur le plan du style, la distillation de quelques formules "à l'emporte piéce" souvent excessives, mais également savoureuses. Ex p200: "Jamais en retard d'une sottise, Hegel...." oo plus loin: "Biens ouvent, quand on invoque l'intransmissible, c'est qu'il n'y a rien à transmettre."

Donc merci pour ce livre de « philo » dont je recommande la lecture (critique bien sur !)
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J'ai découvert Michel Onfray en écoutant les conférences données à l'Université Populaire de Caen sur les consciences réfractaires (à savoir Georges Politzer, Paul-Yves Nizan, Albert Camus et Simone de Beauvoir). J'ai dès le premier cours (je continue d'avancer peu à peu) été totalement captivée par ce qu'il disait, par sa présentation d'une autre philosophie, une pensée plus concrète et moins conceptuelle, bref, je suis captivée par cette contre-histoire de la philosophie. Je précise que je suis tout à fait néophyte dans ce domaine (en filière scientifique, les connaissances délivrées en philosophie sont plus que basiques…).
J'ai donc voulu découvrir un peu plus le philosophe qu'est Michel Onfray. Dans La contre-histoire de la philosophie, il ne présente pas ses idées même si elles transparaissent parfois. A la bibliothèque, j'ai pris trois ouvrages, au hasard. Dont celui-là.

Après une préface consacrée en majorité à son enfance et ses années de pensionnat, ce manifeste s'attache à proposer une philosophie pour bien vivre, pour mieux vivre : « Philosopher, c'est rendre viable et vivable sa propre existence là où rien n'est donné et tout reste à construire. » Il commence par déconstruire les mythes (platoniciens ou judéo-chrétiens par exemple) et démontrer que l'historiographie dominante, celle de l'idéalisme, est construite par ceux qui ont intérêt à qu'elle soit ainsi. Il explique sa conception de la philosophie – qui se manifeste aussi bien dans la vie que dans l'oeuvre du philosophe – qui prend appui sur l'utilitarisme, le matérialisme et, bien entendu, l'hédonisme. C'est extrêmement limpide : je ne connaissais pas les concepts avant de lire, mais Michel Onfray doit être un excellent professeur car je n'ai pas ressenti de difficultés.
Sans n'avoir jamais pu le formuler ainsi – sans doute car je ne me suis jamais posée de telles questions en plus de ne pas avoir l'intelligence de cet homme –, je me sens en accord avec ce qu'il dit et très proche de sa conception de la vie. Il est d'une lucidité incroyable, du moins c'est ainsi que je le perçois.

La puissance d'exister est – à mon avis qui est très humble puisque je n'ai rien lu d'autre – un excellent ouvrage pour découvrir la pensée de Michel Onfray et se familiariser avec son approche de la philosophie.
Je pense que, pour ma part, je vais – outre continuer d'écouter les cours – attaquer un autre de ses livres.
Une dernière chose cependant : ne prenez pas peur en lisant le sommaire ! Si les intitulés sont incompréhensibles, ce n'est pas le cas du contenu. Donc ne paniquez pas devant « Une intersubjectivité hédoniste », « Une logique archipélique » ou « Un art kunique » !
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Dans cet ouvrage, Michel Onfray met à plat sa pensée philosophique en une série de petits essais en trois grands points, eux-mêmes divisés en trois paragraphes. On ne peut pas plus cartésien, plus français dans son approche, dans sa façon de présenter les choses.
Après avoir parlé de ses années difficiles en pension dans « Autoportrait à l'enfant » qui lui sert de préface car il ne dissocie jamais la biographie d'un philosophe, ce qui et ceux qui l'ont fait de ses idées et de ses choix d'existence. Il se lance alors dans plusieurs points de vue :
Un point de vue philosophique d'abord, où il démonte la vision platonicienne du monde, proche de la pensée chrétienne imposée par l'apôtre Paul, selon lui instigateur et presque « metteur en scène » de tout le christianisme le monde est soumis à des règles acceptées, des traditions telles qu'on ne les a rarement remises en cause Il annonce une contre-histoire de la philosophie en faisant resurgir les philosophes oubliés ou volontairement mis de côté Parmi eux Diogène ou Démocrite, souvent réduits à la caricature ou à portion congrue et qui proposent un autre système de valeurs proche d'Epicure.
D'un point de vue éthique, Onfray propose une vision hédoniste de la vie, une recherche positive du plaisir loin de l'égotisme philosophique puisqu'il implique une relation pacifiée avec l'autre et un évitement du « délinquant relationnel », une fois l'homme post-chrétien débarrassé de Dieu dans une « règle du jeu immanente », nouvelle éthique alternative:

