C’était en 1977 : l’assassin a refusé de faire appel et demandé à être fusillé, pour que le sang soit versé. Le benjamin livre un mémoire époustouflant, sans concession pour ses proches ni pour l’Amérique : quelles sont les racines de la violence américaine ? Quelle est la part de violence extérieure, religieuse, culturelle ou familiale, quelle part est intérieure au tueur, et dans quelle mesure un individu appelle-t-il la violence du monde qui l’entoure ? Sont dénoncés la culture sanguinaire des mormons, la violence faite aux enfants et le rôle toxique d’un père à la fois violent et aimant. Tragiquement magnétique.
Lien :
https://www.lesoir.be/411526..