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EAN : 978B088YH2P4Q
190 pages
Belfond (11/06/2020)
3.65/5   162 notes
Résumé :
Alice, 53 ans, fraîchement divorcée, vient de voir sa fille, la petite dernière, quitter la maison. Elle décide d’entamer un nouveau chapitre de sa vie. Elle doit se faire engager comme styliste d’intérieur, son rêve depuis toujours. Mais rien ne se déroule comme prévu, et elle se retrouve vendeuse dans une boutique de déco. Après un week-end de déprime passé à binger sur son canapé, le cheveu gras, elle décide qu’elle alignera sa nouvelle vie sur le mantra de Walte... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (43) Voir plus Ajouter une critique
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Au début, je n'avais retenu ce livre sur NetGalley car il me faisait penser à un feel-good, (un de plus dans cette époque bénie du développement personnel), et il y a quelques jours Lisa Azuelos était l'invitée de Claire Chazal dans son émission « Passage des arts » et cette femme m'a plu alors j'ai « osé ».

Alice se retrouve seule à 53 ans : sa fille Chloé vient de partir pour ses études, son fils est très loin lui aussi, et son mari s'est fait la malle pour une femme qui a vingt ans de moins. Elle ne sait plus trop quoi faire de sa vie, se sent inutile, affronte le syndrome du nid vide sous fond de blues.

Son mari, très classe, vient de décider qu'il versera désormais l'argent directement aux enfants et qu'elle devra se contenter des 500 euros que dans grande mansuétude, il veut bien continuer à lui verser. (Sans commentaires !) elle doit donc trouver un travail, se présente pour un emploi de styliste et reçoit deux jours plus tard un courriel lui disant que finalement on n'utilisera pas de styliste, trop cher, mais qu'on lui propose à la place un poste de vendeuse…

Elle décide de ne plus se laisser faire, son amie Mathilde, toxique, égocentrique ne lui étant d'aucun réconfort et décide de se confier à son journal (les vertus de l'écriture thérapeutique ne sont plus à prouver pour tout le monde d'ailleurs, c'est un outil précieux !) avec une idée sympathique parler à son moi : « mon cher moi… ». On va la voir se reconstruire (se construire ?) et trouver sa voie via ses collages.

J'ose faire éclore celle qui s'est tue pendant des années. Je vais OSER dans ce cahier rose. D'ailleurs, oser n'est-il pas l'anagramme de ROSE ?

Il y a quelques épisodes savoureux : son fils Lucas qui vient la voir un week-end en traînant sans sac de linge sale ! non seulement elle n'a rien dit, mais elle a encaissé sans rien dire que les petits plats qu'elle avait mis du temps à lui mitonner, elle devrait les manger toutes seule, monsieur n'est en fait venu chez elle que parce qu'il avait rendez-vous avec des copains !

Un autre savoureux aussi : son mari lui annonce qu'il demande le divorce parce qu'en fait il a une copine, et qu'elle est enceinte et lui demande : « toi qui gardes tout, tu as bien dû garder les vêtements les jouets, poussettes etc. des enfants alors comme ça coûte cher, tu pourrais me les donner », pas mufle du tout ce brave homme.

J'ai bien aimé la manière dont elle oppose le mental qui la pousse à l'auto-sabotage, elle décide de l'appeler Fourcha, en opposition à la petite voix positive qu'elle nomme Raiponce !

L'histoire est sympathique, autant qu'Alice car on peut facilement se reconnaître dans son mode de fonctionnement ou de pensée : qui n'a jamais eu une estime de soi dans les chaussettes me jette la première pierre ! de temps en temps, on a quand même droit à des clichés, mais c'est bien écrit, plaisant à lire.

En fait, la culpabilité que nos parents nous mettent sur le dos, inconsciemment, nous empêche de vivre notre vie.

Je connais Lisa Azuelos, via certains de ses films, notamment « LOL » qui m'avait amusée à l'époque, mais c'est la première fois que je lis un de ses livres, j'ai appris au passage au cours de « Passage des arts » qu'elle était la fille de Marie Laforêt et qu'elle n'avait pas eu une enfance chaleureuse, ce qui explique la lucidité de la réflexion sur le rôle des parents dans la construction de l'estime de soi. Ce roman sent le vécu, l'autoanalyse peut-être…

Un grand merci à NetGalley et aux éditions Belfond qui m'ont permis de découvrir ce roman qui fait du bien au moral dans cette période stressante de confinement, déconfinement, re-confinement et son auteure à la plume alerte, d'où la note….

