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EAN : 9782714456519
496 pages
Belfond (03/04/2014)
3.54/5   24 notes
Résumé :
Paris, Londres et... l'Afrique. De l'uranium et... des sommes d'argent phénoménales. Entre corruption et crime organisé, vérité et mensonge, Radioactif nous révèle les dessous d'une affaire d'État.
Paris, Londres et... l'Afrique. De l'uranium et... des sommes d'argent phénoménales. Entre corruption et crime organisé, vérité et mensonge, Radioactif nous révèle les dessous d'une affaire d'État.

Placardisé par la DGSE, le service secret français d... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique

Reçu dans le cadre de MASSE CRITIQUE en partenariat avec l'éditeur


Qualifié de "thriller" par l'éditeur comme beaucoup de livres aujourd'hui (cela doit faire vendre), j'aurais plutot titré "espionnage" ou "politique fiction". En effet le fond de l'histoire est typiquement une affaire d'espionnage mélée à des magouilles economico-politiciennes, mises en roman mais s'appuyant sur des bases très réelles.

Mon avis sur le fond pour commencer:

L'auteur, aujourd'hui romancier a commencé sa carrière comme conseillé en géopolitique auprès du secrétaire d'état au commerce extérieur en 1995, avant de mettre ses compétences au service du commerce diamantaire en afrique. Connu à ce titre, il est contacté en 2009 par Saïfee Durbar, un homme d'affaire pakistanais qui va lui faire d'étonnante révélation sur une sulfureuse affaire. Ces révélations concernent "l'affaire" URAMIN qui implique Anne Lauvergeon dirigeante du grand groupe Français Areva et dans laquelle apparaissent plusieurs acteurs connus de la scène politique.

N'étant plus consultant et seulement romancier, Vincent Crouzet en fait un roman dans lequel il maquille les identités (Anne Lauvergeon devient Henri de Nogaret, Uramin devient Urafrik,...) et certains faits (Durbar ne contacte pas l'auteur mais un espion de la DGSE)

Pour le reste le livre reste un roman à tiroir et le lecteur curieux pourra se replonger dans la véritable affaire pour imaginer les véritables protagonistes sous leur alter ego littéraire. On y reconnaitra assez facilement un ancien président de la république et ses amis Claude Guéant et Patrick Balkany.

Les amis de Nicolas Sarkozy ou d'Anne Lauvergeon accuseront l'auteur d'avoir écrit ce roman pour leur porter atteinte, d'autres préféreront penser de façon un peu simple et lapidaire "tous pourris" (ce que l'actualité pousse à penser un peu trop souvent j'en convient et la valeur de l'honnéteté semble très fragile et en voie de disparition face à l'argent, mais pas qu'en politique malheureusement...), d'aucuns diront peut etre aussi "oui mais ça c'était avant" (mais je crains qu'ils ne déchantent un jour, malheureusement aussi).

Pour moi, sur ce point, j'en reste à ce qu'écrit l'auteur lui même en postface (je résume en un extrait): "la liberté du romancier [...] est de croire ce qui n'est peut être pas, de se laisser embarquer, de lier l'imagination aux faits, de construire et déconstruire des silhouettes. Je n'ai pas tout inventé[...] je n'ai pas la prétention d'avoir écrit la moindre vérité car je reste circonspect sur de nombreux points de ce dossier"

Alors en résumé l'histoire qui nous est conté (vrai ou fausse) est forcément intéressante, typiquement une histoire d'espion avec ses faux semblants, ses manipulations, ses intérets politiques et économiques qui peuvent broyer des vies. La limite de cet exercice, c'est que pris dans le carcan de faits réels, le romancier se trouve contraint à respecter un nombre de personnages un peu élevés et de ce fait leur accorder une place limitée parfois. Je l'ai regrété pour certains.

Après le fond, la forme:

480 pages de roman qui m'ont été globalement agréables à lire à l'exception de quelques passages. Je ne connais pas cet auteur, je ne sais donc pas si la critique qui suit est généralisable à tous ses livres ou si c'est une figure de style propre à celui ci. J'ai eu un peu de mal avec des passages écrits en style quasi télégraphique. Phrases courtes. Un mot. Parfois deux. C'est quelquefois intéressant pour syncoper une action ou rendre un passage plus dur, plus sec, plus rapide. Mais dans certains chapitres de Radioactif ce style est trop utilisé, trop longtemps, rendant la lecture hachée ou donnant presque à penser que l'auteur veut nous décrire une scéne à la manière d'un synopsis sans s'embéter à trouver des phrases (exemple dès le début "4 décembre 2005, 1 h 15 du matin.
Aéroport Ben-Gourion de Tel-Aviv. Zone d'arrivée internationale. Arrivée du vol Ethiopian Airlines 404 en provenance d'Addis-Abeba.
Tailleur gris, jambes moins sages, escarpins pressés mais pas trop, chignon pas encore délié, yeux noirs sur visage tanné sous un ciel d'Afrique, encore plus brune, Rachel Rachminov suit la ligne jaune qui conduit inexorablement au premier poste contrôle.). Et c'est d'autant plus dommage que par ailleur plein d'autres passages sont écrits de façon tout à fait correcte donnant un bien meilleur sentiment à leur lecture.

