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EAN : 9782070314201
464 pages
Gallimard (13/05/2004)
3.93/5   211 notes
Résumé :
« Le tour de l'île : vingt-quatre pas. Six du nord au sud et d'est en ouest, depuis la porte d'entrée jusqu'à la fenêtre. Les cloisons de planches, la cheminée de marbre et, comme un lac suspendu, le grand miroir - la géographie de la chambre, ses rivages, ses déserts, sa faune, j'en sais tout. Mais le décor, cet étrange décor, acajou et pavé, brocart et chaises dépaillées, qui l'a composé ? Qui, surtout, a donné l'ordre de condamner les portes, puis la fenêtre, la ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (34) Voir plus Ajouter une critique
3,93

sur 211 notes
J'ai tourné autour de ce livre, reculée avant de me lancer, bien que tentée à cause du talent d'écriture de son auteure mais en ayant très peur du sujet. Et j'avais bien raison ! C'est admirablement bien écrit, documenté, exprimé, justement évalué ... aussi, quelle douleur impuissance que de vivre le martyr de ce petit garçon avec la toute puissance de sa prison, la Chambre ! Ce n'est pas un livre dont on sort indemne. Même s'il y a des accusations portées, elles le sont sans haine, plutôt dans le désir de comprendre comment on a pu laisser cet enfant dans un tel abandon jusqu'à sa mort. Et c'est l'infâme rouage de l'indifférence, notamment celle du déni de responsabilité devant la misère de l'innocent sacrifié. le choix de l'auteure est de ne pas faire de ses gardiens des monstres... celui-là avait peur (la Terreur, n'est-ce pas ?) ; celui-ci ne se sentait pas concerné ; l'autre était trop rustre pour s'apitoyer... etc... mais il reste que le petit a connu toutes les affres de l'enfermement dans le noir, la solitude absolue, la maladie, l'oubli total de son humanité. Et, toutes proportions gardées (il s'agit ici d'un enfant humain ) j'ai retrouvé cette attitude qui ne veut pas voir, ces dos qui se tournent "cela ne me concerne pas", lorsque j'essaye d'attirer l'attention sur un de ces chats misérables, livrés à la rue, que je tente de sauver... Ne sommes-nous pas tous coupables, pour une raison ou pour une autre, un jour, ne n'avoir pas osé intervenir ?
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Une chambre aux fenêtres obturées, des portes barricadées, c'est dans ce lieu sombre que vit pendant plus de 3 ans,"l'orphelin du Temple", le fils de Louis XVI. Après que ses instituteurs soient partis, l'otage de la nation se retrouve seul, abandonné de tous, oublié dans cette chambre crasseuse où les poux et la vermine sont devenus ses seuls compagnons. le petit Capet agonise sans qu'on le remarque et meurt à l'âge de 10 ans, victime de la bêtise et de la cruauté des hommes.

En écrivant l'histoire de cet enfant séquestré et de ses gardiens, Françoise Chandernagor a réussi le pari de transcender le roman historique en une oeuvre bouleversante et intemporelle sur la violence ordinaire.
Ici pas d'assassins même si tous sont coupables; coupables de la mort d'un enfant, victime de maltraitance et d'oubli. Et c'est avec une ironie mordante que l'auteur souligne la bêtise, l'indifférence et la cruauté.
Une oeuvre tragique, révoltante et émouvante aux larmes.
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La chambre de Françoise Chandernagor nous narre la réclusion du jeune fils de Louis XVI, Charles Louis Capet, au sein de la prison du Temple. Une nuit, le garçon de 7 ans est séparé de sa famille et enfermé dans une chambre jaune.
Au début de son emprisonnement, Antoine, "l'instituteur", et sa femme prennent à peu près bon soin de lui. Ils le lavent, le nourrissent et s'occupent de l'entretien de la chambre et du linge. Ils sont un peu rustres et critiquent ses parents, mais il n'est point malheureux.
Lorsque les deux l'abandonnent et le laissent seul dans la chambre, l'enfant se retrouve confronté à ses peurs, surtout la nuit, et se replie peu à peu sur lui-même. Désormais, une flopée d'adultes "veillent" sur lui tour à tour, des commissaires, des fonctionnaires, ayant tous peur d'enfreindre le règlement quelque peu contradictoire qui régit la réclusion des otages. Ils le nourrissent et le chauffent. Point. L'enfant n'a pas de compagnie, plus de jouet, aucune notion du temps et ne voit presque pas la lumière du jour. Il est livré à lui-même et très vite se néglige. Linge et corps sales, il finit par faire ses besoins par terre et la vermine pullule. Il ne mange pas, est prostré, ne parle plus et tombe malade.
