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Roy Grace tome 9 sur 18
EAN : 9782266267953
544 pages
Pocket (14/04/2016)
  Existe en édition audio
3.7/5   116 notes
Résumé :
Brooklyn, 1922. En pleine nuit, un petit garçon se terre au fond de son lit : quatre hommes viennent de pénétrer chez lui. Ils tuent sa mère et enlèvent son père, le n° 2 du gang des White Hands. Désormais orphelin, il embarque pour l'Irlande avec sa sœur et sa tante. Sur le bateau, l'enfant jure de revenir chercher son père. Brigton, quatre-vingt-dix ans plus tard. Une vieille dame est retrouvée chez elle, grièvement blessée. Elle a été torturée, son coffre-fort vi... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (31) Voir plus Ajouter une critique
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Désormais heureux père d'un petit Noah, le commissaire Roy Grace aimerait pouvoir passer plus de temps auprès de son fils et soulager un peu Cloé de la fatigue qu'elle accumule depuis la naissance du bébé. Mais les voyous de Brighton ne sont pas prêts à lui accorder une trêve. Une dame âgée de 98 ans a été affreusement torturée et sa maison pleine d'antiquités a été cambriolée. Parmi les objets volés, une montre de grand prix ayant appartenu à son père, un gangster new-yorkais porté disparu en 1922 à Brooklyn. Gavin Daly, le frère de la victime est prêt à tout pour récupérer ce souvenir familial d'une grande valeur sentimentale. Pour Grace, il n'est pas question que le vieil homme se fasse justice lui-même et il entame une course contre la montre pour récupérer les biens volés et arrêter les cambrioleurs. Comme d'habitude, il s'investit entièrement dans son enquête, inconscient du fait que, dans l'ombre, un de ces ennemis prépare sa vengeance et que sa nouvelle famille est en danger.