Mon deuxième reproche sera l'utilisation inapropriée de mots anglais. Je ne suis pas un puriste du français et je trouve tout à fait normal de retrouver ici et là dans un dialogue ou une description mettant en scène des agents du MI6 une expression en VO ainsi que dans la bouche du "radjah", mais parfois au détour d'un paragraphe on retrouve les highways (de johannesburg où l'on parle anglais je vous l'accorde mais "l'autoroute johannesburg - pretoria" était aussi précis) qui nous emmènent vers Reddersburg Middle class vicinity... C'est un détail, c'est peut être du à l'auteur qui a vécu en Afrique du Sud et a sans doute manié quotidiennement la langue anglaise dans ses précédentes activités, mais à mes yeux de lecteur (pour ces passages non justifiés uniquement) cela m'accroche l'oeil comme un effet "mode" pour faire "branché" sans réelle justification.



Globalement un roman qui interessera fortement les passionnés d'actualité, les lecteurs friands de découvrir les coulisses du pouvoir et des affaires, et les amateurs d'espionnage (au sens affaires, pas au sens "action").

Lien : http://leslivresdemavie.over..
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Le résumé du livre m'attirait beaucoup : on y parle de service secret, de corruption, d'espions, de personnes influentes, de sommes d'argent considérables (du moins pour le commun des mortel, peut-être moins pour des personnes habituées à être dans de ‘hautes sphères', quoi sue…)
Bref, beaucoup de choses qui peuvent aiguiser ma curiosité.

J'avoue que malgré mes faibles connaissances des « affaires d'état », j'ai pu reconnaître ou du moins deviné quelques identités réelles qui ont inspiré quelques personnages, mais le côté mélange de réel et de fiction n'est pas ce qui me plaît le plus quand je lis un roman…
Donc du coup de ce point de vue là j'ai été un peu déçue, parfois un peu déroutée mais c'est purement personnel.

Côté style aussi j'ai été surprise, par des phrases parfois très courtes, parfois juste un ou deux mots. le côté « télégramme » n'est pas forcément très utile, surtout quand on a des passages écrits entièrement comme cela, j'avoue que j'apprécie plus une « vraie » phrase, avec sujet, verbe, complément.

Autre point dans le style d'écriture qui m'a très vite lassée, c'est l'utilisation de vocables anglais…
Bon Ok, une partie du livre se déroule à l'étranger, y compris en Angleterre et Afrique du Sud où l'anglais se parle couramment ; cependant on aurait parfois dit une surenchère pour savoir quel personnage allait montrer qu'il connaissait le plus de mots anglais à incorporer comme si de rien n'était dans une conversation.
Je veux bien que dans le monde politique et des affaires il se parle plus anglais que français, mais on est quand même dans un roman français, écrit par un français… Je n'ai rien contre l'anglais, j'adore même tout ce qui est VO, mais au bout de plusieurs chapitres ça m'apparaissait très « lourd »…

Côté histoire par contre, j'ai été très agréablement surprise.
Les personnages, même inspirés de personnes réelles, sont quand même très intéressants.
J'avoue que le personnage du Radjah tient le livre à lui tout seul. Comme Montserrat, ce personnage m'a vraiment captivée. On ne sait pas trop où se situe la frontière réel/imagination/exagération dans ses dires, mais une chose est sûre on a vraiment envie de l'écouter raconter son histoire.
Manipulateur ? Bien sûr, mais pas forcément plus que les autres personnages.

