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EAN : 9782211317382
188 pages
L'Ecole des loisirs (05/01/2022)
3.58/5   87 notes
Résumé :
En achetant la plus belle maison du quartier, les Vendôme pensaient avoir fait une bonne affaire et s'étaient réjouis d'y emménager avec leurs trois enfants. Une nuit, le pire est arrivé. Leur fille Lucrèce s'est jetée du toit, sous les yeux de Malo son petit frère. Traumatisé, le garçon a passé deux mois en hôpital psychiatrique. Depuis son retour, Malo a l'impression que la maison lui joue des tours et s'en prend à lui. Ses affaires changent de place, les murs de ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (25) Voir plus Ajouter une critique
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Ouvrage reçu lors d'une dernière opération Masse Critique, je tiens tout d'abord à remercier babelio et L'Ecole des Loisirs pour l'envoi de cet ouvrage. Maison d'édition que je connais plus pour ses albums jeunesse qui sont tout d'un très belle qualité (pour ceux que je connais), je connaissais en revanche beaucoup moins ses ouvrages destinés à un public plus grand, comme c'est le cas ici. Si je vous parle de la maison d'édition et non de l'auteure (que j'ai appris à découvrir et à aimer ici pour son style d'écriture), c'est tout simplement que, dans cet ouvrage, il s'agit d'une maison qui en veut à ses propriétaires et cherche à les tuer. Ah, vous ne me croyez pas ? Normal, eux non plus ...d'ailleurs, ils ne s'en rendent même pas compte...excepté pour l'un d'entre eux, Malo, le plus jeune de la famille.

Après avoir passé deux mois dans une maison de repos (pour ne pas dire asile pour les fous, comme il le dit si bien lui-même) afin de se reposer (pour ne pas dire se remettre d'un trauma dû à une fugue psychotique), le jeune Malo, âgé d'une dizaine d'années (il est en CM2) fait son retour chez lui. Il y retrouve ses parents bien sûr et l'une de ses soeurs aînées, Clélia. Si il a appris une chose par sa grand-mère en rentrant chez lui, c'est qu'il ne doit plus jamais prononcer le nom de Lutèce, la soeur jumelle de Clélia, décédé il y a justement deux mois, le jour où Malo a quitté la maison. Tous ont conclu à un suicide mais Malo, lui, n'y croit pas. Enfin, il ne sait plus très bien, ayant tout oublié jusqu'à cette nuit-là où il a vu sa soeur s'effondrer du toit de la maison pour atterrir dans le jardin mais il sent, peu de temps après, que la maison lui parle et, pas en bien. Serait-il devenu fou car, avouez-le, personne ne le croirait si il en parlait à qui que ce soit, non ? Et pourtant, celle qui va devenir son amie, Alice, dite Al, elle, va le croire. Et si la maison était réellement mal intentionnée ? Mettant sa grande soeur Charlotte dite Chacha dans le coup (cette dernière veut devenir journaliste plus tard), al va prouver à Malo qu'il est loin d'être fou...

Un roman captivant, parfois un peu titré par les cheveux j'avoue (mas juste ce qu'il faut) qui se lit extrêmement bien et extrêmement vite (un peu trop à mon goût, d'où le fait que j'ai fait durer le plaisir un jour de plus) et que je ne peux que vous recommander ! Une écriture fluide et légère avec juste la dose de suspens que j'aime ! A découvrir et à faire découvrir ! Quant à moi, une auteure sur laquelle je vais me pencher un peu plus dorénavant ! Qui sait, peut-être celle-ci me réservera d'autres agréables surprises dans ce genre et je me dis que ce serait un bon investissement pour ma médiathèque, peut-être arriverais-je à accrocher de nouveaux lecteurs (jeunes et moins jeunes), qui sait ?
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Malo est un enfant de dix ans, qui revient de quelques mois passés dans un hôpital psychiatrique. C est sa grand mère
qui est allée le chercher et le ramène chez ses parents et sa soeur.

