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Que ce soit, à bicyclette dans la filmographie de Philippe le Guay ou réfléchi dans le miroir d'Éric-Emmanuel Shmitt, Alex, « Un homme trop facile » scande toujours et sans faillir l'amour et proclame qu'à rechercher la perfection, on s'isole. En bon vivant, il se lie, d'une tirade mensongère à Léda, sa belle qui dit vrai dans l'instant et faute celui d'après. Mais tout à la rêverie d'une étreinte amoureuse et plutôt qu'abstinent et solitaire, Alex lui consent le partage et la perd. Tandis que l'homme aux rubans verts s'agite et s'ulcère devant la déraison des hommes... le Misanthrope ne vieillit pas et Molière s'accommode, entre les mains des auteurs qui varient nos plaisirs. L'amour, l'amour toujours et si parfois critiques nous servent un peu d'érotisme... Palsambleu ! Faisons-lui bon accueil : Babélio, Babéliote. Inculte rend la censure. Dans cette tirade Point de vomissure Ne mettons Babel en rade Pour cause d'yeux pudibonds. À guerriers et bataillons... Sonnons ! L'Éros des Dieux Avant que l'arbre noueux Hissons-nous, litote. + Lire la suite |