AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
La Traversée des temps tome 2 sur 4
EAN : 9782253941804
640 pages
Le Livre de Poche (30/08/2023)
  Existe en édition audio
4.21/5   1079 notes
Résumé :
L'éternité n'empêche pas l'impatience : Noam cherche fougueusement celle qu'il aime, enlevée dans de mystérieuses conditions.L'enquête le mène au Pays des Eaux douces −la Mésopotamie − où se produisent des événements inouïs, rien de moins que la domestication des fleuves, l'irrigation des terres, la création des premières villes, l'invention de l'écriture, de l'astronomie.
Noam débarque à Babel où le tyran Nemrod, en recourant à l'esclavage, cons... >Voir plus
Que lire après La traversée des temps, tome 2 : La porte du cielVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (116) Voir plus Ajouter une critique
4,21

sur 1079 notes
5
53 avis
4
49 avis
3
10 avis
2
0 avis
1
2 avis
Le premier tome de la Traversée des Temps nous avait fait connaître Noam et Noura au Néolithique et à l'époque du Déluge, dont ils étaient ressortis immortels, tout comme leur terrible adversaire Derek. Nous retrouvons le trio en Mésopotamie, autour d'un autre mythe biblique : celui de la Tour de Babel. Noura a disparu, mystérieusement enlevée à l'amour de Noam. La longue quête de ce dernier pour la retrouver le mène à Babel, où le tyran Nemrod, ravageant la région pour y capturer les esclaves nécessaires au chantier, fait construire une tour d'une hauteur inédite, censée lui ouvrir l'accès au ciel et au royaume des Dieux. Face à sa mégalomanie, la reine sumérienne Kubaba, le premier auteur à l'origine de l'Epopée de Gilgamesh, et des bergers nomades menés par un certain Abraham : autant d'acteurs dont on sait qu'ils contribueront à faire de la Mésopotamie le berceau des civilisations historiques du Moyen-Orient et de l'Europe, aux côtés de celle de l'Egypte antique.


On l'a bien compris depuis le tome précédent : les aventures de Noam et Noura ne sont que prétexte à la mise en perspective de l'histoire de l'humanité depuis ses origines. Si le premier volet de la série avait réussi à rendre ces deux niveaux de lecture aussi captivants et convaincants l'un que l'autre, il faut reconnaître que, cette fois, le talent de conteur d'Eric-Emmanuel Schmitt ne parvient pas complètement à faire oublier les ficelles assez grossières d'une romance somme toute faiblement consistante et d'une immortalité aux aspects parfois franchement rocambolesques. C'est donc avec une petite déception sur ce plan, toute relative étant donnée la richesse des autres aspects du roman, que l'on poursuit la traversée des temps commentée par Noam.


Et là, l'éblouissement est bel et bien toujours au rendez-vous, au fil d'observations aussi limpides qu'érudites, qui retracent, d'une manière passionnante, l'émergence des premières civilisations en Mésopotamie. Dans la plaine fertile délimitée par le Tigre et l'Euphrate, environ trois mille ans avant notre ère, apparaissent des savoirs et des inventions majeurs : l'écriture, la roue, des avancées essentielles en agriculture, les premières villes… Ces nouveautés portent les germes de notre civilisation moderne, ce que Noam nous décode sous un aspect aussi bien historique que philosophique, dans le journal qu'il écrit de nos jours, alors qu'au terme des millénaires d'évolution qui ont mené jusqu'à nous, nous possédons désormais le pouvoir de détruire la planète. Chaque pas en avant porte sa dualité, comme le puissant mythe de Babel l'a si bien enregistré. En même temps que l'homme s'affranchit peu à peu de la nature, et aussi du temps au travers de l'écriture, la fuite en avant de l'ambition et de l'avidité l'entraîne dans l'insatisfaction et le conflit perpétuels. Avec les villes se développent les guerres, l'esclavage et la mégalomanie. Et si la Bible a retenu de Babel une certaine crainte de la prétention et de la démesure humaines face à ce qui commence alors à naître de la perception d'un divin unique, l'histoire n'a cessé de se répéter jusqu'à la prévalence actuelle de l'anthropocentrisme. Les Babels furent et sont encore légions, comme le pointe Noam en se rendant à Dubaï de nos jours. Et, avec lui, l'on s'émerveille autant que l'on s'interroge quant à l'orientation initiée il y a si longtemps par l'humanité, toute entière obsédée par l'instinct de la possession, au point d'en oublier que la vie n'est que transmission, et le bonheur, la jouissance de l'instant présent.


