AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782957169498
380 pages
Mera Editions (16/01/2024)
3.95/5   52 notes
Résumé :
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, Bruno, treize ans, vit dans un orphelinat près de Salerne, et est soumis au harcèlement constant de ses camarades. Seule son amitié avec Nino, le petit nouveau qui prend sa défense, parvient à rendre son séjour dans l’institution supportable. L’été apporte un vent de liberté et Bruno et Nino sont choisis pour travailler chez les Aloia, une riche famille des environs. C’est là que Bruno rencontre Caterina, une étrange petit... >Voir plus
Que lire après L'homme Sans Sommeil : Un tueur qui se nourrit de vos peursVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (48) Voir plus Ajouter une critique
3,95

sur 52 notes
5
17 avis
4
20 avis
3
5 avis
2
3 avis
1
0 avis
Fin de la seconde guerre mondiale. le jeune Bruno se retrouve dans un orphelinat, à la merci des plus grands qui le harcèlent ou des Frères qui lui font subir de terribles punitions. Aussi, lorsque, l'été, il doit partir travailler, en compagnie d'un petit nouveau, Nino, il est ravi. Cela lui changera les idées. Monsieur Aloïa est un gros propriétaire. Nino et Bruno font d'abord la connaissance des domestiques. Puis de la maison. Bruno assiste à plusieurs reprises à des scènes étranges, dans le jardin. Que sont ces étranges statues ? Qui est Caterina, cette petite fille qui se promène toujours en pyjama ?

J'ai adoré ce thriller ! On avance pas à pas, on se cale bien, de plus en plus, dans son fauteuil, on commence à avoir des frissons. L'atmosphère devient de plus en plus pesante, oppressante... Tout ce que j'aime ! On est entre la folie et le surnaturel et on freine pour ne pas basculer ! du grand art !

Un grand merci à  Netgalley et aux éditions Mera pour cette superbe découverte.
Lien : https://promenadesculturelle..
Commenter  J’apprécie          594
Nous faisons la connaissance de Bruno, âgé de treize ans, au lendemain de la seconde guerre mondiale. Il vit dans un orphelinat près de Salerne, où il semble avoir été abandonné à la naissance. Il est soumis au harcèlement constant, non seulement de la part de ses camarades mais aussi du personnel : il est régulièrement envoyé dans la cave, battu, privé de nourriture. Un jour, apparaît Nino qui prend sa défense et tente de lui donner confiance en lui-même.

L'été, les enfants sont envoyés dans des fermes ou des ateliers, afin de travailler et cette année-là, par chance, il est choisi, avec Nino, par Gennaro, pour aller travailler à la ferme de la famille Aloïa, où ils sont bien traités et il fait la connaissance de Caterina, une petite fille cloîtrée dans sa chambre durant la journée, terrorisée par celui qu'elle surnomme « L'homme au chapeau », et qui lui fait « visiter « parfois les recoins de la grande maison, la nuit. D'autres personnes vivent dans la maison : Gennaro, sorte de régisseur, et sa mère Pia, la cuisinière.

Le maître de maison est féru de littérature, possède une immense bibliothèque et se passionne pour un ouvrage, publié seulement en deux exemplaires et ce livre va servir de fil conducteur au récit. le « de codex animorum » est chargé d'histoire, un exemplaire a coûté la vie : en 806, l'abbaye d'Iona, aux îles Hébrides, a été incendiée et les moines ont péri. Mystérieusement, ils auteurs de l'incendie n'ont pas pu mettre la main sur le livre.

Tout pourrait sembler merveilleux, car plus de coups, plus de brimades, et pourtant Bruno fait des cauchemars qui le laissent épuisée au réveil. Puis, un jour tout s'emballe, lorsqu'on découvre des cadavres en état de décomposition avancée. Tout aussi étrangement, il y a des statues dans le jardin, comme des totems pour éloigner le mauvais sort.

Ce récit nous entraîne vers un mystère de plus en plus opaque, à la limite de la folie, car on ne sait plus si les personnages sont réels ou issus de l'imagination, Antonio Lanzetta nous fait découvrir certes des cadavres, mais aussi de lourds secrets de famille, de vieilles histoires locales sur fond de rancune. En parallèle, il évoque l'histoire de Bruno, des années plus tard, alors qu'il est devenu grand-père.

