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EAN : 9782246777113
432 pages
Grasset (06/04/2011)
3.48/5   197 notes
Résumé :
L'apocalypse , serait-ce donc l'édition numérique, ou comme dans "Fahrenheit 451" de Ray Bradbury, la température à laquelle le papier se consume ?
Frédéric Beigbeder sauve ici du brasier tous les livres, pour être précis 100 œuvres qu'il souhaite conserver au XXIème siècle, sous la forme d'un hit-parade intime, de 100 à 1. C'est donc un classement totalement personnel, égotiste, joyeux, inattendu, parfois classique (André Gide, Fitzgerald, Paul-Jean Toulet, ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (20) Voir plus Ajouter une critique
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Après avoir recensé dans « Dernier inventaire avant liquidation », les 50 livres qui arrivaient en tête dans le coeur des lecteurs français, Frédéric Beigbeder a décidé d'établir son propre classement et de nous parler, avec « Premier bilan après l'apocalypse », des 100 livres du 20e siècle que lui-même a préférés. Livres qui l'ont bouleversé, secoué ou ébranlé ; qui l'ont laissé pantois, admiratif ou interloqué ; qui ont modifié sa relation à la littérature, qui l'ont transformé, fait évoluer ou mûrir et même, pour certains, qui lui ont donné le goût des mots et de l'écriture.
Arpentons donc les rayonnages d'une bibliothèque sacrément bien garnie et écoutons l'homme, l'écrivain, nous commenter ses choix avec délectation et une immense soif de partage et d'échange, nous offrant par-là même le désir de faire encore grimper notre PAL d'une quantité non négligeable de livres supplémentaires !
Beigbeder aime la littérature ; il vénère les livres et il a l'art et la manière de nous transmettre, avec une joie et une chaleur proprement communicatives, son engouement, sa fougue et son exaltation.

« Premier bilan après l'apocalypse » n'est pas un livre, c'est un garde-manger, dont les denrées, nullement périssables, donnent l'eau à la bouche tellement est démonstrative l'ardeur de l'auteur à partager sa passion.
C'est un livre-paquet de bonbons ; la main dans le paquet, on pite, on pioche, on se régale, on s'en pourlèche les babines car les chroniques de l'auteur sont aussi savoureuses que de petites friandises. Douces et sucrées, acidulées et piquantes, à grignoter et déguster peu à peu ou bien à dévorer comme un affamé, mais à consommer sans aucune modération !
Des bonbons avec des goûts et des emballages très différents mais tous aussi alléchants ! Peu de classiques pourtant dans le classement de l'auteur, recensés abondamment dans le précédent ouvrage, mais une liste volontairement hétéroclite se déroulant sur tout le 20è siècle.

Un catalogue foisonnant qui va de Paul-Jean Toulet avec ses « Contrerimes » (1921), du « Journal » de Valéry Larbaud (1901-1935) ou de « Paludes » d'André Gide (1895), à des auteurs déjantés comme Régis Jauffret et son « Clémence Picot » (1999), Hunter S. Thompson et « Las Vegas Parano » (1971) et même, en tête de liste, Bret Easton Ellis et son « Américan Psycho » (1991).
Un choix éclectique, bigarré et anticonformiste : Houellebecq y côtoie Cocteau, Fitzgerald y rencontre Bukowski, Modiano fraye avec Kerouac…On y trouve même le « Journal » de Kurt Cobain ou les paroles du groupe Téléphone !
On notera toutefois une inclination pour les auteurs un peu fêlés, à la vie plus ou moins dissolue. Beigbeder adore les dandys arrogants, les loosers magnifiques, les oiseaux de nuit, les mordus de sexe, les paumés mondains et les alcooliques, les égarés qui portent des lunettes noires pour masquer leurs nuits blanches.
Montherlant, Malaparte, Nabe, Pérec, Primo Levi, Philip Roth, Virgine Despentes, Salinger, Harrison…une énumération d'auteurs renommés des plus enthousiasmante mais aussi des écrivains moins connus ou malheureusement oubliés : Christian Kracht, Alain Pacadis, Viktor Pelevine….