Si le premier tome de cette saga m'avait transportée au-delà du coup de coeur, mon enthousiasme se fait ici relativement plus mesuré en raison des quelques réticences soulevées chez moi par les ficelles de l'intrigue. Celles-ci ne pèsent toutefois guère face à l'indéniable richesse historique, culturelle et philosophique de la narration, qui, au fil de maintes observations passionnantes, opère une formidable et fascinante mise en perspective de l'évolution humaine, au travers notamment de ses mythes. Un "simple" coup de coeur donc pour ce deuxième volet, qui renouvelle mon impatience de découvrir les suivants.

Lien : https://leslecturesdecanneti..
Commenter  J’apprécie          10410
Qui est celle qui brille comme l'aurore,
Belle comme la lune,
Resplendissante comme le soleil,
Redoutable comme les bataillons ?
le cantique des cantiques, 6, 10


C'est Saraï, la femme d'Abram, dont E.E. Schmitt saisit l'histoire pour tisser une toile si fine qu'elle se referme sur moi, piégé avec ravissement dans les entrefilets romancés qui relatent telle une Bible la naissance de Babel gouverné par Nemrod roi irréductible et cruel.

Cette ville qui préfigure la vanité et la puissance malsaine des hommes à vouloir se hisser jusqu'au cieux au niveau des Dieux provoque immanquablement à qui veut y regarder de plus près un véritable « torticolis mystique ». Cette cité prodigieuse et légendaire est le nouveau théâtre à ciel et à coeur ouvert dont Naram-Sin alias Noam est, pour mon plus grand plaisir, le héros éternel et immortel.

Dans ce deuxième opus, j'ai délaissé les chasseurs-cueilleurs de l'âge de pierre qui vivent dans les cavernes pour mieux me joindre aux commerçants de l'âge de bière qui vivent dans les tavernes. Peaux contre pots. J'assiste à la fondation des marchands de Babel, surement les premiers à vendre ce qu'ils ne produisent pas. Jeff Bezos est assurément le tout-petit-petit-petit fillot de l'un d'eux.

J'accompagne activement Naram-sin sur les chemins de Mésopotamie à la rencontre de Kubaba, la reine de Kish, avec Gawan l'espion devenu son ami et, qui pour résister à Nemrod a oublié d'être une quiche. Il y laissera tout de même une grosse part de lui-même. Pardonnez cette galéjade, je n'ai pas pu résister.

Avec beaucoup d'esprit et d'intelligence, E.E. Schmidt mêle ses personnages de fiction au sein même de l'ancien testament et aborde entre autres, la polygamie, l'astronomie, le judaïsme, l'astrologie, l'architecture et l'écriture.

L'écriture cunéiforme éblouis, envoute et crée des liens. Ce procédé visant au demeurant à consigner le réel fascine et devient littérature quand il invente des histoires transmissibles qui charment et magnifient l'existence pour faire rêver sans fin.

C'est un délectable impératif de lire, une savoureuse garantie de ne jamais atteindre le bout de ses rêves, lire pour alimenter l'imaginaire, pour que les mâchoires du monde réel ne m'engloutissent pas.
Merci encore M. Schmitt, les pages de cette saga de l'humanité riches de connaissances et de songes colorés repoussent chaque jour l'échéance de ma digestion par les entrailles du globe et me procure une satisfaction sans cesse renouvelée dont je ne saurais me passer.

On n'est pas toujours responsable des sentiments qu'on suscite mais quand c'est fait délibérément avec tant d'aisance et tellement de brio, ça s'apparente au merveilleux.

