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Les temps ultramodernes tome 3 sur 3
EAN : 9782226489739
Albin Michel (27/03/2024)
4.17/5   9 notes
Résumé :
En 1923, les réserves de cavorite s'amenuisent et les puissances se déchirent pour trouver de nouveaux gisements. A bord de l'Agénor, le transcontinental reliant l'Europe aux confins de l'Asie, est commis un meurtre inexplicable. Gaspard, membre du Deuxième bureau français, est chargé de l'enquête. Il découvre que la victime est un agent anglais.
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Deux ans après Les Temps ultramodernes et son incursion dans le monde de la cavorite, Laurent Genefort nous replonge dans cet univers où les êtres humains peuvent s'élever dans les airs grâce à ce métal aux propriétés fantastiques. Où ils ont colonisé en partie Mars et Vénus et où le système solaire semble s'ouvrir à eux. Où les paquebots voguent non sur les océans, mais dans les airs. Mais où les passions humaines triomphent toujours et sont à l'origine de catastrophes gigantesques. Surtout quand la cavorite commence à montrer ses limites.

La Croisière bleue n'est pas composée d'un seul récit. L'ouvrage est un assemblage de plusieurs textes qui tous traitent des conséquences de la découverte de la cavorite, de son exploitation et des dégâts causés par son instabilité. de petits articles de journaux, de très courtes histoires, dont celles et ceux parus dans le Bifrost 105, sont répartis entre les autres nouvelles, sous le titre de « Cavorite ». On trouve entre ces mises en bouche plusieurs nouvelles : « le Facteur Pégase », « La Croisière bleue », « Cinquante hectares sur Mars », « le Sisyphe cosmique » et « À la poursuite de l'anticavorium ». Elles sont de longueur très variables et sans lien entre elles. Par contre, elles sont organisées de façon chronologiques et, dans leur ensemble, donnent une vue globale et assez complète de la période durant laquelle le cavorite a dominé le monde. L'ouvrage s'achève sur l'Abrégé de cavorologie, qui avait été publié hors commerce à la sortie du premier roman de cette série. Une sorte d'essai technique sur ce métal et ses propriétés.

De ces textes, il ressort une image de fin de monde. Si on a pu apprécier, à la lecture des Temps ultramodernes, les progrès extraordinaires réalisés par certains pays dont la France grâce à la cavorite, avec La Croisière bleue, c'est plutôt le crépuscule de cette gloire qui ressort indubitablement. Avec la faiblesse découverte et la défaillance programmée de la cavorite et de toutes les innovations basées sur ce métal, la conquête du système solaire est compromise. Les colons de la planète Mars, qui dépendaient entièrement des liaisons avec la Terre vont devoir progressivement trouver les moyens de leur autonomie. Ou périr. C'est ce qui guette les protagonistes de « Cinquante hectares sur Mars », entraînés dans l'exploration de ce globe hostile mais qu'il faut pourtant apprivoiser pour survivre. La planète rouge sera-t-elle appelée à remplacer la planète bleue comme lieu de vie de l'espèce humaine ?

Car le règne de la cavorite est bien mort. Et les quelques tentatives pour en découvrir sur d'autres corps célestes, comme Mercure (« le Sisyphe cosmique »), ne peuvent que rester lettre morte : trop difficile, trop dangereux, trop aléatoire, trop cher. Trop et pas assez en même temps. Et à force de jouer avec les forces de la nature, ne nous mettons-nous pas en danger (« À la poursuite de l'anticavorium ») ? Est-il vraiment sain de s'obstiner, comme nous le faisons actuellement avec les carburants fossiles, alors qu'on nous annonce leur fin prochaine ? Est-il normal de continuer à vivre sans y penser comme les voyageurs qui se pavanent sur le paquebot de « La Croisière bleue » (décidément, c'est ma période « croisières », puisque je viens de parler il y a peu, dans L'Homme superflu, d'un voyage dans l'espace sur un paquebot) ? de faire comme si de rien n'était et d'espérer qu'un miracle nous sauvera ?

Après tout, combien de femmes et d'hommes ont été à ce point bouleversés par la découverte de la cavorite qu'ils en sont devenus fous ? Certains n'ont pas hésité à se ceindre de cavorite pour s'envoler dans les cieux. Au détriment de leur existence. Ils ont viré vers le mystique, comme si le métal les appelait, leur parlait. Comme s'il leur apportait une ouverture divine. le protagoniste du « Facteur Pégase » (titre terriblement transparent, qui rend un bel hommage au facteur Cheval) est tout aussi obnubilé par son projet fou : construire un bâtiment de ses seules mains et le conduire dans le ciel, plus haut, toujours plus haut. Au détriment, lui aussi, de sa santé. Et de celle de sa fille peut-être. Jusqu'où vont les obsessions…

