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EAN : 9782812612022
211 pages
Editions du Rouergue (04/01/2017)
  Existe en édition audio
4.15/5   1026 notes
Résumé :
Une femme a disparu. Sa voiture est retrouvée au départ d’un sentier de randonnée qui fait l’ascension vers le plateau où survivent quelques fermes habitées par des hommes seuls. Alors que les gendarmes n’ont aucune piste et que l’hiver impose sa loi, plusieurs personnes se savent pourtant liées à cette disparition. Tour à tour, elles prennent la parole et chacune a son secret, presque aussi précieux que sa propre vie. Et si le chemin qui mène à la vérité manque aut... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (235) Voir plus Ajouter une critique
4,15

sur 1026 notes
Magistral, rude, virtuose, original, intelligent, ultra-réaliste , social , rural, journalistique ,
Ne passez pas à coté de cet excellent roman policier français ....

Tout commence avec Alice, jeune assistante sociale , hyper efficace, dont le boulot consiste à vadrouiller dans la campagne , rendre visite aux agriculteurs , leur expliquer à quelles aides , ils ont droit , leur faire un brin de causette, eux qui sont si seuls , si isolés .
"Un agriculteur se suicide tous les 2 jours ".
Puis , il y a Joseph qui élève des brebis à qui il parle plus souvent qu'aux femmes , depuis que sa mère est morte . Seul, immensément seul et isolé ...
Et puis il y a Michel, le mari d'Alice ,
et puis, et puis, deux autres personnages ...
Cinq personnages , en cinq chapitres, vous donnent leurs versions, vous content leurs histoires qui aboutissent toutes au même fait : une femme a disparu .
Sur le Causse, en plein hiver , Evelyne , riche épouse de 48 ans, faisait de la randonnée, et les gendarmes n'ont retrouvé que sa voiture .

Arrivée là dans l'histoire , je me suis demandée pourquoi sur cette couverture rouge , les éditions du Rouergue avait mis un jeune homme black , "♫sapé comme jamais"...
Je n'ai pas fait confiance... J'étais bête .
"Seules les bêtes" , c'est l'histoire de cinq personnages et cinq secrets... Cinq solitudes aussi .
♫ "Elle court , elle court la maladie d'amour ", du plateau des causses , à Paris, de la campagne à ... chhhuut .
On ferait n'importe quoi pour ne plus être seuls , pour aimer , pour être aimé , c'est Colin Niel qui le raconte, chaque personnage ayant une voix , une façon de s'exprimer particulière .
Et c'est juste magistral et virtuose et ...
Tellement réaliste et poignant .



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Salon du polar Bloody Fleury 2017, j'arrive dès l'ouverture.
Les auteurs invités ne sont pas encore installés.
Je fais donc un petit tour de repérage rapide des tables de dédicaces et me dirige vers le coin librairie en prévision des achats que j'ai prévu.
Mon choix est bien déterminé, mais je me suis laissé quelques libertés concernant certains auteurs.
Me voilà dans un moment d'hésitation...
Un homme approche et vient juste à côté de moi.
Je tourne la tête et... je crois le reconnaître. Il est bien en face des livres de l'auteur que je pense avoir reconnu, en tout cas.
"-Bonjour ! Vous pouvez me conseiller ?
- On se connait ?
- (Oh merde... si ça s'trouve c'est pô lui?!!!???... J'ai pô l'air con moi maintenant...)
Euhhhhhhhhh....
(gloups... j'dis quoi ?! Comment je me dépatouille ???? Helppppp !!!!)
euh...Vous êtes bien auteur ???
(sueur tout partout...Dis oui ! please...)
- Oui ! Oui ! Je suis bien Colin Niel !
- (oooooooh ! Que c'est bon de respirer !!!!!)
Ah ! Vous m'avez fait peur ! (Quand même, hein ! Quelle frayeur...)
Alors, je vous écoute... Parlez moi un peu de vos livres ?"

Voilà, c'est en gros comme ça que tout a débuté.
Comment je me suis retrouvée avec Seules les bêtes entre les mains.
J'ai été immédiatement séduite par ce qu'il m'en a dit.
J'avais vraiment hâte de pouvoir le débuter !

Ce qui m'attirait ?
Juste le fait que ce soit un roman choral. Noir qui plus est.
Tour à tour, plusieurs protagonistes nous exposent leur version de l'histoire.
Et à partir de là, les jeux étaient faits !
C'est vraiment un genre que j'adore.