De retour parmi les siens, on sent une ambiance pesante. En effet, un terrible drame s'est produit et les membres de sa famille en sont sortis apathiques, et plutôt méconnaissables. Malo a du mal avec ces changements, il a l impression que des choses étranges se passent, pire, que la maison lui veut du mal. Les poignées de porte qui restent bloquées, les objets qui changent de place, sa maman qui petit à petit cherche à ne plus le laisser sortir de la grande demeure..

Mu par une impression de sombrer dans la folie, Malo va se confier à Alice, une camarade de classe qui va se référer à sa demi soeur pour essayer de comprendre ce qu il s est passé et sauver Malo.

J ai bien aimé ce livre, mais il faut garder en tête que c est un roman destiné à la jeunesse. Ayant pour habitude de dévorer des Stephen King, je pense être immunisée contre les récits d'angoisse et je n ai pas ressenti grand chose. En revanche, je pense que pour un public plus jeune, cela peut avoir son petit effet. le style est vraiment fluide, il y a beaucoup de dialogues assez réalistes et par conséquent le roman se lit à une vitesse folle.

J ai été déçue parce que je pensais avoir des réponses à mes questions et que j ai le sentiment que l auteure ne savait pas vraiment où elle voulait en venir. Les effets de stress étaient les effets classiques, que l on retrouve dans les films ( bruits bizarres, objets qui bougent, personnages hypnotisés,..) le rôle du nounours ne m a pas convaincue.

Je n ai pas aimé les personnages que j ai trouvés peu attachants, assez creux et sans sympathie pour eux, je ne sais vivre l histoire pleinement. Mais sans doute suis-je trop exigeante ' étant pas une grande adepte des romans destinés à la jeunesse.

En conclusion je le recommande aux adolescents, car pour ce public cible, il pourra avoir son effet.
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Scénariste et autrice, Elvire Murail (aussi connue sous le pseudonyme de Moka dans la littérature jeunesse) revient chez L'École des Loisirs avec un nouveau (court) roman sobrement intitulé Possession.
Avec la sublime couverture signée par Emmanuel Polanco et un pitch aussi intriguant, Possession ne peut qu'aiguiser l'appétit des amateurs de fantastique et d'horreur. Destiné à un public jeunesse/young adult, que vaut ce nouveau roman de Moka ?

Retour à la maison
Possession est un roman qui ne perd pas son temps. Dès les premières pages, le lecteur se retrouve au coeur de l'action.
Malo, un jeune garçon, rentre à sa maison. À l'intérieur, le deuil règne puisque Malo revient d'un séjour de deux mois en hôpital psychiatrique suite à la mort de sa grande soeur, Lutèce. Rapidement, on comprend que quelque chose ne va pas dans la famille Vendôme, et pas seulement du fait du chagrin omniprésent. Quelque chose dans la maison ne tourne pas rond et des pensées sombres s'immiscent dans l'esprit de Malo et des siens.
Moka place très rapidement ses pions, plante le décor avec efficacité puis recentre son action sur quelque chose de très intéressant : la gestion du deuil au sein d'une cellule familiale.
Tandis que la mère sombre dans une obsession maladive pour l'ordre et le ménage, le père se noie dans le travail et la soeur se renferme sur elle-même.
Cette approche vraiment intéressante des choses aurait pu être encore meilleure… mais nous y reviendrons !
Car dans un premier temps, outre la vie à la maison, c'est la rencontre avec les autres à l'école qui va occuper une place centrale dans le récit avec l'arrivée d'Alice qui rêve de devenir médecin un jour et journaliste le lendemain. Un personnage impertinent et attachant avec un gros potentiel qui offre un bon contrepoids à Malo et à sa souffrance à peine voilée.
Seulement voilà, alors que le fantastique se dévoile dans le roman et que les évènements étranges se multiplient, Moka fait un choix catastrophique pour le récit en troquant ses enfants-narrateurs pour des adolescents pesants.