Objet hybride mais beau et nécessaire, La Croisière bleue apporte une profondeur supplémentaire aux Temps ultramodernes. Ce livre permet d'aller plus loin dans la découverte de cette Terre imaginée par Laurent Genefort et de confirmer que cet auteur est un merveilleux inventeur de mondes, dans leurs détails, dans leur richesse. Ce deuxième tome est une invitation très forte, teintée d'un parfum tenace de déliquescence, à assister aux soubresauts d'une époque.
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C'est avec grand plaisir que j'ai replongé dans l'univers des Temps Ultramodernes, une uchronie des années 1910 – 1930, où la cavorite — métal annulant la gravité — permet de construire des engins volants et même de se rendre sur Mars.

Ce livre est un recueil de nouvelles entrecoupées de nombreux articles de presse, qui relatent des faits divers liés à la cavorite avec une ironie mordante, et se conclut par le traité de cavorite déjà publié en numérique.

Les nouvelles sont toutes très différentes les unes des autres. L'auteur débute par le Facteur Pégase dont j'ai particulièrement apprécié la tendresse de l'ambiance. L'histoire évoque le Palais du Facteur Cheval existant réellement, avec son protagoniste rêveur et obstiné qui construit son temple sur des années, alors que sa fille grandit à ses côtés. Un ton doux et un joli moment d'humanité.

Ensuite, passons à la Croisière bleue qui a donné son titre au recueil. Changement de décor et d'ambiance : une enquête débute à la manière d'Agatha Christie, sur un paquebot volant entre la France et la Russie. Ce petit monde s'avère être un nid d'espions : un lord britannique a été assassiné et deux agents secrets français recherchent le coupable. Très vite, on navigue dans les milieux des réseaux d'espionnage européens, on suspecte un complot, on se cache pour découvrir des secrets. Les alliances de circonstances n'empêchent pas le soupçon mutuel, dans un univers où la cavorite guide les politiques des grandes puissances. La conclusion inattendue de ce périple, spectaculaire, m'a bien amusée.

Après cela, passons à Cinquante hectares sur Mars où nous retournons sur la planète rouge, que nous avons bien connue dans les Temps Ultramodernes. Germain a gagné un lopin de terre, à la manière des colons américains du XIXe siècle. Il n'y trouve pas les sols facilement exploitables qu'on lui a fait miroiter. Ne s'avouant pas vaincu, il part à la recherche de l'origine de l'eau qui envahit les propriétés. Un voyage propice à l'exploration de la faune et de la flore de Mars, comme dans les romans de SF des années 50 : évasion garantie. Cette inspiration continue avec la découverte de Germain sur l'origine des inondations, et je ne vous en dis pas plus. Un pulp modernisé qui inaugure un changement de ton dans le recueil.

Un intermède avec le Sisyphe cosmique sur Mercure : une équipe tente d'extraire de la cavorite, dont cette planète regorge. Nouvelle courte et marquante, jolie et triste, à la métaphore poétique. Et potentiellement, un bouleversement dans cet univers ?…

Enfin, À la poursuite de l'anticavorium, où nous retrouvons Marthe que nous avons bien connue dans Les Temps Ultramodernes. Cette fois-ci, un astéroïde d'anticavorium (qui serait l'inverse de la cavorite et éminemment dangereux) menace de détruire la Terre. Une expédition spatiale est lancée pour détourner l'astre. Ça vous rappelle des films à grand spectacle ? Bien vu ! La tension est présente tout du long de la nouvelle, avec son lot de rebondissements et son enjeu extrême comme tout blockbuster digne de ce nom : la survie de la Terre !

Le recueil se clôt par le Traité de la cavorite, que je n'avais pas lu à l'époque de son édition en numérique : ne vous arrêtez pas à son titre aride, car il est plaisant à lire. L'auteur s'est visiblement amusé à imaginer toutes les implications de sa cavorite, de sa découverte, sa chimie, son extraction, sa filière industrielle, aux conséquences politiques, artistiques ou historiques.

La Croisière bleue s'avère un excellent complément pour ceux qui ont aimé Les Temps Ultramodernes : elle offre un approfondissement de l'univers, mais aussi des histoires aux tonalités diverses et toutes réussies.

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Après avoir adoré la découverte de l'univers des Temps Ultramodernes il y a 2 ans, impossible pour moi de résister à un petit rappel ! Et avec sa couverture gigantesque qui nous fait nous sentir tout petit, Didier Graffet, a parfaitement jouer le jeu, nous replonger dans ce steampunk d'influence vernienne à l'époque d'une pseudo Exposition universelle à laquelle on semble participer à chaque page.