Nouvelle enquête et nouvel univers pour la commissaire de Brigton. Ici, à travers l'histoire de Gavin Daly et de sa soeur, Peter James nous emmène dans les bas fonds du New York du début du siècle, époque de la formation des premiers gangs, surtout irlandais. Un univers de violence, de lutte pour le pouvoir et de meurtres. Il est aussi question d'une promesse et d'une vengeance qui auront pris quatre-vint-dix longues années pour se réaliser.
Voilà pour l'intrigue qui se promène aussi dans le monde des antiquités et du trafic qui en découle.
Côté vie privée, Roy Grace découvre les joies de la paternité et les nuits perturbées par les pleurs d'un bébé. Cependant, il ne s'implique pas réellement dans sa nouvelle vie, passant le plus clair de son temps sur le terrain et s'offrant même un déplacement à New York. Et pendant ce temps, Cloé commence à perdre patience à l'image de Sandy, son épouse disparue qui détestait la solitude imposée à une femme de policier. Cette même Sandy dont Peter James nous donne de brèves nouvelles. Au fil des tomes, on en apprend un peu plus sur sa vie avec Grace, les raisons de sa disparition et ses futurs projets. Mais tout cela reste encore énigmatique et on ne connaît toujours pas les intentions de cette femme qui semble déséquilibrée.
Côté style, Peter James a tendance à être répétitif, d'où certaines lourdeurs, et sa façon de décrire chaque personnage jusque dans les moindres détails de sa tenue vestimentaire finit par agacer.
Mais le job est fait. Pas de temps mort, pas d'ennui dans cet opus qui ménage quelques moments d'émotion. Un bon cru dans l'ensemble.
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Neuvième roman de Peter James mettant en scène notre cher Roy Grace et acolytes.
Cette fois, l'enquête va porter sur le vol d'objets de valeur chez une dame âgée de 98 ans, Aileen McWhirter. Tout lui a été dérobé, de ses bijoux à ses tableaux, en passant par ses meubles de grande valeur et autres antiquités.
Les cambrioleurs n'ont pas hésité à s'en prendre violemment à la pauvre femme, qu'ls ont néanmoins laissée en vie, mais pas pour très longtemps, puisqu'elle succombe peu après avoir été blessée et molestée. L'investigation sur le cambriolage se transforme en enquête pour meurtre.
Gavin, jeune frère de la victime, est sous le choc et profondément affligé du décès de sa soeur... mais également de la disparition d'une montre de grande valeur, aussi bien financière que sentimentale.
En effet, quand il était gamin, après l'assassinat de sa mère et l'enlèvement de son père (probablement décédé également), il fut envoyé chez sa tante en Irlande, avec sa soeur. Sur le point d'embarquer, un sac lui a été remis. Celui-ci contenait une arme, la montre et un article de journal sur lequel étaient notés des chiffres incompréhensibles pour lui aussi bien à l'époque (en 1922) qu'au moment où se déroule l'histoire.
Il lui avait été promis que ces chiffres lui indiqueraient où trouver son père (ou son corps), mais encore faudrait-il qu'il arrive à en déchiffrer la signification.
La police s'évertuant plutôt à chercher le mobile du meurtre de la vieille dame, Gavin, à l'aide de son fils, décide de mener son enquête parallèle sur la trace de la montre, en usant de méthodes que ne peuvent employer les forces de l'ordre, si vous voyez ce que je veux dire.
Je souligne que cette partie se référant aussi bien aux sentiments de Gavin et sa remontée dans son enfance qu'au décryptage des chiffres est vraiment passionnante. Une corde de plus à l'arc de l'auteur qui a fort bien imbriqué l'histoire dans l'histoire.
Encore une fois, la vie privée des personnages s'entremêle au récit, notamment la disparition de Sandy, toujours pas résolue. Chloé a eu son bébé, et Roy a bien du mal à trouver du temps à consacrer à sa famille, ce qui n'est pas au goût de sa compagne qui n'y arrive pas vraiment toute seule. Les horaires de son époux ne l'arrangent pas. Là par contre, j'ai eu du mal à compatir, parce qu'étant elle-même dans le métier, bien que légiste, elle savait bien dès le départ ce que représente la plongée en pleine affaire criminelle et ne pas pouvoir gérer son emploi du temps à sa guise.
Alors s'attendre à ce que son mec n'oublie pas de ramener le pain à 18 heures tapantes, honnêtement je n'ai pas trop compris. Mais la fatigue qui l'accable et les nerfs qui lui jouent des tours n'ont pas facilité les choses.
De plus, si vous vous souvenez de mon retour sur un roman précédent, ce type qui a été libéré et en veut à Roy, qu'il considère comme responsable de son incarcération, se met à menacer sa famille.
Voilà pour l'histoire en gros, ai-je besoin d'ajouter que Peter James mène sa plume de main de maître, le suspense est toujours aussi présent, le récit fluide, rien n'est linéaire et on va de surprise en surprise. Certaines nous sautent au visage quand on ne s'y attend pas, pour d'autres, on les sent un peu venir, mais sans certitude, donc on reste sur le qui-vive tout du long.
Un excellent opus, qui donne encore une fois envie de se précipiter sur le suivant.
De livre en livre, les récits montent en intensité (n'allez pas comprendre par là qu'avant c'était mou du bout, je n'ai pas dit ça), mais quand on pourrait penser que Peter James va se reposer sur ses lauriers et ajouter quelques intrigues par-ci, par-là histoire de faire durer la saga, ce n'est pas le cas du tout, loin s'en faut. Aucune retombée d'intérêt n'est à déplorer et tout va crescendo.
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De Brooklynn en 1922, on se téléporte à Brighton en 2012. C'est là que tout se règlera. Une riche vieille dame est torturée et assassinée. de plus, on a vidé sa maison de tout ses trésors: des tableaux de maître, des meubles antiques, des bibelots précieux et surtout une montre. Une Patek Philippe d'une valeur inestimable car sentimentale pour la vieille dame et son frère antiquaire. Intéressant cette intrusion dans le monde des antiquaires et de leurs pratiques parfois étonnantes, disons ainsi. Roy Grace, le commissaire, se donnera à fond pour retrouver les ignobles voleurs assassins et ce, malgré sa nouvelle condition de jeune père qui voudrait être plus souvent, plus longtemps avec sa nouvelle famille. Une histoire de famille, une histoire de vengeance bien mûrie pour plusieurs et entre familles, de la haine et une promesse. C'est un roman plein de rebondissements où les liens entre les multiples protagonistes - oui, il y en a plusieurs- se raccorderont au fil de la lecture. À mon goût un peu longuet mais l'auteur a quand même pu me tenir en haleine grâce à des chapitres courts, voire très très courts parfois mais qui bonifiaient le rythme de la narration. Bref, un après-midi de lecture agréable.
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Propos sur le bien-fondé des critiques de livres.
Je viens de lire une critique de QUE SONNE L'HEURE de Peter JAMES dont je tairai la source, si peu connue du public qu'elle ne vaut vraiment pas la peine d'être citée. En voici l'extrait le plus étonnant :

