AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Jean-Christophe tome 5 sur 10
EAN : 978B0000DUFJ4
Albin Michel (30/11/-1)
3.45/5   10 notes
Résumé :
À Paris, dans la misère la plus noire, Christophe commence par demander à deux compatriotes de lui trouver des leçons de piano. Parallèlement, il est introduit dans les milieux intellectuels, mélange de bourgeoisie et d'artistes. Il ne tarde pas à s'apercevoir que rien n'est bien différent en France, de l'Allemagne, que le conformisme règne également en maître...

Romain Rolland, né à Clamecy (Nièvre) le 29 janvier 1866 et mort à Vézelay le 30 décembre... >Voir plus
Acheter ce livre sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten
Que lire après Jean-Christophe, tome 5 : La foire sur la placeVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Je terminais ma critique du quatrième tome de la saga Jean-Christophe par une phrase empruntée à Eugène de Rastignac, « À nous deux maintenant ! » alors qu'il se sentait prêt à affronter Paris. L'arrivée du jeune musicien dans la capitale française n'est pas du tout comparable. Dans le cinquième tome, il vit dans la la misère, le dénument le plus complet. Il a dû fuir la justice de son pays natal, on est loin du conquérant… Mêmes ses quelques amis d'enfance (comme Otto Diener) ne lui sont d'aucune utilité. Heureusement, quelques vagues connaissances lui viennent en aide, dont Sylvain Kohn, qui l'introduit auprès de gens qui pourront lui offrir une position.

Ce cinquième tome, La foire sur place, tire beaucoup du roman d'apprentissage. Sans repère, Jean-Christophe doit se débrouiller dans une grande ville, comme dans une foire. L'autre image qui vient en tête est celle d'une jungle urbaine, avec ses propres codes, ses propres règles. Il y a un peu moins d'actions mais, du fait que le protagoniste n'est plus dans sa zone de confort, ça amène cette bouffée de nouveauté qui commençait à manquer à la série, selon moi. On voit autre chose. Par exemple, Jean-Christophe se prive de nourriture pour aller au concert ou pour frayer avec les grands. Cette vie d'artiste bohême, difficile, est tout de même intéressante.

Aussi, après quatre tomes passés en Allemagne, lire des référents culturels français fait changement. L'Opéra-Comique, Gounod, Massenet et Debussy remplacent les kapellmeisters, Bach, Beethoven, Brahms et Wagner. Et, en tant que lecteur, voir déambuler le protagoniste dans Paris, sur le Montmartre, suivre les quais, s'arrêter à Notre-Dame ou aux Invalides, ce décor plus familier est agréable. En même temps, le cercle d'amis de Jean-Christophe s'élargit, il rencontre les Roussin, se remet à la musique. « Après une période de repos, où il n'avait été occupé qu'à absorber un monde nouveau, l'esprit de Christophe fut pris brusquement du besoin de créer. » Enfin ! Mais je suppose qu'on en verra les fruits surtout dans le tome suivant…
Commenter  J’apprécie          322
Alors que les 4 premiers tomes se déroulent en Allemagne, on retrouve le héros à Paris.

Dans ce tome, Christophe qui est une sommité en musique, n'a pas les mêmes dons pour les relations humaines. On le voit évoluer dans Paris.

D'abord il meurt de faim… et puis finalement il va intégrer un milieu d'artistes.

Pendant tout ce volume, rien ne trouve grâce à ses yeux. Et je ne sais quelle part représente l'opinion de l'auteur mais les femmes (cités 85 fois), les juifs (25), et les Français en prennent pour leurs grades. Et si certaines images sont bien vues, dans d'autres cas, c'est caricatural à l'excès.

Dans la première partie, Christophe découvre Paris et comprend que les Français ne sont pas si différents des Allemands. L'auteur décrit un Paris décadent, avec un art dégénéré (selon Christophe). Il y a des pages sur la méconnaissance de la musique des Français et des critiques. La littérature à part Anatole France n'est pas épargnée. Visiblement l'auteur règle ses comptes.

