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EAN : 9782265117969
240 pages
Fleuve Editions (06/02/2020)
2.56/5   8 notes
Résumé :
Personne ne semble en mesure d’arrêter Jean Comnène, l’empereur byzantin, qui s’empare de territoires les uns après les autres. Pourtant, sa toute-puissance suscite bien des convoitises : celles de ses rivaux, tout comme celle de ses alliés, et notamment le prince Raymond d’Antioche qui souhaite pactiser avec les Turcs pour espérer mettre un terme à la soif de conquête de l’empereur, épaulé en cela par Foulque, le roi de Jérusalem. Cependant, son épouse, la reine Mé... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Il y a deux ans, « Djinn, la maudite » m'avait grandement enthousiasmée. Il était donc naturel que je m'attèle un jour à la lecture de la suite de cette série historico-fantasy. Ma lecture de « Mélisende de Jerusalem » s'est avérée moins enchanteresse que celle de « Djinn » mais le roman a bien des qualités et j'ai tout de même passé un bon moment.

Tout au long de ma lecture, j'ai eu un sentiment d'inachevé, un peu comme si Fetjaine restait en surface. Il y a plein de belles idées mais aucune ne semble être véritablement explorée dans toutes ses possibilités. Que ce soient les personnages, ou les fils narratifs, tout parait rester à l'état d'esquisses, comme s'il s'agissait d'un premier jet. Je suis donc un peu restée sur ma faim mais cela ne m'a pas empêchée de passer un bon moment. Fetjaine est un merveilleux professeur d'Histoire et un formidable conteur qui sait magnifiquement planter un décor et faire voyager son lecteur en d'autres lieux et d'autres temps.

Si vous voulez lire « Mélisende de Jerusalem », ce n'est pas moi qui vous découragerai de le faire. C'est une lecture agréable et dépaysante servie par la superbe écriture de Fetjaine. Mais je vous conseillerais plutôt de lire « Djinn », formidable roman très abouti et qui se suffisait à lui-même.
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Grand adepte à la fois d'histoire et de fantasy, Jean-Louis Fetjaine a consacré de nombreux romans à des femmes historiques ou légendaires qu'il place, contrairement au traitement dont elles ont l'habitude, sur le devant de la scène. Après Guenièvre (« Guinevere ») et les reines franques Frédégonde et Breunehilde (« Les reines pourpres »), l'auteur se penche cette fois sur le destin de trois souveraines ayant joué un rôle de premier plan dans l'histoire des états latins d'Orient : les filles du roi Baudouin de Jérusalem. Après Alix, princesse d'Antioche, mise en scène dans « Djinn », ce second tome met en avant Mélisende, reine de Jérusalem, qui fut l'épouse du roi Foulques avant d'exercer le pouvoir en tant que régente suite à la disparition de ce dernier. Assez curieusement, la parution de ce deuxième opus n'a pas fait grand bruit et, plus curieux encore, celui-ci n'est pas présenté comme une suite, ni même édité dans la même collection que le premier (outre fleuve, la collection imaginaire des éditions fleuve). le roman s'inscrit pourtant pleinement dans le registre de la fantasy puisqu'il met en scène un certain nombre de créatures issues du folklore oriental, à commencer par les djinns qui, s'ils n'apparaissent que brièvement, n'en jouent pas moins un rôle déterminant dans le récit. En effet, le coeur de l'intrigue de cette trilogie réside dans la lutte menée en secret par les djinns contre l'humanité qu'elle cherche à éradiquer en encourageant les penchants destructeurs des hommes. le chaos et les guerres perpétuelles qui règnent dans la région seraient le résultat de l'influence qu'ils exerceraient sur plusieurs personnages de premier plan à qui ils promettent monts et merveilles afin de mieux les inciter à servir leurs dessins. Outre les filles du roi Baudoin, un jeune homme en particulier attire visiblement leur curiosité, un certain Martin Mazoir, personnage qui semble servir de fil conducteur reliant les parcours des trois soeurs (c'est d'ailleurs la raison pour laquelle le choix de présenter le roman comme indépendant me paraît étrange, dans la mesure où il s'agit sans doute possible de la suite directe de « Djinn » qui mettait pour sa part en scène le père du héros).