J'ai adoré ce récit, l'histoire compliquée de Bruno et des autres membres de la famille Aloïa et les ravages de la rancune voire, de la haine. Comment cet enfant qui n'a jamais reçu la moindre marque de tendresse, a été battu, torturé psychologiquement et physiquement pourra-t-il s'en sortir ? En s'inventant un autre univers ? En plongeant dans la folie ?

L'écriture est belle, pleine de poésie, l'univers de l'auteur est intrigant, certes, mais je m'y suis plongée avec délice et je n'avais pas du tout envie d'en sortir. Antonio Lanzetta livre ici, un roman passionnant, addictif, et mérite bien son surnom de « Stephen King italien ». Ce livre m'a fait penser à un autre roman envoûtant : « le nom de la rose » d'Umberto Eco.

Un grand merci à NetGalley et aux éditions Mera qui m'ont permis de découvrir ce roman et l'univers de son auteur

#LHOMMESANSSOMMEIL #NetGalleyFrance !
Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
Commenter  J’apprécie          262
Un thriller psychologique envoûtant, hypnotique, qui vous hantera longtemps après parcouru la dernière page, si perturbant qu'il vous emmènera au bord de l'abyme de la folie !

Cette histoire est celle d'une amitié, de souvenirs brisés et d'un tueur brutal qui se nourrit de la peur de ses victimes. C'est l'histoire de Bruno, et de l'été où il est devenu "l'Homme sans Sommeil".
Attention aux insomnies !

Antonio Lanzetta, surnommé le « Stephen King italien », fait partie du renouveau qui s'amorce dans le thriller italien. Son premier roman, "Le mal en soi", traduit et publié en France, au Canada et en Belgique par Bragelonne, est nommé par le Sunday Times comme l'un des cinq meilleurs thrillers étrangers de l'année 2019. Écrivain, musicien, chroniqueur littéraire, Lanzetta alterne les points de vue et les époques avec beaucoup de rythme et un sens affûté de l'intrigue pour mieux semer le doute au coeur d'une Italie rurale, profonde, tour à tour cuite par le soleil et détrempée par la pluie, l'Italie du Sud, où il a grandi et vit aujourd'hui.

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, Bruno, treize ans, vit dans un orphelinat près de Salerne. Il est soumis au harcèlement constant de ses camarades. Seule son amitié avec Nino, le petit nouveau qui prend sa défense, parvient à rendre son séjour dans l'institution supportable.

L'été apporte un vent de liberté et Bruno et Nino sont choisis pour travailler chez les Aloia, une riche famille des environs. C'est là que Bruno rencontre Caterina, une étrange petite fille qui vit au dernier étage de la maison et qui lui fait découvrir les recoins de l'imposante bâtisse.

Mais le jeu prend vite une tournure sinistre : Bruno commence à être tourmenté par d'inexplicables cauchemars, qui le laissent exténué à son réveil. La mise au jour, dans la propriété d'Aloia, de plusieurs cadavres en état de décomposition avancée jette un voile inquiétant sur la villa et ses habitants. À qui appartiennent ces corps ? Et pourquoi tout le monde semble savoir quelque chose que personne ne veut révéler ?

Je remercie @MeraEditions et @NetGalleyFrance de m'avoir permis de découvrir cet auteur talentueux que je ne connaissais pas encore, mais que je continuerai à suivre sans hésiter.

La structure narrative bien maitrisée est composée de six parties qui nous plongent de plus en plus profondément dans les méandres de l'esprit tourmenté de Bruno. Il y a de nombreux flashbacks qui alternent entre le présent où Bruno raconte son histoire à Salerne en 2010 et son passé à partir de 1948 où il subit des maltraitances à l'orphelinat. Ce va et vient permet de préserver le suspense de manière efficace jusqu'au dénouement inattendu.

Ce que j'ai le plus apprécié, c'est l'atmosphère gothique angoissante qui devient de plus en plus oppressante au fil des pages. L'intrigue est très prenante, dérangeante, déroutante, car il y a une confusion entre rêve et réalité, entre passé et présent, ce qui crée une sensation de malaise du début à la fin.