Beigbeder possède un talent de chroniqueur incomparable, il a ça dans le sang et cet ouvrage le démontre amplement. Ses chroniques sont enjouées, vivantes, pertinentes, prenantes, équilibrées, pleines d'énergie…chacune d'elle est bourrée d'humour mais chaque livre est pourtant rigoureusement analysé par rapport à l'impact qu'il a causé sur l'auteur – le côté subjectif - et par l'intérêt qu'il peut susciter chez le lecteur - sa part d'objectivité -.
Tout cela généré avec un art de la formule juste, précise, magnifique et un style, un ton, pleins de sel et d'à-propos :
Sur Raymond Radiguet : « Radiguet est une étoile filante : par conséquent quand on le lit il faut faire un voeu » ; sur Kurt Cobain, « Eraillé de l'intérieur, il chantait avec son âme enrouée » ; sur Modiano, « c'est du Proust laconique », sur Proust, « Proust extériorisait sa peine, en la ressassant interminablement et la décortiquant comme une écrevisse ébouillantée»…

Il ressort de tous ces billets un immense respect pour les écrivains et une considération sans borne pour la littérature. « Que cherchons-nous d'autre dans les romans que ces instants d'épiphanie ? »
On n'oubliera pas non plus la superbe préface concernant la menace de « Monsieur le bourreau numérique » que l'auteur voit peser sur les «tigres de papier». L'ouvrage n'est d'ailleurs disponible qu'en version papier et l'auteur nous exhorte à ne pas rester indifférents devant le risque d'extinction qu'encourt l'objet livre. le titre de son écrit prend ainsi toute sa signification.
Espérons cependant, qu'après l'apocalypse, Beigbeder nous propose un second bilan où cette fois ne resteraient…que des femmes…bien peu citées dans la présente liste.
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Frédéric Beigbeder chroniqueur,écrivain,éditeur est également costumier sur la scène littéraire du XX° siècle.
Le saviez vous?
Il taille du sur mesure aux livres cultes de ses auteurs phares(à surtout ne pas jeter aux oubliettes!) dans Premier bilan après l'apocalypse.
Défilé de mode indémodable très éclectique ce qui dynamise l'appel de chacun sur le podium des mots.
"Paludes est-un miracle!", il a "détruit la lecture innocente,paresseuse et naïve" .Anticonformiste André Gide le subversif?
"Comment écrit-on un chef d'oeuvre?"
Les errances dans L'accroche coeur de Salinger à travers lesquelles son anti-héros Holden Caulfield s'approprie "le monde,l'existence,l'espace,le temps" en sont un bon exemple.
Son "style respire la langueur de l'été,la fraicheur du vent breton,le pouvoir des fleurs et la fragilité des amours balnéaires". Ah les "aquarelles des émois" de Colette!
"Son secret se nomme sobriété", il suffit de pénétrer dans La chambre bleue de Simenon pour s'en convaincre.
La vie change après avoir ouvert Maudit manège de Philippe Djian, à la réputation sulfureuse,"parrain de sa génération" "au rôle crucial dans la transmission au dessus de l'Atlantique".
"Ensorcelant de bout en bout", voici l'étiquette du roman "déchirant" mi fiction-mi autobiographique,Les bleus à l'âme de l'inventive Françoise Sagan.
"Vian est un romancier réaliste,bien qu'irréel et un poète engagé politiquement parce que détaché humoristiquement", L'écume des jours vaut le détour.Qu'on se le dise!
Et ainsi de suite,entre petits coups de griffes encenseurs: Cobain aux cordes vocales d'une beauté rare est éraillé de l'intérieur,humour: "Tomber amoureux d'une morte c'est se prendre un rateau éternel", évidences:"Pour être réussi un roman nécessite une parfaite adéquation entre un auteur et son sujet", règlements de dettes publics:"Je le détestais avant de le lire".. mais, enseignement: "Tous les grands romans racontent la même histoire:celle d'un paumé qui traine ses guêtres n'importe où",admiration inconditionnelle:"Philippe Djian est l'importateur du réalisme quotidien de la liberté", Frédéric Beigbeder cisèle ses bons mots de main de maître.
C'est pas lui,au fait,le Renaudot 2009 et l'Interallié 2003?
Un auteur encore jamais lu, dont j'aime le style, je vais donc m'efforcer de combler cette lacune au plus vite!
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Critique publiée sur Senscritique (2011)

Je ne suis pas franchement fan de Beigbeder, qui m'apparaît d'allure plutôt antipathique, nageant à peine dans le personnage dont il s'est nimbé, mais je dois lui accorder la qualité d'amoureux de la littérature. Premier bilan après l'apocalypse n'est pas une fiction. Ce n'est pas non plus un roman. C'est, en réalité, cent romans, à quelques détails près.

