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Fritz Haber tome 1 sur 4
EAN : 9782847894417
155 pages
Delcourt (05/10/2005)
3.67/5   44 notes
Résumé :
Fritz Haber, juif allemand né en 1868 et mort en 1934, est un personnage de l'histoire contemporaine.
Homme d'ambition avant tout, ce grand scientifique fut tour à tour le bienfaiteur de l'Humanité couronné par un prix Nobel de chimie, et l'un des pires représentants de la science en tant que père de la guerre chimique moderne. Nationaliste et patriote convaincu, sa judaïté restera pour lui une question existentielle profonde et le germe de sa destinée tragiq... >Voir plus
Que lire après Fritz Haber, Tome 1 : L'esprit du tempsVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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L'histoire de Fritz Haber c'est avant tout celle d'un homme voulant être accepté et reconnu par ses pairs et par sa nation. Né dans un royaume de Prusse qui s'unifiera pour devenir la république allemande, Fritz Jacob Haber verra sa jeunesse et les débuts de sa carrière scientifique pourtant prometteuse minées par le poids d'un antisémitisme « dans l'air du temps ».
Frustré et courroucé par ce qu'il considère comme une grande injustice, Haber aurait fait la promesse de devenir le plus grand chimiste d'Allemagne (voire du globe) afin de montrer à tous son attachement à sa patrie. Il va révolutionner l'agriculture et pour ainsi dire sauver l'humanité de la famine en mettant un point des engrais azotés synthétiques. Mais, dans le même temps, suivant son ambition sans limites, il va se mêler d'apporter ses savoirs à la branche militaire…
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Grâce à des graphismes très particuliers tout en lavis sépia (que l'on me corrige si je me trompe) et à un agencement particulier des cases et des dialogues, David Vandermeulen parvient à faire prendre à son oeuvre des airs de septième art muet ou de version originale sous-titrée.
Dans ce premier tome d'une trilogie reprenant la vie de ce scientifique au parcours hors du commun ayant laissé à la postérité autant de bien que de méfaits (ammoniac de synthèse et … Zyklon-B), on rencontre avant tout un antisémitisme ordinaire qui, à tous les étages de la société, toucherait même le plus patriote des patriotes. L'inclusion de citations littéraires, poétiques ou politiques apporte à l'ambiance de ce tome intitulé « L'air du temps » une ambiance pesante de contexte nauséabond. Fritz (Jacob) Haber en fera les frais et sa conversion au christianisme n'y changera rien, ses origines ne seront jamais oubliées.
Mais le talent et la pugnacité auront raison des réticences de ceux qui, plus encore que de collaborer avec un juif, redoutent de voir ses compétences filer aux mains d'autres nations. Ce tome est donc également l'occasion de voir l'histoire du côté des industriels qui tiennent la barre, se méfient des communistes et tentent de rallier les meilleurs scientifiques afin d'augmenter leur profit. Qu'il s'agisse de doter les ménages de nouveaux médicaments ou de produire un « stimulant » nommé héroïne et d'en inonder les pharmacies et, pourquoi pas, les armées…
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Après m'être attaquée à la série Fritz Haber en toute logique, en commençant par le troisième volume, j'ai jugé utile de revenir sur la première parution de la série afin de vérifier que le très talentueux David Vandermeulen avait déjà inauguré son projet sur des bases solidement amarrées. Je confirme, il est utile et agréable de commencer la lecture de Fritz Haber par le premier volume…


Ces 150 premières pages nous permettent de découvrir l'enfance du personnage, jalonnée des difficultés que peut rencontrer n'importe quel « estampillé juif » au cours de ses études. Malgré son talent pour les matières scientifiques, son origine l'empêche d'être reconnu à sa juste valeur et d'accéder aux mérites que son intelligence justifie. de là s'amplifiera son ambition et son envie de réussir au-delà des limites qu'on lui impose. On comprend également quels motifs sont à l'origine des trahisons qu'il commettra dans le futur à l'égard de son peuple et de ses origines. En effet, Fritz Haber est un homme tiraillé de toutes parts entre son histoire individuelle, entre l'Histoire et entre ses ambitions. Dans ce cas, il lui est très souvent difficile de faire la part des choses et ses actes, qui nous semblent d'abord contradictoires, deviennent clairement compréhensibles lorsqu'on connaît les motivations qui en sont à l'origine. L'évolution de Fritz Haber, telle qu'elle nous sera présentée dans les volumes suivants, devient plus limpide.