« Il resta quelque temps à regarder curieusement les orangers en caisse, qui poussaient dans la serre d'Anatole France, et les narcisses grêles, qui émaillaient le cimetière d'âme de Barrès. Il s'arrêta quelques instants devant le génie, un peu sublime, un peu niais, de Mæterlinck : un mysticisme monotone, mondain, s'en exhalait. Il se secoua, tomba dans le torrent épais, le romantisme boueux de Zola, qu'il connaissait déjà, et n'en sortit que pour se noyer tout à fait dans une inondation de littérature. »

J'ai dû réécouter et relire pour être sûre d'avoir bien compris. Je vous laisse juge.

« Et lui aussi, Christophe, aimait le plaisir. Lui aussi, aimait la liberté. Il avait soulevé contre lui l'opinion de sa petite ville allemande, par sa franchise à soutenir des idées, qu'il retrouvait maintenant, prônées par ces Parisiens, et qui, prônées par eux, maintenant le dégoûtaient. Les mêmes idées, pourtant. Mais elles ne sonnaient plus de même. Quand Christophe, impatient, secouait le joug des maîtres du passé, quand il partait en guerre contre l'esthétique et la morale pharisiennes, ce n'était pas un jeu pour lui, comme pour ces beaux esprits ; il était sérieux, terriblement sérieux ; et sa révolte avait pour but la vie, la vie féconde, grosse des siècles à venir. Chez ces gens, tout allait à la jouissance stérile. Stérile. Stérile. C'était le mot de l'énigme. Une débauche inféconde de la pensée et des sens. Un art brillant, plein d'esprit, d'habileté, – une belle forme, certes, une tradition de la beauté, qui se maintenait indestructible, en dépit des alluvions étrangères – un théâtre qui était du théâtre, un style qui était un style, des auteurs qui savaient leur métier, des écrivains qui savaient écrire, le squelette assez beau d'un art, d'une pensée, qui avaient été puissants. Mais un squelette. Des mots qui tintent, des phrases qui sonnent, des froissements métalliques d'idées qui se heurtent dans le vide, des jeux d'esprit, des cerveaux sensuels, et des sens raisonneurs. Tout cela ne servait à rien, qu'à jouir égoïstement. Cela allait à la mort. Phénomène analogue à celui de l'effrayante dépopulation de la France, que l'Europe observait – escomptait – en silence. »

Cette dernière phrase tombe vraiment comme un cheveu sur la soupe. Dans tout ce volume, il y a une dénonciation de la décadence de Paris, de l'art pour l'art.

« de ces plaines submergées s'exhalait un odor di femina. La littérature d'alors pullulait de femmes et d'hommes femelles. – Il est bien que les femmes écrivent, si elles ont la sincérité de peindre ce qu'aucun homme n'a su voir tout à fait : le fond de l'âme féminine. Mais bien peu l'osaient faire ; la plupart n'écrivaient que pour attirer l'homme : elles étaient aussi menteuses dans leurs livres que dans leurs salons ; elles s'embellissaient fadement, et flirtaient avec le lecteur. Depuis qu'elles n'avaient plus de confesseur à qui raconter leurs petites malpropretés, elles les racontaient en public. C'était une pluie de romans, presque toujours scabreux, toujours maniérés, écrits dans une langue qui avait l'air de zézayer, une langue qui sentait la boutique à parfums et l'obsédante odeur fade, chaude, et sucrée. Elle était partout dans cette littérature. Christophe pensait, comme Goethe : « Que les femmes fassent autant qu'elles veulent des poésies et des écrits ! Mais que les hommes n'écrivent pas comme des femmes ! Voilà ce qui ne me plaît point ». Il ne pouvait voir sans dégoût cette coquetterie louche, ces minauderies, cette sensiblerie qui se dépensait de préférence au profit des êtres les moins dignes d'intérêt, ce style pétri de mignardise et de brutalité, ces charretiers psychologues. »

