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Yann Sundberg (Autre)Bénédicte Charton (Autre)
EAN : 9791036618772
Lizzie (09/06/2022)
Édition audio (Voir tous les livres audio)
4.1/5   1935 notes
Résumé :
" Comprendrait-elle la déraison, le Grandiose destructeur que j'avais vécu et qui m'avait changée à jamais ? "

Une femme aux portes de la mort.
Un homme incapable d'en finir avec la vie.
Leurs deux voix s'élèvent tour à tour pour nous confier leur histoire, leurs maux, leurs démons, et plus que tout l'amour fou. Un amour qui inspire, réunit et sauve autant qu'il a pu détruire et séparer.

Un roman qui met à nu la puissance ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (260) Voir plus Ajouter une critique
4,1

sur 1935 notes
Le dernier Martin-Lugand sur un présentoir à la bibliothèque, je n'ai pas résisté. Pourtant souvent déçue par cette auteure, j'y reviens. Pourquoi exactement, je ne saurais le dire, une belle critique lue récemment, un titre qui interpelle, une belle couverture, ...

Cela commençait bien. Les chapitres alternent entre deux personnages, chacun parlant à la première personne.
Quelque part, un homme perdu, rongé par la douleur, seul avec son piano, près de se tuer, qui hésite, sauvé finalement par la pensée puis la venue de son fils
Autre part, une femme, que l'on devine, en fin de vie, victime d'une maladie qui ne sera pas nommée.

Il est seul, juste son fils pour l'aimer et l'entourer.
Elle a deux soeurs, aimantes, un ex-mari qui est aussi son meilleur ami, une fille étudiante, pleine d'attentions pour elle.

J'ai aimé tous ces chapitres où l'on fait doucement connaissance avec chacun, où l'on découvre leurs failles. Ils ont tous les deux vécus l'amour fou et en sont sortis meurtris.

J'ai été déçue par la suite. Comment en dire plus sans divulgâcher ? Je l'ai trouvée à la fois trop prévisible, et à la fois irréaliste. Je n'ai pas cru à cette séparation sans explication, à ces longues années sans essayer de mieux .comprendre. Et puis cet amour naissant, quelle coïncidence !
Dommage, de beaux personnages au service d'une histoire qui ne tient pas la route, à mon avis.

Noté 3 pour laisser à chacun la possibilité de se faire son opinion, n'est ce pas Paul
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❤ Coup de coeur ❤

Si vous suivez mes avis et chroniques, vous savez certainement à quel point j'adore tout ce qu'Agnès Martin-Lugand écrit.

Cette année, en écoutant les premiers échos et les interviews, en arrivant par hasard sur les premiers avis, j'avais tout de même des appréhensions. On évoquait que le thème abordé était celui de la mort. J'avais eu quelques difficultés avec d'autres romans sur ce thème, comme par exemple avec "Les derniers jours de Rabbit Hayes". Je me sentais en terrain miné.

Mais, une fois le pas franchi, pour moi, le thème principal, c'est plutôt la fin de vie. Et la fin de la vie, c'est toujours la vie. Il y a une urgence à vivre, qui fait qu'on est dans l'essentiel, qu'on profite de chaque moment. Ce sont donc des moments forts, des moments touchants.

L'autre côté de la mort, dans ce livre, c'est l'envie d'en finir avec la vie, un mal de vivre.

Qu'on ne dise plus que les romans d'Agnès Martin-Lugand sont des romans feel good. Allons-y pour l'étiquette littérature blanche ou pour celle de développement personnel.

Ce roman est sous forme de roman choral. On a le point de vue de deux personnes, qui alternent de chapitre en chapitre. Il n'y a pas un des narrateurs qui prend le pas sur l'autre. Ces deux narrateurs sont attachants, tout comme les personnages secondaires, qui sont toujours très construits.

Bref, même si ce qui va arriver est prévisible, au-delà de la mort inéluctable, cela ne me paraît pas fantaisiste et totalement irréaliste comme le disent certaines critiques. Agnès Martin-Lugand, mieux que quiconque, puisqu'elle a été psychologue clinicienne, a été témoin de situations qui l'ont sans doute inspirée.

Je recommande donc ce roman qui est surtout une ode à la vie.



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Il y a des jours comme ça, qui commencent sous de bon hospice et puis un grain de sable vient soudainement gripper la machine à bonheur.
Mon rendez-vous avec Agnès Martin-Lugand n'a pas eu lieu.