Le lecteur est en immersion totale dans la psyché perturbée de Bruno dont le portrait psychologique est détaillé peu à peu au fil des pages. L'épilogue est tout aussi déstabilisant et continue à hanter le lecteur bien au-delà de la dernière ligne. Une belle découverte !
Commenter  J’apprécie          171
📖Près de Salerne. Peu après la Seconde Guerre mondiale. Bruno vit dans un orphelinat, tenu par un prêtre brutal. de plus, il est le souffre-douleur de certains de ses camarades à cause de sa grande taille. Quand arrive un petit nouveau, Nino. Brûlé sur une grande partie du corps, il ne s'en laisse pas compter et va prendre la défense du jeune Bruno. Quand arrive l'été, les deux garçons sont embauchés dans la maison des Aloia, une riche famille de la région. Que se passe-t-il dans cette maison aux terrifiantes statues ?
***
✒️𝑩𝒓𝒖𝒏𝒐 𝒑𝒐𝒔𝒂 𝒖𝒏𝒆 𝒎𝒂𝒊𝒏 𝒔𝒖𝒓 𝒍𝒂 𝒄𝒐𝒖𝒗𝒆𝒓𝒕𝒖𝒓𝒆 𝒆𝒕 𝒑𝒊𝒏𝒄𝒂 𝒍𝒆𝒔 𝒍𝒆𝒗𝒓𝒆𝒔. 𝑰𝒍 𝒂𝒗𝒂𝒊𝒕 𝒄𝒆𝒔𝒔𝒆 𝒅𝒆 𝒓𝒆𝒔𝒑𝒊𝒓𝒆𝒓, 𝒅𝒆 𝒑𝒆𝒏𝒔𝒆𝒓. 𝑰𝒍 𝒔𝒐𝒖𝒍𝒆𝒗𝒂 𝒖𝒏 𝒑𝒂𝒏 𝒆𝒕 𝒂𝒑𝒆𝒓𝒄𝒖𝒕 𝒖𝒏𝒆 𝒕𝒐𝒖𝒇𝒇𝒆 𝒅𝒆 𝒄𝒉𝒆𝒗𝒆𝒖𝒙 𝒄𝒐𝒍𝒍𝒆𝒆 𝒂 𝒍'𝒐𝒓𝒆𝒊𝒍𝒍𝒆𝒓, 𝒖𝒏𝒆 𝒑𝒆𝒂𝒖 𝒔𝒐𝒎𝒃𝒓𝒆, 𝒖𝒏𝒆 𝒐𝒓𝒆𝒊𝒍𝒍𝒆 𝒂𝒃𝒊𝒎𝒆𝒆. 𝑸𝒖𝒆𝒍𝒒𝒖𝒆 𝒄𝒉𝒐𝒔𝒆 𝒍𝒖𝒊 𝒄𝒂𝒓𝒆𝒔𝒔𝒂 𝒍𝒂 𝒄𝒉𝒆𝒗𝒊𝒍𝒍𝒆 𝒆𝒕 𝒊𝒍 𝒉𝒖𝒓𝒍𝒂 𝒋𝒖𝒔𝒒𝒖'𝒂 𝒄𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒔𝒂 𝒈𝒐𝒓𝒈𝒆 𝒃𝒓𝒖𝒍𝒆.
🐦Un jeune garçon qui n'a jamais connu l'amour d'un parent, mais juste la méchanceté et la brutalité de quelques-uns. Bruno n'ose pas lever les yeux, n'ose pas lever la voix, par peur mais aussi parce qu'il sait que cela ne servirait à rien. Un jeune garçon qui va se découvrir et déterrer des secrets longtemps gardés…
📜Antonio Lanzetta relate avec beaucoup d'habileté une histoire qui pourrait presque paraître réelle, tellement les mots choisis et le cadre mis en place semblent tout droit sorti des pages d'un livre d'époque. le contexte, les détails, l'histoire en elle-même m'a entraînée dans un monde inconnu, où j'ai parfois eu mal pour Bruno, où j'ai parfois eu peur et où j'ai beaucoup espéré.
Une excellente lecture 🖤
Commenter  J’apprécie          101
Bruno est un jeune garçon de treize ans qui vit dans un orphelinat en Italie, où il est harcelé par ses camarades d'infortune et subit les brimades et mauvais traitements des prêtres chargés de leur surveillance. Après qu'un certain Nino ait pris sa défense, Bruno se noue d'amitié avec ce nouveau venu, un étrange garçon qui porte sur le corps les stigmates de graves brûlures. Embauchés comme main d'oeuvre pour l'entretien de la propriété d'une riche famille des environs, ils passent ensemble l'été au manoir. Bruno rencontre Caterina, une petite fille qui déambule en pyjama dans les couloirs et semble vivre au dernier étage de la sombre bâtisse. Caterina confie à Bruno la tâche de veiller sans faille sur son petit chat Mephisto. Plongée dans une atmosphère pesante, la maison semble garder l'empreinte du passé et de la famille qui y a vécu autrefois. Sans parvenir à se l'expliquer, Bruno devient la proie d'étranges rêves et peine à distinguer le réel des songes. Deux cadavres sont bientôt retrouvés semi-enterrés sur la propriété, les carabinieris portent leurs soupçons sur le propriétaire des lieux, le professeur Zeno Aloïa.