« La morale n'est donc pas une affaire théologique entre les hommes et Dieu, mais une histoire immanente qui concerne les hommes entre eux, sans nul autre témoin. L'intersubjectivité mobilise des représentations mentales, donc neuronales : autrui n'est pas un visage – pardon aux lévinassiens -, mais un ensemble de signaux actifs dans un appareil neuronal. Si le réseau câblé n'a pas été fabriqué en amont – par les parents, les éducateurs, les enseignants, la famille, le milieu, l'époque …,-aucune morale ne sera possible. »

Il est nécessaire d'appuyer sur le fait – et c'est un besoin plus qu'urgent par les temps qui courent – que l'on peut avoir une morale sans Dieu, qu'il existe une éthique de l'athée et surtout que la religion quelle qu'elle soit n'est en rien détentrice d'une morale, contrairement à ce qu'a imposé Paul. Ou d'autres.
le philosophe propose ensuite dans « un érotisme libertaire » pendant d' « une érotique solaire » une vision du monde entre l'homme et la femme libres dans leurs corps et dans leurs sentiments amoureux où un pacte a été établi dès le départ. Pour ce faire, il prône aussi la fin du machisme et une véritable égalité homme / femme :

« Quand la littérature produira l'équivalent d'un Casanova femme, d'un Don Juan femelle, et que ce nom propre deviendra un substantif valorisant pour l'individu qualifié, alors on pourra parler d'une réelle égalité. »

On passe ensuite par un constat sur l'art: les artistes du XXème siècle ont souvent produit des oeuvres, miroirs de la société marchande et par lesquels, ils passaient leurs névroses et cela a donné des boîtes de conserve warholiennes, pendant cynique de la publicité où les expositions ressemblent presque à des supermarchés. Cela part d'un principe nihiliste qui rejoint plus ou moins le platonisme et instaure une « religion » de l'art. de là, Onfray oppose :

« A cette négativité affirmons la positivité d'une grande santé rieuse qui table sur la transmission des codes et l'agir communicationnel. »

Après avoir frôlé le « rien » ou presque, l'art est en train – et ce, depuis la fin du XXème siècle- de reprendre des couleurs :

« le mouvement vers le Néant était fautif ; celui qui nous en éloigne en réactivant les vieilles valeurs aussi. Ni le zen ni le kitsch. Quoi donc? le goût du réel et de la matière du monde, l'envie d'immanence et d'ici-bas, la passion pour la texture des choses, le velouté des matériaux, la carnation des substances. »

Michel Onfray continue son ouvrage en ouvrant les voies de la bioéthique qu'il estime un progrès qui doit être réglementé par les seules personnes qui possèdent leur propre corps, là encore on a affaire à un libertaire tout comme les considérations politiques où il définit ce qu'est pour lui un «nietzschéisme de gauche » comme l'indique son titre et où il oppose misère propre (à l'autre bout du monde) et misère sale (devant sa porte) :

« le déni de la misère sale produit un retour du refoulé nihiliste. »
Et ledit « refoulé nihiliste » peut devenir électeur du FN par exemple.