Peut-être qu'après avoir entendu et lu toutes ces éloges, je m'attendais à un roman d'amour des plus vibrants, comme ceux que je venais de lire. Des belles histoires d'amour-passion, qui parlaient de folie, de fièvre, de désirs brûlants, de sexe, de larmes, avec des mots doux, avec des mots crus qui sentaient à la fois, la transpiration des corps et la désillusion des coeurs.
*

Avec « la Déraison » c'est tout ce que je redoutais d'un roman. Qu'il soit trop cousu de fil blanc, trop prévisible, ce qui a gâché un peu ma lecture.
Il n'a fait que m'effleurer et j'ai ressenti un manque de cohérence et de profondeur.
Son histoire m'a paru improbable, car pour moi, elle n'existe pas dans le vrai monde, avec des êtres qui meurent dans un bonheur absolu, entouré avec des trop-pleins de « je t'aime ».

Certes Agnès Martin-Lugand écrit avec une grande délicatesse, en y mettant beaucoup de sentiments et sa plume est fine et sensible.
Mais parfois cela ne suffit pas !
*

Et puis pour moi, l'auteure a voulu relever deux grands défis.
Déjà celui de décrire les états d'âme d'un homme dépressif et rongé par les souvenirs.

Et là, l'auteure a manqué de vrais mots pour me transmettre la brutalité qu'est une dépression chez un homme.
L'histoire n'a pas eu la moindre résonance en moi !

Et pourtant, la dépression et son amie la schizophrénie, est cette « bête noire » des plus gluantes, qui vient doucement et pernicieusement s'immiscer dans votre esprit. Et lorsque vous vous en rendez compte, il est déjà trop tard.
Cette bête noire, qui vous dépossède d'une réalité pour vous faire basculer et vous engluer dans une autre réalité de vie, où toutes les choses suintent le chagrin, la mélancolie, la tristesse, la grisaille, le disgracieux, l'affreux.
Où il n'y a plus de place pour un seul espoir, une seule envie, un seul sourire.
Une bête sournoise qui vous torture l'âme en vous figeant dans vos souvenirs, en vous faisant ressasser votre passé et vos regrets, jusqu'à l'étourdissement.

C'est elle « l'infâme » qui vous convainc parfois que seule la mort est l'unique option pour vous délivrer de votre souffrance.
*

Il faut des années, des dizaines d'années et parfois une vie entière pour dompter « la bête noire », à coups de désamour, à coups de larmes, à coups de lames de rasoir parfois, à coup de longues journées allongé sur votre lit, à coups de cures de sommeil, à coups de médocs qui vous embrument et vous anesthésient l'esprit, à coup de séances psy.

Il m'a paru bien puéril et illusoire, comme dans le roman, de faire disparaitre une dépression, comme cela d'un seul coup de baguette magique, par un événement émotionnel.
*

Le deuxième défi que l'auteure s'est donné, c'est de parler des sentiments d'une femme condamnée à une mort proche.
Et je me suis posé la question si un vivant en bonne santé était capable d'exprimer au plus près le ressenti d'une condamnée à mort. A moins que cette dernière fasse des confidences.

Agnès Martin-Lugand a bien évoqué ce côté où les personnes bienveillantes et courageuses veuillent cacher leur terreur de mourir, veuillent dissimuler leur souffrance et la faiblesse de leur corps. Veuillent donner une belle image d'elles avant de partir, pour que leurs enfants gardent un beau souvenir, pour ne pas donner plus d'affliction à leur famille, à leurs très proches.

Parce que ce sont eux qui finalement vont rester et vont souffrir.

Mais l'auteure n'a pas abordé toutes les interrogations, toutes les angoisses que nous pouvons peut-être ressentir face à notre mort prochaine et éminente, face à ce vertigineux et grand saut dans l'Inconnu. Face à cette épouvante du vide, du néant.
Parce que la mort n'appartient pas à la vie. Elle est pour certaines personnes « son terminus ». Elle est pour d'autres, un autre état d'être, dans un tout autre lieu, dans une autre dimension.

Et que nous soyons croyants ou pas ne change rien aux grandes questions existentielles que nous nous posons sur la présence du cosmos, sur le mystère de la vie et de la mort.

Peut-être il y aurait de la colère de se dire pourquoi moi ?
De se dire pourquoi dois-je partir dès maintenant ?
Quelle fut la nécessité de ma présence sur terre, si le destin me fait mourir si jeune ?
Qu'est-ce que l'univers ?
Qu'est-ce que la vie ?
Qu'est-ce que la mort ?
Pour quelle raison, dans quel but l'existence du monde des vivants ?
Qui crée l'existence et pourquoi ?
Quel est le sens de la vie ?
Qu'est-ce que le temps ?
Peut-on quantifier ce que représente une seconde ?
Qu'est-ce que l'âme éternelle ?
Que représente un souffle de vie par rapport à une éternité ?
*

Qui suis-je ?
Pourquoi toutes ces questions ?
Combien d'années me reste-il avant de rencontrer « la Grande Faucheuse ».
Combien de livres aurais-je encore le temps de lire.
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Encore une célèbre auteure que j'ai découvert grâce à un livre audio, lu par Bénédicte Charton et Yann subberg, j'aime particulièrement quand il y a deux lecteurs, c'est très agréable et plus naturel d'entendre chaque personnage incarné par quelqu'un de son sexe, on se sent plus immergé dans l'histoire. Ces deux acteurs ont tout à fait la bonne intonation pour nous entraîner sur les traces de Madeleine et de Joshua.