Pietro di San Michele est un village de montagne bordé de forêts et de grottes, niché au coeur de la Campanie. La seconde guerre mondiale se termine et les habitants semblent retrouver une vie normale. Les deux enfants, Bruno et Nino, découvrent le manoir et ses environs : d'énigmatiques statues ornent le jardin, une bibliothèque cachée dans une tour recèle de sombres secrets, une maison abandonnée dans les environs semble avoir été le théâtre d'un drame horrible et en garde encore les stigmates. Les deux garçons rencontrent des personnages qui semblent avoir beaucoup de choses à cacher… ou à révéler : Pia l'austère gouvernante, Hans l'allemand qui sculpte des oiseaux dans du bois, et Catalina cette petite fille que seul Bruno semble apercevoir… Intrigant, n'est-ce pas ?

La couverture mentionne l'auteur comme étant le Stephen King italien. Une atmosphère horrifique, un penchant pour la fantastique certes, mais surtout un style sobre et sombre qui évoque les contes gothiques, plutôt que l'écriture de SK. J'ai à plusieurs reprises durant ma lecture songé à l'ambiance ténèbreuse des romans de l'espagnol Carlos Ruiz Zafon, notamment en raison du contraste entre les extérieurs chaleureux et ensoleillés de la province italienne et les profondeurs ténébreuses du manoir et autres dépendances que vous découvrirez par vous même. Croire que les soucis s'effacent au soleil est une aberration, Bruno dont l'âme est profondément perturbée vous le prouvera. Bruno ou l'histoire d'un enfant qui se bat pour échapper à ses traumatismes mais qui est irrémédiablement rattrapé par ceux-ci, d'autant que le mal à l'état pur s'en mêle, ne lui donnant aucune échappatoire.

J'ai retrouvé également quelques points communs avec Donato Carrisi : comme dans les romans de ce grand auteur de thrillers psychologiques italiens, de nombreux personnages se trouvent aux portes de la folie… L'ensemble manque certainement de fluidité, peut-être est-ce dû au fait que j'ai lu une épreuve non corrigée, et le dénouement est un peu trop opaque à mon goût. le roman se déroule sur plusieurs temporalités et j'aurais aimé que les chapitres consacré à l'âge adulte de Bruno soient plus développés. Toutefois, l'atmophère que l'auteur parvient à créer est terriblement ensorcelante. sur ce point, je parlerai même de pépite… Rien que pour cela, ce roman mérite d'être lu!

Merci aux Editions Mera via Netgalley pour cette découverte.
Lien : https://loeilnoir.wordpress...
Commenter  J’apprécie          132