La cohérence s'inscrit également au niveau graphique puisque l'on retrouve les couleurs façon papier-vieilli et la typographie issue de la tradition du cinéma muet. de même, l'intérêt documentaire reste indéniable et nous permet, en toute connaissance de cause, de repérer les signes annonciateurs de la montée du nazisme. On en apprendra également beaucoup sur le sionisme et l'état du progrès scientifique au début du 20e siècle.


En exergue, on retrouve également des extraits éloquents : il s'agit souvent de textes importants, signés par de personnages qui ont eu une influence extrême au coeur du contexte politique et intellectuel du début du 20e siècle en Allemagne (Gobineau, Henrich Heine, Thomas Carlyle…).


« Cet aveu que l'avenir appartient aux communistes, je le fais d'un ton d'appréhension et d'angoisse extrêmes. Ce n'est qu'avec horreur et effroi que je pense à l'époque où ces sombres iconoclastes parviendront à la domination ; de leurs mains calleuses, ils briseront sans merci toutes les statues de marbre de la beauté, si chères à mon coeur ; il fracasseront toutes ces babioles et fanfreluches fantastiques de l'art qu'aimait tant le poète ; ils détruiront mes bois de lauriers et y planteront des pommes de terre ; les lis, qui ne filaient ni ne travaillaient et qui pourtant étaient vêtus aussi magnifiquement que le roi Salomon dans toute sa splendeur, ils seront arrachés alors du sol de la société, à moins qu'ils ne veuillent prendre en main le fuseau ; les roses, ces oisives fiancées des rossignols, auront le même sort ; les rossignols, ces chanteurs inutiles, seront chassés ; et, hélas, mon Livre des Chants servira à l'épicier pour en faire des cornets où il versera du café ou du tabac à priser pour les vieilles femmes de l'avenir. Hélas, je prévois tout cela, et je suis saisi d'une indicible tristesse en pensant à la ruine dont le prolétariat vainqueur menace mes vers, qui périront avec tout l'ancien monde romantique. »
Henrich Heine


Lorsque l'enrichissement et le plaisir se retrouvent pour nous instruire sans en avoir l'air, ne reste plus qu'à découvrir la série dans l'intégralité de ses volumes…
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Vue dans un documentaire sur les bandes dessinées traitant de la guerre, j'étais curieuse de découvrir ce dyptique sur la vie de Fritz Haber, chimiste allemand qui mourut en 1934.
Ce premier tome consiste principalement à présenter le personnage et son environnement familial, professionnel et socio-culturel. On voit donc que ses origines juives, en cette fin de XIX ème siècle, bien que converti et ayant changé son prénom de naissance (Jacob) pour Fritz lui porte un grand préjudice et le condamne à voir promu des gens moins doué que lui.

La présentation en elle-même n'a pas grand chose de palpitant, bien qu'on sent déjà les tensions qui atteindront leur paroxysme dans le tome suivant. Toutefois, les techniques utilisées pour la réalisation des planches qui donnent un aspect vaporeux entre peintures romantiques allemandes et effluves de souffre sont aussi inquiétantes que remarquables.
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Une bande dessinée pour une fois ! Trois plutôt… La série Fritz Haber de David Vandermeulen est composée pour l'instant de trois volumes qui devraient être rejoint dans les années à venir par deux ou trois autres épisodes qui formeront à eux tous une biographie du chimiste allemand Fritz Haber. Les volumes déjà parus s'intitulent :
1. L'esprit du temps (2005)
2. Les Héros (2007)
3. Un vautour, c'est déjà presque un aigle… (2010)

