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EAN : 9782372580106
274 pages
Taurnada Éditions (27/04/2015)
3.96/5   227 notes
Résumé :
Je suis dans cette chapelle, avec ma femme et mes deux enfants, je regarde le prêtre faire son sermon, mais aucun son ne me parvient.
Je m'appelle Josey Kowalsky et en me regardant observer les cercueils de ma femme et de ma fille, mon père comprend.
Il comprend que là, au milieu de cette chapelle, son fils est mort. Il vient d'assister, impuissant, à la naissance d'un prédateur.
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Critiques, Analyses et Avis (118) Voir plus Ajouter une critique
3,96

sur 227 notes
Voilà une agréable découverte dont je remercie Babelio une nouvelle fois. Merci a ces opérations Masse Critique et aux maisons d'éditions y participant, car cela nous permet vraiment de tenter des lectures dont nous serions peut-être passé à coté sans cela.

Ce livre, est assez court, 270 pages, mais très intense. Il démarre immédiatement et ne s'attarde pas dans les détails. J'ai beaucoup aimé le style de l'auteur, vif, incisif, sa plume est tranchante et dynamique, il n'y a pas de temps mort et tout est bien ficelé pour nous maintenir en haleine tout au long de son roman.

Je ne vais pas résumer la quatrième de couverture, puisque vous l'avez sans doute déjà lue. le livre traite d'une vengeance, et nous mets dans la peau de ce père de famille qui voit sa femme et sa fille mourir. J'ai trouvé que cela était plutôt bien construit, dans le sens ou l'on se demande vraiment comme on réagirait si cela nous arrivait. Plus on avance dans le livre et plus le personnage se montre cruel à tel point qu'il finirait presque par nous dégouter.

J'ai donc bien aimé cette lecture, de par son rythme et son écriture. J'ai quelques petits griefs malgré tout concernant le manque de femmes dans ce livre. On suit, le père, le fils, le grand-père, le petits-fils. Un duo de flic masculin, des voyous ici aussi, que des hommes. C'est un peu dommage de ne pas avoir mis des femmes autrement qu'en cadavres.

Le titre est « Sans raison » mais on se doute bien qu'il y une raison la-dessous. Et justement j'ai trouvé cette raison un peu facile. Je ne vous la dévoilerai pas, mais tout ce qui tourne autour du grand-père ne m'a pas trop passionné. Je ne suis pas friand des complots en tous genres, et justement j'aurais préféré que ces meurtres soient exécutés sans raisons. Peut-être que cela aurait fait trop de violence gratuite ?

En tous cas, malgré deux petits griefs qui n'entachent en rien la lecture, j'ai adoré ce roman, qui est le premier de cet auteur que je vais suivre avec intérêt. Une première également avec la maison d'édition Taurnada que je ne connaissais pas du tout et dont la qualité du livre est exemplaire. Les pages ne sont pas du papier à cigarette comme chez Pocket par exemple, et il n'y a aucune coquilles.

Bref, un agréable moment de lecture comme j'aimerais en avoir plus souvent.

Une nouvelle fois, merci Babelio !

Merci également à ManU17 pour m'avoir parlé de ce livre et dont la critique m'a donné envie de faire le test.
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Quand l'agneau devient loup...
Voilà le genre de thriller que j'adore. Violent, efficace, sans temps morts. le bouquin qui fait grimper votre tension de la première à la dernière page , que même les médecins vous interdiraient de lire, s'ils savaient votre coeur fragile. Ce livre que vous ouvrez avec l'espoir d'un peu de détente et que vous ne lâcherez plus avant la page 270.
Ce livre, n'est pas un hasard dans ma vie de lecteur, si je l'ai lu, c'est parce que j'ai rencontré son auteur, deux fois, même, cette année. Nous avons eu une longue conversation au cours de laquelle Mehdy Brunet a piqué ma curiosité et il a eu raison. Enfin, Nous avons eu raison... lui de me parler de son entrée dans le monde de l'écriture et moi d'en lire ce premier résultat.
Coup d'essai, coup de maître. J'ai lu quelque part que le deuxième est pour bientôt. S'il vous plaît, Libraire, veuillez m'en réserver un exemplaire...
Sinon, vous voulez peut-être, accessoirement, savoir de quoi ça parle ?
Soir de match à Bordeaux, Josey Kowalski qui vient d'y assister, avec son fils William, rentre à la maison. Celle-ci est en désordre. Sa femme et sa fille de 8 ans ont disparu. Á l'angoisse, succède bientôt l'horreur...
Je pourrais vous donner...Cent raisons de lire Sans raison, mais en faut-il autant pour vous convaincre ? Pour une fois, faites moi confiance. ....
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"Sans Raison..." de Mehdy Brunet - La chronique qui crie vengeance !