Devant l'état déplorable de l'enfant, peu d'adultes agissent et le pauvre petit se mure de jour en jour dans sa solitude et son isolement.
C'est que le contexte de la Révolution Française n'aide pas, chacun a peur pour sa peau, les dénonciations sont nombreuses et les têtes tombent. On voit que l'enfant ne va pas bien, mais chacun se rejette la responsabilité et préfère rester aveugle.
C'est un roman plein d'émotion et très fort. L'auteure alterne les points de vue, celui des médecins, des commissaires, de l'économe et notamment celui très pertinent de la blanchisseuse qui constate qu'elle n'a plus de vêtement du petit à laver. Tous ces adultes, trente ans plus tard, alors qu'ils sont questionnés, se dédouanent. A qui la faute ? A l'Histoire ? A l'absurdité des ordres donnés d'en haut ? Toujours est-il que le jeune Louis XVII a été victime de ce contexte. Il est né dans la mauvaise famille, au mauvais moment.
J'ai adoré ce texte, très intelligent. C'est effroyable mais l'auteure reste à distance. Une courte et triste tranche de l'histoire que Françoise Chandernagor nous fait revivre.
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Qui n'a pas été curieux du sort réservé au fils de Louis XVI ?
Est-il mort dans la tour ? est-il sorti vivant ?
Aujourd'hui encore , beaucoup de prétendants pour cette descendance...
Françoise Chandernagor narre ce qu'a été la vie du dauphin , cet enfant de 8 ans enfermé dans la chambre , coupé du monde dans les temps les plus sanglants de notre histoire , cette période de terreur : 1789.
Une séquestration qui reste un fait divers au regard de l'horreur extérieure , de la politique déchirée et d'une administration dans le chaos.
C'est l'histoire d'une invraisemblable affaire en huit-clos qui nous transbahute dans une pièce dans laquelle toutes les humiliations et conditions de détention des plus cruelles s'abattent , l'observation de la déchéance et de la solitude jusqu'à l'autisme , l'agonie.
L'auteur ressuscite l'abomination , retraçant grâce aux documents d'époque , des témoignages anciens de tous ceux ayant approché le dauphin dans la tour , le tout, renfermant l'atrocité d'une période ou chacun craint pour sa tête , sans prendre de gants, Chandernagor décrit la peur qui régnait dans chaque logis de France face aux rouages d'une société embrasée et sanguinaire.

Ce roman soulève au delà de ce fait historique, l'inhumanité , la bêtise de masse et nos temps sombres , toujours d'actualité dans divers pays dans lesquels l'infamie règne en toute liberté , à l'image de la Russie Poutiniste , le Liban, la Syrie et j'en passe...
Chandernagor écrit, toujours avec cette écriture académique , un récit fouillé des plus intéressants , peut-être parfois un peu trop monotone lorsqu'elle bifurque dans les infractuosités de l'administration d'antan , ce qui peut lasser certains lecteurs.
Il en reste que l'humanité en ressort et que l'hommage est rendu à un oublié de l'histoire , ainsi qu'à tous les martyrs qui subissent encore leurs bourreaux.
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C'est la tragique histoire d'un petit garçon qui va mourir.
Récit bouleversant de l'emprisonnement, l'isolation et l'agonie d'un petit garçon de 10 ans, otage embarrassant qu'on a trouvé plus simple de nier, d'"effacer"... avec le temps, on oublie...

Françoise Chandernagor nous raconte les derniers mois de Louis XVII avec toute la science de l'historienne, le talent de la romancière et surtout, les accents d'une mère : le morne enfermement dans la chambre-tombeau, l'épaisseur d'un temps privé de calendrier, l'agonie lente du délaissement. Par cette évocation, sans pathos mais pleine de colère, du déchirant martyre du petit roi, elle nous fait entendre l'insupportable indifférence face à l'assassinat insidieux d'une vie qui n'a pas même commencé.
Bouleversant !
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Citations et extraits (23) Voir plus Ajouter une citation
La bêtise "au commencement", la paresse, la négligence ? Le jaune, le beige, le fadasse ? Allons donc ! Le rouge oui. Le sang. Au commencement était le sang. La haine. La violence, la guerre, le crime ; puis la revanche de la défaite, le châtiment de l'assassinat ; et la revanche de la revanche, le châtiment du châtiment...
