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Borgia tome 4 sur 5
EAN : 9782723470476
47 pages
Drugstore (01/12/2010)
3.31/5   64 notes
Résumé :

Un scénariste légendaire, un dessinateur non moins illustre, une famille qui a marqué son époque d’une empreinte de stupre et de sang… et voilà Borgia, un must de la bande dessinée contemporaine, dont Tout est vanité constitue l’ultime tome. La famille Borgia a défrayé la chronique au XVe siècle, en donnant à l’Italie et au monde chrétien deux papes d’une sulfur... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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La 4ème de couverture compare les Borgia à des parrains mafieux. A l'image des récits de gangsters, la série de Jodorowsky et Manara est en effet un "rise and fall". Et comme dans les histoires de ce type, le dernier acte est souvent le moins passionnant. L'ascension est toujours plus intéressante que la chute. Et le déclin des Borgia a semble-t'il moins inspiré Jodorowsky.

Dans ce dernier tome tout va vite, trop vite. le personnage de Lucrèce disparait du récit brutalement sans que sa mort n'ait véritablement d'incidence. On passe en à peine quelques pages du guerrier César beau comme un dieu au César vérolé.

Malgré tout, ce tome réserve encore des passages complètement fous qui valent le détour. Les scènes de bataille permettent à Manara de monter l'étendue de son talent dans un registre où on n'a pas forcément l'habitude de le voir. La mort de Savonarole est un grand moment, un délire gore et cru très drôle dans son exagération.

Malgré cette conclusion en demie-teinte, la série Borgia reste un sommet d'outrance, d'excès de sang et de sexe qui m'aura beaucoup amusée.

Challenge B.D 2017
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Manara et Jodorowsky font donc mentir l'adage qui affirme que le meilleur reste pour la fin. Avec le déclin de la famille Borgia vient le déclin de l'intérêt que j'ai porté à cette série qui recelait un vrai potentiel narratif mais qui s'est enlisée à la fois dans des clichés de moins en moins supportables et dans des approximations historiques qui m'en ont fait perdre mon latin (déjà pas très brillant).

Bon, inutile de m'étendre, vous aurez compris que j'ai assez peu apprécié le dénouement qu'offre ce quatrième tome aux aventures des sulfureux Borgia. J'ai un peu la sensation d'un gâchis tant chacun de ses membres m'a semblé percutant au début de l'épopée, mais peut-être est-ce un fait exprès pour bien marquer la déchéance et la vanité de toutes leurs entreprises viles et criminelles ? Décidément, "Vanité, tout est vanité".


Challenge Petits Plaisirs 2016
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Le songe se dissipe !


Maurilio, dit Milo, Manara, né en Septembre 45, a découvert la BD en 67 alors qu'il travailla comme assistant d'un sculpteur espagnol fan de ‘Barbarella'. A partir de 69, il se mit à dessiner à son tour et dès 74 il adapta ‘Le Décameron'. Mais sa première BD vraiment ambitieuse n'est parue qu'en 76 (‘Le singe'). En 78, il publia ‘L'homme des neiges' et ‘Giuseppe Bergman'. Et il faudra attendre 83/84 pour que paraisse en Italie d'abord (dans la revue ‘Playmen'), en France ensuite (pré-publié par ‘L'écho des savanes', puis en album par Albin-Michel) ce classique de la bande dessinée érotique qu'est ‘Le déclic'. En 86 parut ‘Le parfum de l'invisible' et en 88 ‘Candide caméra'. le deuxième volet du ‘Déclic' sortit en 91, suivi d'un troisième opus en 94 et même d'une ultime (?) suite en 2001. Entre-temps et au travers de ces BD et d'autres, Milo Manara était devenu le nouveau Pape de l'érotisme dessiné.


En 2004, Milo Manara (qui n'a jamais été un immense scénariste) a l'excellente idée que de s'associer avec le grand Jodorowski (qui se consacre essentiellement à la bande dessinée depuis les années 80) pour nous offrir une saga dessinée hors-normes sur les Borgia.


Voici donc illustrés, sous la forme d'une luxueuse fresque dessinée (splendides décors et magnifiques costumes) en quatre tomes, les méfaits des cruels et licencieux Borgia à la tête de Rome et d'une partie de l'Italie au XV° siècle, au coeur donc De La Renaissance, et qui réussirent à faire l'unanimité contre eux !


