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EAN : 9782715212343
304 pages
Le Mercure de France (22/01/1981)
3.61/5   19 notes
Résumé :
Accroupie, toute de blanc vêtue, l'enfant regarde en silence, les yeux exorbités, le gros boucher assommer, au fond d'un grand trou noir, le boeuf ; le boeuf du petit Jésus. Le bruit du choc, la vue du sang que la mère phtisique boit à petites gorgées, colorant de rouge ses lèvres pâlies marqueront à jamais l'enfance de Mary.
Une oeuvre flamboyante qui met en scène la vie rude que mena une petite fille élevée à la hussarde par son père officier dans l'armée ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Fille d'un colonel des hussards et d'une mère poitrinaire, Mary grandit au gré des changements de garnison. Vivement impressionnée par la mort d'un boeuf, cette enfant nerveuse et à la sensibilité bridée grandit en sachant qu'on l'aurait mieux aimée si elle avait été un garçon. Sa haine du mâle croît à mesure qu'elle comprend le pouvoir qu'elle peut avoir sur le sexe fort. « Elle semblait née pour jouer ce rôle de jolie cruelle avec ses yeux rapprochés comme ceux des félins, sa lèvre dédaigneuse et ses dents pointues férocement blanches. » (p. 181) Étrangement belle, elle déchaîne les passions pour mieux les piétiner et manipule jusqu'à l'extase l'époux et l'amant. « Rappelle-toi que je voudrai toujours ce qui m'arrivera, je suis la maîtresse de vos destinées ; et quand je ne t'aimerai plus, tu regretteras mon amour comme bientôt il regrettera la vie ! » (p. 286) Mary joue avec les désirs des hommes, avec leurs sentiments, considérant ses propres affections comme des faiblesses dont elle doit triompher. Plus guerrière qu'amante et plus chasseuse qu'amoureuse, cette femme aux froideurs brûlantes élève le sadisme féminin au rang de chorégraphie mortelle. « Où était le mâle effroyable qu'il lui fallait, à elle, femelle de la race des lionnes ? … Il était ou fini ou pas commencé. » (p. 303) Et il faudra bien que tout s'achève dans le sang !

Ce roman me faisait de l'oeil depuis des années : son titre sulfureux annonçait des voluptés défendues et des frissons décadents. Avec son style vieillot et désuet à plaisir, le texte fait parfois sourire tant il est singulier de voir la pudeur avec laquelle son audacieuse auteure parle de passion physique et de violence. Il y a ici quelque chose de l'image d'Épinal : en vieillissant, le récit a figé des représentations charmantes et fausses qu'on ne voudrait pas corriger pour tout l'or du monde tant elles sont délicieuses et flattent une certaine idée de la France. « Jamais on ne prouvera aux cavaliers français que faire l'amour n'est pas la meilleure préparation à un combat meurtrier. » (p. 176) La gaudriole et la galanterie à la française sont légendaires et elles se heurtent et se brisent au contact du personnage féminin du roman. Nous sommes bien loin des petites filles modèles, des jeunes vertueuses ou des sages épouses. Même une marquise de Merteuil paraît fade en comparaison de Mary Barbe. « Elle savourait ces voluptés comme les chattes savourent le lait, la paupière mi-close et la griffe en arrêt, heureuse mais n'attendant qu'un prétexte pour lancer l'égratignure. » (p. 252) Savoir que l'enfance du personnage est fortement autobiographique fait regretter de ne pas avoir vécu à l'époque de l'auteure où l'on aurait pu croiser cette femme aux moeurs dont le raffinement le disputait à la décadence !