"Des Salopards s'en sont pris à ma famille, je vais buter les salopards." Punisher Time !

Voici le pitch résumé en quelques mots. Ça pourrait paraître sec, un peu simpliste mais sous la plume de Mehdy Brunet, c'est efficace !
Et quelle plume ! Pour un premier roman, c'est saisissant de maîtrise, l'auteur enclenche les mots dans la culasse comme on enclenche des balles dans un flingue et vide son chargeur sur le lecteur qui, décontenancé, ne peut que subir la furie et la colère froide de Josey Kowalski, père et veuf éploré.

Inspiré du film "Un justicier dans la ville" et des "Vigilante Flicks" des années 70/80, c'est Charles Bronson et tout un pan du cinéma de genre qu'on ressuscite.

"Sans Raison..." est une plongée dans la fureur. Une perte de repère et un craquage complet attisé par le chagrin et un sentiment d'injustice et d'impuissance. C'est un thriller court, concis, sans temps mort. Mehdy Brunet joue le rythme avec talent au tempo rapide comme une double pédale de grosse caisse.

Ce roman interroge. Jusqu'où serions-nous prêts à aller pour obtenir réparation ? Se faire justice soi-même est-il acceptable dans une société « civilisée » ? La vengeance est un voyage sans retour et ne laisse personne indemne. On dit souvent que celui qui la cherche creuse deux tombes, celle de sa victime et la sienne (Confucius – Vème Siècle avant notre ère). Chacun se fera évidemment son opinion.

C'est aussi l'occasion pour l'auteur, et ceux qui connaissent sa page Facebook le savent, de rendre un vibrant hommage à Clint Eastwood. En effet le nom du personnage principal est la contraction de Josey Wales, héros d'un western réalisé par Clint et de Walt Kowalski, le vétéran amer de "Gran Torino".

Alors, bien sûr, le contenu est prévisible et la route linéaire. On pourra reprocher un manque de twists pour muscler le suspense ou on pourra au contraire saluer la non-dilution de l'intrigue. C'est selon. Ce qui est sûr, c'est que ce premier roman est efficace, brut et sans concession. Et que le second devrait mettre à genoux les lecteurs si l'auteur garde sa constance et cette qualité. 3,5/5
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J'ai avalé le livre hier, mais j'ai repris un peu mon souffle avant d'émettre mon billet ce matin.
Pour son premier thriller, Mehdy Brunet a mis toutes les chances de son côté, et c'est plutôt bien réussi: peu de temps morts, descriptions soignées, méchants bien infects et perplexité entretenue du lecteur.
Cette prose de l'angoisse et de la terreur contemporaine, très addictive, fait penser par moments, à celle de Frédéric H. Fajardie.
Il faut reconnaître à Mehdy Brunet, de s'être honorablement sorti d'un sujet assez piégeux: Doit-on se faire justice sois-même... Thème qui peut vite tourner au malaise et à certaines justifications saumâtres...
Mais Josey Kowalsky est prévenu: la chasse aux méchants et sa vengeance vont le transformer en monstre. D'ailleurs, a-t-il le choix?
Et n'ai-je pas, moi Horusfonck, apprécié quelque-part le traitement infligé aux deux premiers tortionnaires capturés par Kowalsky père et fils?
Perturbant voire inquiétant, non?
Quant au titre du livre, cela reste à voir et les dernières pages, comme tout bon suspens, seront déterminantes... Les cadavres ne sont pas seulement ceux du présent.
Et je garde peut-être la cinquième ou demi-cinquième étoile pour le prochain opus d'un auteur qui me promet encore davantage.