Imaginez...
Une disparition, des montagnes, des sentiers de randonnées, quelques fermes isolées, un monde rural où la solitude prédomine, où les hommes n'ont que leurs bêtes pour seule compagnie, en plein hiver.
Imaginez...
5 personnes qui ont un lien avec cette disparition.
Chacune leur tour, elles exposent leur version de l'histoire.
Chacune avec son vocabulaire, sa culture, ses émotions, son environnement, sa situation personnelle, professionnelle, ses conditions, ses pensées, ses croyances et ses coutumes, sa singularité...
Chacune avec ses failles, sa détresse, ses faiblesses, ses blessures, ses combats...

Colin Niel a fait un travail remarquable sur ses personnages.
J'ai vraiment eu l'impression de les avoir en face de moi, d'être leur interlocutrice. Je les ai vu vivre. Ils étaient tous là, bien réels.
Ce coin de montagne sauvage, le causse, cette campagne isolée, ce monde agricole, cette vie solitaire parmi les bêtes, j'y étais. Avec toute la rudesse de l'hiver par dessus le marché !
Même quand l'auteur nous entraîne vers un autre continent, je m'y croyais.
Niel est très habile pour nous projeter sur les lieux de son intrigue, nous faire voyager, planter un cadre, un décor, tout cela sans en faire des pages. C'est ce qui est particulièrement plaisant et admirable.

Un roman qui m'a donc énormément plu !
Que je vous invite à découvrir à votre tour.
Une intrigue qui m'a tenue en haleine.
Des récits qui s'imbriquent les uns aux autres, pour en faire une histoire saisissante.
Une construction virtuose...
Alors, bien sûr, beaucoup de coïncidences peut-être... Mais dans la réalité, Il y a des choses bien plus tordues, parfois...
Et il n'est pas rare que le hasard fasse le bien...ou le mal.
La force du destin...

Monsieur Colin Niel, vous faites dorénavant parti des auteurs pour lesquels je suis avec intérêt les prochaines sorties.
En attendant, comme vous me l'avez conseillé, je lirai Obia. Ca me fera patienter...
Merci encore pour tout ces moments que nous avons partagé. J'aime les gens passionnés.
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Je découvre Colin Niel avec ce roman chorale et je dois dire que j'ai été impressionné.
Impressionné pour commencer par la faculté de l'auteur à nous faire entrer dans la tête de ses personnages, impressionné par ce talent à créer une intrigue addictive qui ne peut se dévoiler que par touches subtiles et enfin impressionné par le style, efficace et sans effets superflus.
Nous avons dans ce récit une belle variation sur le thème du "battement d'aile du papillon", ou comment la vie de gens simples peut basculer sans préavis de façon irrémédiable.
Il y a Alice, l'assistante sociale, Joseph, l'éleveur de brebis, Maribé, une jeune marginale instable, Michel, le mari d'Alice et éleveur de vaches et enfin Armand dont je ne dirai rien ici pour préserver un certain suspense.
Je suis admiratif quant au procédé qui consiste à vivre et revivre les situations vues et ressenties par les différents personnages qui se croisent, chacun ayant sa vision et sa vérité, chacun ayant ses intuitions vraies ou fausses. Un procédé efficace pour garantir une tension constante et maintenir le lecteur dans l'incertitude.
J'ai aimé ce scénario qui nous fait vivre en cinq chapitres courts les débats intérieurs des personnages, ils ont en commun d'être mal dans leur peau et en constat d'échecs. C'est peu de dire que l'auteur va nous captiver avec le destin de ses personnages.
Il y a aussi l'occasion de s'instruire sur la vie dans le monde rural, ici les Causses et le métier d'éleveur, des sentiments qui balancent entre attachement à ses racines et absence de perspectives d'avenir, la vision désenchantée d'un monde entre espoir et inertie.
Il y a ces réflexions pertinentes sur la vie de deux mondes, ceux d'ici et les autres, c'est fin, subtil et instructif.
Et il y a enfin la montagne belle et omniprésente, elle est remarquablement mise en valeur dans ce récit, exigeante et implacable.
Bien qu'ayant été frustré par la fin, j'ai été emballé par cette lecture que je recommande vivement.
Pour finir je vais parler de la couverture qui n'a cessé de m'intriguer tout au long de ma lecture, je me suis demandé s'il n'y avait pas d'erreur, réponse dans les derniers chapitres ;)
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Une randonneuse disparaît, mystérieusement avalée par le causse, là où ne subsistent plus que quelques fermiers isolés, seuls avec leurs bêtes dans une vie de labeur ingrat qu'ils sont les derniers à n'avoir pas fuie. L'enquête piétine. Pourtant, plusieurs personnes qui se savent liées à l'affaire en sont à tirer discrètement leurs conclusions personnelles, à la lumière de leurs secrets respectifs. Il leur manque toutefois la pièce principale du puzzle, cachée bien loin de leur bout de terre oublié.