Entre temps, je suis allée me frotter à la plume de Laurent Genefort sur son vaste univers, plus sérieux, d'Omale, et je peux affirmer désormais que le monsieur a vraiment de l'imagination et est aussi bien à l'aise sur les formats longs que courts, les space opera que les uchronies, et même plus encore ! Il sait m'embarquer dans ces univers et ses aventures invraisemblables, c'est pourquoi je n'avais aucun doute d'aimer.

Pourtant, j'ai eu la surprise en ouvrant le volume de découvrir un recueil de nouvelles, car oui, je ne voulais rien savoir avant d'avoir le volume entre les mains. Ce fut donc un bonheur de replonger sous forme de petits bonbons à savourer tranquillement, dans cet univers protéiforme, avec des textes de longueurs variables, d'ambiances différentes, voire de natures différentes, montrant la richesse de l'imagination débridée de l'auteur dans ce nouvel univers avec lequel il se plaît à jouer et qu'il pourrait décliner à l'infini.

La croisière bleue est ainsi un ensemble de cinq nouvelles entrecoupées de brefs articles de journaux sur la Cavorite sous forme d'anecdotes et se concluant sur l'essai scientifique fictif de l'auteur sur l'élément à la base de son oeuvre ici présente : la cavorite. Excellent ! Si on aime comme moi les lectures concepts, les univers foisonnants et les fix-up, il est dur de résister à la vivacité de partie de ping pong de celui-ci. J'ai beaucoup aimé la façon dont l'auteur se fond dans chacun de ces bouts de son univers, que ce soit lors de brèves incursions avec ses petites dépêches autour de la cavorite et ses effets sur nous, ou bien lors de textes plus longs avec ces nouvelles toutes très différentes mais ô combien jouissives et piquantes. Il y a du Verne et du Dickens dans certaines (Le facteur Pégase), du Agatha Christie dans d'autres (La croisière bleue), un petit côté plus moderne et survivaliste dans d'autres rappelant Kim Stanley Robinson (Cinquante hectares sur Mars), voire le sentiment d'être dans un film catastrophe uchronique prenant place au XIXe-XXe (A la poursuite de l'anticavorium). J'ai aussi souvent eu des visuels venant de Les chimères de Vénus, cette BD écrite et dessinée par Ayrole et Jung prenant place dans l'univers du Château des étoiles d'Alex Alice. On sent que les auteurs ont sûrement dû avoir, tous, les mêmes sources d'inspiration.

Laurent Genefort nous montre en tout cas qu'il n'en a pas fini avec ses Temps ultramodernes et qu'il a encore bien des choses à raconter, que ce soit sur la genèse de l'exploitation de la cavorite, son déclin, et la manière dont on pense la remplacer, la compenser. Il montre avec passion notre fascination pour les étoiles et les corps, / objets célestes qu'on y trouve, mais aussi notre tragique obsession pour la colonisation et l'exploitation de tout ce qu'on peut trouver et veut s'approprier. Peu importe les évolutions, notre société reste la même et les crimes d'autrefois sont ceux d'aujourd'hui, même avec des lieux et technologies nouvelles, ainsi que notre propension à vouloir s'asseoir sur les plus faibles. En plus de ce côté désenchanté, j'ai cependant vraiment aimé voir l'histoire se délocaliser à plusieurs reprise et l'univers s'élargir. Il y a un vrai confort à être dans quelque chose de connu juste un brin modifié par l'apport de la cavorite (comme dans le facteur Pégase ou La croisière bleue), mais c'est quand même bien plus dépaysant d'embarquer pour Mars, Mercure et Venus et y voir ce qui s'y fait avec ces recherches de nouvelles matières premières, ces paysages hostiles, cela offre un tout autre challenge. Même si challenge il y a aussi chez l'auteur quand il n'hésite pas à menacer directement notre planète avec une astéroïde folle.

On ne vogue donc pas tranquillement sur La croisière bleue. Laurent Genefort lâche encore la bride à sa folle imagination pour nous conter à l'aide de petits coups d'oeil dans la lorgnette les tressaillements d'une Terre uchronique à qui la cavorite n'a pas apporté la paix escomptée. de nouvelles histoires pour comprendre toute la richesse de ce monde invoqué et les questionnements à se poser sur les gains ou non de cette nouvelle ressource épuisable pour nous. Une vraie oeuvre qui fait à la fois office de divertissement « pop corn » et de réflexion philosophique bien cachée. Si l'auteur a encore dans le futur des envies de revenez-y, il me trouvera parmi ces lecteurs !
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🛳 La croisière bleue - Laurent Genefort 🛳

Résumé :
En ce début de XXe siècle où règne l'antigravité, bâtiments, camions, voitures, navires parcourent le ciel. Les majestueux transatlantiques traversent mers et océans puis, une fois la côte atteinte, sont remorqués par des locomotives et se transforment en paquebots transcontinentaux.
En 1923, lorsque l'Agénor appareille et que débute la croisière bleue, la quête de nouveaux gisements de cavorite exacerbe les luttes entre grandes puissances. À bord de l'Agénor , le transcontinental reliant l'Europe aux confins de l'Asie, un meurtre inexplicable a lieu. Gaspard, agent du Deuxième Bureau français, est chargé de l'enquête. Il ne tarde pas à découvrir que la victime est un espion anglais et que les puissances qui se cachent derrière cet assassinat pourraient bien faire couler l'Agénor et, dans son sillage, le monde ancien tout entier.