Un peu d'histoire…
Qui est Fritz Haber ?
Né en 1868, ce chimiste allemand était un homme plein d'ambition et il fut l'un des premiers à réfléchir sur le développement de l'industrie chimique et l'utilité de cette science pour la guerre : on l'appellera le « père de l'arme chimique », celui qui travailla sur les gaz toxiques (le chlore notamment) utilisés durant la Première Guerre Mondiale. Nationaliste, fier de sa nationalité, il rejeta sa judaïté qui le tourmenta longtemps pour se convertir au protestantisme. Il sut toutefois se lier d'amitié avec les figures juives, Albert Einstein (pourtant pacifiste) et Haïm Weizmann (qui deviendra président de l'État d'Israël). L'année 1915 eut pour lui un goût doux amer : d'un côté, le suicide de son épouse – chimiste également, écoeurée par ce qu'elle considérait comme une perversion de la chimie, elle désapprouvait son utilisation comme arme –, de l'autre, des victoires militaires grâce au gaz moutarde notamment. Toujours en s'interrogeant sur l'identité juive allemande. Voilà ce que racontent les trois premiers volumes.
Et après ?
En 1918, il reçoit le prix Nobel de chimie pour ses travaux sur la synthèse de l'ammoniac (le procédé Haber), utilisé pour les engrais et les explosifs. Continuant ses travaux sur les gaz, il mit au point le Zyklon B qui sera utilisé des années plus tard dans les chambres à gaz des camps d'extermination. Mais quand Hitler arrive au pouvoir, il écarte les juifs de la fonction publique (fonction publique à laquelle appartenaient scientifiques et universitaires) et Fritz Haber est condamné à l'exil en 1933 pour mourir un an plus tard.

Maintenant que nous sommes tous des experts en Fritz Haber, qu'en est-il de la bande dessinée ?
C'est une bande dessinée riche à tous points de vue. Graphique, c'est un véritable régal pour les yeux (j'ai d'ailleurs eu l'occasion de voir une cinquantaine de superbes originaux en lavis javel et encre sépia ainsi que des agrandissements qui avaient déjà été exposés à Angoulême, à Lausanne ou encore à Aix-en-Provence. Magnifique). Historique, l'érudition et la réflexion sont exceptionnelles ; les dialogues sont fidèles aux écrits des grands personnages.
Mais ce n'est pas une oeuvre qui se laisse aborder facilement ; ce n'est pas une BD que l'on peut lire en deux minutes. le dessin, blanc et sépia, est réaliste, mais parfois flou, ce qui offre des contrastes surprenants. Contrastes engendrés également par les tâches lumineuses créées par la javel sur les aquarelles sépia. David Vandermeulen ne place pas ses dialogues dans des bulles, mais dans des cases totalement rédigées ou bien sous forme de sous-titres. Ensuite, chaque début de chapitre possède sa citation (littéraire, philosophique, historique…) et pour étudier à fond la bande dessinée, il faudrait se pencher sur chaque citation et la mettre en relation avec ce qui suit. Un autre point un peu ardu de la bande dessinée est le parallèle fait entre la vie de Fritz Haber et celle de Siegfried, le héros des Nibelungen : j'ai été très surprise quand, sans un mot, je me suis retrouvée face à des planches mettant en scène un homme à cheval ! Mais cette comparaison ne fait qu'augmenter la qualité de la bande dessinée. David Vandermeulen a décidément placé la barre très très haut…

Un chef d'oeuvre graphique et historique qui éclaire un personnage clé mais trop ignoré et trop méconnu.

Le site dédié à Fritz Haber créé par David Vandermeulen : editions-delcourt.fr/fritzhaber
Le blog de l'auteur sur Fritz Haber : fritz-haber.over-blog.com
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C'est une série que j'aurais voulu apprécier mais cela ne l'a pas fait. le graphisme est plutôt flou et se sert d'une bichromie assez pauvre avec des couleurs tristes et monotones. Cela donne un caractère film de cinéma muet qui est certainement voulu par l'auteur comme pour une mise en scène.

On raconte en l'occurence l'histoire d'un chimiste, prix nobel en 1918 qui fut l'un des pères des armes les plus atroces qui ont existé sur notre planète. Il était d'origine juive et voulait être allemand avant tout et surtout prouver qu'il pouvait en être fier. Tragique destinée puisqu'il fut contraint à l'exil en 1933 lorsqu'Hitler s'empara du pouvoir. Il mourrut un an plus tard à Bâle en Suisse.

Je ne suis pas parvenu en entrer dans cette histoire car tout est froid à commencer par Fritz Haber lui-même. le fait qu'il soit parvenu à la synthèse de l'ammoniac me fait ni chaud, ni froid.