Du Young Adult superficiel
Au lieu de creuser les sentiments de Malo et ce qui l'unit à Alice, Moka introduit deux nouveaux personnages avec Chacha, la soeur d'Alice et élève journaliste, et Gatien, sorte d'historien-amateur à la limite de l'ermite. Inintéressants, les deux personnages vont rapidement nouer une histoire d'amour grotesque et cliché qui arrive comme un cheveu sur la soupe et qui n'a absolument aucune crédibilité. le changement de scope qui passe sur une enquête menée par ces deux personnages fades va anéantir le potentiel entraperçu dans la première partie en ne laissant à Malo qu'une montée en puissance horrifique dans sa maison où la folie va crescendo. Tout ce qui reste pour le lecteur dans la seconde moitié de Possession, c'est la perception stupéfaite d'un Malo qui assiste à l'exacerbation des mécanismes de défense de chacun et l'horreur asphyxiante que cela crée. C'est l'enfermement dans une bulle (la maison) pour nier le réel et le drame.
À côté, l'enquête de Chacha et Gatien se fait en accélérée, avec des facilités assez ridicules et qui finissent par ne donner qu'une moitié de réponse sur les évènements de la maison Vendôme.
Possession avait beaucoup de possibilités et de choses à explorer pour l'exposer aux plus jeunes, mais n'est pas Patrick Ness/Siobhan Dowd qui veut. À l'arrivée, le roman déçoit et semble même bâcler sur sa fin précipitée et abrupte.

Malgré son message sur la difficulté du deuil et l'impact que la mort d'un enfant peut avoir sur une famille, Possession est un roman des plus décevants. Moka abandonne ses thématiques les plus prometteuses et ses personnages les plus attachants en cours de route pour un couplet amour-enquête classique où rien ne vient exploiter les promesses entraperçues dans les premières pages. Dommage.
Lien : https://justaword.fr/possess..
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MOKA (auteure) « Possession » (l'école des loisirs) 2022. 189 Pages. FR…

Si vous avez aimés ma critique de Ewilan, sachez que « Possession » est du même acabit! C'est tellement rare de tomber sur deux chef d'oeuvres à la suite.

On peut voir que Elvire Murail (autre pseudo pour Moka), l'auteure, adopte une allure solennelle et classe sur les photos ; – )… Pas « faussement jeune ». Elle a le mérite que n'ont pas ces vieilles dames continuant à se croire au printemps de leur vie. Cette écrivaine a cumulée de nombreux prix littéraires prestigieux. Et a à son actif des dizaines de romans, en grande majorité pour la jeunesse. Elle est éditée à Paris. le fait que ce ne soit pas une traduction est un plus, en effet, le plus souvent, on perd quelques tournures de phrases essentielles, dans les traductions (indépendamment de la qualité du travail du traducteur/traductrice).

Protagoniste (parce que tout les autres personnages sont bof^__^) : Malo, 10 ans, (l'âge des enfants dans South Park). Est en CM2 , amnésique (fugue psychologique, pour les curieux) suite au traumatisme du « suicide » (C'est ce que nous allons découvrir?) de sa soeur, Lutèce. Après un court séjour en hôpital psychiatrique, il se demande si sa maison ne serait pas hantée…

Sylviane, la mère moyenne, se change en femme douce et patiente… Non sans avoir appréhendée au préalable le retour de son propre fils… Au départ, Malo présente la psychiatrie comme une tare épouvantable, avant de contrebalancer cette affirmation en reprenant un comportement normal, qui est beaucoup plus sain que les évènements qui vont suivre…

À l' »asile », il va surtout beaucoup dormir, se reposer et… prendre des cachets pour l'y aider. Pilules fidèles, qui lui seront très utiles plus tard. J'ai moi-même fréquenté ces milieux comme quasiment un Français sur deux. Mais ce n'est pas un roman sur l'hôpital. Se réfugier à l'HP (psychiatrie) aurait été plus rassurant que ce qui l'attends dans la vraie vie.