#LaVieenOse #NetGalleyFrance
Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
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Le roman s'ouvre sur une question déterminante : " Qui est-on, à qui sert-on quand on n'est plus la femme ou la mère de quelqu'un ? "

Alice 53 ans vit des jours compliqués face à elle même, son mari Laurent vient de la quitter pour une jeune femme, ses deux enfants, viennent de quitter la maison pour suivre leur destinée, leurs études supérieures. Alice se retrouve seule face à elle-même, ce qui ne lui est jamais arrivé depuis qu'elle vit avec Laurent.

Pour poursuivre sa vie, elle sait qu'elle doit faire face à des peurs, sortir de son confort pour de nouveau exister autrement qu'à travers le regard d'un mari comme le regard des enfants.

Ainsi elle se décide à prendre son destin en main en bousculant ses habitudes, en trouvant de nouveau confiance en elle pour oser aller vers ce qu'elle est réellement.

Elle est très touchante cette femme, cette mère qui a tout donné à son mari comme à ses deux enfants mais à un moment, on dit bien que les enfants doivent couper le cordon, eh bien la maman aussi doit couper des fils pour avancer, cesser de tout leur donner quand ils sont capables eux même de réaliser. Alice le comprend au fil des mois qui passent sans eux, quand son fils au retour pour un week-end, chargé de son linge sale, pensait lui faire plaisir en le lui laissant, tous ces gestes, ces habitudes données, elles s'en défait pour construire une vie à elle.

La vie en ose est une lecture savoureuse, on dévore le livre rapidement car l'écriture est fluide et vivante !

Une découverte pour moi de Lisa Azuelos, un nom que je retiens précieusement.
#LaVieenOse #NetGalleyFrance

Merci aux éditions Belfond et à al plateforme Netgalley pour leur confiance.
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Alice, 53 ans, voit son quotidien totalement bouleversé suite à son divorce et au départ de ses deux enfants du domicile familial afin de poursuivre leurs études. Pour cette femme qui a consacré ses journées à sa famille et qui se retrouve soudainement seule, c'est un véritable chamboulement. Va-t-elle réussir à reprendre confiance en elle-même et a enfin oser tout ce qu'elle s'est refusé jusque là ?

Je ne connaissais pas la facette d'écrivaine de Lisa Azuelos et c'est donc avec une grande curiosité que je me suis plongée dans les pages de ce roman. Rien que la couverture m'avait déjà convaincue. Et je dois dire que le fond m'a totalement conquise. Quel beau roman de reconstruction nous propose ici Lisa.

Ce récit a presque des allures de développement personnel. Lisa part d'un postulat de départ très simple, mais que j'ai pourtant peu croisé tout au fil de mes lectures. C'est un très bel hommage qu'elle va rendre à toutes ces femmes qui ont consacré leur vie à leurs familles, et qui se sont retrouvées désoeuvrées lorsque tout s'arrête.

Au travers d'Alice, le lecteur suivra la reconstruction d'une femme dans une toute nouvelle étape de sa vie, où elle va devoir apprendre à se rénover et à laisser de côté tout ce qu'elle s'est empêchée de faire, sous prétexte de temps. Lisa propose une analyse fine tout au fil des pages et donne matière à la réflexion. Cela débute ne serait-ce qu'avec le titre du livre. Alice va enfin oser s'assumer et se donner les moyens de s'épanouir à nouveau. Surtout, Alice va enfin se consacrer du temps à elle-même.

J'ai beaucoup aimé l'idée du petit journal rose d'Alice, dans lequel cette dernière s'adresse à elle-même, afin de se donner du courage. Cela permet au lecteur une immersion totale et je me suis sentie la spectatrice privilégiée de la reconstruction de cette femme forte et charismatique, mais aussi en proie aux multiples doutes.

La plume de l'auteure est d'une grande douceur. Sous forme de petits chapitres abordant le quotidien d'Alice et terminant par un petit passage de son journal, les pages ont défilé. Je me suis totalement attachée à la protagoniste et je n'aurais pas été contre d'en lire davantage.

Un très beau roman abordant la reconstruction d'une femme. Sous une plume emplie de sensibilité, ce roman aux allures de développement personnel est une véritable réussite. À découvrir.