« Parfois la vraie nature de ces écrivains juifs se réveillait, montait des lointains de leur être, à propos d'on ne savait quels échos mystérieux provoqués par le choc d'un mot. Alors, c'était un amalgame étrange de siècles et de races, un souffle du Désert, qui par delà les mers, apportait dans ces alcôves parisiennes des relents de bazar turc, l'éblouissement des sables, des hallucinations, une sensualité ivre, une puissance d'invectives, une névrose enragée, à deux doigts des convulsions, une frénésie de détruire, – Samson, qui brusquement assis depuis des siècles dans l'ombre se lève comme un lion, et secoue avec rage les colonnes du temple qui s'écroulent sur lui et sur la race ennemie. »

En fait l'auteur essaie de donner un tour de Candide à Christophe mais dans ce volume, cela ressemble plus à de la vertu outragée, qu'à de l'humour. Tout le monde ne peut pas être Montesquieu. R. Rolland utilise plus de 30 fois le mot race, ce qui surprend.

Il y a parfois des morceaux de poésie (surtout en parlant de musique) mais ils sont trop peu nombreux pour rendre ce volume aussi intéressant que les précédents. Espérons que le suivant soit meilleur.
Commenter  J’apprécie          152
La place, c'est Paris ; la foire, les Parisiens.

Incroyable mais vrai, Christophe, notre héros, a dû fuir l'Allemagne après avoir provoqué une rixe entre villageois et soldats dans le but de préserver l'honneur d'une jeune fille. Pas même le temps de dire adieu à sa vieille maman, le voici jeté dans un train et débarquant quelques heures plus tard à Paris, une triste valise à la main et trois sous dans la poche.

Christophe fait donc ses débuts dans la vie adulte avec les difficultés inhérentes à l'exil et à la pauvreté. Tout a de quoi effrayer les plus robustes arrivants dans la Ville des Lumières de 1905. La capitale ne fait pas de cadeaux à ses habitants, quels que soient les milieux qu'ils fréquentent. Christophe en fait rapidement la désagréable expérience...

Ce cinquième tome, s'il offre une rupture géographique dans la narration, s'inscrit toutefois dans la parfaite lignée du précédent par le style et les développements proposés par Romain Rolland autour de la musique et de la musicologie, un domaine à la fois ardu et abstrait (pour moi) qui goûte la musique classique en plébéienne, pour le seul plaisir de l'entendre et non pour le besoin de la comprendre. Toutefois, lesdits développements sont insuffisants à étouffer l'intérêt d'un lecteur qui suit fidèlement les péripéties d'un héros depuis le jour de sa naissance ; un lien affectif s'est créé au fil des pages, au fil des ans, et on souffre, on espère, on vit avec Christophe. Et puis, pour la Parisienne repentie que je suis qui vit depuis quinze ans loin de la foule déchaînée, cela fait toujours plaisir de se replonger dans l'agitation du Paris éternel sans en subir ses nombreux inconvénients.


Challenge NOBEL
Challenge ATOUT PRIX 2017
Challenge PAVES 2017
Challenge Petit Bac 2017 - 2018
Commenter  J’apprécie          223
A la fin de ce cinquième volet, on commence à deviner le grand dessein auquel Romain Rolland s'est attelé en peignant la vie de son double Jean-Christophe, au moment où son héros devine lui-même derrière ses propres ardeurs la possibilité de la grâce.

En attendant, le voilà jeté, seul et désargenté, dans un Paris hostile et peuplé de figures grotesques, décadentes et désabusées sur lesquelles Christophe vient heurter sa nature entière et passionnée. Si le précédent volume faisait le procès de l'âme allemande grassement romantique et inapte à goûter l'art pur, ce tome-ci est une charge cruelle contre la vacuité de l'idéalisme français, peuple de musiciens ignares, de littérateurs sans talent et de politiciens égoïstes et sans vision.
Comme en Allemagne, Christophe va une nouvelle fois se mettre tout ce monde à dos. Mais face à l'adversité, plus fou de musique que jamais, découvrant qu'au final les hommes sont partout les mêmes et qu'il faut donc les accepter comme ils sont, Christophe commence à s'élever au-dessus des passions, et même à irradier autour de lui quelques faisceaux de lumière.

