Ce que j'aime de cet auteur (élément que d'autres pourraient détester), c'est qu'on peut presque imaginer ce qu'on veut quand on le lit. Selon l'humeur, les préoccupation ou les états d'âme, il est possible de comprendre tout autrement sa lecture. Pour moi, c'est la beauté de la chose; pour d'autres, ce peut être la preuve que c'est n'importe quoi. Dans
le Colporteur, Bobin parle du lecteur, de la lecture, du livre... Tout amateur de lecture ne peut, selon moi, que se sentir interpelé, même s'il ne comprend pas tout!