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EAN : 9782021244274
528 pages
Seuil (08/10/2015)
3.81/5   438 notes
Résumé :
Au lendemain de la Première Guerre mondiale, la très jeune Amory Clay se voit offrir par son oncle Greville un appareil photo et quelques conseils rudimentaires pour s'en servir. Elle ignore alors que c'est le déclencheur d'une passion qui façonnera irrévocablement sa vie future.

Un bref apprentissage dans un studio et des portraits de la bonne société laissent Amory sur sa faim. Sa quête de vie, d'amour et d'expression artistique l'emporte bientôt da... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (89) Voir plus Ajouter une critique
3,81

sur 438 notes
La définition de ce qu'est un bon écrivain est aussi subjective que celle d'un "bon" lecteur. A chacun ses envies : découvrir de nouveaux auteurs, explorer des littératures peu connues ou au contraire se concentrer sur les publications françaises, anglo-saxonnes ou scandinaves, (re)lire les classiques, s'enivrer de nouvelles ou se repaître de pavés ... Dans le cas de William Boyd, pour qui a dévoré l'ensemble de ses oeuvres, découvrir son petit dernier, c'est comme se lover dans une couette moelleuse. Luxe, calme et volupté. le temps n'est pas aux surprises mais au confort d'une style fluide au service d'un récit éminemment romanesque. Ainsi est Les vies multiples d'Amory Clay, portrait de 70 ans d'existence d'une photographe, fictive certes, mais clairement inspirée par quelques unes de ces artistes dont les noms sont cités en fin d'ouvrage. le roman retrace le parcours d'une femme décidée, têtue et qui ne recherche ni la gloire ni la fortune. Un peu d'adrénaline, sans doute, et un moyen d'échapper à la routine du quotidien et peut-être d'elle-même. Tout en témoignant des convulsions du monde, aussi, via la traversée d'une grosse moitié du vingtième siècle avec des incontournables : la deuxième guerre mondiale, le Vietnam, les hippies californiens ..., mais aussi des épisodes moins connus comme la montée du fascisme en Angleterre dans les années 30. Amory Clay n'est pas une héroïne, non, et quand, au crépuscule de sa vie, elle regarde dans le rétroviseur de sa mémoire, c'est avec lucidité : beaucoup d'erreurs à son actif, certes, mais pleinement assumées. le constat est aussi valable pour sa vie sentimentale et de mère. Certes, elle a d'abord recherché la liberté d'action et on pourrait la taxer d'égoïste mais là encore son parcours est le sien et ne peut susciter que des jugements qui n'engagent que ceux qui les professent. Quoi qu'il en soit, Amory Clay est un superbe personnage auquel on s'attache page après page et William Boyd confirme qu'il possède un talent inné pour se glisser dans la peau d'un membre du sexe opposé. de ce voyage dans le temps, on retiendra les dernières pages du livre, émouvantes et apaisées dans l'attente du grand saut dans le vide. Illustré de photos anonymes qui ajoutent un fort sentiment de vécu, Les vies multiples d'Amory Clay est le livre d'un auteur au sommet de son art qui n'en fait jamais trop et semble s'effacer derrière une femme qui a capté la lumière de son bref passage sur terre (à l'échelle de l'histoire de l'humanité) non seulement par la photographie mais aussi par sa façon d'envisager l'existence comme une aventure parfois douloureuse, souvent exaltante, mais toujours passionnée et engagée.
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William Boyd nous propose de traverser le XXème avec Amory Clay, femme moderne, déterminée qui fera de sa passion pour la photographie, son métier.
Initiée très jeune par son oncle Greville, elle débute en 1927, pour "Beau monde", un magazine mondain pour lequel elle tire les portraits de la bourgeoisie londonienne.
Mais Amory aspire rapidement à autre chose, loin de la monotonie de cette vie, loin de ces sourires de convenance. Elle part à Berlin photographier les prostituées espérant ainsi provoquer un scandale et se faire un nom. Dès lors, plus rien ne l'arrête, New York, Paris, Londres, le Vietnam, toujours la même soif de découverte.
Sa vie privée n'est pas en reste : un mariage deux filles, des amants car "les désirs du coeur sont aussi tordus qu'un tire-bouchon".