Quelques passages ardus dans ce volume qui s'attarde longuement sur la scène artistique et politique de ce début de siècle parisien; néanmoins j'ai le sentiment de m'ancrer de plus en plus profondément dans ma lecture, à mesure que le personnage de Christophe prend de l'épaisseur et exerce un réel pouvoir de fascination. Continuons...
Commenter  J’apprécie          140
Je retrouve "Jean-Christophe" avec plaisir dans ce 5eme tome du cycle romanesque en 10 volumes écrit par Romain Rolland au début du 20ème siècle. Il est intitulé "La Foire sur la place" sans doute pour illustrer ce que le musicien allemand va vivre dans la capitale française où il s'est installé.

Paris est le lieu d'exil que Christophe à choisi. Il est crédule mais déterminé à trouver un emploi s'étant sauvé d'Allemagne pour éviter la prison.
Mais cela ne va pas vraiment bien se passer.
Il est vite déçu de l'accueil de ses compatriotes et encore plus de la société parisienne. Il y retrouve notamment des querelles d'allemands, une guerre entre musiciens avec l'armée du contrepoint et celle de l'harmonie. Enfin, si ce n'était que cela. Tout est prétexte à critiques dans la première partie du roman.
En fait Christophe refuse tout ce qui se passe à Paris alors au bout d'un moment ça m'a un peu agacée.

La suite va s'avérer plus intéressante. Il donne des cours de pianos pour survivre et Colette Stevens, son élève, tombe amoureuse de lui. Cela lui permet d'être invité aux réceptions et de rencontrer Lucien Levy-Coeur, jeune bourgeois arriviste qui devient son ennemi en politique et dans le domaine artistique. Christophe est contre tous les partis, il n'aime pas les juifs et encore moins les antisémites. Il a du mal a trouver sa place en quelques sortes mais ce qui est certain c'est qu'il ne cautionne pas cet entre-soi de donneurs de leçons.
Son souhait le plus cher est de faire jouer son oeuvre. Mais comme il a une aversion violente pour ceux qu'il trouve snobs mais qui sont influents, sa musique est très mal accueillie.
Il va donc s'isoler et revenir aux sources des musiciens allemands. Pour ne pas mourir de faim il finit par accepter de menus travaux bien qu'il préfère se nourrir de musique en allant aux concerts.

J'ai été surprise par la colère de Christophe qui semble souvent excessive mais toujours dirigée contre une certaine société parisienne de pédants, contrairement à la sympathie qu'il ressent pour les gens plus modestes. Heureusement, les dernières lignes augurent d'une suite un peu moins triste pour lui.

