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EAN : 9782824615455
320 pages
City Editions (18/09/2019)
3.18/5   113 notes
Résumé :
Des trombes d’eau. Un vent infernal. En quelques minutes, la petite ville de Woodfoll dans le grand Nord canadien est balayée par une tempête d’une violence inouïe. Plus d’électricité, plus de téléphone, un paysage de fin du monde.

Comme le reste de la région, la prison de haute sécurité n’a pas résisté à l’ouragan. La panne électrique a ouvert les portes, libérant quatre tueurs, parmi les pires de leur espèce, des violeurs, pédophiles et meurtriers r... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (38) Voir plus Ajouter une critique
3,18

sur 113 notes
Jours de glace, voilà un titre qui marque, non ce n'est pas une annonce promotionnelle au rayon des desserts surgelés. C'est celui d'un thriller qui nous plonge en terre nord canadienne et dont le synopsis peut vite nous refroidir le sang.
Imaginez une prison high tech, une prison de haute sécurité, qui renferme les pires malfrats de la terre et d'où il est impossible de s'évader. Heureusement d'ailleurs, car s'agissant de certains d'entre eux, on n'aimerait pas les savoir dehors...
J'ai eu un peu de mal au départ à m'immerger dans cette histoire. Et puis, peu à peu je me suis faufilé auprès des personnages.
Je me souviens d'avoir lu il y a très longtemps des polars de Maud Tabachnik que j'avais bien aimés.
Je n'aime pas trop les thrillers. Sauf quand...
Ici l'intérêt que j'ai trouvé à ce roman est surtout l'immersion en terre amérindienne, la dimension culturelle et sociale du roman. La police canadienne compose ou tente de composer dans ses rangs une harmonie avec les populations amérindiennes qu'elle intègre.
Nous sommes à Woodfoll, une petite ville du grand nord Canadien. C'est là que j'ai fait la rencontre de Louise Grynspan, surnommée Lou, c'est la shérif de la ville, une ancienne profileuse de la police du Québec. Elle est venue ici pour oublier une ancienne vie où elle a souffert amoureusement. Elle aime encore Julia, son amour...
Louise Grynspan veut renaître maintenant.
Imaginez une prison high tech, une prison de haute sécurité.
Ce nouveau pénitencier de très haute sécurité installé en bordure de ville suscite la fierté des autorités locales. Il y regorge les pires malfrats.
Il y a cependant une petite fausse note, un grain de sable qui s'immisce à merveille dans la perfection pénitencière. La prison a été construite sur un site sacré où reposent des morts de la communauté des algonquins.
L'impensable va venir. Un ouragan qui amène des trombes d'eau, un vent infernal. Une tempête d'une violence inouïe. Plus d'électricité, plus de téléphone, c'est brusquement devenu un paysage de fin du monde.
Et brusquement, dans ce délire météorologique, les portes de t'établissement vont s'ouvrir comme par magie. En tous cas, cela fut tel pour certains détenus ahuris et peut-être aussi pour la communauté amérindienne.
J'aime bien observer les faits, être attentif lorsque la haute technologie dont nous dépendons défaille. Sauf qu'ici elle va produire des drames. Quatre détenus de la pire espèce, quatre frères d'ailleurs, vont profiter de l'événement pour se faire la belle.
Les chapitres sont courts, rythmés. Je sais par avance qu'il y aura du sang sur les murs, cela ne m'intéresse pas d'en parler.
J'ai été en jubilation lorsque la communauté amérindienne a évoqué l'idée d'une revanche des morts sur les vivants, parce que cette prison était construite sur un lieu interdit.
J'ai adoré le magnifique personnage de Louise Grynspan, chérif bougonne, entière, fragile. Elle mène ici une enquête aux frontières de la raison. Sa bienveillance est en harmonie avec sa rigueur.
J'ai aimé ce roman sans que ce soit un coup de coeur.
J'ai aimé ce roman parce qu'il parle aux minorités.
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Alors qu'une tempête, d'une ampleur et d'une violence inouïe, fait rage dans la petite ville de Woodfoll, dans le Grand Nord Canadien, une panne informatique entraine un bug dans la toute neuve prison de haute sécurité du Nord canadien. Les portes s'ouvrent suffisamment longtemps, pour que quatre frères, incarcérés dans un secteur à part des autres détenus, se fassent la malle. Ce sont des tueurs sans foi ni loi, récidivistes, qui se retrouvent libérés dans la nature.
L'enquêtrice Lou (Louise) Gynspan est immédiatement dépêchée sur les lieux. Elle dirige les forces de l'ordre qui comprennent douze officiers de police, hommes et femmes, ainsi que des auxiliaires. Petite-fille d'immigrés autrichiens ayant fuit l'Autriche antisémite en 1940, elle a étudié le droit criminel, avant d'obtenir son poste de profileuse...Autant dire qu'elle sait ce qu'elle fait !