Une superbe plume ! Veuillez le souligner ; -)… Si vous avez aimés ma critique de Ewilan, sachez que « Possession » est du même acabit! C'est tellement rare de tomber sur deux chef d'oeuvres à la suite.

La grand-mère, quelle femme ! Elle est venue rendre visite à Malo tout les jours dans son petit calvaire! : – 0… J'ai aussi une grand-mère formidable ! : – )

Ce livre brise complétement les tabous de l'hôpital psy. Notamment celui des enfants. Quoique, après un rapide coup d'oeil sur YouTube, le sujet s'est un peu démocratisé…

« »Mais toi, qu'est-ce que tu en penses?
« Je pense que vous êtes une tordue avec un nom ridicule. »
La psychologue resta bouche bée.
« Vous voulez que je développe ? » proposa Malo.
Mlle Crapatte ne souhaita pas le revoir; »

Page 30… Suspens ! Terrifiant pour un enfant de 10 ans ! ; -) Si j'avais lu ça vingt ans plus tôt, j'aurais eu des insomnies!…

Ça ressemble à Paranormal Activity avec les même « soucis de crédibilité ». Ce film était terrifiant pour moi, même adulte.

Malo essayera de s'enfuir par tout les moyens possibles, paniqué à mort. Prêt à rendre l'âme plutôt qu'à affronter sa peur ; – )… Cette maison donne des frissons, y compris aux adultes et aux prêtres.

Ça devient un huis-clos inquiétant…

Mon dieu mais vérifiez l'historique du lieu que vos achetez, avant !! x) Cela vous évitera bien des déboires.

Avec un clin d'oeil sympa à Shining que je tairais.

Le père se retrouve sans ses chaussures tout en ne s'en rendant pas compte tel Stephan Hawking dans le film américain « le rite »… Ce serait bien aussi de l'adapter au cinéma ; – ) . Moi producteur, j'achète les droits direct!

Le livre est ni trop long ni trop court ! Parfait. Plus long il se perdrait dans les détails le superflu et les péripéties, plus court, il serait clairement une arnaque x)…

Quant à la réponse à la question posée dans le résumé sur la supposée folie de Malo, le problème de la folie et la névrose; c'est comme les théories du complot, tout est une question de points de vues ; – )…

Charlyy Phoenix
Lien : https://charlyyphoenix.wordp..
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J'ai eu la grande chance de remporter cet ouvrage suite à l'opération Masse Critique Jeunesse et Jeune adulte et je tenais à remercier avant tout Babelio et L'École des Loisirs de m'avoir permis de découvrir ce roman et son autrice.

Si il y a une chose à laquelle je ne m'étais pas attendue, c'est que ce roman n'allait tenir que l'espace d'une petite heure entre mes mains avides. C'était la première fois que je lisais Moka et son écriture fluide ainsi que son entrée en matière m'ont tout simplement emportée jusqu'à la fin du récit. Je ne sais pas encore si c'est une bonne ou une mauvaise chose car j'ai à la fois une sensation de trop peu mais j'ai également apprécié la cadence à laquelle les phrases se succèdent. Une chose est certaine, on ne perd pas de temps avec Possession et on entre dans le vif du sujet sans pincettes ni avertissement.

J'ai trouvé intéressant l'angle avec lequel le sujet du deuil est traité, chaque personnage s'échappant à sa propre manière. Mais ce qui a retenu le plus mon attention, c'est la façon dont est traitée la santé mentale et dans ce cas particulier, les troubles et maladies mentales. La psychiatrie, c'est encore très tabou et j'ai beaucoup aimé que Malo (le personnage principal) en parle de manière assez naturelle, dépourvu de toute gêne lorsqu'il fait son retour à l'école. Parce que oui, Malo a été interné en HP suite à la mort de sa soeur aînée, événement mystérieux dont il ne garde presque aucun souvenir. Son diagnostic? La fugue psychologique ou dissociative liée à un traumatisme. Ce qui est intéressant, c'est de voir que les enfants apportent au final très peu d'importance au fait que Malo ait séjourné en hôpital psychiatrique alors qu'un véritable tabou s'opère au sein du cocon familial et auprès des adultes. J'aurais souhaité que cet aspect soit encore plus développé et peut-être voir un dialogue se lancer autour des termes comme folie, asile ou tout simplement fou qui sont stigmatisants mais le roman ne prend pas le temps d'explorer les différents sujets. C'est un peu une occasion manquée, c'est dommage mais pas dramatique.