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Oh punaise, voilà le livre qui vient de me mettre dans tous mes états cette nuit. Nuit blanche. J'avais les larmes qui coulaient sur mon visage sans m'en rendre compte. C'est d'ailleurs mon homme qui m'a fait la remarque : Ben, pourquoi tu pleures, ma chérie ???

Ce livre m'a fait mal au coeur surtout dans les premières pages. L'auteur donne le level de suite avec cette phrase : Il comprend que là, au milieu de cette chapelle, son fils est mort. Il vient d'assister, impuissant, à la naissance d'un prédateur.

C'est en effet ça. On assiste, nous, en tant que lecteurs, à la naissance d'un prédateur au nom de Josey Kowalsky, le jour où il retrouve sa femme et sa fille morte.

Josey et son fils aîné vont voir un match de foot au stade, laissant femme et fille à la maison.
De retour, Josey découvre la maison toute retournée avec des traces de sang pour les accueillir, mais aucune trace d'elles. Qu'est-ce qui s'est passé ?? Où sont-elles ???

Les réponses vont arriver rapidement puisqu'il reçoit une vidéo. Sa femme enceinte et sa fille ont été enlevées. Retenues en otage quelque part. Sa femme se faire maltraiter et j'en passe par plusieurs hommes cagoulés, devant les yeux de leur petite-fille. Et lui tout simplement impuissant en visionnant cette vidéo. Mais le pire arrive quand on les retrouve mortes.

Voilà pour quoi mes larmes ont coulées. En tant que mère, cette lecture (en tout cas pour le début) a été éprouvante. Car l'auteur nous met dans la tête de tout le monde, du coup, on ressent la peur de cette femme, cette mère, quand ces bourreaux arrivent pour la maltraiter.... devant sa fille.
J'étais là en train d'essayer de me mettre à sa place. Comment tu réagirais toi, en tant que maman. Comment peux tu protéger ton enfant face à ces malades, hein ???

Pis en tant qu'enfant, avec les yeux de cette petite-fille qui pleure car oui, elle a peur pour sa maman, cette môme. On l'entend pleurer à travers toutes ces lignes de l'histoire. Atroce. Je venais d'imaginer ma propre fille.

Ensuite vient le tour du père quand il voit sa maison toute retournée, avec le sang partout.
L'angoisse, la peur vient l'envahir de suite. Normal.
Et quand la vidéo débarque sur sa boite mail et qu'il découvre sa femme vivante avec sa fille, il y a un petit soulagement qui ne dure pas hélas, puisqu'ensuite vient les viols à répétitions.
En tant que père, chef de famille, ce que tu ressens là, à l'instant... c'est de la folie. C'est à cet instant, que j'ai regardé mon homme. Comment lui réagirais si c'était moi ???
Citation :
Je m'appelle Josey Kowalsky et en me regardant observer les cercueils de ma femme et de ma fille, mon père comprend.