La tempête a détruit partiellement la petite ville, mais il n'y a que quelques blessés à déplorer, et des dégâts matériels considérables, mais pas irréparables : les fenêtres ont volé en éclat et, il n'y a plus ni électricité, ni téléphone.
La traque se met en place dans des conditions particulièrement difficiles, le froid, la glace vive perturbant les déplacements. La forêt est aussi obscure qu'en pleine nuit, et la mort rode partout...sans savoir où elle va frapper.
Lou Gynspan et son équipe doivent, en parallèle de la traque des malfaiteurs, élucider le meurtre d'une toute jeune fille indienne habitant à proximité de la ville, ce qui n'arrange pas les relations entre les deux communautés.
C'est alors qu'une des équipes du commissariat ne donne plus signe de vie. Elle était attendue au camp de base pour y passer la nuit. Peu après, leur voiture est retrouvée sur les lieux d'un drame : deux habitants de la région viennent d'être sauvagement assassinés. Vue l'atrocité de la découverte, les auteurs ne peuvent être que les frères recherchés.
Que va-t-il advenir des policiers kidnappés ?
L'angoisse monte d'un cran...

Voilà un thriller bien construit et très prenant.
L'histoire se passe dans un environnement particulièrement hostile, celui du Grand-Nord canadien. Les gens n'ont jamais assisté à une telle tempête, et tout le monde pense aussitôt à l'intervention d'une puissance surnaturelle, venue venger les ancêtres indiens ayant vécus là, et qui se sont vus dépossédés de leur terre par les blancs. D'autant plus que, le chef indien laisse entendre, que cette prison est bâtie sur un ancien cimetière indien, ce que les hommes blancs connaissaient parfaitement avant l'élaboration du projet.
Depuis plusieurs décennies à présent, comme tout le monde le sait, le peuple indien a perdu son âme, et la pauvreté, l'alcoolisme et la violence ont envahi les camps. Il y a beaucoup de tensions entre les deux communautés, canadiennes et indiennes, dans cette partie du Canada.

Les deux intrigues sont menées en parallèle par l'enquêtrice qui tente de se trouver au bon moment, au bon endroit, pour faire avancer les choses. le suspense est au rendez-vous, les scènes de crime sont assez difficiles à lire, car violentes, et créent une atmosphère hautement anxiogène, mais bon c'est un thriller, et donc il n'y a là rien de surprenant. Mais le lecteur n'en sortira pas indemne...
L'auteur, en effet, décrit très bien l'angoisse qui règne en dehors de la prison, à partir du moment où la population et les enquêteurs apprennent que les évadés ne sont pas des enfants de coeur.
Les personnages principaux sont bien décrits et leur personnalité, forte mais humaine, nous les rend bien sympathiques. Ils doivent faire face à des sujets d'actualité pas faciles à démêler. Les "méchants" le sont vraiment et bien entendu, cela prouve que l'auteur a su se documenter sur le sujet. Ils n'hésitent pas à se venger avec cruauté des revers subis au cour de leur vie.
Résultat : ça marche et le lecteur est totalement pris par l'histoire !

Maud Tabanick est l'auteur d'une trentaine de polars. Il était temps que je la découvre car, elle est considérée comme une pionnière du roman noir féminin français. Je n'avais pas encore franchi le pas, alors que j'avais entendu parler d'elle, et lu des critiques très positives sur ses romans. J'ai eu beaucoup de plaisir à la découvrir.
Lien : https://www.bulledemanou.com..
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C'est assez rare que je mette une note aussi basse pour une lecture. Je vais donc donner mes raisons.
Dès les premières pages j'ai été très surprise par des phrases très laborieuses, difficiles à lire, mal écrites. Des répétitions de mots, des verbes faibles, des phrases trop longues qui m'ont essoufflées. Des chapitres au présent, d'autre au passé... un passé simple c'est d'ailleurs perdu dans une narration au présent, probablement une coquille. J'ai compté 7 "et" dans une seule phrase par exemple.
Donc, dès les premières pages je me suis demander sur quoi j'étais tombé et comment on avait pu laisser publier ce livre avec de tels imperfections littéraires. Je me dis que l'intrigue va peut-être rattraper cela et que l'auteure n'est peut-être pas très douée pour les descriptions et sera plus convaincante dans l'action.
En effet, les dialogues sont le point fort du livre et les premiers échanges entre l'héroïne et les gardiens de prison 3AP m'ont fait espérer une lecture qui en vaille la peine. L'ambiance de grand nord canadien est plutôt très bien rendue, même si c'est un peu cliché et déjà vu.