Et puis il faut quand même bien dire que l'histoire est intrigante. Basée sur des faits réels, on a vraiment envie de savoir ce qu'il va se passer dans le livre pour nos personnages ; et quand comme moi on ne connaît pas vraiment l'histoire réelle, j'ai eu envie de m'intéresser un peu plus à ce qu'il s'est passé pas si loin de nous. C'est aussi une force du livre de vouloir faire s'intéresser le lecteur à la réalité, d'aller au-delà de la fiction.
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Radioactif, ce bouquin de Vincent Clouzet l'est vraiment ! Car je vous le promet une fois que l'on est pris dedans on ne s'en sort plus indemne.
Mais alors « Radioactif » ça nous raconte quoi :
le colonel Montserrat se retrouve à Londres et rencontre un grand ennemi de la France en Afrique surnommé le Radja. Il apprend par l'homme d'affaires sans scrupules que deux milliards de dollars ont atterri dans les poches de dignitaires français et africains. Montserrat cherche à démêler le vrai du faux. Ah oui j'ai oublié de vous le dire notre colonelle est un Agent de la DGSE mis au placard. Ausssi rien ne lui fait peur même pas de se lancer seul dans cette dangereuse enquête.
Nous sommes ici dans des dossiers qui nous dépassent, nous commun des mortels. Dans des affaires d'états par très reluisantes. Entre manipulations, caisses noires, corruptions, tout est bon pour faire mains basses sur les ressources de la planète même au dépend des populations. Vincent Clouzet nous offre ici un récit d'espionnage d'un genre nouveau très crédible et parfaitement documenté.
Le style de l'auteur est nerveux, l'histoire est rondement menée et l'intrigue haletante ne nous laisse pas de répit. Je vous avez prévenus, ce scénario est criant de vérité et pourtant tellement hallucinant. Ce thriller est fait pour les amateurs de suspense exigeant, boulimiques d'actu ou adeptes de géopolitique


Lien : https://collectifpolar.com/
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Il y a des coïncidences qui sont amusantes. Un livre d'espionnage avec comme sujet principal un scandale d'État autour de l'uranium qui est sorti au moment de l'emballement de l'affaire Uramin qui a fortement secoué Areva. Il est donc utile de préciser (ou pas) que toutes ressemblances avec quelques personnes existantes sont fortuites (ou pas).

Tout commence avec un ancien espion, Michel Montserrat qui répond à l'appel d'un ami. Ce dernier lui demande de le rejoindre à Londres dans les plus brefs délais. Cet ami, Guillaume de Rouvroy, sert juste d'intermédiaire pour le mettre en contact avec Radjah, trafiquant de haut vol.
Suite à cette rencontre l'ancien espion reprend du service en étant plongé dans une affaire mêlant États, Services secret et rétro commissions…

« Radioactif » est un roman qui nous happe dès le début, même si une certaine complexité apparait au lancement du récit. En effet, les rouages de ce récit n'étant pas familiers, il faut s'y retrouver, mais une fois que les personnages sont situés et l'affaire comprise on prend un grand plaisir à suivre cette affaire.
Il est très plaisant de se retrouver plongé au milieu de cet imbroglio dans lequel se retrouvent des hommes d'affaires, des hommes d'État, des services de renseignements, des mafieux et ceci en nous emmenant en Afrique, dans des paradis fiscaux.

Les personnages peuplant ce roman apparaissent crédibles, manipulateurs, fourbes, et menteurs, et ce quelques soit le coté auxquels ils appartiennent. Une mention spéciale pour le Radjah qui est un intrigant formidable mais redoutable. L'ensemble de ces protagonistes sont en fait tout simplement humains et réalistes, et je l'écrivais en préambule, la ressemblance avec certain de nos politiques est assez frappante voir troublante… cette histoire n'est-elle vraiment que fiction ? Apriori pas vraiment…