Tuer était bon, les hommes s'aperçurent que c'était bon - agréable, facile : il n'y fallait que du sentiment... Tous les lieux, tous les outils faisaient l'affaire ; quant aux prétextes, on n'en manquait jamais : race, religion, parti, nation, autre. Les hommes savaient pourquoi ils tuaient ; ils comprenaient aussi, même quand ils le regrettaient, pourquoi ils mouraient : chacun était l'autre d'un autre.
Mais leurs enfants, qu'est-ce qu'ils comprenaient les enfants ? Des enfants qui ignoraient jusqu'à leur nom, et ne distinguaient pas leur corps du corps qui les avait portés, et ne séparaient pas encore le dedans du dehors, et ne démêlaient pas l'amour de soi de l'amour du prochain, et se fondaient dans l'univers comme un sucre fond dans l'eau, les enfants ne comprenaient rien. Ils ouvraient des yeux étonnés. De grands yeux d'ombre. Fixaient le ciel, ou les murs. Fuyaient dans le ciel, rentraient dans le mur. Et c'était le ciel qu'on fusillait, le mur qu'on étranglait.
Ainsi périrait un jour la chambre fermée. Lentement, très lentement, elle disparaîtrait au fond des yeux d'un enfant. Lentement, avec l'enfant étouffé, la chambre asphyxiée.
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Il vivra dix ans et trois mois. Mais toute vie achevée est une vie accomplie : de même qu'une goutte d'eau contient déjà l'océan, les vies minuscules, avec leur début si bref, leur infime zénith, leur fin rapide, n'ont pas moins de sens que les longs parcours. Il faut seulement se pencher un peu pour les voir, et les agrandir pour les raconter. L'enfant de la Tour est un vieillard parce qu'à son échelle il a tout vécu. Il ne lui reste ni illusions ni appétit. Sa mesure est comble.
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Possible. Normalement, nous, en bas, nous n'avions pas plus affaire aux économes qu'aux cuisiniers; à part un ou deux garçons d'office qu' on apercevait au moment des repas et les porte-clés, on ne voyait aucun des "permanents"; ce bonhomme-là - Coru ou Lelièvre, je ne sais plus -, je l'avais recroisé dans une cour dans la maison... Les draps, en tout cas, sans compter les mille cinq cents serviettes ou torchons! Les toiles du rez de chaussée, on nous les changeait deux fois la semaine. Rien à redire sur le principe. Sauf que, dans nos quatre lits, venaient coucher toutes sortes d'hommes; même des traines-misères, si contents d'être nourris qu'ils se portaient volontaires plus souvent qu'à leur tour! Tous égaux devant la Loi, c'est que, dans un lit, un indigent compte pour plusieurs : ces pauvres diables ne venaient jamais seuls, comprenez-vous, ils amenaient leurs "habitants", poux, puces, punaises... Et je ne vous parle pas de leurs éruptions militaires, ni de leurs catharres glaireux! Par la suite, je dormais assis; assis à la table, la tête dans les bras : dans mon métier on ne badine pas avec l'hygiène.
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...les fournées de la mort étaient souvent des fournées de hasard, on ratissait large - les rigolos avec les pas-marrants, les purs et les impurs, les gauchistes avec les droitiers, les natifs de l'Aube avec les natifs de l'Orne, les Parisiens avec les Savoyards. " Y a-t-il guillotine aujourd'hui? - Oui, car il y a tous les jours trahison"...La roue tourne, et en tournant elle écrase; il faut du sang dans le pressoir: "Certains y teignent leurs piques, d'autres leurs mouchoirs, leurs mains.L'exécuteur, étonné de l'empressement de plusieurs à y tremper leur sabre, s'écrie:"Attendez donc, je vais vous donner un baquet où vous pourrez les tremper plus aisément". (page 156)
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Tuer était bon, les hommes s'aperçurent que c'était bon - agréable, facile : il n'y fallait que du sentiment... Tous les lieux, tous les outils faisaient l'affaire ; quant aux prétextes, on n'en manquait jamais : race, religion, parti, nation, pour être "l'ennemi" il suffisait que l'autre fût autre. Les hommes savaient pourquoi ils tuaient ; ils comprenaient aussi, même quand ils le regrettaient, pourquoi ils mouraient : chacun était l'autre d'un autre.