La biographie est certainement brillante et use de procédés originaux. Cependant, cette magie ne m'a pas atteint faute de n'avoir pas apprécier l'ambitieux scientifique à l'origine des gazs mortelles ayant fait de nombreux ravages dans les tranchées durant la Première Guerre Mondiale. Et puis, c'est trop mélancolique et franchement un peu ennuyeux.
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Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
pp. 107-109
Une conversation entre Walter Rathenau et Fritz Haber;

Rathenau: Oui, c'est vrai, l'ampoule est l'une des fiertés de mon père. Qui aujourd'hui dans nos grandes villes n'en a pas une chez soi? Mais ce qui, à mon sens, est plus digne de respect encore chez Père, ce n'est pas la façon dont il a réussi à transformer les conditions de la vie moderne allemande, mais bien le génie avec lequel il a su imposer semblable projet! Car rien, nul facteur économique ou géographique, ne désignait l'Allemagne comme berceau de l'électricité centralisée!
Cette initiative ne fut jamais du ressort du consommateur, elle est apparue par la seule volonté de Père! J'y vois là une grande leçon pour notre époque. Imaginer des besoins pour ensuite les créer, voilà le secret de tout commerce!
Haber: Ah! Vous semblez retourner les thèses de Karl Marx comme de la vulgaire crêpe!
Rathenau: Ah! Oui! Vous êtes drôle! Mais j'ai lu beaucoup Marx, vous savez. Même si mes opinions coïncident mieux avec celles avancées par Kropotkine et ce que d'aucuns nomment le communisme anarchiste.
Haber: Kropotkine! Mais vous propagez des idées plus socialistes que celles des agitateurs d'usines§
Rathenau: J'en suis conscient, oui. Il y a certainement une part d'invraisemblance dans le rôle dangereux qui m'occupe. Ma personne peut ainsi paraître impliquée tout entière dans l'Industrie, mais pensez bien, mon cher Fritz, que si je n'étais pas moi-même prisonnier du machinisme, je n'aspirerais à rien d'autre que de penser la libération des âmes! Mais le machinisme est devenu tristement nécessaire? Il s'est imposé comme l'unique moyen effectif d'assurer la subsistance d'une population en augmentation.
Haber: En somme, vous aspirez à la philosophie mais tout vous voue à l'Economie.
Rathenau: Ma vie intérieure demeure constamment conduite par ce paradoxe, oui. Mais cette originalité m'est propre et je souhaite qu'elle me reste. C'est là mon pari, certes il est risqué. Peut-être ma liberté intérieure s'avérera incompatible avec un univers machinisé. Mais sachez bien, Fritz, que je lutte chaque jour pour arracher cette liberté intérieure à la contrainte des affaires. Prenons-nous une autre bouteille?
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« Cet aveu que l'avenir appartient aux communistes, je le fais d'un ton d'appréhension et d'angoisse extrêmes. Ce n'est qu'avec horreur et effroi que je pense à l'époque où ces sombres iconoclastes parviendront à la domination ; de leurs mains calleuses, ils briseront sans merci toutes les statues de marbre de la beauté, si chères à mon cœur ; il fracasseront toutes ces babioles et fanfreluches fantastiques de l'art qu'aimait tant le poète ; ils détruiront mes bois de lauriers et y planteront des pommes de terre ; les lis, qui ne filaient ni ne travaillaient et qui pourtant étaient vêtus aussi magnifiquement que le roi Salomon dans toute sa splendeur, ils seront arrachés alors du sol de la société, à moins qu'ils ne veuillent prendre en main le fuseau ; les roses, ces oisives fiancées des rossignols, auront le même sort ; les rossignols, ces chanteurs inutiles, seront chassés ; et, hélas, mon Livre des Chants servira à l'épicier pour en faire des cornets où il versera du café ou du tabac à priser pour les vieilles femmes de l'avenir. Hélas, je prévois tout cela, et je suis saisi d'une indicible tristesse en pensant à la ruine dont le prolétariat vainqueur menace mes vers, qui périront avec tout l'ancien monde romantique. »

Henrich Heine
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"On peut, aussi, comparer la vie à une étoffe brodée dont chacun ne verrait, dans la première moitié de son existence, que l'endroit, et, dans la seconde, que l'envers : ce dernier côté est moins beau, mais plus instructif, car il permet de reconnaître l'enchaînement des fils."
Arthur Schopenhauer
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Vous verrez, la suite inévitable de ce sacré machinisme sera un irrévocable affaiblissement de l'idée d'Etat et sa subordination à toutes les considérations économiques.
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Notre peuple, ce sont les allemands, Fritz ! Ce qui décide de l’appartenance à un peuple, c’est uniquement le cœur, l’esprit, le caractère et l’âme ! Nous sommes de race juive mais notre peuple est le peuple allemand ; notre patrie : le pays allemand ; notre foi, la foi allemande, et la foi en l’Allemagne est au-dessus des religions !
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