Fidèle lectrice de William Boyd, je suis depuis longtemps convaincue de son immense talent, mais cette fois-ci j'ai trouvé dans ce magnifique portrait d'une femme passionnée un petit quelque chose en plus, comme si à son insu, l'auteur était amoureux de son héroïne.
Une belle lecture.


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Ce que j'ai ressenti:… »Clic » sur une femme libre….

(Je joue tel Amory avec les adjectifs …)

Passionnée, Fonceuse, Libre, Photographe.

Voilà bien comment décrire Amory Clay, cette femme qu'on va suivre dans ce petit pavé de 500 pages, et ce, pendant les 70 ans de sa vie…En ayant ce prénom masculin, elle aura cette effronterie de pousser un peu plus loin les préjugés, de se faire une place parmi le milieu très fermé du journalisme, et user de toute sa féminité pour arriver à vivre sa passion. Un personnage fictif inspiré des plus grandes femmes de ce monde, et l'objectif tourné vers les guerres qui ont ravagé les quatre coins de la planète, on se laisse emporter par la tornade Clay avec plaisir…Elle a ses failles, ses doutes, mais aussi un charme fou et des ambitions grandioses: quel bonheur de suivre ses péripéties et se délecter de ses mémoires, elle vit pleinement, et c'est sans nul doute ce qui fait toute la magie de cette lecture….

"Ne laisse pas ta vie t'échapper en regrettant ce qui aurait pu être. Vis ta vie, vis pour ce que tu veux vraiment. "

Passionnant, Poétique, Historique, Sulfureux.

Je ne connaissais pas encore cet auteur, mais je suis bien ravie d'avoir commencé par celui ci. Ce qui m'a le plus frappé c'est sa façon très particulière de raconter l'Histoire, dans une histoire romancée vibrante, auxquelles de multiples histoires viennent enrichir l'ensemble. Grâce au domaine de la photographie, l'auteur capture des instants de vie de ce siècle, les emballe, les enjolive mais surtout il nous livre , un oeil avisé sur ces conflits. Une femme à la Guerre, c'est une vision plus humaine, plus touchante de voir l'hécatombe d'une telle horreur…

« J'ai regardé le jour se parer de nuit, j'ai vu évoluer les sublimes dégradés du soleil en son déclin, l'orangé sanguin virant imperceptiblement au bleu glacier sur le tranchant de l'horizon, j'ai écouté la mer réclamer inlassablement le silence: chut, chut, chut. »

Cette lecture est remplie de fougue, et on se passionne littéralement de ce destin hors du commun et des multiples clichés de cette jolie Amory Clay. C'est très agréable de suivre cette dame qui vit ses rêves, ne suit que son instinct, aime passionnément…J'ai pris un temps incroyable pour lire et apprécier ce modèle de féminité, et assurément, je vais de ce pas découvrir d'autres titres de cet auteur, tant j'ai aimé sa plume.

"Les désirs du coeur sont aussi tordus qu'un tire-bouchon, disait le poète: ne pas naître est le meilleur destin pour l'homme, car c'est la seule manière d'éviter toutes les complications de la vie."

Lien : https://fairystelphique.word..
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L'héroïne de ce roman porte un prénom d'homme, toutefois elle aurait pu figurer dans les portraits des Culottées de Pénélope Bagieu.
Le lecteur suivra l'histoire d'une vie, du berceau à la tombe.

William Boyd nous accueille dans son univers en nous livrant une vraie biographie d'un faux personnage.
Vous avez compris le truc ???
Parce que moi, j'étais persuadée qu'Amory Clay avait existé et qu'il s'agissait de sa biographie !! Au point d'aller la « googler » afin de mieux découvrir son oeuvre !

