AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,92

sur 51 notes
5
10 avis
4
8 avis
3
3 avis
2
0 avis
1
0 avis
" J'ai voulu ce livre comme un acte de remerciement. Pour dire simplement ce que je dois au livre. Ce que, tous, nous devons au livre. Plus nécessaire que jamais, face au brouhaha du monde : il est en chacun de nous un royaume, une dimension d'éternité, qui nous fait humains et nous fait libres. Tel est son grand message : que, tous, nous sommes plus grands que nous." (p. 19)

Une autobiographie passionnante où le petit Breton élevé par une Mère Courage, rêvant d'être institutrice, a dû se sacrifier pour travailler dès l'âge de 10 ans, afin de pouvoir s'occuper de sa mère (la grand-mère de l'auteur), tombée brutalement invalide !....

Michel le Bris, en dépit de la grande pauvreté a vécu une enfance aimante avec une mère affectueuse et attentive, qui souhaitait le meilleur pour son fils... !

Michel le Bris, écrivain-voyageur, créateur dans les années 1990 du célèbre festival malouin des "Etonnants Voyageurs " exprime avec fougue sa gratitude envers les êtres bienveillants rencontrés dont un instituteur exceptionnel qui l'a encouragé à écrire librement ses rédactions, et à piocher sans réserve dans sa bibliothèque personnelle...

Récit foisonnant où il narre ses rencontres, ses études, ses coups de coeur littéraires, son parcours multiforme dans le Livre, l'édition, la critique littéraire, sa participation à la création de "Libération ", déploie son admiration de toujours pour le Grand Hugo, le poète Guillevic, et son "objet d'étude" très exclusif que fut l'écrivain-voyageur, Stevenson, qui le mènera dans les bibliothèques américaines les plus prestigieuses... ses pérégrinations chez les bouquinistes français, anglais, belges et d'ailleurs !...
Il narre son rôle d'éditeur chez Phébus, auprès de J.P. Sicre, qui lui a permis de "faire revivre des livres" auxquels il devait tant de rêveries....


Inutile de dire que le titre est des mieux choisis... L'amour des Livres étant le fil conducteur absolu de cette autobiographie....

"Nous naissons, nous avançons, dans le bruissement des livres qui nous ont faits, des rencontres dont nous sommes nourris , et dont tant furent des libraires." (p. 128)
Il décortique longuement l'enseignement de la littérature au fil de différentes périodes... et ajoute à ses abondantes digressions sur les livres, une , très pragmatique et incontournable : le classement de sa
bibliothèque... et comment "repousser les murs" pour contenir toutes nos boulimies... et encore plus, lorsqu'on est écrivain, que l'on doit cumuler, engranger des "tonnes de documentation" pour rédiger un ouvrage...
Comme Michel le Bris le fit à plusieurs reprises pour Stevenson, l'Ouest-Américain, Levi-Strauss, et bien d'autres !!....

"Le livre à écrire était lui-même une bibliothèque" (p.149)

" Une conception étriquée de la littérature, qui la coupe du monde dans lequel on vit, s'est imposée dans l'enseignement, dans la critique et même chez nombre d'écrivains. le lecteur, lui, cherche dans les oeuvres de quoi donner sens à son existence. Et c'est lui qui a raison. " [ Todorov- La littérature en exil] (p. 108)

Michel le Bris narre également ses différents engagements politiques... avec le seul souci de la Parole démocratique, hors des embrigadements et censures multiples ...et le meilleur "Ami-libérateur" reste le LIVRE, et le geste créatif, dans son ensemble !!

"Face à la barbarie qui menace, les écrivains, même s'ils n'en sont pas nécessairement conscients, sont toujours les gardiens du Feu. "(p. 234)

Il y aurait encore moult choses à dire de cette autobiographie foisonnante...toutefois ma chronique est déjà suffisamment longue et bavarde !!!