Dans ce roman choral, nous suivons alternativement Joshua, un pianiste qui ne joue plus et songe à se suicider car il a perdu son grand amour vingt sept ans plus tôt, il vit dans une maison au fin fond de la Bretagne, sous la surveillance de son fils, Nathan, dix-neuf ans qui le surveille pour l'empêcher de boire et d'attenter à sa vie.

Madeleine vit à Paris où elle a elle a crée une agence de voyage avec Vasco, son ex-mari devenu son meilleur ami. Ils ont une fille de dix-huit ans, Lisa. Madeleine a un cancer qu'on ne peut soigner, elle s'apprête à quitter toutes les personnes qui ont fait sa vie. Elle a connu un grand amour avant Vasco dont la perte a brisé sa vie. Lisa ne sait rien de cette histoire et sa mère n'aimerait pas qu'elle l'apprenne de son père ou de ses tantes après son départ. Aussi décide -t'elle de l'emmener dans la maison de famille au fin de la Bretagne dans laquelle elle n'est jamais retournée et que Lisa ne connaît pas.

Jusque là le roman sonne vraiment juste, les sentiments des deux personnages principaux sont bien décrits et étayés, Madeleine est très crédible dans sa volonté de ménager sa famille qui continue à nourrir un espoir fou, pourtant elle est lucide, et sa famille aussi quand ils veulent bien regarder la réalité en face. Malheureusement lors de l'arrivée en Bretagne, on sombre dans le roman à l'eau de rose qui décrédibilise tout le reste : Joshua se trouve évidemment sur la même plage et Madeleine reconnaît qu'elle n'a aimé que lui, c'est parti pour une fin bien larmoyante, sans compter que les deux enfants tombent amoureux l'un de l'autre pour en rajouter une couche.

Je trouve qu'on a vraiment deux qualité d'écriture dans ce roman, le début et le milieu sont convaincants et m'ont plu, mais la fin si cousue de fil blanc m'a franchement énervée. Si Madeleine est très réaliste et crédible on peut quand même douter fortement de Joshua. D'accord que c'est un artiste et on peut penser que ces personnes ne réagissent pas comme le commun des mortels, mais comment croire qu'un homme puisse déprimer durant près de trente ans pour avoir été quitté par son amour de jeunesse ? Qui peut croire à une histoire pareille franchement ?

L'écriture est fluide et agréable, dommage qu'elle ne soit pas mise au service d'un projet plus cohérent. Un grand merci à Lizzie et Netgalley pour leur confiance.

#Ladéraison #NetGalleyFrance !
Lien : https://patpolar48361071.wor..
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Vous êtes nombreux à avoir hâte de découvrir le nouveau roman d'Agnès Martin-Lugand, moi y compris. La déraison, publiée aux éditions Michel Lafon, est un livre qui est dans ma liste de lecture prioritaire. Je suis un grand fan de l'auteur. Ces histoires simples me permettent de m'évader en douceur le temps d'un après-midi ou d'une soirée.

Quelque part, le désespoir d'un homme se révèle au rythme des vagues d'ombrageuses. Ses pensées flottent et bouillonnent au point de vouloir sauter dans le vide, mais la réalité est bien différente. Son fils Nathan l'attend et a besoin de lui. du coup, il lui reste la bouteille pour oublier son douloureux passé.
Depuis de nombreuses années, il vit seul avec ses démons et son piano, son compagnon de vie. Un mélange infatigable d'ambivalence, de colère, de frustration, de doute et de culpabilité le hante. Un comportement que Nathan n'aime pas du tout. de plus, il ne comprend pas la raison de cette attitude désespérée.