Ce qui m'a particulièrement marquée, c'est l'ambiance qui émane du récit. Durant ma lecture, j'ai ressenti la peur et l'impuissance de Malo face aux lubies de ses parents, il n'est qu'un enfant de 10 ans et sa marche de manoeuvre s'en trouve extrêmement réduite. Je me suis sentie étouffée, prisonnière et à l'étroit à de nombreuses reprises dans cette maison qui semble retenir ses occupants en otage. le sentiment de claustrophobie augmente au fur et à mesure, si bien que je me suis sentie soulagée en terminant le roman. Les quelques passages avec Alice m'ont d'ailleurs fait un bien fou, m'ont permis de prendre du recul et de me libérer de ce malaise ambiant. Je regrette néanmoins la sursimplification de l'histoire, surtout en ce qui concerne la partie “enquête”, menée par la soeur d'Alice et de son pseudo amoureux historien qui n'apporte au final que des suppositions. L'intention était louable mais j'ai trouvé que cette partie-là était un peu trop tirée par les cheveux. Globalement et malgré mes quelques regrets, j'ai passé un bon moment de lecture et je suis parvenue à ressentir intensément les choses. Finalement, c'était tout ce que je demandais et je ressors tout de même contente de ma lecture.
Lien : https://cassyown.com/2022/06..
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critiques presse (1)
Ricochet
26 juillet 2022
A rebours des modes, Moka offre un bon roman de suspense fantastique aux allures classiques, porté par un jeune héros auquel on s’identifie dès les premières lignes. L’inquiétude monte au fil des pages, et les recherches se poursuivent pas à pas, entre personnes-ressources et déplacements à la bibliothèque.
Lire la critique sur le site : Ricochet
Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
"_Je suppose qu'il y a un lien entre la roue à brandons, remarqua Chacha.
_Bien sût ! Henri avait des plaisirs simples : il se réjouissait de voir des enfants brûlés vifs devant ses fenêtres. C'est là que l'histoire, si elle est vraie, prend un tour encore plus sinistre. Il n'y avait pas que des enfants accusés de sorcellerie qui passaient de vie à trépas. Il y en avait aussi qui disparaissaient mystérieusement. Leurs corps calcinés réapparaissaient parfois flottant dans la rivière. On a soupçonné Henri, mais ça s'est arrêté là. Il n'y eut jamais d'enquête. L'argent achète les consciences..."
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"Mais toi, qu'est-ce que tu en penses?
"Je pense que vous êtes une tordue avec un nom ridicule."
La psychologue resta bouche bée.
"Vous voulez que je développe ?" proposa Malo.
Mlle Crapatte ne souhaita pas le revoir;"
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Elle commença à s’éloigner, s’arrêta et se retourna. Elle s’était rendu compte avec un temps de retard qu’elle avait aperçu quelque chose au premier étage. Elle sourit.
Derrière une des fenêtres, il y avait un ours en peluche. Le sourire de Chacha s’effaça peu à peu. Les yeux de verre la fixaient, brillant d’un éclat vif. Il n’y avait pas de soleil.
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"_Ce n'est pas parce qu'on a dix ans qu'on n'a pas de problèmes."
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Une, deux, trois. Le dinosaure avait toujours été sur la quatrième étagère qu’il occupait en entier. Eberlué, Malo recompta les étagères. Une, deux, trois.
L’ampoule du plafonnier s’affaiblit et s’éteignit.
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