P.S :**** J'allais omettre deux éléments importants à mes yeux.... Michel le Bris exprime aussi ses bonheurs d'éditeur... [ Parmi les plus significatifs : la remise en avant de Nicolas Bouvier, dont sa réédition du célébrissime "Usage du Monde" , qui avait subi, à sa première publication, un "flop total"... tel que l'ouvrage était parti dramatiquement au pilon, dans des délais express...]... et de voyageur !!! Livre qui devrait captiver tous les amoureux du Livre et des Voyages ; évasion et belles rencontres, garantis...!!...


© Soazic Boucard- Février 2019
Commenter  J’apprécie          577
Je dois remercier Michel le Bris de me disculper de ma boulimie de livres car je ne suis pas seul à les « accumonceler ». Lui, il a débuté sa «collectionnite» avec la série verte, achetée avec l'argent de la vente de seaux de bigorneaux aux producteurs d'huîtres (les bigorneaux se nourrissent des algues vertes).

Voilà qui est bien prosaïque en regard de cet essai. En effet, il célèbre les livres et la littérature – son titre est évidemment sans équivoque -, il brandit la littérature comme un étendard de la démocratie et nous explique comment les récits littéraires nous façonnent. Un chapitre concerne les classements de livres imaginés par des auteurs et possesseurs de "grandes" bibliothèques.

Ce récit est fortement érudit et pétri de citations. Il donne envie de lire ou de relire les romans cités, mais il m'a cependant laissé, parfois, au bord du chemin de la culture littéraire.

Commenter  J’apprécie          441
Ce livre plaira tout d'abord aux habitués du festival « Etonnants voyageurs » de Saint-Malo.
En effet il retrace le parcours littéraire de Michel le Bris, son créateur, et on comprend pourquoi depuis ses lectures d'enfant (L'île au trésor, Martin Eden,…)jusqu'à ses passions d'adolescent (le jazz), puis d'adulte (la poésie), ses voyages (les Etats-Unis), ses rencontres avec les écrivains , il a créé ce festival à son image.

De la littérature de voyage tout d'abord, puisqu'il a toujours poursuivi ses rêves d'enfant en faisant découvrir, ou redécouvrir, les « écrivains-voyageurs ».
De la poésie aussi, qui reste une de ses grandes passions, en confiant la partie poésie du festival à son ami de longue date Yvon le Men, encyclopédie vivante de la poésie, poète lui-même et ami des poètes.
Et de la littérature au sens large du moment qu'elle est ouverte au monde, qu'elle fait rêver et qu'elle n'est pas égocentrique !
Ce qui laisse grandes ouvertes les portes de la littérature et donne un festival multiple, riche et représentatif du monde actuel.

Et bien sûr pour les mêmes raisons ce livre plaira à tout amateur de littérature, de souvenirs autour des livres et d'esprit d'ouverture.
Si l'on fait partie des plus de vingt ans, on pourra y retrouver les mêmes lectures de jeunesse et pourquoi pas les mêmes rêves et le même enthousiasme pour la littérature et les écrivains !
Commenter  J’apprécie          183
Je remercie chaleureusement les éditions Grasset pour l'envoi de l'ouvrage Pour l'amour des livres de Michel le Bris.
Michel le Bris est un écrivain-voyageur, il a crée dans les années 1990 le célèbre festival malouin des "Etonnants Voyageurs " et surtout, c'est un amoureux des livres. Suite à une opération, il se rend compte qu'il voit mal, qu'il n'arrive plus à lire comme avant et alors il a l'idée d'écrire un livre.. sur sa vie, sur les livres, sur son métier d'éditeur...
Ayant beaucoup aimé King de ce romancier, c'est avec plaisir que je me suis plongée dans Pour l'amour des livres. Impossible pour moi, l'amoureuse des livres, de passer à coté, et je suis ravie de ma lecture.
Je ne suis pas toujours réceptive aux souvenirs des auteurs mais là, à ma grande surprise tout m'a plu dans les écrits de Michel le Bris.
J'ai apprécié le ton de ce livre, le contenu et j'ai passé un très très bon moment de lecture :) Il m'a charmé de la première à la dernière page, je mets donc évidemment un très joli cinq étoiles.
Commenter  J’apprécie          140
A quoi tient la découverte du plaisir de lire et d'apprendre ? A une mère qui se tue au travail et reporte son désir de réussite sur son fils. A un instituteur qui laisse lire ce qui lui plaît à son élève. A des rencontres, une terre natale, la Bretagne, véritable terreau pour l'imagination. Michel le Bris raconte comment lui est venu l'amour des livres et comment cette flamme s'est entretenue et développée au fil des ans. Journaliste, directeur de collections chez divers éditeurs, créateur du Festival Etonnants Voyageurs, écrivain, il a vécu par et pour les livres et la littérature. Spécialiste de Robert Louis Stevenson, il clame aussi son amour de la poésie de Victor Hugo et du romantisme. Une agréable promenade dans le paysage littéraire de Michel le Bris.
Lien : https://puchkinalit.tumblr.c..
Commenter  J’apprécie          92
Michel le Bris, auteur et essayiste français, nous livre ici une autobiographie singulière.