« (…) Après avoir lu ce livre, l'expression « désolé ! » ne me laissera plus de marbre et me fera toujours sourire ! Exclamation favorite et récurrente utilisée par celui que l'on nomme « le Pénitent » ou encore « Augustine KRASNIKI », le binôme, homme de main de Lucas Daly, créature apparentée au monstre de Frankenstein, interprété au cinéma par Boris KARLOFF, à la force décuplée à tout casser, au teint peut-être tout aussi verdâtre que celui de HULK, le mutant.
Vert de peur, le lecteur peut l'être aussi à la lecture de ce roman particulier que je trouve inégal, empeste et s'embourbe dans les tribulations de la Crapule. Une vieille histoire ressurgie au temps de la mafia américaine, des gangs d'al Capone, quelque part entre l'Irlande, île verte et New York, Big Apple (verte, elle n'est pas toujours mûre),
parmi les trafics d'objets précieux
dans le monde des enchères et des antiquaires véreux,
bien verts, eux ! (tiens, ça rime !...).
Mais notre val(h)eureux commissaire et ô combien justicier Roy Grace, devenu papa d'un premier enfant (restons optimistes) va tout arranger (où l'on apprendra par ailleurs, entre parenthèses, avec grand intérêt que la maman, Cléo, exacerbe la libido en faisant commander au restaurant une double ration d'huîtres pour qu'en fait le nouveau-né ne reste pas fils unique… – page 261), il veille sur sa bonne ville de Brighton, pas d'inquiétudes donc pour lui, et enverra une fois de plus la vermine sous les verrous des geôles anglaises qui n'ont plus rien en commun avec la célèbre Tour de Londres (qui n'est pas d'ivoire) ! Grâce… à lui et « God Save the King ! », (c'est d'actualité).
Tout ce petit verbiage n'est décidément pas bon et ces quelques lignes ne méritent pas d'être éditées, je vous l'accorde. « Fou ! », me direz-vous. Oui, mais le roman, en cette envolée de 539 pages l'est aussi un peu, non ? Cette histoire s'étire inter(minablement) et remporte à mon avis, moins de succès parmi mes 2 préférences du moment, beaucoup plus palpitantes que je vous encourage à découvrir : TOUCHER MORTEL et LA MAISON DES OUBLIÉS de ce même Peter JAMES (…) … etc.».

Curieuse critique, en effet, dépourvue de sens et qui ne révèle presque rien. Quelle utilité que tout ça à l'égard de ce thriller parmi le nombre incalculable d'autres écrits du même genre ? le vrai du faux, à s'y méprendre, cette critique semble être le fruit d'une grosse plaisanterie et tout comme moi, ce lecteur de toute évidence, n'a pas retenu grand-chose jusqu'à la fin magistrale. Ce qui reste malgré tout remarquable dans l'art de ce livre (et dans bien d'autres) est que l'auteur réussit à réserver l'ultime partie du livre au dénouement brutal tant attendu. Il tient le lecteur entre ses mains, sait le faire patienter, car sur le total de 126 chapitres pour 539 pages d'écriture, ce n'est qu'au chapitre 114 à la page 492 que notre héros Roy GRACE déclare à cette phase du développement : « être dépourvu de stratégie d'arrestation » !

Le roman aurait pu s'intituler « À LA RECHERCHE DU TEMPS PERDU » puisque l'on y recherche une montre (sentimentalement et exagérément presqu'aussi précieuse que la relique du Saint Graal ou du Saint-Suaire !) dont l'heure indiquée s'est arrêtée en 1922. Mais cette histoire n'est pas écrite par Marcel PROUST. Si les phrases sont courtes, au contraire de celles écrites par l'écrivain français (« chez M. PROUST, les phrases comptent en moyenne 43 mots contre une vingtaine en moyenne chez les écrivains de langue française »), ce sont les courts mais interminables chapitres, caractéristiques de l'écriture de Peter JAMES qui s'étirent tout au long de cette aventure. Je n'aurais retenu que l'essentiel :
- le livre comporte de nombreux chapitres inutiles, par exemple le chapitre 70, pour ne citer que celui-ci, qui de plus, ‘'ne fait pas dans la dentelle'' ;
- une succession d'interrogatoires, de chassés-croisés, de filatures, d'interpellations, de confrontations, de gardes à vue et d'arrestations, le tout bien arrosé d'alcool, pour la recherche d'une montre et de souvenirs douloureux qui ont traversé le temps dans un très long et tumultueux cheminement. Surgissent de nombreux portraits de malfrats en tous genres dans le monde des antiquaires et des receleurs.

