CE FUT LONG ALORS JE VAIS LA FAIRE COURTE
Ceux et celles, et ou l'inverse, ne pas oublier le ou, hein, qui me suivent, quelques chers hères, beh oui Williams, que je chéris, autant talentueux que peu nombreux, c'est que mes commentaires il faut se les faire, ils ou elles et ou l'inverse en privilégiant le ou, savent eux que je suis un trilogie-junkie, donc cette trilogie de
Daniel Woodrell, je ne pouvais la négliger. Vous avez tout compris ?
C'est typiquement ce type de phrase que je viens de me taper dans ces trois heureusement assez courts, bouquins. Cela m'a donné un mal de crâne, je ne vous dis pas, je suis maintenant à l'âge où l'on n'a pas une aussi bonne mémoire. Alorsse à chaque fois à chacune de ces phrases très longues, je devais me la retaper et me la retaper, parce que arrivé à la fin j'en avais oublié le début, quitte à finir par l'apprendre par coeur. le comble. Don't you find ?
Alorsse après cette courte introduction, je vais tacher à vous la faire moins longue. Vous voyez ce que j'ai enduré ?
Est ce dû au style de
Woodrell, à la traduction, ou les deux, n'est peut étre pas Michalsky qui veut, mais ce qui en plus m'a fait un peu plus souffrir, non pas que ce ne fut interressant, c'est que j'ai trouvé les paragraphes épais, le vocabulaire un peu faussement natif, parfois de l'humour pas toujours bien coloré, et enfin cette Louisiane, malgré la vase du marécage, je ne l'ai pas reconnue.
Faut dire, ma référence en la matière c'est Heaven's Prisoners, gros coup de boule, un des premiers Rivages lu à sa parution, j'avais déjà fait connaissance avec les magnifiques et molles couvertures de cette alors petite maison d'édition grace à la trilogie Leaphorn et
la Trilogie Lloyd Hopkins, et sa première Lousiane à Burke était restée laserisée dans mon coeur.
Vous avez compris, je ne voulais pas être en reste:
Ellroy, Hillerman, Burke, et maintenant
Woodrell, toutes de 1987 ou presque, l'année des Dragons, ici mon addiction a commencé, et vous vous l'avez chopée l'addiction ?