Première grosse surprise sur l'écriture de William Boyd :
Il aime jouer avec notre esprit de lecteur crédule !!
Pour sa défense et celle de la maison d'édition : il n'est marqué nulle part qu'il s'agit d'une biographie 

Boyd dit : « Quand vous estompez la ligne entre la fiction et les faits, paradoxalement, la fiction devient plus forte – ce qui, fondamentalement, est mon but : je veux montrer le pouvoir du roman, montrer que c'est la meilleure forme d'art pour comprendre la condition humaine »

Une fois le postulat accepté et la déception un peu retombée, nous pouvons finalement apprécier ce portrait de femme tout à fait passionnant.

William Boyd nous fait traverser le 20ème siècle à travers les choix et les clichés d'une photographe, mais finalement nous capturons des instantanés des périodes historiques à travers ses yeux.

Le fascisme en Angleterre dans les années 30 ; la haute société écossaise dans les années 50 et la guerre du Viêtnam ont pris vie grâce à chaque clic de l'obturateur d'Amory Clay imaginés par l'auteur


J'imagine William Boyd s'amuser à rédiger les légendes des photos débusquées dans des brocantes ! Un joli tour de passe-passe qui prouve que c'est qui compte dans l'écriture c'est le pouvoir de nous faire voyager.


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"Les désirs du coeur sont aussi tordus qu'un tire-bouchon, disait le poète : ne pas naître est le meilleur destin pour l'homme, car c'est la seule manière d'éviter toutes les complications de la vie". Cette phrase pourrait illustrer à elle seule l'ambition de ce roman qui célèbre la vie dans ce qu'elle a de plus aléatoire, de plus inattendu, parfois de plus cruel et donc de plus surprenant. Si j'achète les livres de William Boyd les yeux fermés, celui-ci m'a fait garder les yeux grands ouverts, heureuse de retrouver la veine de A livre ouvert qui reste à ce jour mon préféré de l'auteur.

La réussite de William Boyd tient beaucoup à sa façon de donner vie à des personnages d'autant plus crédibles qu'ils évoluent dans un environnement parfaitement reconstitué. Sans en faire des tonnes, sans avoir besoin de passer par de longues pages de descriptions, l'auteur parsème son ouvrage de mille et un détails qui rendent ses atmosphères palpables et situent immédiatement l'action dans le temps. Ici, le vingtième siècle défile sous nos yeux ou plutôt sous l'oeil aguerri de la photographe Amory Clay avec ses guerres, ses avancées sociales, ses modes, ses contraintes et ses opportunités. le personnage d'Amory, s'il est inventé de toutes pièces emprunte néanmoins à des femmes photographes qui ont bel et bien existé, marqué le siècle de leurs empreintes, ouvert la voie à leurs consoeurs. Une mention émouvante en fin d'ouvrage le rappelle et leur rend un discret hommage.

Amory Clay n'a rien d'une super héroïne. Issue d'une modeste famille de la bourgeoisie anglaise, elle n'est pas exempte de problèmes. Son père, traumatisé lors de la Grande Guerre en garde de graves séquelles psychologiques, son jeune frère semble retardé et sa mère l'encourage vivement à trouver un bon parti afin de se mettre à l'abri du besoin. C'est compter sans le virus de la photographie attrapé dès l'âge de sept ans auprès de son oncle alors photographe mondain qui lui offre son premier appareil. En 1928, il est assez rare d'entendre une jeune femme déclarer qu'elle veut devenir photographe professionnelle mais rien ne détourne Amory de son objectif. Une carrière qu'elle bâtira ensuite grâce à des rencontres, à son instinct qui la pousse à saisir les opportunités et à sa pugnacité. Berlin, New York, l'Amérique du sud seront ses premiers terrains de jeux avant le retour à Londres et l'engagement comme reporter de guerre sur le terrain de l'offensive alliée après le débarquement de 1944 où elle rencontrera celui qui deviendra son mari. Plus tard, dans une autre vie, après une parenthèse écossaise, il y aura le Vietnam, encore un conflit, comme si sa vie était marquée par les guerres.