Non, je n'ai pas trouvé de meilleure appréciation pour cette fois et sincèrement, je ne veux pas divulguer complètement ce roman bien malheureux. C'est tout ce que je peux retenir de ce livre, mais c'est déjà bien.
Ah ! le plaisir de lire et d'écrire, on ne se refait plus !

Désolé.

Signé : Augustine KRASNIKI.
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Pour la 11ème fois je n'ai pas boudé mon plaisir en attaquant ce nouveau roman de Peter James. Il s'agit de la série Roy Grace et du 9ème tome. Par accident j'avais déjà lu « Lettres de chair » qui est le 11ème tome (et il me manque le 10 que je vais commander cette semaine).

Parallèlement à l'enquête qui est d'un très bon niveau, on suit la vie privée de Roy, l'enfant Noah qu'il a eu avec sa nouvelle compagne Cléo, Sandy, sa première femme, ayant mystérieusement disparue 10 ans auparavant. Dans ce nouvel épisode on en apprend un peu plus à ce sujet, comme dans chaque livre et toujours à dose homéopathique !

Pour mener à bien son enquête, Roy doit embarquer pour New York. Ce n'est pas facile pour lui ni surtout pour Cléo qui est épuisée par le bébé. Ce qu'ils ignorent tous les deux c'est qu'un ancien repris de justice a bien l'intention de se venger de Roy et prévoit, pour assouvir cette vengeance, de s'attaquer à Cléo et au petit Noah…

Va-t-il y arriver ?? C'est un individu très dangereux qui ne pense plus qu'à ça depuis un certain temps, il jubile à l'idée de faire du mal à Roy Grace, bref il est déterminé à réussir…

Je recommande cette passionnante série, très prenante, où l'on tourne les pages sans s'en apercevoir. Ce 9ème tome ne fait pas exception !
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Combattre le crime, c'est comme s'allonger au pied d'un glacier pour l'empêcher d'avancer. Si je pouvais tout reprendre de zéro avec l'ambition de devenir riche - ce qui n'a jamais été mon but dans la vie - je me lancerais dans la sécurité, la restauration ou l'armement. Il y aura toujours des gens pour voler, manger et s'entre-tuer.
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Quelle fable?

Celle du scorpion qui demande à la tortue de l'aider à traverser une rivière.
La tortue répond: "Je ne peux pas, tu pourrais me piquer et me tuer."
Le scorpion dit: écoute, je ne suis pas bête. Si tu me portes et si je te pique, on mourra tous les deux. Toi empoisonnée et moi noyé".
Ce à quoi la tortue répond: "C'est logique"! Ils entreprennent alors de traverser la rivière et, au beau milieu, le scorpion pique la tortue. La tortue, agonisante, commence à couler. Elle se tourne vers le scorpion et lui demande: "Pourquoi as-tu fais ça? On va mourir tous les deux". Et le scorpion de répliquer: "Je sais, je suis désolé, je n’ai pas pu m’en empêcher, c’est dans ma nature ».
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Il prit son visage entre ses mains et sanglota. Puis il se tourna vers les trois enquêteurs.
- Il y a 90 ans de cela, j'ai promis à mon père que je reviendrais un jour à New York et que je le trouverais. Voilà ce qui est en train de se passer. C'est mon père, Brendan Daly. Je l'ai retrouvé.
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Il aurait pu vendre de la neige à un Esquimau, du sable à un Bédouin ou un maillot de bain à un poisson.
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Elle avança jusqu'à l'entrée, tête baissée sous la pluie, un peu éméchée. Elle tapa le code, poussa le portail et, sans se poser de questions, remercia l'étranger qui se trouvait juste derrière elle et le lui tint ouvert.
Le battant se referma en heurtant la roue arrière de son vélo.
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Videos de Peter James (7) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Peter James
LE CERCLE DE PIERRES - M. W. Craven #LeCercledepierres #prixgolddagger #romanpolicier Une enquête de Washington Poe PRIX GOLD DAGGER DU MEILLEUR ROMAN POLICIER Sebastian Danchin (traduit par) Collection : Suspense Date de parution : 22/09/2022
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Le livre : https://www.lisez.com/livre-grand-format/le-cercle-de-pierres-prix-gold-dagger-du-meilleur-roman-policier/9782809844603 Faceboook de l'Archipel : https://www.facebook.com/editionsdelarchipel Instagram de l'Archipel : https://www.instagram.com/editions_a
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