Comme dans le premier tome, et plus généralement dans l'ensemble des romans de l'auteur, ce qui frappe en premier lieu le lecteur est sans aucun doute la qualité de la reconstitution historique. le pari n'était pourtant pas aisé compte tenu de la complexité des enjeux géopolitiques qui se jouent en Orient au XIIe siècle. La carte présente en début d'ouvrage révélant des frontières sans cesse mouvantes ainsi que la multitude des forces en présence, en est d'ailleurs la preuve ! Jean-Louis Fetjaine parvient néanmoins à nous exposer avec clarté l'identité et les ambitions des nombreux acteurs s'opposant pour le contrôle de la région, de même que l'évolution des jeux d'alliances auxquels se livrent sans arrêt les belligérants. le roman met ainsi aussi bien en scène les assassins réfugiés sur leur montagne mais n'hésitant pas à se mêler aux conflits en cours pour préserver leurs intérêts, que Zengi, l'abeg de Mossoul et d'Alep, bien décidé à lancer une grande offensive pour reconquérir la Syrie, ou bien que l'empereur byzantin Jean Comnène qui, à sa grande frustration, peine à imposer son autorité sur les états latins d'orient. Ces derniers occupent évidemment une grande partie de la scène dans la mesure où ils se situent au coeur des confits opposant les différentes forces précitées, mais aussi parce qu'ils sont tous placés sous le contrôle d'une des fameuses filles du roi Baudoin : Mélisende règne à Jérusalem, Alix à Antioche (suivie de sa fille, Constance, qui épousera Raymond de Poitier) et Hodierne à Triopoli. L'auteur brasse dans ce deuxième tome une masse importante d'informations tant les événements qui contribueront au déclenchement de la deuxième croisade s'enchaînent à une vitesse folle. Telle alliance est nouée et telle autre rompue, telle ville est conquise et telle autre tombe, tel personnage meurt et tel autre prend sa place… : impossible de s'ennuyer une seule seconde tant les rebondissements sont nombreux et les cartes sans cesse rebattues. En parallèle de ces événements, on suit toujours un membre de la lignée Mazoir, ici le jeune Martin, dont l'auteur se plaît à imaginer le rôle joué en coulisse auprès des grands leaders orientaux de l'époque.

Et les femmes dans tout cela ? Car au delà des bouleversements qui secouent l'Orient du XIIe siècle, c'est avant tout un portrait de femme que semble nous promettre l'auteur en mettant en scène ces souveraines qui, une fois débarrassées de leur époux (que ce soit à cause de la guerre, d'un assassinat ou d'un simple accident), sont parvenues à s'emparer des rênes du pouvoir dans un environnement particulièrement hostile. Or, et c'est là ma plus grande déception, celles-ci demeurent paradoxalement bien trop absentes. Il faut ainsi attendre une soixantaine de pages avant que Mélisende rentre enfin en scène, et on ne la verra ensuite qu'à l'occasion de cinq ou six autres passages plus ou moins longs censés illustrer l'influence grandissante qu'elle exerce sur son époux. Bien qu'elle donne son titre au roman, la reine de Jérusalem n'est donc absolument pas le protagoniste de cette histoire qui met en revanche en scène un beau panel de personnages masculins, qu'ils soient rois, comtes, assassins ou simples jeunes garçons entraînés contre leur gré dans des machinations qui les dépassent. Ainsi, même si le roman se révèle passionnant, on ne peut s'empêcher d'être un peu déçu de voir Alix d'abord, et Mélisende ensuite, n'occuper qu'une si petite part de l'intrigue. C'est d'ailleurs d'autant plus dommage que leur rôle se limite à celui dans lequel les femmes de pouvoir se trouvent d'ordinaire cantonnées : Mélisende exerce ainsi une emprise néfaste sur son époux qu'elle manipule grâce à ses charmes, et c'est à cause de cette emprise que des erreurs diplomatiques sont commises et des guerres déclarées. Au lieu d'occuper le devant de la scène, les souveraines servent donc davantage de figures tutélaires néfastes, leur ombre planant sur chacun des volets de cette trilogie.

En dépit de l'étonnement provoqué par le peu de place occupé dans l'intrigue par la femme dont le roman porte pourtant le nom, ce second volet faisant directement suite à l'histoire relatée dans « Djinn » se révèle absolument passionnant. Jean-Louis Fetjaine mobilise tout son talent de conteur pour narrer avec force détails et anecdotes les bouleversements que connût l'Orient du XIIe siècle. Nul doute que le troisième volume, qui devrait être consacré à Hodierne, comtesse de Tripoli, sera du même acabit (avec cette fois un rôle de premier plan pour la troisième fille de Baudouin de Jérusalem… ?).
Lien : https://lebibliocosme.fr/202..
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Quand j'ai sélectionné le roman Mélisende de Jérusalem lors de la Masse Critique de Janvier (je remercie d'ailleurs Babélio et les éditions Fleuve pour ce service presse), j'étais très contente de renouer avec les écrits de Jean-Louis Fetjaine. En effet, lorsque j'avais découvert le Seigneur des Anneaux de J.R.R. Tolkien au début des années 2000, j'avais tellement été enthousiasmée par cette lecture que je voulais lire d'autres romans de cet acabit, c'est alors que j'avais découvert (et dévoré!) La trilogie des Elfes, Les chroniques des Elfes (tout deux disponibles en intégral aujourd'hui) et le diptyque le pas de Merlin. Malheureusement, son nouveau roman Mélisende de Jérusalem ne m'aura pas autant enthousiasmée…