Le résumé au dos du livre était mensongé (où alors les éditeurs n'ont pas lu le livre, possible au regard des coquilles que j'ai repérées). On dit qu'un meurtre sanglant est commis après l'évasion de quatre bandis et que les soupçons se portent sur eux naturellement, or, non, ledit meurtre est commis quatre jour plus tôt donc aucun soupçon ne pèsera sur eux. En fait, les deux intrigues (évasion des criminel du pénitencier et meurtre de la jeune indienne) du textes n'ont aucun lien l'une avec l'autre... et d'ailleurs rien n'a jamais de lien avec rien dans ce livre.
Les policiers ne trouvent pas d'indices, ne collectent pas de preuves, n'interrogent pas vraiment de témoin.
Le lecteur sait dès le départ qui est le meurtrier, donc pas de mystère et pas beaucoup de suspens.
La tempête au début ne sert à rien, on pourrait la retirer du livre sans que cela ne perturbe l'intrigue. C'est d'ailleurs le gros problème du livre, presque tout peut-être retiré sans perturber l'histoire. L'histoire du cimetière indien sous la prison : aucune conséquence. L'enquête de l'héroïne : aucune conséquence (elle ne débouche sur rien), le meurtre de l'indienne : aucune conséquence pour le meurtrier qui va périr pour d'autre raison, l'histoire d'amour de l'héroïne : aucune conséquence, la femme du meurtrier qui écrit des indices sur un carnet : aucune conséquence on en entendra plus parler, etc.
Bref, aucune cohérence dans ce roman, pas d'enquête, pas de résolution, pas de retournements inattendus de situation. Je n'ai jamais lu ça, on tue et on passe à autre chose, les affaires se résolvent toutes seules, les policiers ne servent à rien à part à découvrir les corps, tomber presque par hasard dans des précipice et prendre des balles perdues. Les méchants n'ont pas de mobiles et agissent pour le fun.
Je n'ai pas du tout aimé. Et je trouve même qu'on est pas loin de l'arnaque car ce n'est pas un travail abouti pour moi. Je dois reconnaître que ça se lit vite et facilement (passé les premières pages un peu compliquées), mais on se rend quand même compte une fois fini que le livre n'a pas tenu ses promesses de départ.
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Woodfoll, petite ville du grand nord Canadien. On y fait pas grand chose dans cet univers glacé. Louise Grynspan, surnommée Lou, shérif de la ville, une ancienne profileuse de la police du Québec, est venue presque s'enterrer là pour renaître après des déboires familiaux et sentimentaux. Alors qu'elle est invitée par les autorités locales à découvrir le nouveau pénitencier très haute sécurité installé en bordure de ville, une tempête sans précédent balaie Woodfoll durant quelques heures. Lorsqu'enfin le calme revient, c'est pour découvrir que durant quelques minutes, le système de surveillance de la prison a été déconnecté, et que quatre frères, de dangereux criminels sociopathes, se sont échappés en massacrant leurs gardiens et qu'ils se baladent dans la nature.
En même temps, Lou Gryspan doit enquêter sur la mort d'une jeune fille indienne retrouvée sauvagement mutilée dans la forêt. Dans cette région où la population indienne s'estime avoir été spoliée par les Blancs, et où la localisation même de la prison est remise en question, la tension atteint rapidement son paroxysme…
Je n'avais jamais encore eu l'occasion d'ouvrir un roman de Maud Tabachnik. Je connaissais l'auteur de nom et de réputation, j'ai eu l'occasion de la croiser sur des salons, mais jamais je ne m'étais plongé dans ses pages. Voilà une erreur réparée avec ce « Jours de Glace » paru aux éditions City. Un thriller effectivement glacial. D'emblée, la situation est posée, l'auteure ne s'embarrasse pas de chapitres superflus pour planter le décor. Rappelant par certains aspects le film de Taylor Sheridan, Wind River, il met en exergue les difficultés de communications entre Indiens et Canadiens, leurs façons très différentes de gérer les problèmes, et cette impression constante d'incompréhension presque volontaire. Cette partie du roman est à mon sens la plus réussie. En particulier, les deux policiers Oka et Temiscouata, et surtout le chef Istinak Shaw, sont formidables de justesse. Inversement, le roman n'est pas totalement dénué de petits travers: d'abord, l'héroïne, Lou Gryspan. Intéressante à plus d'un titre, j'avoue ne pas avoir compris l'intérêt d'en faire une ex-profileuse, j'ai parfois l'impression que ce profession devient une condition sine qua non du thriller. D'autant qu'à la suite de l'histoire, on ne peut pas dire qu'elle use particulièrement de ses talents. Comme nous sommes au Canada, nous avons également droit à un certain nombre d'expressions locales, assez amusantes mais pas franchement indispensables.