Challenge Nobel illimité
Commenter  J’apprécie          60

Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
Roussin n’était pas un des pires. Combien d’autres dans le parti « faisaient » du socialisme ou du radicalisme, – on ne pouvait même pas dire, par ambition, tant cette ambition était à courte vue, n’allait pas plus loin que le pillage immédiat et leur réélection ! Ces gens avaient l’air de croire en une société nouvelle. Peut-être y avaient-ils cru jadis ; mais, en fait ils ne pensaient plus qu’à vivre sur les dépouilles de la société qui mourait. Un opportunisme myope était au service d’un nihilisme jouisseur. Les grands intérêts de l’avenir étaient sacrifiés à l’égoïsme de l’heure présente. On démembrait l’armée, on eût démembré la patrie pour plaire aux électeurs. Ce n’était point l’intelligence qui manquait : on se rendait compte de ce qu’il eût fallu faire, mais on ne le faisait point, parce qu’il en eût coûté trop d’efforts. On voulait arranger sa vie et celle de la nation avec le minimum de peine. Du haut en bas de l’échelle, c’était la même morale du plus de plaisir possible avec le moins d’efforts possible. Cette morale immorale était le seul fil conducteur au milieu du gâchis politique, où les chefs donnaient l’exemple de l’anarchie, où l’on voyait une politique incohérente poursuivant dix lièvres à la fois, et les lâchant tous l’un après l’autre, une diplomatie belliqueuse côte à côte avec un ministère de la guerre pacifiste, des ministres de la guerre, qui détruisaient l’armée afin de l’épurer, des ministres de la marine qui soulevaient les ouvriers des arsenaux, des instructeurs de la guerre qui prêchaient l’horreur de la guerre, des officiers dilettantes, des juges dilettantes, des révolutionnaires dilettantes, des patriotes dilettantes. Une démoralisation politique universelle. Chacun attendait de l’État qu’il le pourvût de fonctions, de pensions, de décorations ; et l’État, en effet, ne manquait pas d’en arroser sa clientèle : la curée des honneurs et des charges était offerte aux fils, aux neveux, aux petits-neveux, aux valets du pouvoir ; les députés se votaient des augmentations de traitement : un gaspillage effréné des finances, des places, des titres, de toutes les ressources de l’État.
Commenter  J’apprécie          60
C’était un bon garçon ; il n’en voulait jamais à ceux à qui il avait fait tort. Il lui eût paru ridicule que ses victimes eussent plus de susceptibilité que lui. Aussi, quand il avait plaisir à les revoir, n’hésitait-il pas à leur tendre la main.
Commenter  J’apprécie          70
Enfin, il réussit à avoir sa nouvelle commande et à se faire payer. Aussitôt il courut acheter le livre. Il avait peur qu’un autre acheteur ne l’eût pris. Sans doute, le mal n’eût pas été grand : il était facile de se procurer d’autres exemplaires ; mais Christophe ne savait pas si le livre était rare ou non ; et d’ailleurs, c’était ce volume-là qu’il voulait, et non un autre. Ceux qui aiment les livres sont volontiers fétichistes. Les feuillets, même salis et tachés, d’où la source des rêves a jailli, sont pour eux sacrés.
Commenter  J’apprécie          90
Christophe découvrait que la France, – cette France sceptique – était un peuple fanatique. Mais il lui était impossible de savoir en quel sens. Pour ou contre la religion ? Pour ou contre la raison ? Pour ou contre la patrie ? – Ils l’étaient dans tous les sens. Ils avaient l’air de l’être, pour le plaisir de l’être.
Commenter  J’apprécie          80
Et sur l'océan de ténèbres brûlantes où son être roulait, s'ouvrait soudain une accalmie, des éclaircies de lumière, un murmure apaisé des violons et des violes, de calmes sonneries de gloire des trompettes et des cors, tandis que, presque immobile, tel un grand mur, s'élevait de l'âme malade un chant inébranlable, comme un choral de J.-S.Bach.
Commenter  J’apprécie          70

Videos de Romain Rolland (14) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Romain Rolland
Philippe Baudorre vous présente l'ouvrage "L'esprit et le feu : correspondance (1917-1935)" aux éditions Classiques Garnier. Correspondances d'Henri Barbusse et Romain Rolland.
Retrouvez le livre : https://www.mollat.com/livres/2848013/henri-barbusse-l-esprit-et-le-feu-correspondance-1917-1935
Note de musique : © mollat Sous-titres générés automatiquement en français par YouTube.
Visitez le site : http://www.mollat.com/ Suivez la librairie mollat sur les réseaux sociaux : Instagram : https://instagram.com/librairie_mollat/ Facebook : https://www.facebook.com/Librairie.mollat?ref=ts Twitter : https://twitter.com/LibrairieMollat Linkedin : https://www.linkedin.com/in/votre-libraire-mollat/ Soundcloud: https://soundcloud.com/librairie-mollat Pinterest : https://www.pinterest.com/librairiemollat/ Vimeo : https://vimeo.com/mollat
+ Lire la suite
autres livres classés : roman d'apprentissageVoir plus
Les plus populaires : Littérature française Voir plus
Acheter ce livre sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten


Lecteurs (20) Voir plus



Quiz Voir plus

Arts et littérature ...

Quelle romancière publie "Les Hauts de Hurle-vent" en 1847 ?

Charlotte Brontë
Anne Brontë
Emily Brontë

16 questions
1084 lecteurs ont répondu
Thèmes : culture générale , littérature , art , musique , peinture , cinemaCréer un quiz sur ce livre

{* *}