En 1492 à Rome, le cardinal espagnol Roderic de Borja, devenu Rodrigo Borgia en Italie, qui vient de perdre son fils aîné, travaille à se faire élire Pape. Neveu du Pape Calixte III (de son vrai nom Alfons de Borja), qui régna de 1455 à 1458 et fut suivi sur le trône du Vatican par Pie II, Paul II, Sixte IV et Innocent VIII, Rodrigo Borgia va effectivement devenir Pape sous le nom d'Alexandre VI et va le rester jusqu'en 1503.


Ce manipulateur ‘Saint-Père' avait eu plusieurs enfants de différentes femmes, dont Jean, qui va devenir Duc de Gandie (première étape vers le trône d'Espagne), et Cesar, un prince particulièrement ambitieux qui voulait unifier l'Italie et pensait que le sang allait de pair avec la politique et sut notamment, tout comme son père avant lui, se servir de sa jeune et jolie soeur, Lucrèce, pour nouer, puis dénouer les alliances dont il avait besoin pour asseoir sa puissance sur une Italie qui était loin encore d'être unie.


Conseillé par Machiavel, auquel il servit de modèle pour son ‘Prince', Cesar, qui n'ignorait rien de l'art d'arriver au pouvoir et surtout de s'y maintenir, et qui pensait que ce qu'un premier César avait réussi à faire, un deuxième César devrait pouvoir le refaire, vit au travers des mariages successifs de sa soeur Lucrèce avec Giovanni Sforza (qui fit tomber le Duché de Milan dans l'escarcelle de la famille), Alphonse d'Aragon (qui leur apporta le Royaume de Naples), puis Alphonse 1° d'Este (Duc de Ferrare, Modène et Reggio d'Emilie…) une grande partie de l'Italie tomber sous sa coupe. Probable assassin de son propre frère aîné, d'Alphonse d'Aragon ainsi que d'amants occasionnels de sa lascive soeur (morte à l'âge de seulement 39 ans en 1519 en mettant au monde son huitième enfant), le cruel et perfide Cesare (mort en 1507 à l'âge de 32 ans) fit régner violence et peur au nom de la Papauté sur une Italie qui n'en demandait pas tant.


Le seul qui osa s'opposer officiellement aux sulfureux Borgia, fut le moine dominicain Savonarole que le Pape fit arrêter, excommunier, pendre, puis brûler en place publique.


Profondément noire et irrémédiablement implacable, ‘Borgia' c'est du Shakespeare ‘live': adultères, assassinats, basses oeuvres, complots, coups tordus, haine, humiliations, idéalisme religieux, incestes, injures, intimidations, jalousies, mariages arrangés, marchandages, mensonges, orgies, passion, pragmatisme politique, retournements d'alliance, sodomies sauvages, tortures et supplices, trahisons, violence ; tout le catalogue des vices à peu près connus de l'être humain défilent au fur et à mesure des épisodes, étant entendu que la véritable histoire des malfaisants et débauchés Borgia a dû susciter bien des médisances (pour des histoires de jalousie surtout) et fantasmes (parce que les siècles passent et que ‘chacun' -de ceux qui commentèrent et commentent, Alejandro Jodorowski inclus- y ajoute évidemment son ‘grain de sel', donne sa propre version du ‘mystère' Borgia, forcément en partie imaginaire, et déforme ce faisant, de la réalité au mythe, l'Histoire).


Dans ce quatrième et ultime volet, Charles VIII étant mort et la guerre avec la France achevée, le sort s'acharne contre les Borgia : Lucrèce, aussi pleine que la Lune, meurt en accouchant, après que César ait fait assassiner Jean, devenant ainsi le nouveau maître de Rome, bien décidé à conquérir toute l'Italie. Mais l'ombre du Cardinal Della Rovere se profile et la ‘gloire' des Borgia s'éteint lentement comme un flambeau dans le sable…


Le provocateur ‘Jodo' est évidemment plus qu'à l'aise avec cette histoire de foutre et de sang que son illustre collègue Manara dessine avec un bonheur évident : Milo Manara sait faire autre chose que ses BD érotiques, si souvent aussi mal faites que vite faites, et il le prouve enfin de nouveau avec cette décapante série plus écoeurante et orgiaque que les deux feuilletons télévisés récents (l'européen et l'américain) consacrés à ces mêmes Borgia réunis. Si une certaine crudité dans les images ne vous pose pas trop de problèmes, vous dégusterez avec une certaine gourmandise cette bande dessinée de luxe qui s'inscrit dans le meilleur de ce que les deux hommes ont produit !