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Dans cette Troisième république assez pudibonde, cent ans après le personnage historique du Marquis de Sade, avec ses oeuvres ainsi que bien d'autres appartenant au courant de la littérature libertine, que justifiait donc le titre sulfureux de ce roman ? Quel était le motif du scandale qui entoura sa parution et valut à son autrice d'être qualifiée par un Henri Bauer de « petite fille du Marquis de Sade, digne de pourrir au charnier des filles repenties et à la Salpêtrière » et de faire écrire à Lepelletier : « elle inventerait des vices, cette pauvre maniaque, pour faire croire qu'elle les comprend... rabaissez un peu vos cotillons, nous serions tentés de vous donner le fouet... vous ne relevez pas de la critique mais de la clinique. » ? Était-ce le soupçon que, si cet ouvrage s'apparentait à un récit autobiographique, l'autrice elle-même fût atteinte de misandrie ? Qu'elle dénonçât qu'une série de malheurs liés à l'éducation d'une petite fille mal-aimée pour ne pas être née garçon et liés à la condition féminine insupportable du mariage bourgeois donnât naissance à un personnage détestant les hommes, insensible à l'amour, refusant la maternité, mettant en application des connaissances habituellement réservées au sexe masculin à des fins de manipulation et même de crime, pour se libérer du joug qui l'accablait ? L'autrice force le trait dès les premières pages d'une héroïne dont elle laisse pressentir qu'elle deviendra dépravée et vicieuse, selon les critères de jugement masculins de son époque, tout en s'attelant, pendant plus de deux tiers du récit, à dépeindre une enfant victime du trauma inaugural d'un scène sanglante d'abattoir, victime appelée à affronter de multiples deuils, entourée de personnages secondaires ridicules et cruels, même si elle se rend coupable, par omission de secours, de la mort de son petit frère. le lecteur moderne, indique à raison la préfacière Édith Silve, est beaucoup plus touché par cette partie concernant l'enfant Mary Barbe, fille de colonel des hussards, qui se déplace avant la guerre de 70 dans différentes villes de province : Clermont-Ferrand, Dole, Vienne dans l'Isère, Haguenau près de la frontière allemande... Devenue orpheline de père et de mère, Mary saura tirer profit d'une lubie scientifique de son oncle savant, et commencera bientôt à éprouver son pouvoir de manipulation contre celui-ci jusqu'à le tyranniser. Après son mariage de circonstance, émergera crescendo la cruauté froide et impitoyable de la baronne De Caumont qu'elle est devenue : elle souffle le chaud et le froid sur les sentiments amoureux du mari auquel tout est permis et d'un amant qui n'est autre que le fils naturel de celui-ci. L'ambiguïté de l'autrice demeure, à mon avis, dans la mesure où la condamnation dont elle accable l'héroïne se mêle à un juste dédain persistant pour tous les personnages secondaires, masculins mais aussi féminins : en somme, le lecteur intemporel, pour peu qu'il se désolidarise des valeurs virilistes de l'époque de parution, continuera à voir l'héroïne même adulte sinon comme une victime, du moins comme dotée d'un caractère tout à fait explicable et peut-être justifiable, se plaçant dans la continuité avec le récit de l'enfance de la protagoniste – qui semble ressembler beaucoup à celle de l'autrice elle-même. En somme, le lecteur moderne déplacera sans doute sa condamnation du personnage au contexte sexiste et asphyxiant dans lequel il évolue. Est-ce que cette considération suffit à faire du roman un ouvrage féministe ? En tout cas elle justifierait, me semble-t-il, la disproportion de la réaction de scandale qu'il provoqua, car à l'évidence l'autrice « l'avait bien cherché... »
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Mary Barbe est la fille d'un colonel. Elle a à peine huit ans quand elle se promène avec sa tante et institutrice Tulotte qui s'arrête à un abattoir pour aller chercher du lait. L'enfant ne sait pas qu'elle pénètre dans un lieu de mort et, innocemment, croit à cette histoire. Malencontreusement, elle assiste à l'assassinat du boeuf et elle comprend que sa mère, une femme neurasthénique, boit de grandes coupes de sang pour se fortifier, sur l'ordre du médecin. Cette image de la mort d'un animal marque brutalement la petite.
A la maison, on ne s'occupe pas beaucoup d'elle, et elle s'amuse avec une chatte qui ne la quitte plus, jusqu'à ce que cette dernière et ses petits soient tués par la voisine et d'autres hommes. Pour Mary, la vie est cette cruauté envers les animaux qu'elle aime. Elle aimerait jurer de venger les bêtes de cette humanité :

"Si tu voulais… je t'apprendrais à griffer l'homme, l'homme qui tue les boeufs… l'homme, le roi du monde !"