Commenter  J’apprécie          738
Et me voilà plongée dans le Tome 2, c'est avec grand plaisir que je retrouve Noam l'immortel qui après le Déluge où il a perdu beaucoup de ses amis et son amour de toujours : Noura. ...Le voici en route pour Babel !...les premières écritures, les inventions, les balbutiements des premières constructions, la Mésopotamie..mais aussi l'astronomie, l'agriculture, les religions...Monsieur Eric Emmanuel SCHMITT comme un véritable magicien nous décrypte et commente tout !!!. le récit est toujours riche, dense et palpitant !

Noam va fait de découvertes en découvertes, sous une nouvelle identité, il se présente comme guérisseur, il va se faire de nouveaux amis dont un chien qui lui sera fidèle..., ..débusquera des ennemis dont ce mystérieux Nemrod, il ira de surprise en surprise. Retrouvera-t-il Noura? ...

Ce tome est aussi captivant et agréable que le premier, les rebondissements, de nouveaux personnages, de l'amour des trahisons et du suspens !..et en post scriptum toujours des notes érudites sur l'histoire de notre civilisation !

J'attends la suite avec impatience !




Commenter  J’apprécie          500
Comme le disait Kafka, avant que Woody Allen le reprenne à son compte : " l'éternité c'est long, surtout vers la fin ". Mais bon... on verra : la fin est encore loin. Nous n'en sommes qu'au tome II d'une saga annoncée en huit volumes.
Une saga qui démarre aux temps préhistoriques dans le volume I, et qui se poursuit ici dans la Mésopotamie au temps où Nemrod construisait la tour de Babel à grand renfort de conquêtes et de mise en esclavage de ses voisins...
On retrouve les principaux protagonistes devenus immortels après le déluge, Noam, Noura, Derek auxquels s'ajoute Abram, l'Abraham de la Bible avec ses douze tribus. La Bible, omniprésente. La bible qu'on retrouvera dans le tome III en Egypte au temps des pharaons ; Moïse...
Il n'y avait qu' EE Schmitt pour s'attaquer à un pareil projet : raconter l'histoire de l'humanité en huit volumes. Ajoutons à cela des qualités de conteur qu'on lui connaît : un pavé qui se lit presque sans effort.
Impatient de découvrir le tome III. L'Egypte ancienne qui fut, comme pour tant d'élèves de 6 ème à l'époque, une de mes passions d'ado.
Commenter  J’apprécie          380
Un avis mitigé sur le premier tome ne m'a pas empêchée de poursuivre la lecture de cette série. En disciple de Babelio, je ne pouvais m'empêcher de découvrir ce qui se cachait sous la « Tour de Babel » de la couverture de ce livre. ;-)

Et puis, je me suis laissée prendre par la prose efficace de l'auteur, à vouloir savoir ce qui va arriver ensuite, même si je sais que je peux être déçue par une invraisemblance presque ridicule

Il s'agit d'une fresque historique de la Mésopotamie : Babel, Nemrod, Abraham, avec beaucoup de références savantes. Architecture, astronomie, médecine, commerce, écriture et vie quotidienne, on s'immerge avec plaisir dans une époque peu connue.

On quitte cependant la réalité historique pour le fantastique lorsque des protagonistes frappés par la foudre deviennent immortels.
On tombe aussi dans le roman sentimental, avec la passion amoureuse de Noam et Noura qui survit à travers le temps. Pour couronner le tout, l'auteur y ajoute ici et là, ses jugements sur le monde et sa philosophie de vie personnelle.