Les chapitres qui se succèdent rapidement, alternent le point de vue du shérif, Lou s'exprimant alors au présent et à la première personne, avec ceux des autres protagonistes , à la troisième personne et au passé. J'avoue que cela peut paraître parfois déboussolant et peut casser le rythme. Par ailleurs, j'ai eu parfois du mal avec certaines phrases très longues et des répétitions qui auraient mérité d'être supprimées. Quelques considérations digressions m'ont également laissé perplexe, en particulier sur la politique et l'immigration…
Au final, Jours de Glace est un petit thriller agréable à lire, sans doute pas aussi terrifiant et additif que j'aurais pu l'espérer, en particulier en ce qui concerne la traque des quatre frères meurtriers, que j'aurais préférée plus longue peut-être plus dure voire plus sanglante. Ce n'était sans doute pas le propos du roman. Mais la description de l'univers des Premières Nations sonne très juste. Et surtout, il m'a permis de découvrir celui de l'auteure, dans lequel je n'exclue pas à l'avenir de retourner.
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J'ai déjà lu il y a des années plusieurs romans de Maud Tabachnik qui m'avaient beaucoup plu.
J'ai donc acheté celui-ci avec plaisir, surtout à la lecture de la 4ème de couverture qui promettait un thriller glaçant!
Je dois malheureusement admettre que je suis assez déçue: je n'arrive pas à accrocher avec le personnage principal la shérif Lou Gryspan ni avec son équipe. On a bien compris que l'on était au Canada, qu'il faisait froid, très froid et que le pénitencier abrite les pires monstres sur terre...
Cela ne m'a pas paru crédible ( les portes de la prison qui s'ouvrent toutes seules suite à une éruption solaire...bof...), l'écriture est assez hachée et décousue..
Bref, il ne restera pas dans mes annales et je ne le recommanderai pas car cette lecture m'a plutôt ennuyée..
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Citations et extraits (17) Voir plus Ajouter une citation
Depuis, Woodfoll est devenu une communauté prospère de plus de vingt-cinq mille habitants où de l'avis de la plupart il fait bon vivre. Or, récemment, alléchés par de très importantes subventions, le lieutenant-gouverneur général et le Parlement provincial du Manitoba ont accepté du gouvernement fédéral l'implantation d'un asile pénitentiaire proposé à notre province en raison de son isolement, de son faible taux d'occupation, égal à un virgule neuf habitant au mètre carré, des cent dix mille lacs qui recouvrent quarante-cinq pour cent de son territoire, des immenses forêts de conifères boréaux, de mélèzes, de pins rouges et d'épicéas qui se partagent les quarante-huit pour cent restants de sa surface, de la rigueur de son climat d'hiver, rendant quasi impossible l'évasion d'une population carcérale dont les autorités apprirent trop tard qu'elle était jugée dangereuse.
On donna à ce centre particulier le nom de 3AP, qui signifie, en jargon administratif, « troisième asile pénitentiaire du pays », sans que personne se soit soucié de sa signification.
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Souvent, les gens croient que le mal n'existe pas. Que l'humain n'est pas mauvais, qu'il a des circonstances atténuantes, que ce sont les autres, la société, la famille, qui sont responsables de ce qu'il est devenu. Possible dans certains cas, mais il y a ceux qui choisissent le mal parce que ça semble plus facile, avec un bénéfice plus immédiat. Plus aiser de dealer que de travailler. Plus rentable de cambrioler que de s'échiner. Plus rapide de tuer un rival, un concurrent, votre femme ou votre mari qui vous trompe, que de partir ou de négocier. J'ai toujours pensé que le mal faisait partie de notre ADN.
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- C’est drôle de laisser à un mort de la vaisselle pour qu’il se nourrisse, dit Sauvegarde au bout d’un moment.
- Et déposer des fleurs sur une tombe en pensant que le mort va sortir les respirer, ça vous semble plus logique ? Je lui retourne sèchement.
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Des enquêtes ont prouvé que l’on tombe amoureux des gens qui vous ressemblent plus ou moins. Parce qu’avant tout, on s’aime soi-même. Pas les chiens. Les chiens aiment leur maître. Inconditionnellement. Jusqu’à la mort. Comme l’ancêtre d’Hachiko qui a attendu le sien sa vie durant devant la gare de Tokyo.
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La ville glacée dort, comme encore courbatue du chaos. Les rues vides sont mal éclairées de lumignons blafards et les fenêtres sont obscures. La chaussée verglacée cache mal ses cicatrices, et les montagnes autour ressemblent à des sentinelles mortes. Un vent glacé souffle aux carrefours, chassant devant lui les scories de la tempête. Aussi loin que se porte mon regard, ce n'est que bois et verre brisé.
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