Cinq nouvelles entrecoupées d'articles de presse nous font replonger dans les temps ultramodernes qu'a instauré la découverte de la cavorite. Quel plaisir de retourner dans l'univers de cette uchronie steampunk avec des nouvelles de différents styles et des clins d'oeil aux personnages que nous avions rencontré dans le roman précédent. Si les nouvelles sont très différentes les unes des autres il y a tout de même une continuité, un fil qui les relie entre elles.
Et comme dans chaque recueil il y a des nouvelles que l'on préfère à d'autres et il y en a deux que j'ai particulièrement adoré : Cinquante hectares sur Mars et À la poursuite de l'anticavorium.
J'ai adoré la première qui se présente sous forme de lettres d'un colon martien à sa famille restée sur Terre et qui est axée sur l'exploration et sur les conséquences de la colonisation sur la faune et la flore de Mars. La seconde nous parle d'une mission de sauvetage pour sauver la terre face à une catastrophe imminente (un de mes thèmes préférés).
J'adore cet univers que j'adorerais voir adapté en bande dessinée surtout avec des dessins de la qualité des couvertures de Didier Graffet qui sont absolument magnifiques et nous ouvre à ce monde uchronique avant même les premiers mots.
Le livre se termine sur l'Abrégé de cavorologie qui avait accompagné la sortie du premier roman et qui permet de se familiariser avec les caractéristiques et les applications de ce minerai.
J'ai adoré cette nouvelle immersion dans ce monde cavorisé si proche et si différent du nôtre.
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Jusque-là, il faut bien le dire, je n'ai jamais été déçu par un roman ou une nouvelle de Laurent Genefort. Et après avoir lu Les temps ultramodernes, j'espérai une suite. Elle se présenta sous la forme d'un Abrégé de cavorologie que l'éditeur distribue gratuitement au format epub. Et j'avais poussé le vice jusqu'à m'en faire une édition papier. Si si ! Alors, quand La croisière bleue fut annoncé, je ne pouvais que piaffer d'impatience.

Je l'ai commandé sans savoir ce qu'il y aurait dedans. J'ai donc été, mais agréablement, surpris de découvrir un recueil de nouvelles. Cinq nouvelles entre lesquelles sont intercalés des articles de presse factices permettant ainsi à l'auteur de compléter l'univers des Temps Ultramodernes sans créer un nombre incalculable de micro-nouvelles qui n'auraient peut-être pas grand intérêt. Ce format permet au contraire de développer des points de détail sur la cavorite et ses conséquence sur l'humanité tout en gardant un certain dynamismes. On ne raconte par de la même façon en un article de deux pages ou une nouvelle d'une vingtaine. Et ici, c'est une solution qui me convient.

Je voudrais vous en dire plus, et sans dévoiler quoique ce soit, mais ce n'est pas facile. Je dirais simplement complètent très bien le roman. Et si elles peuvent être lues indépendamment, je le déconseillerais. Il vous manquerait un certain nombre d'informations utiles à la compréhension du contexte.

Une mise en garde, mais sans dévoiler quoique ce soit — quoique ! Déjà, le fait d'en parler... :-) — la fin de la poursuite de l'Anticavorium risque d'en surprendre plus d'un.

En bref : À lire ! Comme d'habitude. C'est du Laurent Genefort... mais attention, c'est de la SF ;-)
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
Nous savons depuis Sénèque que la nature ne dévoile pas ses plus grands secrets en un jour.
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Comme ce serait confortable de vivre dans un monde où il y a un méchant bien identifié, qu'il serait possible de tuer sans se poser la moindre question morale.
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Vidéo de Laurent Genefort
Lecture de Laurent Genefort : une création originale inspirée par les collections de la BIS.
Ce cycle est proposé depuis 2017 par la BIS en partenariat avec la Maison des écrivains et de la littérature (MéL). Quelques mois avant la restitution, l'écrivain est invité à choisir un élément dans les fonds de la BIS. Lors de la rencontre publique, « le livre en question » est dévoilé. Chaque saison donne lieu à la publication d'un livre aux éditions de la Sorbonne "Des écrivains à la bibliothèque de la Sorbonne".
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