" Il n'y a, pour moi, aucune joie au monde, même écrire, qui vaille le voyage et les autres joies de plein air.
" C'est avec ce bel enthousiasme que t'Serstevens commence son éloge du voyage, qui se révèle aussi une apologie un peu narquoise du sport en général. Avec son allant et son humour délicat, l'auteur passe en revue l'art de rouler à bicyclette, l'apprentissage de la natation, de la pagaie, de la voile, des sports d'hiver ou de la conduite automobile,...
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