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Nos chers bistrots !
Liste créée par fanfanouche24 le 25/09/2023
26 livres.

Une envie plus exclusive de mettre en avant ces petits Bistrots....lieux qui devraient etre " remboursés par la sécurité sociale" tant ces lieux permettent à un grand nombre de personnes seules de garder un lien avec les autres....Nous avons bien vu les " cataclysmes " humains provoqués , lors de la pandémie du COVID, et des deux confinements isolant tout un chacun...

Après avoir constitué une sélection autour des lieux créant du " Lien social"...je me concentre cette fois autour des " cafés " de nos chers bistrots à l'ancienne...

" Vider une bouteille avec quelqu'un, c'est une manière pudique de se dire l' Amitié. Il faudrait que les bistrots aient un parfum d'éternité "- Jean Carmet

@Soazic BOUCARD @25 septembre 2023

****Voir aussi excellente liste d'Alzie:" Café proche, café lointain"



1. Le Café sans nom
Robert Seethaler
3.65★ (379)

Ce 25 septembre 2023, lecture du moment !
2. Le café suspendu
Amanda Sthers
3.59★ (813)

"« Lorsqu’on commande un café à Naples, on peut en régler un second qui sera offert à qui n’aura pas les moyens de s’en payer une tasse. Il est indiqué sur l’ardoise du bar comme un café sospeso : un café suspendu. Voici un récit composé de sept histoires que j’ai recueillies par bribes au café Nube pendant les quarante dernières années. Toutes sont liées par ce fil invisible qu’est le café suspendu. Du côté de celui qui offre comme de celui qui reçoit, la vie passe dans cette tasse… » Le narrateur, Jacques Madelin, un Français installé à Naples après une déception amoureuse, passe le plus clair de son temps installé au café, juste en bas de chez lui, à prendre des notes en observant les personnes qui se croisent, se cachent ou se cherchent, les rencontres amoureuses ou amicales qui se tissent. La peau d’un crocodile de légende transformée en un étrange sac, une femme trompée qui s’arrange avec la maîtresse de son mari pour garder ce dernier, une jeune femme qui doit se débarrasser du foulard légué par sa grand-mère pour retrouver le goût de vivre, un écrivain aux mille visages, un homme qui a peur de dormir, et même un médecin chinois qui veut soigner les gens en bonne santé…"
3. Éloge du bistrot parisien
Marc Augé
3.67★ (17)

"Aucune ville au monde ne compte autant de bistrots au kilomètre carré que Paris. Ils sont une composante du spectacle de la rue. Avec le temps, les bistrots changent, comme la ville, dans le regard de celui qui vieillit. Résister à cette sensation, c'est continuer à vivre : telle est la leçon des bistrots parisiens, dont beaucoup sont nommés et décrits. L'éloge du bistrot, c'est l'éloge du paysage urbain auquel il participe."
4. Métaphysique de l'apéritif
Stéphan Lévy-Kuentz
3.70★ (7)

"«Debout devant cette terrasse qui semble vous tendre les bras, vous hésitez pourtant à vous avancer. Décider de la place idéale est un exercice plus nuancé qu’il n’y paraît. Vous ne savez pas vraiment pourquoi vous avez choisi ce guéridon. L’autre là-bas aurait tout aussi bien fait l’affaire. Les terrasses de café recèlent des dispositifs scénographiques variés qui ne racontent pas tous la même histoire. Le guéridon est arrangeant, il fait autant le lit de l’amitié qu’il peut être un tombeau pour la solitude. Loin des hivers rudes de pays enneigés où jamais le soleil ne paraît, dans ces saloons rudimentaires où un étranger aux semelles plates referme avec peine la porte récalcitrante sur le blizzard (scène digne de Chaplin ou de Keaton), l’apéritif se doit d’être consommé en terrasse et répond à plusieurs cas de figure: l’apéritif de groupe qui tient de la thérapie sociale, celui en face-à-face qui relève de l’échange intime et celui que vous vous apprêtez à pratiquer et qui engage certaines forces d’introspection. Vous y serez bientôt.» Postface de Denis Grozdanovitch"
5. Gare du Nord
Abdelkader Djemaï
3.34★ (50)