On retrouve beaucoup – je suis en train de les écouter en podcast- les idées que l'auteur développe dans son « université populaire de Caen. » La philosophie paraît en tout cas accessible et compréhensible malgré une certaine complexité dans la pensée, Michel Onfray sait être clair, le livre se lit presque d'une traite sans arrêts pour réfléchir- on pourrait peut-être dire « digérer » dans ce cas - et sans aspirine nécessaire aux livres de philosophie habituels et essaie de proposer des alternatives aux courants officiels.
Disons qu'il a su rendre la philosophie populaire. Et c'est déjà ça.
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Michel Onfray tente dans cet essai d' effectuer la synthèse du discours qui a été le sien à travers de nombreux ouvrages.Avec justesse et intelligence, le philosophe libertaire règle avant tout ses comptes avec la philosophie platonicienne et la religion , nous mettant en garde contre toute forme de pensée dominante.On peut toutefois regretter que son discours soit parfois rendu hermétique aux yeux du profane(dont je suis) par l' emploi d' un jargon philosophique quelque peu rébarbatif .A noter une très touchante préface d' une quarantaine de pages dans laquelle l' auteur se dévoile en évoquant les périodes douloureuses de son enfance, en particulier, ses quatres années passées dans un orphelinat religieux.Bref , un ouvrage essentiel, vivifiant, instructif, que je j' ajoute désormais à mes livres de chevet.
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Onfray s'est une autre maniére de concevoir la philosophie , une maniére concréte , à l'opposée de celles des philosophes de salon qui se regardent philosopher touten se gaussant de ceux qui ne comprennent rien à leurs propos. Déja il faut indiquer que chez Onfray tout est intéligible . Il n'est pas là pour se regarder dire quelque chose mais pour le dire et le faire entendre . Et cet ouvrage si il ne donne pas d'éléments fondamentaux sur la philosophie du personnage Onfray permet au moins d'envisager la philosophie sous un autre regard que celui des auteurs incompréhensibles . Onfray lui s'avére trés concret , ouvert aux autres , et décidé a dialoguer avec autrui , ce qui n'est pas la moindre de ces qualités . A découvrir cet ouvrage remarquablement bien fait .
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Citations et extraits (79) Voir plus Ajouter une citation
La séparation de la sexualité d'avec l'amour n'exclut pas l'existence de sentiment, de l'affection ou de la tendresse. Ne pas vouloir s'engager pour la vie dans une histoire de longue durée n'interdit pas la promesse d'une douceur amoureuse.
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Se construire en machine célibataire dans sa relation de couple permet de conjurer autant que possible l'entropie consubstantielle aux agencements fusionnels. Pour éviter le schéma "rien, tout, rien" qui caractérise bien souvent les histoires avortées, mal, pas, ou peu construites, vécues au jour le jour, poussées par le quotidien, brinquebalantes, la configuration "rien, plus, beaucoup" me paraît préférable.
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L' impérialisme planétaire américain opte pour un christianisme fondamentaliste et met en perspective de son combat, dans sa ligne de mire plutôt, l' islamisme devenu l' opium le plus actif des cultures et des minorités opprimées.
Les termes de l' alternative oscillent donc entre les pôles monothéistes : judéo-chrétien ou musulman. On peut vouloir éviter cette sinistre impasse en optant pour une solution tierce : ni l' un , ni l' autre, mais, ailleurs, un athéisme véritable qui récuse aussi bien la Torah, le Nouveau Testament et le Coran pour lui préférer les Lumières de la raison et les clartés de la philosophie ........(p115)
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Constatons-le: la laïcité ancien modèle consiste bien souvent à formuler dans un vocabulaire néo-kantien le décalogue judéo-chrétien et la morale évangélique..../....avec des des acteurs se croyant adversaires, on a toujours préféré les mêmes valeurs : honorer son père et sa mère, se dévouer pour la patrie, laisser à autrui une place cardinale- amour du prochain ou fraternité - ,fonder une famille hétérosexuelle, .../..., préférer les vertus de la bonté - charité ou solidarité ,.../..., aumône ou entraide , bienfaisance ou justice...- à celle de méchanceté, etc.
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La fin du déjeuner dominical marque le début du compte à rebours vers le gouffre. La dégringolade d'heures commence. Demain parasite déjà l'instant; l'idée du lundi pourrit la réalité du dimanche; la perspective de l'enfer à venir calcine le moment présent. Je ne suis plus qu'une plaie à vif que chaque seconde écorche plus profondément. Le lundi matin a la couleur jaune falote de l'ampoule électrique de l'unique pièce dans laquelle nous vivons mes parents, mon frère et moi - dix-sept mètres carrés, une seule chambre à l'identique au-dessus. Combien de retours à l'orphelinat? Je ne sais plus. Quatre années, quatre hivers perpétuels, quatre fois deux cent cinquante journées de gel et de fiel, mille jours devant le cadavre décomposé de mon enfance. A quatorze ans, j'avais mille ans - et l'éternité derrière moi (p. 56).