A noter : Alejandro Jodorowski poursuit, avec la complicité du dessinateur italien Théo (‘Le trône d'argile'), sa saga des Papes de l'Italie de la Renaissance avec ‘Le Pape terrible', une trilogie qui illustre les méfaits du Jules II, l'ex-cardinal Della Rovere
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Charles VIII se sent trahi par les Borgia car César, le fils du pape qui servait de garantie quant à l'alliance du roi de France et Alexandre VI s'est enfui. Charles VIII conquière Naples. Mais en fêtant sa victoire, le roi meurt dans l'éruption du Vésuve. Borgia y trouve là un répit mais c'est sans compter les ennemis de l'intérieur et l'ambition de Giulano Della Rovere qui se sentant floué du trône rêve de prendre possession de la tiare et de remplacer Borgia à la suprême fonction. César, se sentant floué par les privilèges qu'accorde Borgia à Giovanni, le fils préféré pense qu'il peut tuer son père pour lui succéder. Il n'hésite pas à assassiner son frère pour hériter de ses privilèges. Pour Lucrèce, la vie se complique. Ses tentatives d'avortement échouent et elle meurt en couche en mettant au monde un enfant bicéphale. César est pardonné par son père qui ainsi espère sauver ses intérêts et Borgia lui accorde le droit de se défroquer et de devenir un puissant chef d'armée. César se fait aider par Léonard de Vinci qui lui crée des plans de machines de guerre. Canons surpuissants, chars d'assaut et aile volante. Au final, Borgia se fait empoisonné par Giulano Della Rovere. Son règne achevé, César est à son tour piégé par le royaume de Navarre et le règne et la suprématie des Borgia s'éteint avec la disparition de la famille.

Pour ce dernier tome, ne croyez surtout pas en la vérité historique du scénario. L'histoire est ici complètement réinventée. Si Lucrèce Borgia meurt effectivement en couche, elle a trente-neuf ans et accouchait légitimement d'une petite fille qu'elle eu avec son troisième mari seize années après la mort du pape Alexandre VI. Della Rovere n'a jamais empoissonné Borgia qui a du le faire lui-même suite à une erreur de manipulation du breuvage qu'il destinait à quelqu'un d'autre. Dans la foulée, il aurait également empoisonné son fils César qui serait donc mort en même temps que son père et non en Navarre. Quant au roi Charles VIII, il n'a pas trouvé l'issue fatale brûlé par le Vésuve mais en se cognant violemment la tête contre un linteau dans son château royal d'Amboise en 1498. Et que dire des machines de guerre créées par Léonard de Vinci. Elle n'ont jamais fait leur preuve sur les batailles, n'ayant jamais quitté le format de dessin du grand maître. Mais c'est génial de réinventer l'histoire. le scénariste ne s'en ai pas privé et ont ressent toute la malice et le plaisir qu'il y a pris en lisant cette bande dessinée parfois déroutante. On ressent aussi la complicité entre Jodorowsky et Manara qui donne toute la ferveur de ce récit semi historique. La qualité des dessins est égale au grand talent du maître de la bande dessinée italienne. C'est bien qu'il aie eu un scénariste pour doper son talent. Enfin, bref, même si la romance prend franchement le pas sur la véracité historique, cette série est une vraie réussite et se laisse dévorer avec un immense plaisir.


Personnages :

Rodrigo Borgia de Valence, pape Alexandre VI
Innocent VIII, prédécesseur de Borgia
Savonarole : le prédicateur
Micheleto : l'homme de main de Borgia
Vanozza Catani : la maîtresse de Borgia et mère de ses enfants
Lucrèce : la fille Borgia
César, Giovanni, Joffre les fils Borgia
Julia Farnese : cousine de Lucrèce et future maîtresse de Borgia
Julien della Rovere : cardinal sodomite et futur successeur de Borgia
Duarte : conseillé de Borgia
Seigneur Machiavel, mentor de Lucrèce et conseiller de Borgia
Giulano Della Rovere, cardinal qui ambitionne la tiare papale
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Après la tentative d'empoisonnement de sa femme, Giovanni Sforza s'enfuit de Pesaro pour chercher refuge auprès de son oncle.
Pendant ce temps, l'expédition de Charles VIII touche à sa fin, mais le roi ne peut savourer sa victoire bien longtemps car il meurt au sommet du Vésuve, emporté par la lave du volcan alors qu'il était en train de forniquer !! (vivivi, vous avez farpaitement lu ! )