Pour finir, j'ai passé un très agréable moment avec cet auteur et ce roman, et cela fait du bien de trouver de l'espionnage dans la littérature noire, car ce genre se fait de plus en plus rare.
Lien : http://polar.zonelivre.fr/vi..
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Passionnant roman , mêlant espionnage , investigation dans les milieux politico industriels sous le régime Sarkozy . Il est vrai qu'après les récentes affaires qui ont éclaboussés l'UMP on n'est presque pas surpris d'apprendre aujourd'hui ce qui s'est déroule il y a 7 ans . Vincent Crouzet a su parfaitement mettre à profit le témoignage de Saifee Durbar pour bâtir une histoire qui met en lumière l'équation reine chez tout être humain quelque que soit sa condition sociale : sexe , argent et pouvoir . Rajoutez y un zeste de manipulation et vous obtiendrez un récit haletant avec des personnages haut en couleur , des voyages longs courriers à travers le globe qui s'enchaînent comme les gares d'un omnibus et de beaux rebondissements savamment orchestres .
Un livre qui se savoure comme un Corton Charlemagne 2005 ...
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critiques presse (1)
LesEchos
21 mai 2014
Le roman de Vincent Crouzet est bâti sur une hypothèse qui n'a, jusqu'ici, jamais été démontrée, mais qui ne peut que séduire un romancier : Un ennemi de la France « détient la preuve que de faramineuses rétrocommissions ont été versées à l'occasion du rachat de concessions minières africaines ».
Lire la critique sur le site : LesEchos
Citations et extraits (25) Voir plus Ajouter une citation
Soudain, il perçoit un vrombissement sourd. L'écho d'une fête voisine ? Non, ce n'est pas ça, c'est autre chose. Il distingue des bruits diffus au-dehors : des pas étouffés qui s'approchent. Le silence. Puis trois claquements secs. Puis un hurlement, suivi d'un second. Et la chute brutale du corps de la sentinelle contre la porte de bois vermoulu qui explose sous un coup de bélier. Trois hommes cagoulés en treillis camouflé léopard, masqués infrarouge, surgissent dans la pièce. Le premier d'entre eux le relève vigoureusement, le prend par la taille pour l'extraire de sa geôle, ils enjambent, en quittant la modeste maison, outre celui de la sentinelle, quatre cadavres, dont celui très corpulent de Fortune, au visage violacé, la gorge cisaillée par un lacet d'étrangleur. Tout va très vite. Il est entraîné à travers une végétation dense. De nouveaux coups de feu ont claqué. Des balles traçantes fusent à travers la forêt et se perdent sur la surface des eaux noires de la rivière. Ce vrombissement. Le ronflement d'un moteur Turboméca d'un Puma SA 330, le sifflement de rotors stridents. Il est comme jeté dans la carlingue. Récupération immédiate du personnel au sol, un commando de six hommes plus celui qui l'a empoigné. L'hélicoptère s'arrache en crachant tout autour de lui le contenu de son panier de roquettes, et un millier de cartouches de 7,62 mm. Le feu d'artifice le plus réussi du nouvel an en Centrafrique. Quelques balles traçantes saluent le décollage de l'appareil qui trouve en quinze seconde une altitude de sécurité.
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Parvenue devant le portique de sécurité, elle distingue le museau d’un chien renifleur maintenu très court en laisse. Tranquillement, elle pose son sac de voyage en cuir fauve usé, sa veste de tailleur, et ses escarpins dont elle se défait prestement – l’habitude – sur le plateau qui file sur le tapis électrique pour contrôle scanner. Elle franchit le portique, lève les bras. Munie de gants de papier, une femme en uniforme, un peu replète, s’avance pour la fouiller. Inévitablement, elle trouvera le lot de diamants. Rachel fournira le certificat d’exportation dans le bureau spécialisé des douanes, celui du service de lutte contre la prohibition et le blanchiment, où les fonctionnaires un peu lourdauds, comme toujours, materont ses cannes.
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Karachi.
Un car démembré de la Direction des constructions navales. L’horreur. (...)
— Montserrat, vous n’avez pas la baraka, me suis-je souvent entendu dire.
On m’a mis sur Karachi. Cette histoire où se conjuguent contrat d’armement entre États, rivalité indo-pakistanaise, attentat islamiste, Al-Qaeda, corruption de généraux, rétrocommissions juteuses, financement de campagne présidentielle et nom de l’actuel président de la République. Rien à gagner. Tout à perdre. Je me suis perdu dans le dédale de ce bordel. J’ai ouvert la mauvaise porte. J’ai dû tutoyer une vérité. Je l’ai notée noir sur blanc, sur un mémo pour les seuls yeux du Directeur général.
— Montserrat, vous n’avez pas idée…, m’a-t-il été répondu en retour.
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Mon bureau a été vidé dans l’heure. Je conserve mon grade et mon traitement, mais j’ai perdu mon commandement. Mon commandement, mes responsabilités, mes hommes, mes garces, mon équipe. À la direction du personnel, j’apparais sur une ligne particulière. MIF. Mission sous identité fausse. On m’a alloué un budget. Il m’a été interdit de prendre contact avec mes collègues présents et passés. J’ai immédiatement été l’objet d’une vigilante attention de la sécurité interne, aux bons soins du Directeur de cabinet du DG dont c’est l’apanage. Je le répète : je suis un garçon docile, discipliné. J’ai fermé ma gueule.
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4 décembre 2005, 1 h 15 du matin.
Aéroport Ben-Gourion de Tel-Aviv. Zone d’arrivée internationale. Débarquement du vol Ethiopian Airlines 404 en provenance d’Addis-Abeba.
Tailleur gris, jambes moins sages, escarpins pressés mais pas trop, chignon pas encore délié, yeux noirs sur visage tanné sous un ciel d’Afrique, encore plus brune, Rachel Rachminov suit la ligne jaune qui conduit inexorablement au premier poste contrôle. Elle sera soumise, comme n’importe quel passager, à un long protocole minutieux. Vingt minutes au mieux. Israël veille farouchement sur la sécurité des siens
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Dix ans après, Areva est en cours de démantèlement et le dossier UraMin dans les mains de la justice. Vincent Crouzet a décidé de raconter ce qu'il sait vraiment de ce coup de maître exceptionnel, unique par la hauteur des montants détournés, par la qualité des personnalités mises en cause, par son caractère emblématique : un acte de piraterie de la finance internationale sur un vaisseau amiral français dans un domaine stratégique, celui de l'énergie.
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