A la fin du XIème siècle et à l'issue de la Première Croisade, les Chrétiens d'Occident ont chassé les Turcs de Jérusalem et ont fondé les quatre Etats Latins d'Orient : le Comté d'Edesse, la Principauté d'Antioche, le Comté de Tripoli et le Royaume de Jérusalem. Quarante ans plus tard, en 1138, ils ont bien du mal à maintenir leur possession car ils subissent les pressions non seulement de l'empereur byzantin Jean Comnène mais aussi celle des Turcs menés par l'atabeg Zengi. Or, une troisième force plus obscure et invisible se rajoute aux deux premières : celle des Djinns qui ont juré la fin de l'Humanité sur ces terres. Et avec elle une prophétie :

« Quand trois rois auront péri, dans les montagnes, les sables et la terre, quand trois rois auront péri par le venin, la pierre et le fer, quand trois rois auront péri en trois ans, quant trois rois ne seront plus et que la femme sera reine, alors notre temps viendra… (p. 15) »

Et cette femme n'est autre que Mélisende, Reine de Jérusalem…

Un roman de Fantasy historique complexe…

Jean-Louis Fetjaine n'en est pas à son premier coup d'essai dans la Fantasy historique au Proche Orient. En effet, son roman Djinn paru en 2017 mettait en scène la soeur de Mélisende, Alix d'Antioche et la fille de cette dernière, Constance, dix ans avant les faits du roman Mélisende de Jérusalem. Bien que Djinn soit dans ma PAL, je ne l'ai malheureusement pas encore lu et j'aurais peut-être dû le faire car j'ai eu du mal à appréhender le contexte historique. Il y a beaucoup de personnages qui interviennent (d'ailleurs, un dramatis personae n'aurait pas été de trop) et les nombreux lieux géographiques ne sont pas tous indiqués sur la carte géographique présente en début d'ouvrage. Il m'a donc fallu une bonne centaine de pages pour arriver enfin à m'y retrouver. de plus, la présence d'ellipses temporelles de plusieurs mois, voire d'années entre les chapitres cassent également le rythme du récit et a fait que j'ai eu énormément de mal à suivre le cours des évènements.

… et orientale dépaysant…

Actuellement, je suis à la recherche de roman orientalisant en Littérature de l'Imaginaire car j'ai envie de m'échapper de la Fantasy traditionnelle basée sur la période médiévale occidentale. le roman de Louis-Fetjaine rentre donc parfaitement dans cette logique actuellement pour deux raisons :

La première est la maîtrise du contexte historique de l'auteur. En effet, ce dernier est diplomé d'Histoire médiévale et cela se ressent à la lecture notamment par :
– l'emploi de termes spécifiques usités dans chaque culture : byzantine (varègue, Basileus, ou les dromons), turque (atabeg ou ghulam) et franque (viguier ou poulain).
– le nom d'origine des villes du Moyen Orient comme Taraboulous pour Tripoli. – la présence de dialogues en arabe, en turque ou en araméen.
– l'emploi du système de mesures de l'époque comme les toises, les lieues ou les livres.
J'aime retrouver dans des romans historiques comme en Fantasy ce genre de détails qui me permettent de m'immerger dans une ambiance.
La seconde est la présence peu commune en Fantasy de créatures issues de la culture arabe comme les Djinns. Ces derniers vivent dans des milieux hostiles aux Hommes comme le désert ou apparaissent durant la Nuit. Ils sont capables de prendre forme humaine ou de posséder un être humain. Dans Mélisende de Jérusalem, leur but est de provoquer des dissensions parmi les humains pour qu'ils s'entretuent et récupérer ainsi pour eux les terres du Moyen Orient.

… mais qui ne tient pas toutes ses promesses.

Bien que j'ai eu du mal à appréhender ce roman, il n'empêche que le début était prometteur. Malheureusement, les maladresses relatées ci-dessous ont fait que je n'ai pas du tout accroché à ma lecture.