Une lecture agréable, si on est prêt à sourire des ficelles un peu grosses qui soutiennent la trame du suspens historique.
Commenter  J’apprécie          324


critiques presse (2)
LeFigaro
09 janvier 2022
Il y a des livres dont les phrases jubilent, dont on sent qu’elles ont été écrites par un auteur en joie. La Porte du ciel d’Éric-Emmanuel Schmitt est de ceux-là. Il est la deuxième brique (plus de 500 pages) d’une saga de huit romans magistraux qui racontent non moins que l’histoire de l’humanité.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
LaPresse
08 janvier 2022
Le projet vise certes à créer une épopée suivant l’histoire de l’humanité, mais il apparaît avec La porte du ciel qu’un point de vue judéo-chrétien est adopté pour ce faire, avec de nombreuses références bibliques.
Lire la critique sur le site : LaPresse
Citations et extraits (198) Voir plus Ajouter une citation
Une autre naïveté dans ces représentations frappe Noam : elles racontent Babel comme une fin. Pourtant Babel constituait un début. La Tour s’est effondrée, pas le désir de la Tour. Avec celui-ci point l’hubris, l’outrance, la boursouflure. L’homme franchit une limite en se dressant au-dessus de la nature, en ignorant sa place dans l’univers,en s’estimant supérieur à tout ce qui n’est pas lui ; il crée des villes, il invente l’écriture, les sciences, les hiérarchies sociales et, malgré les défaites ou les impasses, ne reviendra jamais en arrière. Babel ne s’est pas terminée avec Babel, Babel n’a jamais cessé de gratter le ciel, Babel renaît, se transforme perpétuellement. L’échec accompagne l’ambition, il ne l’interrompt pas. De dépassement en dépassement, l’aventure folle se poursuit. L’avenir reste un chantier ouvert.
Si Noam donnait sa version de Babel, il ne peindrait pas une démolition, plutôt un inachèvement. L’humanité évolue indéfiniment, se meut sans aboutir, poussée par la compétition, l’orgueil, le génie, la mégalomanie, le refus de ses limites. Babel l’inachevée ne sera jamais achevée et se nourrira de son désir sans jamais conduire à la jouissance.
Commenter  J’apprécie          210
La Bible signifie "les livres" en grec. Quoique le terme "Bible" ait fini par désigner un seul livre dans l'univers juif ou chrétien, il s'agit de plusieurs livres rassemblés, donc d'une bibliothèque. Divers auteurs ont rédigé les différents textes, parfois plusieurs écrivains le même texte, ce qui compose au total un ensemble varié, doté de plusieurs couches, peu homogène, souvent contradictoire. L'histoire du monde et le passage des siècles ont donné à la Bible une importance immense, ils l'ont nantie d'un caractère sacré, intouchable, allant, en des époques d'intolérance, jusqu'à en faire le Livre au dépens de tous les autres, le Livre unique qu'on devait recopier à la main, puis imprimer lorsque Gutenberg inventa la reproduction mécanique. Si beaucoup de bien fut engendré par la Bible, son chemin se borde aussi de charniers : on massacra au nom de la Bible, parfois au nom d'une lecture spécifique qu'on en faisait. Je ne peux m'empêcher de supposer que si, suivant l'étymologie, on l'appelait le Recueil, on percevrait mieux qu'elle désigne plusieurs textes recueillis, et non un essai péremptoire dicté par Dieu.
Commenter  J’apprécie          80
En lui offrant une perpétuité, l'écriture a changé l'homme. De simples inventaires des objets, elle est devenue le conservatoire des âmes : elle a lutté contre la détresse, nourri l'orgueil, flatté le narcissisme, développé l'individualisme. Par elle, la fatuité a crû autant que la civilisation.
Commenter  J’apprécie          250
La Bible est un livre qu’écrivit un petit peuple de pasteurs effrayé par le développement de l’urbanisation, terrorisé par les premières villes du Moyen-Orient. Tandis que les Mésopotamiens inauguraient une nouvelle conception de la société en se fixant, se resserrant, se massant, les Hébreux, eux, perpétuaient un mode de vie opposé : nomadisme, non-possession des terrains, limitation de l’activité à des tâches élémentaires. Dans la Bible, chaque fois qu’une ville surgit, sa mention s’accompagne d’un jugement péjoratif, voire de connotations diaboliques : Sodome, Gomorrhe, Ninive, Babylone, Jérusalem. (…)