Au village, où superstitions et vieilles histoires ne demandent qu'à revivre, les langues vont bon train, mais ceux qui savent, ou croient savoir, se taisent. Ils sont cinq, suffisamment embarrassés pour n'avoir aucune envie de s'épancher auprès des gendarmes, à connaître chacun un aspect de la tragédie sans pouvoir tout s'expliquer. A travers leurs récits, qui, un à un, nous font pénétrer au coeur de leurs propres drames à défaut d'élucider tout de suite celui de la disparition, revient, en lancinant leitmotiv, une effroyable solitude, vécue au sein de couples bancals, ou, le plus souvent, au seul contact de leurs bêtes par ces fermiers veufs ou restés célibataires, accrochés comme les derniers des Mohicans à une terre désormais si peu nourricière qu'elles les usent jusqu'à la corde de la pendaison, s'ils ne finissent pas un jour par partir à leur tour. Alors, avant que cet isolement ne les terrasse tout à fait de désespoir et de folie, tous tentent de faire face à leur façon, cherchant l'amour et l'affection là où ils le peuvent, ou bien là où certains les emmènent…


Habilement construit autour de personnages campés en profondeur, le récit fait aisément oublier une ou deux improbabilités pour nous emporter au bout de la curiosité, vers un dénouement plein de surprises et non dénué d'humour. Si la tension ne faiblit jamais, rendant le texte addictif de bout en bout, ce sont la qualité des portraits et la restitution du désespoir de ces petits agriculteurs, écrasés de travail et de solitude pour survivre à peine, avant la très ironique description de l'exploitation de cette détresse par d'autres plus misérables encore, profitant autant qu'ils peuvent de leur emprise jetée par-dessus les continents, qui sortent définitivement du lot ce roman choral noir, quasi sociologique.


Une histoire que n'aurait sans doute pas reniée Franck Bouysse, et qui, du coup, m'a volé mon coup de coeur, tant je m'y suis prise de nostalgie pour la plume de cet autre auteur. Pourtant, dans un style très différent, celle de Colin Niel brille agréablement de justesse et de malice.

Lien : https://leslecturesdecanneti..
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Évelyne Ducat, femme d'un notable du coin parti faire fortune à la capitale et revenu s'installer au pays, a mystérieusement disparu. Au village, cela en fait causer plus d'un. Certains vont même jusqu'à supposer que c'est la tourmente, ce vent d'hiver qui se déchaîne parfois sur les montagnes, qui l'a emportée, comme autrefois. En cette mi-janvier, alors que l'hiver s'est rudement installé, c'est le lendemain de la disparition de cette femme qu'Alice a appris la nouvelle par son amie et collègue, Éliane, assistante sociale elle aussi qui apporte son aide aux paysans du coin. Une nouvelle qui ne l'ébranle guère, Alice étant plutôt soucieuse aujourd'hui du comportement de Joseph. Celui-ci, éleveur de brebis habitant dans un hameau, tout là-haut, dans une grande maison caussenarde, dépressif et isolé depuis la mort de sa mère, est devenu son amant. À force de visites régulières, elle en est tombée amoureuse mais aujourd'hui il ne veut plus d'elle. Alice est bien loin de s'imaginer que ce dernier peut être impliqué dans cette disparition dont on parle à la télé....