Lien : https://mavoixauchapitre.hom..
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Alice, à 53 ans, se retrouve seule dans son appartement. Elle n'a toujours pas fait le deuil de sa séparation avec son mari qui l'a quitté il y a un an que la voilà à devoir s'adapter au départ de sa fille avec qui elle a une relation très complice. Son fils aîné, lui, a déjà bien avant quitté le nid familial pour ses études. Comme si cela ne suffisait pas, au lieu d'obtenir le travail gratifiant qu'elle convoitait, elle devra se contenter d'un job alimentaire.
C'est avec ce sentiment dépressif que lors d'un rendez-vous chez sa gynécologue, des paroles sur cette nouvelle période de sa vie, celle de la ménopause, viennent résonner en elle. Elle prend alors conscience qu'il est temps qu'elle prenne soin d'elle. Car Alice, comme beaucoup de mères au foyer, a passé les trente dernières années à s'occuper de son mari et de ses enfants mais personne n'était jamais là pour elle. C'est par hasard - mais y a-t-il vraiment un hasard ? - qu'une situation anodine va permettre à Alice de transformer son malaise en une force.
J'ai bien aimé ce roman qui traite avec beaucoup de délicatesse et d'authenticité du thème de la parentalité, de l'épouse et mère de famille dans le don de soi à son mari, à ses enfants, et qui se retrouve peu à peu seule sans y avoir été du tout préparé. C'est un choc inattendu, une perte totale de repères pour cette femme comme tant d'autres qui doivent trouver leur place une fois les enfants devenus adultes et qui quittent le cocon familial.
J'ai trouvé l'héroïne très touchante dans sa sensibilité et son authenticité. Malgré un manque de confiance et d'amour pour elle-même de par cette situation qui l'a fragilisé, Alice va pas à pas se réaliser et construire une nouvelle vie qu'elle n'aurait jamais imaginé.
C'est une jolie histoire que nous offre Lisa Azuelos où se mêle astucieusement le genre feel good à celui du développement personnel. Il émane de ce récit beaucoup d'espoir et de douceur au sujet des secondes chances de milieu de vie totalement insoupçonnées et que l'on attendait vraiment pas...
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Si vous êtes mère d'une fille, vous avez forcément vu « LOL », un film réalisé en 2009 par Lisa Azuelos qui traite des relations mère-fille. Elle récidive en 2019 avec « Mon bébé » qui décortique la même thématique. « La vie en ose » laissait présager une continuité des thèmes, mais cette fois-ci Lisa Azuelos va plus loin : elle dissèque le syndrome du nid vide. Alice, 53 ans a consacré toute sa vie à son foyer. Son mari l'a plaquée pour une plus jeune, et ses enfants ont quitté le nid. Seule, face à elle-même, elle doit réinventer sa vie. En n'étant plus ni épouse ni mère, Alice ne sait plus qui elle est. « Qui est-on, à quoi sert-on quand on n'est plus la femme ou là mère de quelqu'un ? »

Le vide, voilà ce qui reste à cette « princesse moderne d'un conte défait ». Obligée de déménager et de renoncer au confort que son mari lui offrait, Alice désormais seule, va devoir se mettre à travailler. « Il y a plus de vingt ans qu'Alice a renoncé à toute ambition pour se consacrer à des gens qui sont partis. » Pas facile de ne pas se complaire dans cette forme de colère grandissante et vorace qui pourrait tout emporter sur son passage. Alice a un mauvais génie qui lui parle dans sa tête et veut l'empêcher d'avancer, mais « Fear is the enemy, l'ennemi c'est la peur » et ça elle en a bien conscience. « La peur, c'est ce qui empêche d'oser. »

Ce roman avait tout pour me parler : le nid vide je connais. Sur six enfants, il n'en reste que deux à la maison et encore, l'une d'elle vit en internat. Après des années à avoir râlé à cause des conduites, des devoirs, des activités sportives, des agendas à respecter, des courses, des heures de cuisine et du linge, qui me mangeaient un temps précieux, je me suis retrouvée sacrément seule le jour où, justement, j'ai été seule. Que faire de tout ce temps désormais devant moi quand avant je n'avais le temps de rien ? Peut-être était-ce le moment rêvé pour devenir le « touriste de sa propre vie. »

Se réinventer n'est pas une chose facile. Il faut être au bon endroit au bon moment, laisser pousser ses envies sans les réfréner, prendre conscience des barrières qu'on s'inflige à soi-même, les faire voler en éclat et avancer en apprenant à s'aimer puisque personne ne le fait à votre place. Briller dans ses propres yeux, un challenge difficile à relever lorsqu'on n'a pas pris l'habitude de penser à soi.