Ex-communiste et spécialiste de Robert Louis Stevenson, cofondateur du journal Libération, créateur du festival Etonnants Voyageurs, grand passionné de littérature et tout particulièrement du mouvement romantique, cet érudit ne se contente pas de nous livrer des détails, par ailleurs intéressants, sur sa vie incroyable mais dévoile aux lecteurs sa relation aux livres.
Partant de sa jeunesse et ses premiers émois livresques pour arriver à nos jours et sa grande inquiétude quant à l'avenir de la littérature et de la démocratie, Michel le Bris, avec une plume fort plaisante, invite à une réflexion appronfondie sur le pouvoir de la fiction et du poème.

Ce livre présente donc deux facettes qui se mêlent allègrement et que j'ai beaucoup aimé: d'une part l'essai historique et objectif, l'auteur disposant de nombreuses connaissances et ressources nous permettant d'apprendre énormément sur l'histoire plus ou moins récente de la littérature, d'autre part, l'autobiographie, le récit intime, une expérience personnelle de la lecture.

Les références bibliographiques sont légion dans ce livre, l'auteur donne envie d'aller en librairie, de se laisser surprendre, de sortir des sentiers battus.

Une lecture exigeante mais très enrichissante qui donne envie de lire, encore et encore.
Commenter  J’apprécie          80
Amoureux des livres: précipitez-vous, courrez lire cet ouvrage.

Michel le Bris, après son superbe Kong, publié toujours chez Grasset en 2017, continue de nous émerveiller.

La littérature, son pouvoir, sa force sont le fil conducteur de cette histoire, de cette biographe d'un passionné des mots.

On voyage avec l'auteur à travers les époques, les lieux, les envies de lecture, les rencontres qui changent la vie, qui changent sa vie. Quel plaisir de s'imaginer à Londres immergés dans toutes les éditions possibles des romans de Jack London.

La lecture et l'écriture sont vitales pour lui, et avec sa captivante plume Michel le Bris est notre guide, nous pouvons presque toucher les livres qu'il décrit et cite. Un tour dans une bibliothèque magnifique, dans l'une de ses librairies préférées, le voyage est magique. Nous nous retrouvons en compagnie de Borges, de Zevaco.

On découvre également le métier d'éditeur pratiqué par l'auteur et sa joie de publier des écrivains aimés et parfois oubliés.

L'enfance dans son « petit coin de Bretagne » le premier livre vraiment à lui puis Versailles, la révolution des idée, quelle vie passionnante et quel livre prenant.

« Qui que vous soyez qui voulez cultiver, vivifier, édifier, attendrir, apaiser, mettez des livres partout » disait Victor Hugo et je ne peux que vous dire mettez ce livre payout !