" La vie modeste et finalement heureuse de trois vieux travailleurs algériens à la retraite, dans un foyer près de la gare du Nord. Tout un petit monde populaire, peint dans le détail, avec justesse et bienveillance, gravite autour de la « Chope verte », le bistrot où les trois héros ont leurs habitudes. De courts flash-back, un voyage en Algérie dans la famille, éclairent ces trois vies. Un roman touchant mais sans mièvrerie où triomphe la générosité de cœur. --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre."
6. Le Comptoir
Jean-Pierre Martinez
5.00★ (3)

"Sur le zinc d’un comptoir, à l’heure des bilans, une femme qui se dit auteur raconte à la patronne des séquences marquantes de son existence. Ces récits fantasmatiques prennent vie sur la scène dans la salle du bistrot."
7. Au café de l'Univers
Léo Larguier
3.00★ (2)

"Cet ouvrage a paru pour la première fois en 1942, non illustré. Très intéressant texte de souvenirs de l'auteur sur les anciens cafés de la capitale et leurs habitués, la vie des cafés et cabarets noctambules : Montmartre - Les cafés du Boulevard - Montparnasse - Les célibataires au café - Saint-Germain-des-Prés - Café Vachette - Quartier latin - le Boul' Mich'."
8. Au grand comptoir des halles
Patrick Cloux
3.67★ (17)

"Dans les bistrots, il faut être bon public, pas bégueule, partant pour se marrer. Sinon, mieux vaut aller direct à l'opéra, au musée de l'Homme ou se taper les galeries. "(p. 200)
9. Le Café de Camille
Daniel Crozes
3.86★ (46)

"En 1889, à vingt-cinq ans, Adrien Soulages quitte sa rude terre de l'Aubrac et devient livreur de bains puis garçon charbonnier dans le Paris de la Belle Époque. Dans un bal-musette de la rue de Lappe, où il retrouve l'atmosphère du pays, il s'éprend d'une jeune fille pleine de charme et d'allant, Camille. Après s'être mariés au village, tous deux prennent en gérance une boutique de vins-bois-charbon à la Chaussée-d'Antin qu'ils abandonnent à la fin du XIXe siècle pour acheter un café-charbon près de la place Clichy. Ils y connaissent une première réussite après quinze ans de labeur, séparés de leurs enfants élevés en Aveyron par une tante. En 1919, ils réalisent enfin leur rêve, en achetant une belle affaire, boulevard Saint-Germain. Leur fils Aurélien fera du café de Camille un lieu à la mode à la fin des années trente, avant que la guerre ne vienne menacer l’œuvre de toute une vie de travail et d'obstination... A travers le destin des Soulages et l'ascension à la force du poignet d'Adrien, petit paysan sans terre devenu patron d'un grand café, ce roman retrace l'étonnante épopée parisienne des migrants aveyronnais, leur dure vie avant la réussite, la solidarité en vigueur dans leur communauté, leur attachement aux traditions et à la terre, le rôle des femmes dans les affaires et de la famille restée au village... Ainsi, investissant la capitale par le charbon, le café et l'hôtellerie, constituant une véritable " bistrocratie ", les Aveyronnais ont-ils conquis Paris et inventé des lieux aussi magiques que le Flore, Lipp ou la Coupole..."
10. Au bistrot après minuit
Joseph Roth
3.58★ (23)

