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Kay Scarpetta, agent du FBI tome 12 sur 26

Hélène Narbonne (Traducteur)
EAN : 9782702134153
400 pages
Calmann-Lévy (04/02/2004)
3.46/5   415 notes
Résumé :
Baton rouge, Louisiane, 230 000 habitants, ancien comptoir français sur le Mississippi...

Plaque tournante de tous les trafics, c'est la ville des États-Unis qui compte le plus grand nombre de crimes par habitant. C'est aussi là que Kay Scarpetta a rendez-vous avec son destin, car les frères Chandonne ne l'ont pas oubliée.

La mort est tapie au fin fond du bayou et frappe en série...
Les amis de Scarpetta arriveront-ils à temps po... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (17) Voir plus Ajouter une critique
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Lu en anglais ma lecture n'en fut pas très simple, déjà à cause des termes médicaux que j'ai dont j'ai dû chercher la traduction puis la signification mais surtout parce que je ne suis pas entré dans le roman.
Douzième volume sur Kay Scarpetta ça commence à faire beaucoup et si le filon s'amenuise, on peut même dire qu'il se tari avec ce volume. de mémoire le précédent se termine avec la mort d'un personnage important, Benton, et j'aurais préféré que ça s'arrête là. Dans ce volume elle démissionne ouvre son propre cabinet médico-légal et c'est long. Autre point négatif, on passe du « je » à la troisième personne ce qui est un peu déroutant, ça contribue à me faire sortir du récit, en tout cas pour cette auteure.
En positif on a quand même le style de l'auteure qui sait mettre de la psychologie derrière ses personnages, le livre a un excellent rythme de lecture avec ses chapitres courts et bien que je lui trouve un peu trop de longueurs, il y a tout de même le point de vue du tueur que l'on n'avait pas avant qui reste une petite révolution chez Patricia Cornwell dans cette saga.

Au final je suis mitigé, si le style d'écriture change c'est pour le meilleur et pour le pire, le roman met du temps à décoller et l'histoire des jumeaux est assez caricatural.
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Patricia Cornwell écrit bien, ceci est un fait. Mais à trop vouloir exploiter un filon qui lui a rapporté de l'or elle finit par l'épuiser. le dernier opus de Cornwell qui fait intervenir les personnages de Scarpetta, Marino ou Lucy est bien décevant. L'action ne décolle pas vraiment avant les trente ou quarante dernières pages, et on s'ennuie un peu pendant les 500 pages précédentes. le livre est rempli d'invraisemblances dans l'histoire, telle la réapparition d'un personnage mort depuis quelques épisodes déjà ou encore la rencontre de Scarpetta avec des personnages liés plus ou moins directement à l'histoire, ou d'autres coïncidences qui arrivent fort à propos. J'ai vraiment l'impression que Cornwell a bâclé son livre. Un avis personnel qui ne fait que se confirmer à la lecture de la série des Scarpetta : j'ai vraiment l'impression que Cornwell s'identifie vraiment à son personnage. D'ailleurs après avoir vu la photo de la romancière, lorsqu'on lit le livre on se représente (du moins est-ce mon cas) le docteur Scarpetta avec les traits de Patricia Cornwell. Ce livre m'a vraiment déçu, même si c'est toujours aussi bien écrit et je pense qu'elle aurait pu économiser entre 50 et 100 pages en détails superflus et inutiles. le récit y aurait gagné en rapidité et en clarté.
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Quelle lecture laborieuse. On change de ton et de perspective: Cornwell troque le fameux "Je" de Scarpetta pour reprendre une écriture plus classique. Ce qui n'est pas forcément une mauvaise chose, car à trop se focaliser sur les sentiments de son héroïne, les histoires partaient trop dans le pathos, ce qui gâchait l'histoire policière.

Seulement voilà, son écriture est devenue lourde: à force de vouloir tirer sur la corde des Chandonne ça finit par casser. Je n'ai trouvé aucune originalité dans le début de ce roman, que ce soit au niveau de l'intrigue, de la révélation qui ne m'a même pas surprise ou des personnages. J'ai eu l'impression à plusieurs moments (notamment ceux avec les frères) de lire une mauvaise copie d'un livre de Thomas Harris: exemple dans la cellule, ou il est clair que Cornwell s'est plus qu'inspiré de Lecter.

L'histoire est plate, ne décolle pas, je me suis forcée à lire jusqu'au milieu puis j'ai abandonné. Rien ne va, on retrouve encore et toujours des incohérences de temps et scénaristiques, ça en devient vraiment lassant. Bientôt la tante et la nièce auront le même âge, logique.