Une femme disparaît et c'est la vie de plusieurs personnes qui va s'en trouver bouleversée, depuis le coeur de ce village jusqu'en Afrique. Colin Niel tisse sa toile autour de cette disparition et, tel le vent, glacial, s'engouffre dans les tréfonds de l'âme humaine et saisit le coeur des hommes pour les dévoiler. Notamment ces cinq personnes qui se savent directement ou indirectement lié à cette étrange disparition et qui, tour à tour vont prendre la parole et se mettre à nu. Des amours cachés, des rancoeurs, des jalousies, des désillusions, des rêves ou encore des chagrins. Toutes ont un secret, pour certains inavouables. L'auteur se glisse parfaitement dans tous ces personnages, écorchés et fouillés, changeant l'intonation et le phrasé, créant ainsi l'illusion. Il dépeint méticuleusement les décors, que ce soit ces terres du causse, arides et ingrates, ces montagnes écrasantes ou ce village africain aux mille croyances.
Un roman choral saisissant, habilement construit et mené, une intrigue vertigineuse et cinq voix inoubliables.
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critiques presse (3)
LeSoir
05 octobre 2020
Après « Seules les bêtes », le Français Colin Niel nous emmène à la chasse entre Pyrénées et Namibie.
Lire la critique sur le site : LeSoir
Actualitte
11 août 2017
Dans la rudesse hivernale du causse, le corps d’une femme, Evelyne Ducat, est retrouvé sur un chemin. Le décor du polar est planté. Et pourtant, Seules les bêtes a son genre bien à lui, ce n’est pas un policier classique.
Lire la critique sur le site : Actualitte
Actualitte
23 janvier 2017
Un force descriptive déjà remarquée lors de ses précédents récits policiers et qui permet d'emblée au lecteur de pénétrer totalement dans l'environnement où se déroule l'histoire.
Lire la critique sur le site : Actualitte
Citations et extraits (108) Voir plus Ajouter une citation
Des fois j'imagine la vie des paysans d'autrefois et toutes ces croyances qui leur pourrissaient l’existence. Ces histoires de fantômes qui voulaient pas quitter les maisons où ils étaient morts, de loup-garous qui s’attaquaient aux gamins pour leur bouffer le foie, de trèves qui se planquaient dans les bois et qu'attendaient les vivants. Nos ancêtres, ils y croyaient pour de vrai, quand ils passaient près de ces endroits maudits ils se mettaient à courir. Mémé en causait parfois, elle se moquait de sa mère et ça la faisait marrer, mais je voyais bien qu’elle riait pas tant que ça.
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J'ai frappé. Pas de réponse. J'ai frappé encore . Et enfin j'ai entendu des pas glisser sur le sol derrière la porte en bois, puis le bruit d'un loquet qui sortait de son axe . Le battant s'est ouvert en grinçant .Et dans l'entrebâillement, j'ai eu ma première vision de cet homme abîmé qui un jour allait devenir mon amant , avec son jean sans forme, sa chemise grise et tachée, ses cheveux dans tous les sens. Mais ce que j'ai vu avant tout, c'est le fusil de chasse qu'il tenait à deux mains, en travers, comme pour m'empêcher de passer . Tu parles d'un accueil, ai-je pensé.
Commenter  J’apprécie          350
C'est pas rare que je baisse les yeux et que je regarde mon ombre qui devient plus petite avec les heures. Je suis son mouvement sur les herbes sèches et sur les pierres grises. Je me dis que cette ombre au moins, elle sera toujours là. Que j'ai pas besoin de lui causer ou de faire je sais pas quoi pour qu'elle reste. Je pense aux anciens, à ces histoires qu'on me racontait quand j'étais gosse. Dans le temps, les vieux disaient que ton ombre, c'était l'image de la mort. Comme un double de toi qui s'accroche à tes pas et qui te quittera que le jour où tu seras sous la terre.
Commenter  J’apprécie          330
Parce qu'à force d'être tout seul, t'as appris à te connaître. Tu sais que si ici, au milieu du Causse et de tes animaux, tu te sens pas bien, ça veut dire que dedans, ça sera encore pire. Et alors, tes brebis, tu te mets à les détester comme c'est pas permis. Tu sais qu'elles y sont pour rien, que c'est toi qui les élèves et pas l'inverse, ça change rien. Tu les détestes parce que t'as personne d'autre à détester. (p. 56)
Commenter  J’apprécie          420
Les gens veulent toujours un début. Ils s'imaginent que si une histoire commence quelque part, c'est qu'elle a aussi une fin. Que l'orage a cessé, qu'ils peuvent revenir à leur routine, épargnés qu'ils ont été. Ça se tient, je dis pas. Et puis ça rassure un peu. Il faut bien parce ce qui s'est passé cette année-là, ça en a inquiété plus d'un. Ceux d'en bas dans la vallée, sur les marchés, dans les foires, ils la racontent encore, cette histoire. Ils inventent la moitié d'ailleurs, chacun a ses petits détails qu'il a rajoutés, qu'il peaufine, les mois passant. À leur place, je ferais pareil: ça fait des choses à dire, tout le monde cherche des choses à dire, sinon on n'existe pas. C'est humain.
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