Mais leurs enfants, qu'est-ce qu'ils comprenaient, les enfants ? Des enfants qui ignoraient jusqu'à leur nom, et ne distinguaient pas leur corps du corps qui les avait portés, et ne séparaient pas encore le dedans du dehors, et ne démêlaient pas l'amour de soi et l'amour du prochain, et se fondaient dans l'univers comme un sucre fond dans l'eau, les enfants ne comprenaient rien. Ils ouvraient des yeux étonnés. De grands yeux d'ombre. Fixaient le ciel, ou les murs. Fuyaient dans le ciel, rentraient dans le mur. Et c'était le ciel qu'on fusillait, le mur qu'on étranglait.
Ainsi périrait un jour la chambre fermée. Lentement, très lentement, elle disparaîtrait au fond des d'un enfant. Lentement, avec l'enfant étouffé, la chambre asphyxiée.
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Vidéo de Françoise Chandernagor
« Une anthologie de femmes-poètes ! - Eh oui, pourquoi pas ? […] On a dit du XIXe siècle que ce fut le siècle de la vapeur. le XXe siècle sera le siècle de la femme. - Dans les sciences, dans les arts, dans les affaires et jusque dans la politique, la femme jouera un rôle de plus en plus important. Mais c'est dans les lettres surtout, - et particulièrement dans la poésie, - qu'elle est appelée à tenir une place considérable. En nos temps d'émancipation féminine, alors que, pour conquérir sa liberté, la femme accepte résolument de travailler, - quel travail saurait mieux lui convenir que le travail littéraire ?! […] Poète par essence, elle s'exprimera aussi facilement en vers qu'en prose. Plus facilement même, car elle n'aura point à se préoccuper d'inventer des intrigues, de se créer un genre, de se faire le champion d'une idée quelconque ; - non, il lui suffira d'aimer, de souffrir, de vivre. Sa sensibilité, voilà le meilleur de son imagination. Elle chantera ses joies et ses peines, elle écoutera battre son coeur, et tout ce qu'elle sentira, elle saura le dire avec facilité qui est bien une des caractéristiques du talent féminin. […] Et puis, au moment où la femme va devenir, dans les lettres comme dans la vie sociale, la rivale de l'homme, ne convient-il pas de dresser le bilan, d'inventorier - si l'on peut dire, - son trésor poétique. Les temps sont arrivés où chacun va réclamer le bénéfice de son apport personnel. […] » (Alphonse Séché [1876-1964])
« Il n'y a pas de poésie féminine. Il y a la poésie. Certains et certaines y excellent, d'autres non. On ne peut donc parler d'un avenir spécial de telle poésie, masculine ou féminine. La poésie a toujours tout l'avenir. Il naîtra toujours de grands poètes, hommes ou femmes […]. Où ? Quand ? Cela gît sur les genoux des dieux, et nul ne peut prophétiser là-dessus. […]. » (Fernand Gregh [1873-1960])
0:00 - Martine Broda 0:32 - Sylvie Fabre G 1:57 - Maximine Lagier-Durand 2:33 - Amina Saïd 3:53 - Béatrice Bonhomme 4:17 - Hélène Dorion 5:15 - Alicia Gallienne
6:50 - Générique
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Références bibliographiques : Couleurs femmes, poèmes de 57 femmes, Paris, co-édition le Castor Astral/Le Nouvel Athanor, 2010. La poésie à plusieurs voix, rencontres avec trente poètes d'aujourd'hui, sous la direction de Serge Martin, Paris, Armand Colin, 2010. Françoise Chandernagor, Quand les femmes parlent d'amour, Paris, Cherche midi, 2016. Alicia Gallienne, L'autre moitié du songe m'appartient, Paris, Gallimard, 2019.
Images d'illustration : Martine Broda : https://www.babelio.com/auteur/Martine-Broda/183879 Sylvie Fabre G : https://www.editionsunes.fr/catalogue/sylvie-fabre-g/ Maximine Lagier-Durand : http://editionsws.cluster011.ovh.net/wp-content/uploads/2011/04/Maximine.jpg Amina Saïd : https://fr.wikipedia.org/wiki/Amina_Saïd#/media/Fichier:Amina-Saïd_Hazam_(21e_Maghreb_des_Livres,_Paris,_7_et_8_février_2015).jpg Béatrice Bonhomme : https://www.southeastreview.org/single-post/poetry-by-béatrice-bonhomme-translated-by-emelie-griffin Hélène Dorion : https://www.lesoleil.com/2020/10/15/entretien-public-avec-helene-dorion-pour-donner-vie-aux-mots-4119980a99b2ea22baac03f17396a0e7 Alicia Gallienne : https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/2020/01/31/alicia-gallienne-etoile-filante-de-la-poesie_6027964_
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