"Centrés sur la France, voici quatorze textes écrits entre 1925, année où Roth est envoyé comme reporter à Paris par le prestigieux «Frankfurter Zeitung», et 1939, l’année de sa mort. Quatorze instantanés, comme des photographies, des scènes saisies sur le vif, principalement dans les milieux populaires, où l’on voit tout l’art de Roth : celle de l’observation réflexive. « Paris est une vraie ville internationale. Vienne l’a été pendant un temps. Berlin en sera une un jour. La vraie métropole est objective. Elle a des préjugés comme les autres, mais elle n’a pas le temps de les appliquer. » Entre Roth et Paris, c’est une véritable histoire d’amour. Envoyé en 1925 dans la capitale française comme correspondant du Frankfurter Zeitung, il est séduit par cette ville et décide de s’y installer définitivement à l’arrivée d’Hitler au pouvoir. Il vit à l’hôtel, dans un petit établissement, rue de Tournon, à deux pas du Sénat. Quand ce vieil hôtel est démoli, il emménage dans celui d’en face, au-dessus du bistrot qu’il décrira avec un humour mélancolique. Miné par l’alcool dont son ami Sefan Zweig a vainement essayé de le détourner, Roth meurt en 1939. Bien que devenu entre-temps un écrivain reconnu, Roth continue à écrire des articles pour différents journaux allemands. Chacun des treize articles consacrés à Paris qui constituent ce recueil raconte une petite histoire. Ce qui l’enthousiasme, c’est moins les grands boulevards que l’atmosphère des petites rues, de Montmartre au Quartier Latin, quand vient la nuit. C’est aussi la liberté qu’offre encore Paris aux gens venus des quatre coins du monde, les exilés et les bannis."
11. Sur le zinc : Au café avec les écrivains
Joris-Karl Huysmans
2.89★ (68)

"Lieux de rencontres, de conversation, de jeu, les cafés sont fréquentés et goûtés par les écrivains : ouvrez ce livre et venez faire une partie de manille avec Eugène Dabit, partager un crème et une brioche avec J. P. Donleavy, rêver d'un œuf dur avec Jacques Prévert et lire le journal avec Patrick Modiano, ou encore explorer les bistrots de Montmartre avec Léon-Paul Fargue… De Rimbaud à Queneau, en passant par Zola et Blondin, accoudez-vous au comptoir avec les plus grands écrivains "
12. Bistro Bistro
Daniel Colagrossi
"Daniel Colagrossi, ancien cuisinier et rugbyman, photographe indépendant, travaille depuis 1986 pour la presse et la publicité. Né de " lui-même " à Thionville (Moselle) en 1958.Très en avance sur les programmes scolaires, il endosse la veste de cuisinier dès l'âge de seize ans, plein de puberté. Une marche capitale le conduit à Paris en 1981. Il y rencontre Roland Topor, ainsi que d'autres artistes dans l'atelier Clot/Bramsen. Il s'adonne alors à la lecture. Puis il traîne assidûment de bars en bars parisiens, en prenant des photos. Il côtoie Bob Giraud et Robert Doisneau."
13. Café sans filtre
Jean-Philippe Blondel
3.60★ (669)

"Après des semaines de confinement, le Tom's rouvre ses portes. Ils sont tous là : Jocelyne, l'ancienne propriétaire du café, partie à la retraite mais qui n'arrive pas à quitter les lieux, José, le serveur qui rêve d'ailleurs, et Fabrice, le nouveau patron. Les clients passent, déposant sur les tables des rires et des confidences. Des vies se nouent et se dénouent. Assise au fond de la salle, Chloé observe, carnet et crayon en main. Croquant ce petit théâtre du quotidien, Jean-Philippe Blondel signe une merveille de roman, plein d'humanité, qu'on referme le coeur léger et le sourire aux lèvres."
14. La vie de bistrot
Pierre Boisard
3.42★ (17)

"Ne le disait-on pas condamné sous l’assaut des chaînes de restauration rapide, des fast-foods et autres snackings ? Le bistrot fait de la résistance. Lieu de passage où l’on papote en mangeant un morceau ou en buvant un verre, lieu d’échange où l’on discute de sport, de politique ou de soi-même entre amis ou avec de parfaits inconnus, lieu de rencontre où s’ébauchent relations amoureuses et projets de tous ordres, havre de tranquillité, sas de décompression entre vie professionnelle et foyer : le bistrot est tout cela à la fois. Et parce qu’il y règne un état d’esprit entretenu au quotidien par le patron ou la patronne, il nous transforme en citoyen de comptoir accrochant au perroquet son statut social avec sa veste. Voilà ce que nous raconte un patron passionné, Yves, parti gamin de sa bourgade auvergnate pour finir dans son propre bistrot parisien. Et à travers l’exemple de sa vie haute en couleur, c’est toute l’histoire des Auvergnats de Paris que l’on trouve ici déroulée dans le temps d’une journée entre les murs de cette République en modèle réduit. (éditeur)"
15. Dans son jus - Voyage sur les zincs
Cendrine Bonami-Redler
4.50★ (3)