Citations et extraits (18) Voir plus Ajouter une citation
Il avait ce regard qui donnait toujours à Bruno le sentiment d’être à nu, vulnérable, comme si sa vie en dehors de la cave n’avait aucun sens, et que le froid, la douleur, et le goût du sang étaient tout ce qu’il représentait.
Commenter  J’apprécie          50
Il repensa à l’orphelinat, aux fissures dans les murs, au sol poussiéreux sous son lit, et à l’erreur qu’il avait commise en croyant que la maison était un endroit sûr où se cacher. Il n’y avait aucun endroit sûr dans ce monde. Il n’y avait que des hommes et le mal qui leur collait à la peau.
Commenter  J’apprécie          30
L'herbe se mit à gonfler, à osciller, et son souffle se transforma en écho déformé qui résonnait dans sa tête. Bruno se boucha les oreilles, une douleur lui transperçant les tempes, et il s'effondra à genoux. Il essaya de crier, mais aucun son ne sortit de sa bouche. Il voulait que tout cela se termine vite. Il plongea ses doigts dans la terre, arrachant des mottes en s'efforçant de se relever, en vain, comme si un poids l'empêchait de bouger. Il regarda alors autour de lui : les ombres rampaient et se tordaient telles des créatures émergeant d'un abîme. Il entendit un bruissement d'herbe, un claquement de branches sèches écrasées, et déglutit. Quelqu'un était là, si proche qu'il pouvait l'entendre respirer. Plus qu'un souffle, un râle, un sifflement asphyxié, inhumain. Et puis l'odeur.
L'odeur de bois mouillé par la pluie.
Commenter  J’apprécie          00
La solitude était devenue le seul moyen de se sentir en sécurité. Le silence ne vous jugeait pas, mais vous réconfortait, comme une caresse sur la joue.
Commenter  J’apprécie          40
Lorsqu'ils sortirent en trombe de la maison, l'air de la nuit leur gifla le visage. Ils se dirigèrent tout droit vers les arbres en se tenant par la main. Ils couraient en silence, le bruissement des pieds sur l'herbe rompant ce dernier. Un instant avant qu'ils ne s'enfoncent dans les bois, Bruno se retourna et l'aperçut.
Un homme vêtu d'un costume sombre, un chapeau sur la tête, se tenait dans l'embrasure de la porte et les regardait fixement.
Bruno ne parvint pas à le regarder en face. Il faisait sombre et Nino lui hurlait de ne pas s'arrêter, quand il l'entendit rigoler. Un son froid, incongru, comme le vent qui secoue les branches au début de l'été.
Commenter  J’apprécie          00

Videos de Antonio Lanzetta (4) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Antonio Lanzetta
Un vieux manoir à l’atmosphère oppressante. Deux jeunes garçons sortis d’un orphelinat. Un secret enfoui, prêt à ressurgir du passé. Un tueur qui se nourrit de vos peurs.
https://mera-editions.com/no-livres/l...
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, Bruno, treize ans, vit dans un orphelinat près de Salerne, et est soumis au harcèlement constant de ses camarades. Seule son amitié avec Nino, le petit nouveau qui prend sa défense, parvient à rendre son séjour dans l’institution supportable. L’été apporte un vent de liberté et Bruno et Nino sont choisis pour travailler chez les Aloia, une riche famille des environs. C’est là que Bruno rencontre Caterina, une étrange petite fille qui vit au dernier étage de la maison et qui lui fait découvrir les recoins de l’imposante bâtisse. Mais le jeu prend vite une tournure sinistre : Bruno commence à être tourmenté par d’inexplicables cauchemars, qui le laissent exténué à son réveil. La mise au jour, dans la propriété d’Aloia, de plusieurs cadavres en état de décomposition avancée jette un voile inquiétant sur la villa et ses habitants. À qui appartiennent ces corps ? Et pourquoi tout le monde semble savoir quelque chose que personne ne veut révéler ?
Cette histoire est celle d’une amitié, de souvenirs brisés et d’un tueur brutal qui se nourrit de la peur de ses victimes. C’est l’histoire de Bruno, et de l’été où il est devenu l’Homme sans Sommeil.
« Un livre hautement recommandé pour tous les amateurs de thrillers et de romans noirs. » — Milan noir #litterature #litteraturefrançaise #editions #polar #roman #bookstagram #livrestagram #booklover #ideelecture #jeuconcours #instalivre #sponsorisé #Lille
+ Lire la suite
autres livres classés : thrillerVoir plus
Les plus populaires : Polar et thriller Voir plus


Lecteurs (122) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )

Roger-Jon Ellory : " **** le silence"

seul
profond
terrible
intense

20 questions
2864 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , thriller , romans policiers et polarsCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..