Les rameaux noirs

Merci à Net Galley et aux éditions Stock de m'avoir permis de découvrir ce livre, que malheureusement je n'ai pas apprécié !
J'ai aimé le premier chapitre, mais après je n'ai pas du tout accroché ! J'ai trouvé ce livre chiant, désolé mais là il n'y a pas d'autres mots.
Je n'ai pas apprécié l'écriture, c'est pompeux, pas très bien écrit, et je trouve que l'auteur saute du coq à l'âne. du coup, je me suis rapidement perdue dans cet ouvrage.
J'ai fini par le lire en diagonale, tout en regrettant de l'avoir demandé. Je suis toujours un peu mal à l'aise quand je n'apprécie pas un livre que l'on me permet de découvrir gratuitement, et là vraiment j'ai détesté cet ouvrage !
Je mets une étoile, à cause de ce premier chapitre qui m'a plu.

Libérati revient à l'autobiographie. le livre s'ouvre sur une scène à l'hôpital Cochin, où son père est interné parce qu'il a soudain perdu la tête. L'événement traumatise Simon Liberati, qui prend alors le temps de se remémorer son enfance plongée dans les livres et se souvenir de tout ce qu'il doit aux enseignements de son père, André Liberati, un poète surréaliste méconnu, ami d'André Breton, puis de Louis Aragon.
Libérati touche a de trop multiples sujets et perd toute dynamique à son récit. C'est érudit certes mais limite pédant et souvent ennuyeux, on s'y perd...

Livre touffu, chaotique mais attachant d'autant plus que l'auteur est un érudit. L'écrivain nous livre sans complexe et avec sincérité ses impressions ( et ses souffrances)sur sa vie d'enfant gâté de baby-boomer à la lumière de ses connaissances approfondies du monde gréco-romain, ce qui donne parfois des rapprochements assez insolites.Il règne dans ce roman probablement un peu auto-biographique une atmosphère nostalgique de l'enfance et d'un équilibre à jamais perdu. Il y a de très belles réflexions à ce sujet.
J'ai aimé ce livre.

J'ai trouvé ce livre profondément ennuyeux.

J'avais beaucoup apprécié "Jayne Mansfield 1967", "Eva" et "California Girl".

Mais en ce qui concerne "Les Rameaux Noirs", sa lecture ne fut qu'un profond ennui.

Un poète, un écrivain qui nous fait partager de merveilleuses poésies et qui s'égare parfois dans son goût de la mythologie....mais quand on est passionné on donne aux lecteurs le goût de ses fantaisies