Bref, un livre à vite oublier.
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J'ai du mal à me prononcer sur ce livre... dès les premières pages, j'ai cru que j'allais détester le bouquin. Pourtant, il n'était pas si mal. Les phrases bien tournées, l'enquête un minimum interessante. Je pense que ce qui m'a le plus déplu, c'est le fait de ne pas vivre pleinement le bouquin, dans le sens où il est sans cesse rappelé les détails des précédents tomes. C'est la première fois que je lis les aventures de Kay Scarpetta, je pense que l'histoire aurait pu être mieux et moins se finir en queue de poire dans l'unique but d'acheter la suite de la saga... bref pas sûr que je replonge mon nez dans un livre de P. Cornwell :)
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Et un roman de plus, le douzième de la série, que je n'ai pas apprécié. Ma première déception était Mort en eaux troubles puis Dossier Benton ne m'avait vraiment pas passionné... Là, je dois dire que je n'avais qu'une envie : que l'histoire des frères Chandonne se finissent... En fait, pour dire vrai, je suis allée jusqu'au bout pour ne pas rater d'éventuels évènements concernant les personnages. Ma patience a eu raison.
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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Une pièce d'identité, pourquoi pas ? En revanche, un appel est superflu. Benton est assez amusé. Le portier est ouvertement grossier vis-à-vis de lui, un étranger un peu miteux. Il a oublié, comme la plupart des New-yorkais actuels, que dans le passé la plus grande vertu de cette ville a précisément été d’accueillir des hordes d'étrangers poussiéreux et débraillés, des immigrants miséreux qui parlaient à peine deux mots d'anglais.
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Il y a deux heures - ou était-ce trois ou quatre ? - des heures irréelles, il dînait assis sur le même siège, lorsque quelqu'un du service d'étage a frappé pour lui offrir une bouteille de Moët & Chandon - compliment de la direction. Rocco est pourtant roué et atteint de paranoïa chronique, mais il n'a rien vu venir. Après tout, il est un homme important et séjourne toujours au Radisson lorsqu'il vient à Szczecin. Il s'agit du seul hôtel de la ville et la direction lui envoie souvent de petits cadeaux (un excellent cognac ou des cigares cubains) parce qu'il règle sa note en dollars américains et non en zlotys sans valeur.
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L'hilarité s'évanouit aussi vite qu'elle est née, les plaisanteries sur les asticots s'éteignent. D'autres cadeaux sont offerts à Scarpetta : un stylo de l'espace censé parvenir à écrire dans n'importe quelles conditions : « Sous la pluie, dans le blizzard, et si jamais vous le laissez tomber dans une cage thoracique pendant que vous pratiquez une autopsie » ; une minitorehe Maglite « pour voir dans tous ces endroits difficiles à atteindre », et une casquette de base-ball bleu foncé aussi chamarrée d'or que celle d'un général
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Lucy sourit, tend les bras en croix, et l'officier la palpe rapidement. Ses mains passent légèrement sous les aisselles, sous les seins, les cuisses, de bas en haut jusqu'à l'entrejambe, tout cela, évidemment, de façon très professionnelle. Les autres passagers passent sans problème, bien que certains, des hommes surtout, fassent montre d'une indiscutable curiosité envers la belle jeune femme aux bras et aux jambes écartés. Lucy s'en contrefiche. Elle a traversé bien trop de choses pour perdre une quelconque énergie à se montrer pudique. Elle hésite même à déboutonner sa chemise pour désigner l'armature métallique de son soutien- gorge, afin que l'officier puisse s'assurer qu'aucune pile, aucun mécanisme explosif, si minuscule soit-il, n'y est attaché
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Had the larva lived, it would have matured into a bluebottle Calliphora vicina, a blow fly. It might have laid its eggs in a dead human body's mouth or eyes, or in a living person's malodorous wounds.
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Vous l'attendiez, voici enfin le premier épisode du tout nouveau podcast des éditions du Masque : Conversation dans le noir. Chaque jeudi, nous vous proposerons une conversation téléphonique entre éditrice et auteure à écouter sur l'ensemble de nos réseaux sociaux. Dans ce premier épisode c'est Louise Mey qui ouvre le bal avec une conversation passionnante autour des femmes, de l'écriture et du militantisme en temps de confinement. Nous vous souhaitons une bonne écoute !
Extrait lu : https://fal.cn/extraitladeuxiemefemme
Oeuvres citées : Comtesse de Ségur Les quatre filles du docteur March - Louisa May Alcott Fred Vargas Série Kay Scarpetta - Patricia Cornwell Ecriture : Mémoires d'un métier - Stephen King
CRÉDITS : Conversation dans le noir est un podcast des éditions du Masque. Réalisation : Paul Sanfourche. Générique : Longing - Joachim Karud.
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