Ailleurs, le départ au ciel de Madeleine approche. Selon les médecins, il lui reste peu de temps pour vivre, ses jours sont comptés. Quelle triste nouvelle pour une femme encore si jeune. À 40 ans, elle voulait profiter au maximum de la vie avec sa fille Lisa et sa famille. Malheureusement, la maladie a déjà commencé et est sur le point de s'envoler bientôt.
La plupart du temps, elle passe ses journées avec son ex-époux et fidèle ami Vasco. Les deux se sont mariés, mais ils n'ont pas connu de grand amour ensemble, alors ils ont préféré être séparés. Leur amour est pour leur fille Lisa. Ils s'entendent très bien et travaillent ensemble sans le moindre problème. Leur lien est évident. À part ça, Madeleine est très proche de ses soeurs. Ces temps-ci, elle est bien entourée, car les symptômes de la maladie se sont aggravés et Madeleine s'affaiblit de jour en jour. Elle va quitter sa belle vie avec regret. Lisa a encore besoin d'elle, tellement injuste. C'est une situation difficile où tout le monde fait semblant d'accepter l'impossible.
Lors d'une discussion apparemment banale entre Madeleine et Lisa. Elle demande à sa mère de lui révéler tous ses secrets avant de mourir, sinon elle sera très en colère si elle déterre quelque chose après son départ. Madeleine a été troublée par la requête inhabituelle et y a réfléchi un instant, au moins assez pour comprendre ce que ressentait Lisa. Elles décident donc de se rendre en Bretagne dans la maison familiale pour redécouvrir un passé mouvementé et déchirant.
À travers des chapitres alternés, Agnès Martin-Lugand nous fait découvrir l'histoire de Madeleine et Joshua. Tous deux vivent avec des souvenirs indélébiles de leur passion intense, dérangeant, et destructeur. Elle nous raconte leur douleur, leurs expériences et les résultats de leur séparation brutale. À qui la faute ? L'auteure nous laisse suivre leurs traces, découvrir leurs émotions, aller à leur rencontre et d'essayer de recoller les morceaux des coeurs brisés.
Malgré l'affection de Madeleine pour Lisa, son premier amour domine son esprit, sa mémoire, jusqu'à la fin de sa vie.
La déraison d'Agnès Martin-Lugand est une ode à l'amour avec un A majuscule. Un livre qui vaut vraiment la peine d'être lu tant il est profond et sensible. Aussi difficile que soit le sujet, l'auteure est parvenue à me faire oublier ou plutôt mettre de côté la douleur de la mort, partager et reconnecter et vivre de beaux derniers instants avec Madeleine et Joshua, car les aléas de la vie ont été brutalement et injustement séparés. Vous allez certainement sourire et verser quelques larmes dans ce magnifique mémorable.

Lien : http://chroniqueuse6.canalbl..
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critiques presse (1)
LeJournaldeQuebec
20 juin 2022
Ce roman puissant, qui ne laisse pas indifférent, s’est imposé à elle, comme si le moment était venu de raconter l’histoire de Madeleine et Joshua.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
Citations et extraits (123) Voir plus Ajouter une citation
J'étais déchirée. Que les autres vivent sans moi était mon souhait le plus cher, je refusais qu'ils attendent mon départ pour poursuivre leur chemin. Ce n'en était pas moins douloureux pour autant. Devenir transparente, invisible n'était pas naturel, n'était pas juste. L'esprit se rebelle, a envie de gueuler "je suis là, ne m'oubliez pas ! Pas encore. Pas déjà!"
Mais je n'en avais pas le droit. Je ne voulais pas leur imposer la culpabilité de vivre.
On ne doit pas culpabiliser de vivre.
On doit savourer. Jouir de la vie. Encore et encore.
Le voile noir commençait à me recouvrir. J'étais une ombre. Je ne pensé pas qu'une ombre pouvait souffrir. Je me trompais.
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On ne doit pas culpabiliser de vivre.
On doit savourer. Jouir de la vie.
Encore et encore.
Le voile noir commençait à me recouvrir.
J'étais une ombre.
Je ne pensais pas qu'une ombre pouvait souffrir. Je me trompais.

p.34
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J'aurais tant aimé emporter cette image avec moi de l'autre côté. Conserve-t-on ses souvenirs ? Ou bien disparaissent-ils ? Mon esprit, s'il existait encore sous une forme quelconque, pourrait-il se réfugier, se ressourcer auprès de ces images que j'engrangeais encore et encore ? Ou bien était-ce le vide ? Le néant le plus total. J’aurais vécu pour rien.
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D'une certaine manière, j'avais la paix. Toutes les personnes dont je m'étais encombré au fil des années avaient fini par s'éloigner. Avais-je voulu d'elles, d'ailleurs ? Pas certain. Je les avais juste tolérées. Elles étaient entrées dans mon existence lors de mes rares moments de faiblesse.
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𝐴𝑣𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑢𝑟𝑖𝑟 𝑜𝑛 𝑝𝑒𝑢𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑚𝑒𝑡𝑡𝑟𝑒.
𝐿𝑎 𝑙𝑢𝑛𝑒, 𝑚𝑜𝑛𝑡𝑠 𝑒𝑡 𝑚𝑒𝑟𝑣𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑠.
𝐶𝑒𝑙𝑎 𝑛’𝑒𝑛𝑔𝑎𝑔𝑒 𝑎̀ 𝑟𝑖𝑒𝑛.
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