Cette mort permet à César Borgia de réapparaître au grand jour, plus ambitieux que jamais ! Surtout qu'il a reçu les sages enseignements de son philosophe d' hôte Machiavel, qui lui conseille carrément de hâter la mort de son papa de pape (vivivi, on ne faisait pas dans la dentelle en ce temps-là ! ) pour prendre sa place sur le trône de St Pierre !
Seulement voilà, Alexandre-Rodrigo a rappelé à ses côté son fils préféré, Juan de Gandie auquel il confie le commandement suprême des Etats de l'église, charge que briguait César qui réagit furieusement à cette annonce ! A cette occasion papa Rodrigo, Juan et César échangent de copieuses insultes que la décence m'empêchent de retranscrire ici. Je ne dirai pas par exemple que César a traité son frère de "maudit pédé", "suceur de bites!" ni que Rodrigo, exaspéré, l'a illico renié en lui disant que "ta putain de mère t'a engendré avec un domestique !", non non non, ni que César a répliqué : "Juan à la tête de ton armée ? Comment pourrait-il gagner : il a des ovaires à la place des couilles ! Vous courez au désastre, paire d'andouilles !" (vous remarquerez que la colère n'empêche pas César de faire des vers ! ), ce à quoi Rodrigo et Juan ont répondu de concert : "Crétin ! Insolent! Je vais t'excommunier!" et "Que tes putes te refilent la vérole !" (ce qui n'est quand même pas très gentil gentil...)



Or donc, César n'a pas de temps pour les larmes, il a une guerre à mener. Et pour réunir toutes les conditions de succès, il convoque chez lui Léonard de Vinci afin qu'il invente pour lui des armes nouvelles et puissantes. Il lui offre même pour cette commande une fortune colosssale, que Vinci décline. Alors, il lui offre son corps ! En tout cas, un aperçu pour commencer... et franchement, César est super bien gaulé (oui, je sais, il est tout pourri ce jeu de mots ) J'avoue que j'ai un peu beaucoup bavé sur son corps de dieu grec... Mais je m'égare... Donc, pour sceller cet accord peu conventionnel, César roule un méga patin à Léonard ! Apparemment, ce baiser a complètement inspiré le génie qui dessine pour son fougueux amant des machines volantes. Et le truc le plus fou, c'est que César, à l'aide de ces machines, remporte des succès foudroyants ! Nom de Zeus ! Qui a donc déchiré le tissu du continuum espace-temps ? Ah non, merde je me trompe de série...

Enfin bref, César fait plier toutes les grands familles d'Italie et les met à sa botte (oui, encore un jeu de mots pourri et j'en suis fière ! ).

Mais César devrait savoir que la chute n'est jamais loin du sommet... Déjà, son beau visage est défiguré par la vérole.

Et c'est ainsi que se termine le rêve de conquêtes et celui d'une Italie unifiée qu'avait porté la famille Borgia !

D'où le titre de l'album, vous suivez ?

Alors que pouvons-nous en conclure, à part que ce tome m'a inspiré des jeux de mots plus pourris les uns que les autres ? Tout simplement que c'est l'album de trop... On a l'impression que les auteurs avaient hâte d'en finir avec la série. Les albums précédents étaient déjà pas mal excessifs dans la description des Borgia et l'usage des rumeurs sur leur compte, mais avec celui-là, on tombe dans l'outrance outrancière ! Ah, je note quand même une différence : les scènes de sexe ont presque disparu pour céder la place à des scènes de torture et de sévices (finalement, je me demande si je ne préférais pas le sexe à gogo !! )
Bref, les approximations historiques virent au grand n'importe quoi, franchement, j'ai failli m'étrangler de rire tellement certaines scènes étaient surréalistes ! A croire que le scénariste a complètement craqué... ou a écrit sous l'effet de substances psychotropes... (un peu comme moi pour cette chronique !! )

Encore une fois, le dessin de Manara est toujours aussi beau et élégant et sauve la série d'un ratage complet...
Lien : http://parthenia01.eklablog...
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
- Oh, César, mes écrits sont mes rêves, mais vous êtes ma réalité: votre heure a enfi sonné ! le roi de France est mort !
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Un de ses visages ... ressemble à ... mon père ... l'autre est celui ... de mon frère ... tuez-le !
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-Chien stupide! Tu as mis cinq couleurs criardes qui me font ressembler à un arlequin! Tu crois que la guerre est un carnaval?
-Sire, il n'y a qu'une seule différence : à la guerre le sang coule... au carnaval c'est le vin...
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Qui t’a mis ce têtard dans la panse ? Ton frère ou ton père ?
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Pour qui te prends-tu ,sorcier prétentieux ? Dieu n'est pas à tes ordres!Mais toi tu es esclave du Diable qui se cache dans ton cul! Je vais le faire sortir à coups de bite.
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