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Videos de Michel Onfray (159) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Michel Onfray
*INTRODUCTION* : _« […] Je veux seulement, Monsieur, vous faire part d'une chose que j'ai lue dans Montaigne, et qui marque son bon goût. Il souhaitait devenir assez savant pour faire un recueil des morts les plus éclatantes dont l'Histoire nous parle. Vous qui êtes son partisan, vous approuverez ce dessein que j'exécute en partie. En effet, le véritable point de vue où je placerais une personne qui veut bien juger du ridicule qui règne dans le monde, est le lit de mort. C'est là qu'on se détrompe nécessairement des chimères et des sottises qui font l'occupation des hommes. Nous sommes tous fous ; la folie des uns est plus bouillante, et celle des autres plus tranquille. »_ *André-François Boureau-Deslandes* [1690-1757], _À Monsieur de la Ch…_
_« Rien ne doit plus nous frapper dans l'histoire des grands hommes, que la manière dont ils soutiennent les approches du trépas. Je crois que ces derniers moments sont les seuls, où l'on ne puisse emprunter un visage étranger. Nous nous déguisons pendant la vie, mais le masque tombe à la vue de la mort, et l'Homme se voit, pour ainsi dire, dans son déshabillé. Quelle doit être alors la surprise ! Tout l'occupe sans le toucher : tout sert à faire évanouir ce dehors pompeux qui le cachait à lui-même. Il se trouve seul et sans idées flatteuses, par ce qu'il ne peut plus se prêter aux objets extérieurs. Cette vue a cela d'utile en flattant notre curiosité, qu'elle nous instruit. Il n'est rien de quoi, disait Montaigne, je m'informe si volontiers que de la mort des hommes, quelle parole, quel visage, quelle contenance ils y ont eus ; mille endroits des histoires que je remarque si attentivement. Il y paraît, à la farcissure de mes exemples, et que j'ai en particulière affection cette matière*._ _Je suis persuadé que la dernière heure de notre vie est celle qui décide de toutes les autres. »_ *(Chapitre III : Idée générale d'une mort plaisante.)*
* _« Et il n'est rien dont je m'informe si volontiers que de la mort des hommes, de quelle parole, quel visage, quelle contenante ils y ont eus, non plus qu'il n'est d'endroit dans les histoires que je remarque avec autant d'attention. Il apparaît à la farcissure de mes exemples que j'ai cette matière en particulière affection. Si j'étais faiseur de livres, je ferais un registre commenté des morts diverses. Qui apprendrait aux hommes à mourir leur apprendrait à vivre. »_ (« Chapitre XIX : Que philosopher c'est apprendre à mourir » _in Montaigne, Les essais,_ nouvelle édition établie par Bernard Combeaud, préface de Michel Onfray, Paris, Robert Laffont|Mollat, 2019, p. 160, « Bouquins ».)
*CHAPITRES* : _Traduction d'un morceau considérable de Suétone_ : 0:02 — *Extrait*
0:24 — _Introduction_
_De quelques femmes qui sont mortes en plaisantant_ : 0:49 — *1er extrait* ; 2:08 — *2e*
_Additions à ce qui a été dit dans le IX et dans le XI chapitre_ : 3:15
_Remarque sur les dernières paroles d'Henri VIII, roi d'Angleterre, du Comte de Gramont, etc._ : 6:09 — *1er extrait* ; 6:36 — *2e*
_De la mort de Gassendi et du célèbre Hobbes_ : 7:45
_Remarques sur ceux qui ont composé des vers au lit de la mort_ : 10:47
_Examen de quelques inscriptions assez curieuses_ : 13:52
_Des grands hommes qui n'ont rien perdu de leur gaieté, lorsqu'on les menait au supplice_ : 14:33
_Extrait de quelques pensées de Montaigne_ : 15:31
_S'il y a de la bravoure à se donner la mort_ : 17:37 — *1er extrait* ; 18:57 — *2e*
_De quelques particularités qui concernent ce sujet_ : 19:14
19:28 — _Générique_
*RÉFÉ. BIBLIOGRAPHIQUE* : André-François Boureau-Deslandes, _Réflexions sur les grands hommes qui sont morts en plaisantant,_ nouvelle édition, Amsterdam, Westeing, 1732, 300 p.
*IMAGE D'ILLUSTRATION* : https://www.pinterest.com/pin/518547344600153627/
*BANDE SONORE* : Steven O'Brien — Piano Sonata No. 1 in F minor Piano Sonata N0. 1 in F minor is licensed under a Creative Commons CC-BY-ND 4.0 license. https://www.chosic.com/download-audio/46423/ https://www.steven-obrien.net/
*LIVRES DU VEILLEUR DES LIVRES* :
_CE MONDE SIMIEN_ : https://youtu.be/REZ802zpqow
*VERSION PAPIER* _(Broché)_ : https://www.amazon.fr/dp/B0C6NCL9YH *VERSION NUMÉRIQUE* _(.pdf)_ : https://payhip.com/b/VNA9W
_VOYAGE À PLOUTOPIE_ : https://youtu.be/uUy7rRMyrHg
*VERSION PAPIER* _(Broché)_ : https://www.amazon.fr/dp/
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