"« Quand on a grandi dans le même quartier, même à dix ans d'écart, on a forcément les mêmes souvenirs. Le jour où Cendrine est venue au monde à la clinique des Lilas, son grand-père est allé s'arsouiller au “Café des Sports” pour fêter l'événement. À l'époque, il y avait là un Prisunic, l'usine de biberons Sandoz et un marchand de cycles où nos parents respectifs achetèrent nos premiers vélos, celui de Cendrine équipé de quatre roues, le mien doté d'un guidon sportif de plus pur style Anquetil, quoique non, à la réflexion, plutôt Poulidor… Évidemment, nous avons éclusé nos premiers godets au “Café de la Poste” du Pré-Saint-Gervais. Pas ensemble, certes, mais tout de même, ça crée des liens. C'est justement en apprenant la démolition programmée dudit café que l'envie nous a pris d'effectuer ce voyage au pays des zincs. Avant que les derniers n'éteignent la lumière en sortant. Avant fermeture. »
16. Brèves de comptoir - Coffret : Tomes 1 et 2
Jean-Marie Gourio
4.32★ (28)

"deux volumes Inventées par Jean Marie-Gourio en 1985, les " brèves de comptoir " sont aujourd'hui un genre littéraire à part entière que citent abondamment les meilleurs dictionnaires. Rien n'est plus simple qu'une " brève de comptoir " Cette phrase ou ce bout de dialogue entendu dans un café et restitué sans aucune intervention apparente de l'auteur prend toujours à la lecture une dimension insoupçonnée. Lire une " brève ", c'est rire deux fois : d'abord d'un rire instinctif à l'énoncé d'une sottise ou d'une énormité, puis d'un rire étonné et complice quand on s'aperçoit qu'on s'est fait prendre et que la phrase pouvait s'entendre d'une toute autre manière. De cette parole populaire qui coule inlassablement des lieux publics, Jean-Marie Gourio a cueilli les phrases qui traduisent pour lui l'essentiel des préoccupations de ses contemporains. Pendant quinze ans, accoudé au comptoir à toute heure du jour et de la nuit, il a guetté la trouvaille et l'a saisie au vol avec le geste adroit des chasseurs de papillons. A peine entendue, il l'a transcrite sans la déformer d'une virgule sur le petit carnet qu'il tient toujours enfoncé dans la poche de son gilet. Et l'acte de création littéraire commence alors : dans ce choix instantané de la phrase proférée et dans la discipline imposée et cruelle de ne jamais en modifier l'ordonnance. Cocasses et désopilantes, vulgaires ou poétiques, prosaïques ou oniriques, les " brèves de comptoir " de J.M. Gourio s'inscrivent dans la filiation des œuvres de Raymond Queneau, de Jacques Prévert, de Marcel Aymé... de tous ceux qui ont tenu à faire entendre la parole populaire. "
18. L'écho des bistrots
Pierrick Bourgault
4.00★ (20)

"La collection « Petite philosophie du voyage » invite Pierrick Bourgault, photojournaliste, à dépeindre le cadre et la convivialité des bistrots. Tenanciers, habitués et clients de passage donnent leur cachet à ces mondes, antres de solitude ou lieux de rencontre et de liesse. De jour comme de nuit, le zinc poli reflète l’âme et les travers de la société."
19. Cafés crème
Charles Lancar
3.75★ (21)