Lisa Azuelos a construit un roman « qui fait du bien », une forme de quête initiatique où le but est un rendez-vous avec soi-même. Il y a dans ce texte une forme de développement personnel puisqu'Alice écrit dans un journal qui commence par « chère Moi ». Je crois que c'est cet aspect qui m'a un peu gênée. Ces interludes avec elle-même ont quelque peu coupé les émotions du récit pour donner des conseils d'ordre général, presque psychanalytiques sur une potentielle méthode à suivre que l'on pourrait s'appliquer à soi-même. Alors, le lecteur n'est plus tout à fait dans l'imaginaire que je recherchais personnellement dans mes lectures à ce moment-là, il est face à sa propre réalité. du coup, l'empathie avec Alice a du mal à se créer.

Ce livre plaira aux adeptes des ouvrages de développement personnel qui cherchent dans leurs lectures des phrases, somme toute très vraies, à s'appliquer à soi-même « ce qui est à l'extérieur n'est plus à l'intérieur. Et ce qui était à l'intérieur me rongeait à petit feu. » Il m'a manqué l'aspect romanesque, l'évasion de ma réalité et certainement d'entendre ce que je n'avais pas réellement envie d'entendre à cette période-là. « Mon Dieu, comme je me suis oubliée. » Il faut être prêt pour ce genre de roman, clairement je ne l'étais pas pensant que je plongeais dans une fiction. Cependant, j'en retiens des mantras notés au gré de ma lecture qu'un jour je déciderai peut-être de m'appliquer à moi-même, comme : « la machine à douter s'est remise en route. (…) elle a la puissance d'un rouleau compresseur. » Il y a de très belles pensées à retenir dans ce roman, je vous le recommande. Sachez simplement où vous mettez les pieds : en vous, et pour cela, il faut en avoir l'envie et le courage.

Je remercie les éditions Belfond de leur confiance.


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Citations et extraits (40) Voir plus Ajouter une citation
Dans ce roman qui raconte la reconstruction d'une femme suite à son divorce et au départ de ses deux enfants illustre parfaitement le syndrome du "nid vide". Bien que le thème me parle, je suis passé complétement à coté. Je n'ai rien contre un peu de "développement personnel" quand c'est subtil mais ici l'histoire sert juste de prétexte à une suite de conseil pour se reprendre en main quand on on se retrouve sur le carreau après avoir sacrifié son bonheur sur l’hôtel du bien être familial. Bien sur, c'est un problème qui touche de nombreuses femmes mais là aucun clichés nous sont épargnés. Le récit est creux, le scénario attendu et les conseils redondants. Livre que j'ai refermé avec soulagement et agacement.
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Qui est-on, à quoi sert-on quand on n’est plus la femme ou la mère de quelqu’un ? se demande Alice en ce joli matin de septembre, la lumière enflammant d’un feu roux comme ses cheveux les premières feuilles d’automne. Incipit
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J’ai réalisé à quel point il est salvateur de fabriquer quelque chose, de matérialiser les émotions confuses qui nous habitent. Que ce soit par l’écriture de ce journal, par un dessin, un collage, une danse… Ça paraît un peu bête, mais ce qui est à l’extérieur n’est plus à l’intérieur. Et ce qui était à l’intérieur me rongeait à petit feu.
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Je suis donc en partie responsable de cette fausse amitié. Comme avec son mari, je n'ai jamais osé lui déballer mes peines pour ne pas l'embêter avec " tout ça "Mais " tout ça ", c'est moi, et je suis bien placée aujourd'hui pour dire " Moi, ça compte, vu que je suis seule à m'occuper de moi. "
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Finalement, comme disait le journal dans la salle d'attente du docteur Maurier, le fait d'être observé de manière neutre et sans jugement, voire avec un minimum d'attention, nous transforme. Et j'ai l'impression qu'avec son regard bienveillant, M. Lampe a transformé la personne que j'étais, il lui a donné de la valeur.
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