Oui, son père a compris, que le jour où son fils a enterré sa femme et sa fille, il est mort pour laisser place à un prédateur.
Son seul objectif, c'est de retrouver ces meurtriers et de leur faire payer au prix fort. Et ça, on ne peut pas lui en vouloir. C'est humain.
Et, je vous assure que j'ai pris plaisir à lire cette partie bien que limite malsaine.
J'avais la haine, la rage, la peur... et le même esprit de vengeance que lui. J'étais de tout coeur avec Josey, ce prédateur, comme une prédatrice également. Après tout, c'est de leur faute. Ils ont commis ces crimes. Ils doivent payer. Point.
Sauf qu'il est bien évidemment impossible de faire justice seul. Donc la police va s'emmêler pour compliquer le tout. Sinon ça ne serait pas marrant.
La plume de l'auteur, je l'ai trouvée excellente. Un thriller exceptionnel et vraiment, vraiment addictif. Impossible de s'arrêter. Mehdy Brunet m'a tout simplement conquise et j'en redemande encore, ça c'est certain.
D'ailleurs, c'est mon quatrième livre avec les éditions Taurnada, je crois et sincèrement, pas une seule fois déçue. Pratiquement que des coups de coeur. Alors, je vous invite vraiment à le découvrir immédiatement. Ça serait une erreur de ne pas le lire même si certains passages sont durs.

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Citations et extraits (49) Voir plus Ajouter une citation
Nous approchons de notre petit pavillon situé dans un lotissement de Mérignac, en banlieue bordelaise, quand tout à coup les yeux me brûlent, une camionnette de couleur sombre circulant en pleins phares se dirige droit sur nous.
Je fais une embardée sur le trottoir et les quelques poubelles situées sur ma trajectoire volent au-dessus du capot.
J’immobilise la voiture dans un crissement de pneus, et après avoir vérifié que William va bien, je sors furieux :
« Arrête-toi, espèce d’enfoiré ! »
Le véhicule s’éloigne en faisant des zigzags. Impossible de lire la plaque d’immatriculation, il est trop loin.
Après avoir fait le tour des dégâts occasionnés par les poubelles, je reprends le volant et parcours les quelques rues qui nous séparent de la maison.
En arrivant, je constate qu’il y a des traces de pneus sur la pelouse et que la niche de Nemrod, notre chien, a été enfoncée.
Soudain, mon coeur s’emballe. La porte d’entrée est grande ouverte et la lumière qui vient de l’intérieur s’étale dans la petite allée de gravier qui traverse notre jardin.
J’arrête la voiture devant la maison et je me précipite. À peine ai-je passé le seuil de la porte que je reste paralysé par le spectacle qui s’offre à moi. Le salon est entièrement retourné, il y a des bouteilles de bière vides dans toute la pièce et la télévision est renversée avec le pied de la lampe halogène figé dans l’écran.
« Christine, Katie… CHRISTINE ! Où êtes-vous ?
– Papa, qu’est-ce qui se passe ? »
William vient de rentrer, il observe la scène, hagard.
« Papa, où est maman ? »
Sans prendre le temps de répondre, je monte à l’étage pour inspecter les chambres. Je regarde sous les lits, dans les placards, j’appelle ma femme de toutes mes forces.
Pas de réponse.
« Calme-toi et réfléchis, me dis-je à haute voix. O.K., d’abord les secours, ensuite… mais merde qu’est-ce qui se passe, elles sont où nom de Dieu ! »
Le téléphone, trouve le téléphone.
Mes pensées sont désordonnées.
Je redescends les escaliers en courant et j’aperçois William planté au milieu du salon. En voulant l’agripper par les épaules afin de l’entraîner dehors, je m’aperçois qu’à nos pieds le sol est maculé d’un liquide sombre. Je comprends tout de suite de quoi il s’agit et prends peu à peu conscience de la gravité de la situation.
Une fois dehors, je sors mon téléphone portable de ma poche et compose le numéro de police secours.
Le temps semble s’être figé, je tourne en rond en écoutant le message préenregistré qui me demande de patienter avant d’être mis en relation avec la police. L’attente est interminable.
« Commissariat de Mérignac, j’écoute.
– Oui heu… écoutez, je… je ne trouve pas ma femme, ma fille non plus, et la maison est complètement retournée, dépêchez-vous il faut…