" Devenu sur le tard patron d'un bistrot rue de Sèvres, Jean-Louis ne vit que pour et par son café. Derrière son comptoir, il se plaît à observer les couples d'étudiants amoureux, les hommes solitaires, les femmes blessées. Il sait bien qu'il est presque invisible aux yeux de ces inconnus, pourtant ils font tous un peu partie de sa vie. Inévitablement, Jean-Louis a parfois quelques coups de cœur pour ses fidèles clients. Inévitablement, il éprouve parfois quelques désillusions. Ainsi assiste-t-il à l'idylle naissante entre Florence Galtier, charmante avocate écorchée par sa récente rupture, et le trappeur, un énigmatique quinquagénaire qui noircit avec frénésie son bloc de papier. Il y a aussi Francesco, macho d'un naturel violent, pour qui il s'est pourtant pris d'amitié. Sans oublier ce nouvel habitué, un aveugle, qui chaque matin vient déguster son grand crème. Voilà quelques-uns des destins solitaires qui se croisent jour après jour à La Chaumette. Finiront-ils par accepter de s'ouvrir les uns aux autres ? L'enlèvement d'un enfant de trois ans va étrangement redistribuer les rôles et donner lieu à d'étonnantes métamorphoses. Dans ce roman, où l'on retrouve la saveur tendre d'une atmosphère de bistrot, Charles Lancar poursuit avec une belle sensibilité son analyse des comportements humains."
20. Café Panique - Taxi Stories
Roland Topor
3.68★ (25)

Suggestion de jamik...
21. Le beaujolais nouveau est arrivé
René Fallet
3.90★ (424)

Proposition d' Erik35
22. Le dernier jour du Tourbillon
Rodolphe Casso
3.92★ (80)

Sympathique suggestion d'Erik35. Merci !
23. Dans le café de la jeunesse perdue
Patrick Modiano
3.60★ (1904)

"Quatre narrateurs (un étudiant de l’école des mines, un détective privé, l’héroïne et un de ses amants) construisent le portrait de Jacqueline Delanque ou Louki. Jeune femme ayant rapidement quitté son mari et qui flâne dans le Paris des années 50/60 en déversant ses souvenirs : une enfance difficile, un mariage raté et quelques amitiés avec des clients d’un café du quartier de l’Odéon : Le Condé. Quatrième de couverture: Encore aujourd'hui, il m'arrive d'entendre, le soir, une voix qui m'appelle par mon prénom, dans la rue. Une voix rauque. Elle traîne un peu sur les syllabes et je la reconnais tout de suite : la voix de Louki. Je me retourne, mais il n'y a personne. Pas seulement le soir, mais au creux de ces après-midi d'été où vous ne savez plus très bien en quelle année vous êtes. Tout va recommencer comme avant. Les mêmes jours, les mêmes nuits, les mêmes lieux, les mêmes rencontres. L'Eternel Retour."
24. Le Pégase
Antoine Sanchez
4.12★ (32)

« Au Pégase, il y a ceux qui sont là depuis toujours. Le zinc, la bête et ce verre que l’on brandit en guise de prière, entre soif de joute et d’immobile. »
25. Verre cassé
Alain Mabanckou
3.80★ (1227)

"Verre Cassé est un client assidu du Crédit a voyagé, un bar congolais crasseux. Un jour, le patron lui propose d'écrire les histoires héroï-comiques des habitués, une troupe d'éclopés aux destins pittoresques ... Dans cette farce métaphysique où le sublime se mêle au grotesque, Alain Mabanckou nous offre le portrait truculent d'une Afrique drôle et inattendue. «Quand il lira tout ça je ne serai plus un client de son bar, j'irai traîner mon corps squelettique ailleurs.» " Verre Cassé est un ivrogne de 64 ans. Ancien instituteur, [...] il a été chargé par l'Escargot entêté, patron du bar Le Crédit a voyagé, de tenir la chronique des faits et gestes de sa clientèle. Une sorte de Cour des miracles peuplée de mythomanes assoiffés, d'éclopés burlesques et de vieux débris [...] Verre Cassé est une œuvre truculente, exubérante, bavarde, tonitruante, d'un comique sans retenue. [...] La verve d'Alain Mabanckou est un fleuve en crue qui emporte tout sur son passage, les mots, les hypocrisies, les convenances, les traditions, les politiquement correct, l'afro-ethnique. " (Bernard Pivot, Le Journal du Dimanche) Ce roman a reçu le prix Ouest-France Etonnants Voyageurs, le prix des Cinq Continents de la francophonie et le prix RFO du livre en 2005. Alain Mabanckou est notamment l'auteur de African Psycho"
26. Refuges
Léon-Paul Fargue
4.28★ (29)

Proposition épatante de steka ! Merci
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