Un plaidoyer très poétique et agréable à lire, riche en évènements historiques mais venant d'un agrégé d'histoire, comment pouvait-il en être autrement.
Il manque peut-être quelques anecdotes sur Gaston Deferre et ses hommes de mains, les pancartes au-devant des bateaux venus barrer la route des transports chargés de rapatriés leur intimant l'ordre de rentrer chez eux, les dockers laissant échapper quelques marchandises sur l'asphalte histoire de mettre du beurre dans les épinards, mais surtout sur le cinéma de Guédiguian qui nous a donné de bien jolis longs métrages.
A chacun son Marseille et sa sensibilité qui fait que cette ville on puisse à la fois l'adorer et la détester.
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Cette ville n’en est pas moins l’une des rares à ne s’être jamais inféodée à Paris, et à s’être toujours nourrie de ce que lui apportait la mer. Cela suffit amplement à son prestige.
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Dictionnaire des auteurs marseillais.