– Attendez ! Attendez ! Calmez-vous, commencez par me donner clairement votre nom et votre adresse, ensuite expliquez-moi la situation. »
Je prends une grande inspiration pour essayer de ralentir les battements de mon coeur et j’essaye de répondre du mieux que je peux aux questions que l’on me pose.
Aussitôt la conversation terminée, je joins mon père. Là encore, impossible d’expliquer ce que je suis en train de vivre.
« Allô papa.
– Josey ? Mais, tu as vu l’heure qu’il est ?
– Papa, il faut que tu viennes chercher William.
– Quoi ! Qu’est-ce qui se passe ?
– Christine et Katie ont disparu, la maison a été mise à sac. J’ai appelé la police et j’aimerais que William ne soit plus là à leur arrivée, viens le chercher s’il te plaît.
– J’arrive. »
Je raccroche, je suis complètement sonné par la situation. Il m’est impossible de réfléchir de façon rationnelle et, tandis que je piétine, un filet de sueur coule le long de ma colonne vertébrale.
Je scrute les environs, sans savoir ce que je cherche exactement, et là, devant le garage, j’aperçois une flaque épaisse qui s’étale et qui grossit à un rythme régulier.
Je m’approche.
C’est encore du sang, et il vient de l’intérieur.
Je me jette sur la poignée et tire de toutes mes forces vers le haut, pour faire coulisser la grande porte.
William hurle, je pars à la renverse.
Pendu la tête en bas, avec la gorge tranchée sur toute sa largeur, Nemrod se balance au bout d’une corde fixée à une poutre de la charpente. Je me relève hébété et prends William dans mes bras pour l’amener sur le trottoir.
Mon père arrive enfin, et dans la foulée une voiture de police avec trois hommes à son bord. Ils nous découvrent prostrés contre le muret qui borde l’avant de la maison......
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Attachée sur sa chaise, Katie sanglote. L’humidité ambiante mêlée aux odeurs de sueur et d’alcool rend l’air insoutenable et lui donne envie de vomir. Sa maman ne bouge pas. D’habitude, lorsqu’elles sont toutes seules comme maintenant, elle entend quelques pleurs étouffés.
La dernière fois que les monstres sont venus, maman a vraiment beaucoup crié.
« Maman ?… Maman, pourquoi je ne t’entends plus ? »
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S’apercevoir que l'on s'est trompé sur une personne, est une chose qui peut nous arriver dans la vie de tous les jours, mais lorsque cette même personne vous faisait sauter sur ses genoux lorsque vous étiez petit, vos sentiments s'entrechoquent et c'est une partie de vous-même que vous ne reconnaissez plus.
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Au fur et à mesure que les cercueils s’enfoncent dans la terre, ce sont des morceaux de mon âme qui disparaissent avec elles et le bruit sourd de la plaque de marbre qui glisse sur l’ouverture pour les enfermer à jamais, finit d’aspirer la part d’humanité qu’il me restait.
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« Bon sang, mais à quoi tu pensais ?! Tu traverses la rue en plein jour, une arme à la main. Mais merde, si on se fait choper maintenant, on aura l’air malin.

– Oui je… j’ai déconné. Quand je l’ai vu, je n’ai pas réfléchi, il fallait que je le tue, j’ai… c’était lui tu comprends ! Je l’ai reconnu. Il fallait que je le tue ! »

Il faut que je le tue !

Je m’assois sur le lit, la tête entre les mains, je me sens comme une Cocotte-Minute sous pression dont le couvercle est mal fermé. Je peux exploser à n’importe quel moment.
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Vidéo de Mehdy Brunet
« Goliat », la bande-annonce. Un thriller de Mehdy Brunet.
La mer de Barents, au large des côtes norvégiennes : Goliat, une plateforme pétrolière en proie aux éléments déchaînés, est le sinistre théâtre d'une série de meurtres odieux. David Corvin, ex-agent du FBI, va devoir utiliser toutes ses compétences pour stopper l'hécatombe. Mais au bout du chemin, il risque de perdre son âme… Et bien plus encore…
Roman disponible le 3 septembre 2020 (papier & numérique).
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