Huis clos dans le cabinet d'un psychanalyste. Duel chez le médecin de l'âme. Un puissant chef de gang est soudain pris de crise d'angoisse incontrôlables. Une autorité fragilisée est une mort assurée dans cette profession.
Un thérapeute médiatique, un cador de la profession ne s'attendait pas à un tel patient. Pour l'un la parole guérit, pour l'autre la loi du silence est la seule qui vous maintient en vie.
Comment ces deux là vont-ils pouvoir communiquer?. Un patient peut-il guérir sans perdre la face et un praticien peut-il soigner sous la menace?Mafia blues...On pourrait donc faire le mal sans être puni? mais comment vivre sans être puni? Tient un sentiment inconnu apparait: la culpabilité. Transfert réussi, merci Docteur!
Deux actes, un épilogue, dialogues vifs, interprètes efficaces, mise en scène précise nous sommes dans un théâtre qui ne s'embarrasse pas de digressions.
Duel où les phrases font mouche et les mots peuvent guérir ou tuer. Mais peut-on guérir vraiment de la peur de la mort? Vaste question monsieur Benacquista.
Très bon! Vraiment efficace et puissante, cette petite pièce de théâtre est une boule de feu! En trois actes, Benacquista nous fait vivre le meurtre, la psychanalyse et la peur, avec plus de brio que d'autres en 300 pages!
"Le contrat", qui met en scène un ponte de la mafia et un psychanalyste, nous relate leurs échanges et nous initie au lien tout particulier qu'est la relation thérapeutique. Avec ces deux personnages hors du commun et peut-être plus semblable qu'on ne le pense, c'est à un florilège d'idées et d'émotions peu communes que le le lecteur assiste, et inutile de le préciser, c'est un régal! A lire !
Petit mais costaud ! c'est vraiment ciselé avec une justesse d'observation de l'âme humaine...Une vraie "tuerie"...très bon.
C'est ça la règle du jeu alors? Je crois que je commence à comprendre... Vous avez raison, c'est important, le silence... Les gens parlent toujours trop... Moi, mon état naturel c'est le silence. Je sais bien repérer une qualité de silence, vous savez. Et le vôtre, il est en or, comme dit le proverbe. Le mien aussi, d'une certaine manière. Mais votre silence et le mien n'ont rien à voir.
Quel est le titre correct ?