Lien : https://blog.lhorizonetlinfi..
Commenter  J’apprécie          72
Pour l'amour des livres
Michel le Bris (1944-2021)
Alors qu'il se réveille dans son lit d'hôpital d'une délicate opération, l'auteur réalise qu'il ne voit pratiquement plus les lettres du livre qu'il vient d'ouvrir, sinon comme des ombres indéchiffrables. Malgré les encouragements du chirurgien, il est désespéré car ne plus voir, c'est aussi ne plus pouvoir écrire comme avant. C'est au cours d'une de ces nuits de désespoir que l'idée de ce livre dédié à l'amour de la lecture et des livres est née.
Pour lui, la littérature a la faculté de nous « reconduire à nos mondes intérieurs dans le temps long de la lecture et le silence gagné sur le brouhaha ordinaire, jusqu'à nous faire approcher le mystère même du langage, qui nous relie aux autres, au monde et à nous-mêmes. »
le premier livre qui frappa l'imagination du jeune Michel fut « La Guerre du Feu « de J. H. Rosny aîné, un livre que nous avons tous lu, « roman des âges farouches », porté à l'écran et que nous n'avons jamais oublié. Il y eut ensuite tous les auteurs de la Bibliothèque Verte (London, Curwood, Peyré etc.) et la Rouge et Or, qui toutes deux composèrent aussi ma première bibliothèque
Michel le Bris nous conte son enfance pauvre et solitaire, même si sa mère sut faire de leur maison sans eau et sans électricité un paradis. Grâce à un instituteur engagé et dévoué qui lui ouvrit sa bibliothèque et le laissa libre de choisir le thème de ses rédactions, il découvrit d'une part la puissance de libération des livres et d'autre part le pouvoir grisant de créer des mondes avec des mots. La lecture et l'écriture.
Puis il y eut « le Bossu « de Paul Féval, Émile Zola, Malraux, Conrad, Melville, Stevenson, avec un très grand et bel hommage à Victor Hugo en particulier. de grands auteurs qui furent ses libérateurs :
« Je n'étais plus seul, simple proie de mes fantasmes, quelque chose d'immense entrait en moi, par eux je touchais au coeur même de ce que mettait en jeu la littérature. »
Puis c'est la passion du jazz largement explicitée ainsi que dans un autre domaine le succès du football :
« Ce terrain de football tant décrié diffère-t-il d'un théâtre antique, la foule dans les gradins jouant le choeur, tandis que sur la pelouse se joue la coïncidence-opposition de la liberté et du destin, de l'individu et du groupe, de l'ordre du système et de l'imprévisible, de l'injustice des dieux et de la volonté humaine, autrement dit se déploie l'espace même du mythe, à l'instar des tragédies d'Eschyle ou de Sophocle. »
Michel le Bris fait montre d'un beau style tout au long de ce livre même quand les sujets sont très philosophiques. Amoureux de la mer, comme tous les bretons, il écrit :
« …Et quand les vagues se déchiraient sur les récifs en longues crinières d'écume… » . Et de citer Alain Gerbault, Conrad et Stevenson.
Michel le Bris est très sensible à la poésie, « ce chant profond qui a traversé l'histoire de l'humanité, a créé, porté des civilisations, fait que les hommes, il y a des millénaires dressaient leurs poèmes de pierre, ornaient les grottes de dessins », et lui consacre une grande partie de son livre. Rimbaud, Hugo, Chateaubriand : les plus grands pour lui.
Un chapitre sur l'univers des librairies de Londres à Bruxelles en passant par Morlaix et Paris. Chercher, trouver et acheter le livre tant espéré « pour en humer l'odeur du papier, caresser la reliure, le ranger sur la table à la maison pour en apprécier l'effet, l'ouvrir, le feuilleter…La librairie peut vous révéler l'unique que nul site de l'Internet ne peut offrir : on peut y trouver ce que l'on ne cherchait pas, ce que l'on ignorait, ce que l'on n'imaginait pas, qui vous surprend, vous ouvre de nouvelles pistes. » Pour l'auteur chaque librairie est d'abord une aventure humaine.
Un clin d'oeil à la science fiction avec Asimov, Sturgeon et Van Vogt, ainsi qu'à Borges l'inclassable.
Et puis la grande question, comment ranger une bibliothèque ?
« À mesure que prolifèrent les livres sur les rayonnages jamais assez nombreux, la lutte vaine de l'ordre face au chaos ! »
Et hélas il y eut des époques où l'on brûlait les livres, ce qui fit dire à Heinrich Heine en 1817 :
« Là où l ‘on brûle les livres, là on finit par brûler les hommes. »
L'épisode anecdotique concernant la publication par épisodes des « Mystères de Paris » d'Eugène Sue à partir de 1842 vaut la peine d'être rappelé, car alors la France entière vécut suspendue à son feuilleton quotidien, la mort De Stendhal passant inaperçue. On raconta même que dans les hôpitaux, des malades attendaient la fin du roman pour mourir. Il y eut même des émeutes dans les librairies. Sue ouvrit la voie à Balzac, à Dumas et Victor Hugo.
L'amour de l'écriture peut aussi avoir son revers : songeons à des écrivains comme Salman Rushdie, Kamel Daoud ou encore Boualem Sensal dont la vie quotidienne est en danger en raison de leur amour de la liberté.
« Face à la barbarie qui menace, les écrivains, même s'ils n'en sont pas nécessairement conscients, sont toujours les gardiens du Feu ».(Référence à « La Guerre du Feu »).
Écrire, c'est aussi se risquer à son propre inconnu dit l'auteur :
« Si par avance vous savez ce que vous allez écrire et vous vous y tenez, à quoi bon perdre votre temps ? »
Il faut se laisser porter lorsque l'on écrit, comme le surfeur sur la vague, laisser les mots et les phrases se déployer orchestrés par la magie du rythme qui doit précéder le sens tout en en étant la condition.
L'amour des livres fait dire à l'auteur :
« Parfois il me semble qu'ils me guettent, m'observent, me retiennent prisonnier…J'ai parfois le sentiment qu'ils m'enveloppent avec tendresse, pour toutes les portes qu'ils m'ouvrirent sur le vaste monde et sur moi-même…Voici bien longtemps que je suis un des leurs. Et qu'entre nous s'est tissée une histoire qui pour moi fut belle…Ils sont tous là, près de moi, qui m'attendent. » Magnifique !