C'est avant tout un cri d'amour comme jamais je n'en ai lu, une douleur aiguë, une angoisse vive : celle d'un amoureux du papier qui voit le rouleau compresseur du livre électronique arriver, avec ses promesses de dématérialisation complète de la filière de l'édition. Je ne suis pas aussi inquiet et pessimiste que ceux qui vivent du livre peuvent l'être, mais je partage cette magnifique déclaration d'amour que Beigbeder fait au livre dans le 'making-of' de ce premier bilan après l'apocalypse.

Du classement des livres fait par l'auteur je n'ai pas grand chose à dire. Je n'en ai lu que très peu (deux, trois ?), ce qui le rend pourtant particulièrement intéressant puisqu'il me permet de rajouter quelques titres à mes futurs achats. D'autres doivent, j'imagine, jubiler de partager le bon goût littéraire de l'auteur.

Je ne sais à vrai dire pas vraiment si tous les livres cités se ressemblent ou si les résumés/critiques qu'en a fait Beigbeder altèrent le message de fond avec une forme toujours un peu identique. En tout état de cause, je retiens de ces romans parus dans les cent dernières années que pour être un bon auteur, mieux vaut être homosexuel (ou pédophile), fou (voire complètement frappé), menant une vie de débauche mondaine, alcoolique, drogué, réussissant un suicide spectaculaire malgré la réussite littéraire.