Puis sa mère tombe enceinte et meurt en couches. le père n'a plus d'yeux que pour le petit garçon qui a toutes les qualités (parce qu'il est garçon, simplement. le colonel ne se prive d'ailleurs pas de le dire à sa fille). Mary ressent l'injustice et le manque d'amour. Elle aimerait que ce petit être disparaisse. Un soir où la nourrice a trop bu, la petite fille assiste à ce spectacle : se couchant avec l'enfant, la grosse femme l'écrase et le petit étouffe. Mary n'interviendra pas.
Cette scène de la mort de l'enfant est amenée de sorte que le lecteur se sent complètement du côté de Mary et n'a aucune pitié pour le petit garçon qui meurt. Il en est même soulagé et se dit que ce n'est que justice.
Mais les tourments de Mary sont loin de prendre fin : alors qu'elle vit un amour champêtre et innocent avec Sirocco, un pauvre petit jardiner, il est emporté par un mal. Durant les douze première années de sa vie, Mary n'a connu que le malheur, le désamour. Quelle femme deviendra-t-elle? La devise gravée sur son lit, depuis toujours :

AIMER, C'EST SOUFFRIR.



C'est cela que nous raconte ce roman au titre beau, mais assez trompeur. Il n'est pas question d'une marquise ; pas question non plus de faire souffrir pour le plaisir sexuel. Mary est une femme hautaine, qui soumet les hommes à sa volonté à cause de ce qu'on a fait d'elle durant l'enfance. Ce livre a l'apparence d'un roman réaliste du XIXème, dans sa composition et son écriture, mais quelque chose, légèrement, dérape : qu'on ne s'attende pas à de la dépravation, à du sexe, à rencontrer une seconde Wanda. J'avais l'impression, au début, de renouer avec la Comtesse de Ségur (et avec plaisir), avec ce destin singulier et malheureux d'une petite fille bien née.
Dommage que les cinquante dernières pages ne présentent pas autant d'intérêt et que l'histoire s'essouffle. On aimerait une Mary plus radicale, plus impitoyable encore. On est même déçu quand on s'attend à la voir coucher avec une comtesse, maîtresse de son mari, et que la chose est évacuée trop vite parce qu'elle ne goûte pas à ces choses-là. Pourtant, elle n'aime pas les hommes non plus. L'ambivalence lui aurait donné bien plus de force.
C'est tout de même une lecture singulière, dont les premières pages m'ont fait pourtant attendre davantage.
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Marguerite Eymery, Madame Alfred Vallette, dite Rachilde est une femme de lettres française de la fin XIXème et du début du XXème siècle. S'habillant et se coiffant à la garçonne, elle s'intéressa très tôt aux questions d'identité sexuelle et d'inversion, que reflète son roman le plus célèbre, "Monsieur Vénus" (1884), qui lui valut une célébrité immédiate et largement sulfureuse. En 1885 elle demande et obtient une permission de travestissement de la préfecture de police.

Avec son titre sulfureux, La marquise de Sade nous raconte l'histoire d'une jeune fille, de son enfance à sa trentaine, qui, petit à petit, apprend à se servir des hommes et qui développe un goût prononcé pour le sang et la violence. Ce livre reprend les codes du roman réaliste du XIXème siècle mais diverge par ses propos sulfureux et sa liberté de moeurs. Sans aborder explicitement les relations sexuelles, comme on pourrait le croire avec ce titre, ce roman nous dépeint le milieu des libertins du début du siècle dont notre héroïne représente l'archétype au féminin. La marquise de Sade est un roman étrange pour son histoire mais classique dans sa forme. de ce fait, l'écriture en est délicate et rend la lecture agréable même si certaines scènes peuvent être déplaisantes. Je vous conseille donc ce livre de cette autrice importante mais trop peu connue.
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C'est bien là, une étrange histoire. le style est daté, beaucoup de mots ne sont plus du tout employés ou n'ont plus le même sens aujourd'hui d'où quelques problèmes pour saisir l'émotion que Rachilde a voulu nous faire passer.