Pourtant, ce qui intéresse William Boyd, plus que le témoin des événements du siècle, c'est la femme avec ses doutes, ses approximations, ses emballements. La femme qui se laisse guider par son instinct, celle qui écoute son coeur. Celle qui fait des erreurs, se retrouve dans des situations désespérées. L'amoureuse, l'aventurière, la passionnée. Au fil de ses mémoires et du journal qu'elle tient en 1977, la femme qui se révèle est bourrée d'imperfections, de contradictions. Elle est loin de tout maîtriser, elle se raccroche souvent aux branches. Mais elle vit. Elle avance, tient bon, accepte de perdre autant que de gagner. Sa vie n'est pas parfaite, mais c'est la sienne, exactement comme elle l'a décidée.

Avec Amory Clay, William Boyd nous offre le magnifique portrait d'une femme libre, bien décidée à garder la main sur l'essentiel : son droit de décider ce qui est bien pour elle. Et ceci jusqu'à la fin, l'ultime décision. Une belle figure, de celles qui vous accompagnent longtemps et vous incitent à prendre votre destin en mains et à toujours célébrer l'instant présent.

Ma foi, le Boyd 2015 est un excellent cru !
Lien : http://www.motspourmots.fr/2..
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critiques presse (5)
LaLibreBelgique
21 novembre 2016
Une histoire passionnante, pleine de rencontres à travers le siècle.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
Liberation
19 octobre 2015
Boyd le conteur a repris son souffle, déroulant sur plus de 500 pages, un XXe siècle fracassé par les guerres mondiales et du Vietnam, traversé par une femme décédée de sa propre main le 23 juin 1983.
Lire la critique sur le site : Liberation
LeFigaro
08 octobre 2015
William Boyd dresse le magnifique portrait d'une Anglaise intrépide et fait passer le XXe siècle à travers son objectif.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Telerama
07 octobre 2015
Portrait habile et trépidant d'une photographe du xxe siècle. Un hommage romanesque aux maîtresses du genre.
Lire la critique sur le site : Telerama
LaLibreBelgique
06 octobre 2015
Un roman qui captive et émeut profondément.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
Citations et extraits (62) Voir plus Ajouter une citation
J'ai montré du doigt un article à la une du Herald . On venait de découvrir une nouvelle galaxie dans quelque lointain recoin de l'univers connu .
"Ca te fait battre le coeur plus vite ? ai-je demandé .
-Ce n'est pas vraiment mon domaine . Ma spécialité, c'était ce qui s'est passé avant le Big Bang, quand il n'y avait que le néant .
-Stop! ai-je lâché en riant . Ce sont des concepts incompréhensibles, pour moi . Le néant, l'infini, l'intemporalité ... Mon cerveau refuse de suivre .
-C'est pour cela que j'ai pris ma retraite tôt, a dit Greer avec un sourire nostalgique . Je me suis rendu compte que ce que je faisais n'avait aucun sens pour le genre humain en dehors de cinq ou six collègues d'universités lointaines .
-J'ai besoin de limites . Le néant ,pour moi, ça dépasse l'entendement. Je n'arrive pas à me dire qu'avant il n'y avait rien, que le temps n'existait pas, que le néant était infini... Mais peut-être que je suis juste stupide, ai-je ajouté avec un sourire .
-C'est pour ça que j'étudie des petits mollusques dans de minuscules flaques entre des rochers, a dit Greer en jetant son mégot par la fenêtre et en soufflant la fumée . Nous sommes juste une espèce particulière de grands singes sur une petite planète qui tourne autour d'une étoile insignifiante . Pourquoi aller m'embêter avec ce qui a pu se passer ou ne pas se passer il y a treize milliards d'années ?
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Quelle que soit la durée de votre séjour sur cette petite planète, et quoi qu'il vous advienne, le plus important c'est que vous puissiez, de temps en temps, sentir la caresse exquise de la vie.

