Deuxième tome qui peut se lire indépendamment, la vie privée des trois personnages récurrents, est traité de façon "microscopique".
Dans un manoir complètement délabré, son propriétaire, un vieil homme un peu dépassé, rentrant de la ville, trouve un macchabée, ( un homme qu'il ne connaissait pas). Pourquoi diable, cet individu est-il venu mourir dans son salon ? Hasard ? Il faut dire que le vieux Monty ne fermait jamais sa porte...
Pour Jess Campbell, cela est lié à la maison...
On retrouve avec plaisir cette héroine, bien que Ann Granger ne nous en apprenne pas beaucoup plus sur elle et ses collègues. Elle préfère distiller plutôt que tout étaler dés les débuts de sa série. C'est son choix, l'enquête est mise en avant, ce qui fait de cette série policière, plus une série policière qui se passe à la campagne, qu'une série de style cosy mystery.
La nuance est subtile !
Tout aussi agréable que le premier tome, les fantômes en moins...
J'ai terminé hier la lecture du tome 2 du "cosy mystery" Campbell et Carter : Manoir magouilles et coq au vin.
Tout comme le tome 1, je m'étonne de ce classement dans cette catégorie car on suit un duo d'enquêteurs de la police britannique et non une grand mère ou une pâtissière... Et on y boit définitivement plus de whisky que de thé 😅
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J'avais vraiment beaucoup aimé le tome 1 (cottage,fantôme et guet apens) mais dans celui-ci j'ai moins ressenti l'engouement et l'envie de vite tourner les pages pour découvrir le meurtrier...
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Tout se passe un peu au ralenti, pas vraiment d'indices à part une fausse piste très vite écartée.
Rien n'est vraiment fait pour que l'on s'attache aux personnages principaux, sur qui l'on n'apprend finalement pas grand chose...
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J'ai réussi tout de même à développer une certaine affection pour Marty, ermite en son vieux manoir, qui découvre un cadavre sur son canapé en rentrant de ses commissions ...
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J'ai beaucoup 𝗕𝗘𝗔𝗨𝗖𝗢𝗨𝗣 tiqué sur les descriptions grossophobes des fermiers du coin. Décidément, les voisines méchantes et fourbes sont souvent de grosses mégères disgracieuses en legging 😔
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Je lirai sans doute le suivant, car j'ai aimé le premier...
Et toi tu connais cette série ?
Tu as lu l'autre série d'Ann Granger (un intérêt pour les morts etc) ??
Parlons en 📩💭
Cette fois c est " un mystère confortable " venu du pays d origine et le second lu d Ann Granger écrivaine connue pour ses polars Victoriens . Ce Manoir comparé au Cottage du Tome 1 est effectivement beaucoup plus délabré , et pas uniquement au niveau de l 'architecture . Ça tourne plus en rond qu' un manège ça radote sec , que de pages inutiles pour une énigme transparente entraînant maints bâillements Mais je vais vous étonner chers et trop bienveillants amis Babélionaute je n ai pas détesté ce bouquin il s' en dégage le parfum de lavande un peu éventé des lingeries de grand-mère , de celui aussi qu'elle vaporisait derrière son oreille et qui m embaumait quand elle me serrait dans ses bras Objectivement je ne vois pas ce qui à bien pu déclencher ces sentiments dans cet opus d une remarquable platitude , mais c est ainsi mais après tout la tendresse , la nostalgie ont elles aussi leurs vies propres . Allez à bientôt
Je replonge avec plaisir dans cette série de cosy mystery et ce fût à nouveau un moment de détente agréable.
Ann Granger nous entraîne dans une enquête bien mystérieuse au fin fond de la campagne anglaise, dans des secrets familiaux que l'on pensait enfouis. Mais finalement tout se sait toujours dans un petit village anglais.
Je retrouve avec plaisir Jess Campbell et Ian Carter, nos personnages presque toujours aussi enigmatiques, même si nous avons quelques bribes supplémentaires d'informations sur la vie privée du commissaire. J'aurais beaucoup aimé en apprendre plus sur eux, mais ce ne sera pas encore pour ce tome-ci. C'est un chouïa frustrant pour la lectrice que je suis, mais cela permet aux personnes n'ayant pas lu le premier tome de pouvoir aisément prendre la série en cours de route. Il peut d'ailleurs être lu en "one shot" sans aucune difficulté.
Hâte de lire la suite et de voir l'évolution ses relations de nos deux policiers.
P.s : était-ce une tentative d'approche ??
2ème enquête pour l'inspecteur Jess Campbell, un manoir en décrépitude, un vieillard misanthrope et un cadavre inconnu...
J'ai beaucoup aimé cette nouvelle enquête, notamment le personnage de Monty qui est à mon sens le plus fouillé et à qui on s'attache le plus facilement.
L'intrigue tourne d'abord autour de l'identité du cadavre puis sur le lien qui peut-être établi avec le lieu de sa découverte.
Entre les secrets de famille et les rancoeurs entre les clans du village, la police aura fort à faire pour découvrir le coupable.
- Votre oncle est là, dans la voiture, ajouta-t-elle en allant ouvrir la portière, avant de se pencher vers l'intérieur. Venez, Monty, vous pouvez descendre maintenant. Votre nièce est arrivée.
- Merci, mais je suis parfaitement bien où je me trouve, rétorqua l'intéressé, les bras toujours croisés.
Bridget Harwell, qui avait suivi Jess, se pencha vers lui et prit sans effort le contrôle de la situation.
- Arrête ça tout de suite, oncle Monty ! Sois un peu adulte, pour une fois ! Comment te sens-tu ?
- Comment je me sens ?
Monty la dévisagea un instant, rendu muet par la surprise, avant de poursuivre :
- Sacrément en colère, si tu veux savoir ! Un saligaud a déposé un cadavre chez moi, dans mon salon. Maintenant il y a des flics partout dans la maison et toi, tu viens me kidnapper... Comment veux-tu que ça aille ?
Bridget se tourna vers Jess.
- Bon, il a l'air bien, dit-elle avec un évident soulagement. Il est comme d'habitude, en tout cas.
A l'époque , les enfants du village devaient être nombreux à venir remplir les bancs des classes. Avec les années, le nombre de familles qui vivaient là avait bien diminué : il n'y avait plus de travail au village, ni de logements abordables, avec les citadins qui affluaient, à la recherche de résidences secondaires. On avait donc fermé l'école, on l'avait vendue et reconvertie en maison d'habitation privée.
" Avant de parier sur un cheval, je regarde son indice de forme. Pour choisir une femme, c'est l'indice de ses formes qui m'intéresse !"
Ce qu'il y a, avec les secrets, ce n'est pas uniquement qu'on n'en parle à personne. C'est qu'il n'existe aucun moyen de savoir si on est le seul à les connaître. D'autres ont très bien pu y accéder par des voies différentes. Dans ce cas, ce ne sont plus du tout des secrets, et c'est bien là l'ironie. Ils deviennent des choses que tout le monde sait, mais que nul ne mentionne. Sans en avoir conscience, chacun se retrouve au coeur d'une conspiration qui consiste à masquer une vérité dérangeante.
Nous pouvons prendre [ votre voiture ] pour y aller, si ça ne vous dérange pas que j'y monte.
Il désigna ses chaussures crottées.
- C'est de la boue honnête, précisa-t-il.
Quel est le nom de famille de Frank ?