- le choix du titre m'a laissé perplexe. En effet, étant donné qu'il s'agit du nom de Mélisende de Jérusalem, je pensais que cette dernière serait le personnage principal du roman et jouerait un rôle plus accru. En réalité, il n'en est rien car finalement elle est complètement noyée parmi les autres personnages et elle intervient très peu dans le récit. Je dirais même plus qu'elle se fait carrément voler la vedette par les deux adolescents Martin et son ami Fahd.
- Certaines scènes sont complètement décorrélées de la trame principale et ne servent pas vraiment l'intrigue : je citerais en exemple la scène de la Révélation. Finalement, à quoi a-t'elle servi?
- La fin est abrupte et décevante : dix pages avant la fin, je me suis dit que Mélisende de Jérusalem se poursuivrait probablement avec un troisième tome étant donné que la prophétie de la mort des trois rois vient à peine de se réaliser. En réalité, il n'en est rien et le roman s'achève sur une fin complètement déroutante qui m'a laissé un goût d'inachevé. Dommage…

En conclusion, bien que le contexte historique de Mélisende de Jérusalem soit maîtrisé, bien documenté et le choix géographique dépaysant, je regrette toutefois que la complexité de l'univers, les ellipses, l'intérêt de l'intrigue qui se perd en cours de route et la fin abrupte et déroutante m'aient complètement fait décrocher. du coup, je ne sais pas vraiment si je lirai Djinn car il semblerait que certains des défauts évoqués ci-dessus aient été déjà relevés également par les blogopotes Boudicca, le Troll et le Lutin même si elles ont aimé ce roman. Bref, à voir…
Lien : https://labibliothequedaelin..
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Mélisende de Jérusalem est un roman mi-historique mi-fantastique qui se déroule au temps des croisades. Les guerres font rage, mais la principale menace est d'origine obscure : il s'agit des djinns, bien décidés à faire tomber les humains auxquels ils vouent une haine farouche.

Merci à Babelio et aux éditions Fleuve pour l'envoi de ce livre, auquel je n'ai malheureusement pas accroché. le résumé avait pourtant tout pour me plaire, mais il est assez trompeur, car je n'ai pas découvert à l'intérieur du roman ce que je m'attendais à y trouver.

Déjà, la reine Mélisende, qui donne pourtant son nom au titre, n'est pas particulièrement mise en avant. Je dirais même qu'elle l'est moins que la plupart des autres protagonistes. S'il fallait distinguer un personnage principal, ce serait probablement le jeune Martin, et encore…

Quant aux djinns, je ne suis pas certaine d'avoir réussi à cerner leur rôle, et surtout leur utilité. Ils veulent pousser les humains à s'entretuer, tout en admettant qu'ils sont relativement doués pour cela sans qu'aucune intervention ne soit nécessaire afin de les y inciter ?

Et quid de l'ange ? À quoi sert-elle ? Et la Révélation ? Je m'attendais vraiment à ce que les différentes factions laissent leurs conflits de côté pour faire face à un ennemi commun, mais au final, rien de tel ne se produit, au point que je me demande quel était l'intérêt de mêler des éléments fantastiques au récit.

En fait, je mentirais si je prétendais avoir saisi le sens ce livre. le prologue m'a bien plu, mais l'histoire m'a perdue dès les pages suivantes, qui m'ont noyée parmi les personnages, les lieux, les batailles… J'ai fini par renoncer à m'y retrouver en espérant que cela me paraîtrait plus clair tôt ou tard, mais à mesure que je progressais dans le roman, je m'embrouillais de plus en plus, et je crois que ma perplexité a atteint son paroxysme avec la conclusion de cette oeuvre.

Pour résumé simplement : je n'ai rien compris. Ni ce que l'auteur cherchait à écrire, ni le pourquoi du comment du quoi… Arrivée dans le dernier tiers du livre, je lisais sans même plus tenter de saisir quoi que ce soit, et seule ma répugnance à abandonner une lecture m'a poussée à la terminer.

Le seul point positif que je retiendrai de cet ouvrage, c'est la plume de l'auteur, un style sobre et concis comme je les aime, et peut-être les Assassins, qui m'ont un peu rappelé La croisade secrète, le roman tiré de la licence Assassin's Creed. Sans doute ce livre présente-t-il aussi un certain intérêt historique, mais n'étant pas familière de cette période, je ne pourrais en attester.
Lien : https://leslecturesdecyrligh..
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L'histoire m'avait été vantée par ma mère qui, l'ayant lue, me l'avait chaudement conseillée. Malheureusement, j'ai été très déçue car l'histoire est longue, et difficile à lire. Je pense que les citations en langues étrangères et les noms à rallonge des nombreux personnages (trop à mon goût...) n'aident pas à la compréhension. Je n'ai pas non plus aimé la noirceur de l'être humain et de ses sociétés dépeintes par l'auteur.
Dommage!
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Vidéo de Jean-Louis Fetjaine
Jean-Louis Fetjaine vous présente son ouvrage "La science-fiction pour les nuls" aux éditions First.
Retrouvez le livre : https://www.mollat.com/livres/2346174/jean-louis-fetjaine-la-science-fiction-pour-les-nuls
Note de musique : © mollat
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