Aux yeux des bergers, la ville signifiait séparation : rupture avec l’espace environnant par des murailles ; rupture avec le temps des saisons dans un dédale minéral ; rupture avec la nature par l’érection d’un monde artificiel ; rupture avec le reste de l’humanité par l’élaboration d’une identité à l’intérieur d’une enceinte. Pour eux, quoique la ville concentrât les individus, elle dispersait les esprits. À Babel, un groupe s’inventa un nombril et le regarda. Les bergers, s’ils reconnaissaient en Babel une création humaine, y repéraient également une dé-création par rapport à Dieu. Cette prise de pouvoir sur le monde par les hommes ne s’approche pas du divin, elle le défie, voire le remplace.
Rédigée à l’extrême fin de la civilisation mésopotamienne, la Bible n’élaborait pas une idéologie nouvelle ; elle rêvait au temps des ancêtres, préférant les anciens aux modernes. Certes, les bergers n’étaient plus des chasseurs-cueilleurs et ne croyaient plus aux Esprits, Âmes, Nymphes, Divinités, cependant ils conservaient le goût d’une vie simple en harmonie avec le cosmos.
Commenter  J’apprécie          30
L’économie des termes sollicite l’imagination. Les meilleures descriptions se passent de description. L’auteur se montre plus aisément poète par famine de mots que par gavage. Mieux vaut suggérer que dépeindre, laisser entendre que hurler mille phrases. De même qu’un regard ne se réduit pas à un iris, une personne ne se limite ni à ses traits ni à ses membres – ou alors c’est un cadavre ! Elle brille d’une énergie, d’une intensité, d’une présence qui transcendent le visible. Pour en rendre compte, il y a deux façons d’insinuer : la vague, le précis.
Les écrivains classiques recourent à la généralité. Le vocable global autorise chacun à y glisser les images qui l’inspirent. Madame de Lafayette, Française contemporaine de Louis XIV, a magnifiquement utilisé ce procédé dans un court roman, La Princesse de Clèves : « Il parut alors une beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde, et l’on doit croire que c’était une beauté parfaite, puisqu’elle donna de l’admiration dans un lieu où l’on était si accoutumé à voir de belles personnes. (…) Lorsqu’elle arriva, le vidame alla au-devant d’elle ; il fut surpris de la grande beauté de mademoiselle de Chartres, et il en fut surpris avec raison. » Parce que Madame de Lafayette n’offre rien à voir, on voit tout.
Les écrivains modernes emploient davantage le détail, dont la force vient de ce qu’il fait surgir subrepticement l’ensemble. Tel un hameçon, le détail pousse à imaginer le poisson qui, sous l’eau, le tracte. Ainsi, au XXe siècle, Colette, autre plume française, présente dans Le Blé en herbe la rencontre d’une femme mûre et d’un jeune homme : « Elle raillait d’une manière virile, condescendante, qui avait le même accent que son regard tranquille, et Philippe se sentit tout à coup fatigué, penchant et faible, paralysé par une de ces crises de féminité qui saisissent un adolescent devant une femme. » En creux est indiquée la passion qui s’emparera d’eux.
Pour camper l’humain, rien n’égale le va-et-vient entre détail et généralité. Tout dire est impossible, et l’exhaustivité ennuie.
Commenter  J’apprécie          20

Videos de Éric-Emmanuel Schmitt (109) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Éric-Emmanuel Schmitt
Alain Damasio et Eric-Emmanuel Schmitt - Rencontre inédite
autres livres classés : mésopotamieVoir plus
Les plus populaires : Littérature française Voir plus


Lecteurs (2378) Voir plus



Quiz Voir plus

la vie rêvée d'Hitler...

Par quoi commence le récit et la vie d'Adolf H.?

par sa réussite au concours d’entrée à l’Ecole des Beaux-Arts de Vienne.
par son mariage avec Sarah
par son coming out

9 questions
453 lecteurs ont répondu
Thème : La Part de l'autre de Eric-Emmanuel SchmittCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..