J. B. Charbonneau - Avis de passage ( 1957 )
Epigraphe
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- Ce n'est pas un art ! m'interrompit-il avec agressivité. On vise, et clic. C'est un mécanisme.
Il sortit son stylo à plume de la poche de son veston et me le tendit, ainsi que le menu qu'il avait retourné.
" Voilà mon stylo, voilà du papier blanc. Dessinez-moi un " Français en colère", et là on pourra discuter pour savoir si c'est de l'art ou non."
Je n'allais pas me laisser entraîner dans ce débat en lui permettant d'imposer ses termes.
" Mais vous devez bien reconnaître qu'il y a de grandes photographies !
- D'accord. Il y a des photographies mémorables. Des photographies admirables.
- Et qu'est-ce qui les rend mémorables où admirables ? Quels critères utilisez-vous pour les juger, pour rendre ce verdict ?
- Je n'ai pas à y réfléchir. Je le sais d'instinct, c'est tout.
- Alors peut-être devriez-vous y réfléchir, justement. On juge une grande photo de la même manière qu'un grand tableau ou un film, ou une pièce de théâtre, ou un roman, ou une sculpture. C'est de l'art, mon ami."
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J'ai regardé le jour se parer de nuit, j'ai vu évoluer les sublimes dégradés du soleil en son déclin, l'orangé sanguin virant imperceptiblement au bleu glacier sur le tranchant de l'horizon, j'ai écouté la mer réclamer inlassablement le silence: chut, chut, chut.
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J'achetai un index géographique des rues de Londres, avec cartes dépliables détaillées. En les étudiant, je pris conscience que l'East End aurait aussi bien pu se trouver dans le royaume de Siam, au Tanganyika ou en Sibérie, en ce qui me concernait. Pour moi, Londres s'arrêtait à Aldgate et à la City et toutes ces rues de maisons basses, de docks et de quais et les méandres du fleuve faisaient partie d'une terra incognita où seuls pénétraient les indigènes.
Je dépliai ma belle carte détaillée de l'Est londonien pour y repérer les grandes artères, Whitechapel Road, Commercial Road et Cable Street, qui traversaient Stepney, Limehouse, Bromley, Poplar, Bow et Stratford en direction de l'estuaire de la Tamise. Je ressentis cet étrange frisson d'anticipation que doit goûter l'explorateur sur le point de s'aventurer dans l'inconnu en Afrique... Cette terre densément peuplée comptait des églises, des écoles, des commissariats, des hôpitaux, des bureaux de poste et des bâtiments municipaux. J'allais pénétrer dans le coeur millénaire de l'Angleterre, et les noms que je déchiffrais évoquaient la longue et complexe histoire de notre pays : Shadwell, Robin Hood Lane, Regent's Canal, Lochnagar Street, Ropemaker's Field, Wapping Wall... Mais personne de ma connaissance n'allait jamais dans ces quartiers.
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Au sommaire de la Critique, deux livres :
"Drive", recueil de poèmes de Hettie Jones resté jusqu'à présent inédit en France et disponible dans une édition bilingue chez Bruno Doucey (traduction de l'anglais (Etats-Unis) : Florentine Rey et Franck Loiseau).
"Trio", le nouveau roman de William Boyd paru au Seuil et traduit de l'anglais par Isabelle Perrin.
Nos critiques du jour : Marie Sorbier, rédactrice en chef du magazine I/O Gazette et productrice d'Affaire en Cours sur France Culture et Laurent Nunez, écrivain et éditeur.
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