Cependant, quelle écriture, le style est travaillé, parfait. Beaucoup de passage mériteraient d'être étudiés car on sent de la profondeur et une maitrise de la langue comme les grands auteurs ( Balzac, Zola....enfin les auteurs qu'on étudie au lycée! lol)
L'histoire est intéressante, prenante, mais ne soyez pas influencé par le titre. Je pensais lire du sulfureux et me suis presque retrouvé devant un classique ( sauf peut-être sur la fin...)
Une découverte pour moi...je continue sur ma lancée , je poursuis mon plaisir de lire avec un pur classique....Jane Eyre
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Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
Et l'année lugubre de son double veuvage écoulée, sa vie s'épanouit en des exagérations à travers ce que les philosophes du siècle appellent la décadence, la fin de tout. Avec amis, parasites ou amants, elle courut dans les lieux mal famés qu'on lui vantait comme endroits recelant de fortes horreurs, capables, en ébranlant ses nerfs, d'étancher sa soif de meurtre. Après la Gazette des Tribunaux, les comptes rendus des journalistes mouchards ; la Morgue ; les romans naturalistes ; les musées de cire du boulevard ; les exploits des empoisonneurs spirituels, il restait encore les brasseries de femmes dans lesquelles, par bonheur, une fois, on pouvait être témoin d'une sanglante scène de jalousie ; les maisons capitonnées, bien closes, où l'on fustige les vieillards décorés ; les cabarets de lettres où de jeunes garçons, presque des enfants, causent de la possibilité de tuer leur mère dès qu'ils l'auront violée ; où des gens, un peu ridicules, décrivent sur leurs bocks de bière frelatée ce qu'ils oseraient sans la préfecture de police ; les bals musette où le souteneur, désormais reconnu comme espèce par la société, ayant une raison presque légale de vivre, explique aux curieux devant lesquels il pose, les doigts aux entournures du gilet, le trois-ponts en arrière, sa manière d'estourbir une marmite récalcitrante et vous invite même à contempler sa belle, râlante des derniers horions reçus.
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Une fois, pendant qu'il l'adorait ainsi, le front prosterné sur ses pieds chaussés de brocart d'argent, car elle devenait d'une somptuosité de reine, il fut repris de ses hémorragies ; les pieds scintillants, les pieds d'idole, se couvrirent de pourpre. Honteux, il lui demanda pardon, se mettant de l'amadou aux narines et tâchant d'essuyer les jolis souliers.
- Ce n'est rien, dit-elle, avec une farouche précipitation ; au contraire, laisse donc, cela m'amuse de me sentir marcher dans ce flot rouge !
Elle lui expliqua qu'elle l'avait aimé pour cette infirmité de gamin bien portant, et que, si elle osait, elle le ferait saigner ainsi par plaisir.
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Quant à l'amour, elle persistait à le rêver d'une façon vague avec des gens pieds nus qu'on peut jeter dehors dès qu'il vous gênent.
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« Elle semblait née pour jouer ce rôle de jolie cruelle avec ses yeux rapprochés comme ceux des félins, sa lèvre dédaigneuse et ses dents pointues férocement blanches. » (p. 181)
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1. « - […] Je vous aimerai davantage demain, ce sera mon devoir, mais ne comptez pas sur une passion désordonnée, j'ai horreur de l'homme en général, et en particulier vous n'êtes pas mon idéal. Lorsque j'avais dix ans, je m'imaginais qu'un jardinier pieds nus et en chapeau percé serait le mari de mes rêves. […] Si je vous accepte sans attendre mon bohémien, c'est que je tiens à m'affranchir de la tutelle de mon oncle. Vous êtes ma liberté, je vous prends, lex yeux fermés... Vous seriez un voleur, que cela me laisserait indifférente.
[…]
Oh ! j'ai des théories bizarres, mais il faut vous résigner, Monsieur. Il ne me plaît pas, moi, de faire des êtres qui souffriront un jour ce que j'ai souffert, ce que tout le monde souffre, prétend-on. La maternité que le Créateur enseigne à chaque fille qui se livre à l'époux, moi, j'épuise son immensité de tendresse à cette minute sacrée qui nous laisse encore libre de ne pas procréer, libre de ne pas donner la mort en donnant la vie, libre d'exclure de la fange et du désespoir celui qui n'a rien fait pour y tomber. » (pp. 213-215)
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