Autant dire que, dans un bouquin de Beigbeder, c'est un peu la seule non surprise.
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L'auteur nous donne son classement des 100 livres qu'il aimerait conserver au XXIe siècle. Je ne sais pas si ce classement sera celui que j'aurais choisi. Mais je le remercie d'avoir fait ce travail, je le remercie de son hommage au livre papier pour que aucun « Farenheit 451 » ne se renouvelle sous une forme ou une autre. Je crois sincèrement qu'il y aura toujours des lecteurs pour lire et humer les futurs livres ces compagnons de toujours.
Je n'ai pas encore lu de livre de l'auteur autre que celui-ci. Je vais m'empresser d'y remédier mais c'est en contradiction avec l'impression que le « chroniqueur zélé mais aussi fort agaçant » qu'il a été à mes yeux. Mais comme il le dit si bien, on n'est pas obligé de vouloir connaître l'artisan, pourvu que l'on ait l'ivresse de le lire….
Que dire d'autre que ses points de vue sur l'un ou l'autre des livres présentés est parfois intéressante, parfois son style et sa façon de s'adresser à ses lecteurs trop familière et un peu trop « prétentieuse », mais …. Noblesse oblige, alors je m'incline, un tout petit peu.
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"Premier bilan après l'apocalypse" recense les 100 ouvrages préférés de F. Beigbeder. Dès qu'il s'agit du présentateur du Cercle, je perds toute objectivité et multiplie les superlatifs. Je le trouve intelligent, spirituel, décapant, égocentrique mais suffisamment lucide pour en être excusé.
Ceci dit, l'exercice - auquel Beigbeder s'était déjà livré en 2001 avec "Dernier inventaire avant liquidation" - devient vite répétitif. Sous 100 couvertures, c'est toujours le même livre que FB raconte. Sex, drugs and rock'n roll : la littérature ne vaut pour notre génial présentateur que si elle raconte les déboires du mâle blanc, alcoolique et infidèle.
Houellebecq, Mc Inerney et Ellis, c'est bien. Très bien même. Mais il n'y a pas que ça dans la vie !
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critiques presse (6)
LeSoir
10 octobre 2011
« Premier bilan après l'apocalypse » est un essai passionnant qui célèbre la lecture déclinée en cent titres. Avec un enthousiasme et un sens de la formule tels qu'on se précipite en librairie ou en bibliothèque.
Lire la critique sur le site : LeSoir
Lexpress
04 octobre 2011
L'auteur d'Un roman français livre un top 100 de la littérature mondiale à son image : brillant et agaçant, enthousiaste et de parti pris.
Lire la critique sur le site : Lexpress
NonFiction
16 septembre 2011
Le problème fondamental de son livre, c’est l’écart qu’on mesure entre l’intention chevaleresque et le résultat effectif. Si nous sommes en guerre, alors il lui arrive de servir, par endroits, l’ennemi.
Lire la critique sur le site : NonFiction
Bibliobs
16 septembre 2011
Bien sûr, c'est amusant et agaçant. […] c'est tantôt brillant et tantôt bâclé, dans un cocktail de lyrisme hyperbolique, de paradoxes réversibles, de blagues potaches et de belles citations.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
Telerama
14 septembre 2011
Décomplexés, parfois légers ou frôlant la mauvaise foi, jamais poseurs, ces cent exercices critiques révèlent peut-être un lecteur « autodidacte et dispersé », tel qu'il s'autodéfinit.
Lire la critique sur le site : Telerama
Lexpress
14 septembre 2011
Dans ce top 100 de ses oeuvres littéraires favorites, notre chroniqueur de "mauvaise foi" nous propose une centaine de critiques aussi malicieuses qu'efficaces.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Citations et extraits (70) Voir plus Ajouter une citation
O lecteur vintage, ô bouquiniste de papier, ô survivant des greniers perdus, ô courageux toxicomane accro à la drogue la plus menacée du monde, ô valeureux protecteur de grimoires humides, ô merveilleux autiste littéraire, ô toi, toi qui sauves l’intelligence de l’oubli, ne guéris jamais, et continue de chérir ces tigres de papier friables pendant qu’il en est encore temps.
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En conclusion, "Sur la route" tient la route. Ca reste le seul roman qu'on referme avec l'envie de tout envoyer promener. Je crois que je vais m'acheter un combi Volkswagen et me casser à San Sébastian sans réfléchir, en chantant Canned Heat : "I'm on the road again". Kerouac est le pourfendeur de l'immobilité. C'est aussi un peintre de l'Amérique.
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Autre exemple ( complètement au hasard, le journal de Larbaud est un gisement inépuisable ) : " La vulgarité, la grossièreté , l'allure stéréotypée des hommes aisés de classe moyenne m'a dégouté ce matin sur le bateau. La seule personne correcte était un ouvrier en vêtements sales. Vu de belles choses dans le lac ( Larbaud écrit ceci à Côme en 1912) : une rose mi épanouie et une poignée dorée de feuilles mortes ( des feuilles d'olivier) faisant une rapide apparition dans une vague ." La prochaine fois qu'un jeune couillon me demandera pourquoi je lis des livres, il faudra que je songe à lui répondre ceci : c'est pour qu'en 2011 je puisse apercevoir une poignée dorée de feuilles mortes dans une vaguelette créée par le sillage d'un bateau sur le lac de Côme, le 13 juillet 1912.
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Dandy monastique, voluptueux ascétique, libertin orthodoxe… Toute sa vie, le principal talent de Matzneff ne fut pas de survivre à ses contradicteurs mais à ses contradictions internes. Attirons-nous d’entrée l’opprobre général en abordant de front ce que la morale (et son corollaire la police) lui reproche : une œuvre supposément autobiographique qui fait l’éloge des jeunes filles de « moins de seize ans ». Selon moi, les choses sont très simples : il faut séparer l’art de la loi. Tant qu’on ne me prouvera pas que Matzneff est Marc Dutroux, alors qu’on lui flanque la paix comme à Nabokov, Balthus ou Serge Gainsbourg (rappelons l’âge de Melody Nelson dans sa plus belle chanson : « Quatorze automnes et quinze étés »). Faut-il rappeler l’existence de Thomas Mann, André Gide, Ronsard et Montherlant, génies tous fascinés par la beauté de l’adolescence ? L’art doit rester libre, que diable ! Si l’art respecte la loi, il ne raconte plus rien d’intéressant. Il y a une saine différence entre un lecteur et un flic. Un écrivain a le devoir de désobéir aux règles, et son lecteur n’est pas obligé de le dénoncer au commissariat. Par ailleurs, qu’on ne s’y trompe pas : les cent auteurs cités dans ce livre ont tous treize ans. Un romancier est toujours un enfant qui joue. Simplement la plupart couchent avec des personnes plus âgées qu’eux.
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Ceux qui pensent qu’on ne doit pas lire Vian après 25 ans vont devoir aussi prévenir tous leurs amis d’éviter les excréments de Rabelais, les farces lourdes de Molière, les “hénaurmités” de Jarry, les niaiseries d’Andersen, les puérilités de Grimm, les sortilèges amoureux de Tristan et Yseult ou Shakespeare, les néologismes de Queneau, les absurdités d’Ionesco, les nouvelles infantiles de Marcel Aymé, l’argot vulgaire de Céline, les blagues scatologiques de San Antonio et les calembours mélancoliques de Blondin. Déjà que c’est pénible d’être vieux, je trouve que ce ne serait pas très gentil d’obliger les personnes âgées à ne lire que du Richard Millet.
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