Commenter  J’apprécie          60
J'aime lire Michel le Bris car c'est un vrai conteur. Il sait nous embraquer dans son monde avec simplicité, complicité, truculence.
Le livre est foisonnant, bourré de citations diverses.
Le Bris rend un très bel hommage à son instituteur, celui qu'on appelait le maître, rien que son passage mérite de prendre le temps de lire ce livre.
J'ai lu une bonne parte de l'ouvrage dans le train. J'abordais la partie consacrée à la poésie, assis à côté d'un gamin de dix ans, accompagné de sa mère et de son petit frère. Comme je me délectais et riais des propos de l'auteur, j'ai aperçu l'enfant s'étonner de mon enthousiasme. S'en est suivi une conversation avec lui et sa mère, très drôle, très tendre.
Mention également au passage consacré à Marcel Béalu.
Dans la même veine, je recommande "bouquiner" d'Annie François. Un régal partagé avec l'auteur lors de la dernière édition d' "étonnants voyageurs".
Commenter  J’apprécie          54
Je suis admirative de voir comment en 260 pages, Michel le Bris arrive à aborder autant de sujets importants et intéressants. Bien sûr, en premier lieu, son amour des livres, et ce qu'il lui ont apportés. Mais ce n'est pas tout : grâce à ce livre, on découvre sa vie, un plaidoyer et des conseils pour les enseignants...
Mais on parle aussi politique (Communisme), média (création de Libération), musique (jazz), religions, poésie, football...
Un foisonnement!
Commenter  J’apprécie          51




Lecteurs (127) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (5 - essais )

Roland Barthes : "Fragments d'un discours **** "

amoureux
positiviste
philosophique

20 questions
849 lecteurs ont répondu
Thèmes : essai , essai de société , essai philosophique , essai documentCréer un quiz sur ce livre

{* *}