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EAN : 9782232147128
208 pages
Editions Seghers (28/09/2023)
3.43/5   69 notes
Résumé :
" Vous êtes, ça ne va pas vous plaire, la dernière femme ridée sur terre. "
Depuis des années Sophie Fontanel explore des sujets liés à la féminité, et cherche la voie d'un dialogue apaisé entre femmes et hommes. Avec Capitale de la douceur, son dernier ouvrage, elle abordait la question du viol dans un roman en vers. Aujourd'hui, elle poursuit sa recherche d'une forme d'écriture poétique adaptée à sa réflexion et propose à ses lecteurs un conte, solaire, mod... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (15) Voir plus Ajouter une critique
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Sophie Fontanel se trouvait sur une plage de Normandie quand elle se demanda si c'était elle la femme la plus agée de la plage. A ce moment-là, elle avait 60 ans.

Pour notre plus grand bonheur, la voilà qui se met à créer la fabuleuse Admira, la dernière femme la plus ridée sur Terre, son héroïne, en prenant des notes sur son portable.

Admira se promène à Péloponnèse en Grèce, par une journée de printemps, la chaleur est exceptionnelle ce jour-là. C'est pour nous le moment de la rencontrer.

Admira, la conteuse du hameau, solitaire et sociable, blagueuse, heureuse. Elle ne s'ennuie jamais. Elle est douce et garde son calme en toute situation. Son amour pour la vie est immense et c'est lui qui l'a façonnée. Elle a une forte résistance à la connerie humaine.

Elle apprend qu'un rajeunissement général a eu lieu. Il ne reste plus qu'une femme ridée sur Terre et c'est elle.

Sur le kaolin, elle aime ce qui se métamorphose. La métamorphose, n'est-ce pas le sens même de la vie ?

Par un sourire, elle répond au pianiste qui lui dit : “Oh madame, il n'y a plus de femme comme vous.”

Et Siméon, la même personne, lui confirme que les rides ont disparu.

Mais comment ?

Il y a 20 ans, on s'appliquait une crème, ou on recevait des injections. Aujourd'hui il y a le Mondoror, une dose à 50 centimes, accessible à tous.

“Nous avons déridé le monde.”

Admira depuis 15 ans vit sans téléphone, sans journaux, sans télé, personne ne lui avait parlé de ce remède inventé par Josée Derrida, qui a eu la naïveté de croire en la jeunesse éternelle.

Ça soigne les rides, mais les rides pourtant, ce n'est pas une maladie. Vieillir n'est pas une maladie.

Admira est rassurée, on meurt quand même.

“Les choses ont une vie sur terre. Elles naissent, s'usent et s'en vont.”

“Les rides sont le parchemin de l'humanité.” Et ses amis voulaient qu'elle devienne vieille.

Enlever les rides, c'est enlever aux jeunes leurs repères. 

Pourquoi les gens font de la chirurgie esthétique ?

Pourquoi, moi ortie27, j'achète de l'huile de pépins de figue de barbarie bio à 50 euros les 30ml ?

Ce livre renvoie que l'on soit homme ou femme à son image évidemment et les traces que la vie a laissé sur nous, l'empreinte de ce que nous avons fait de notre vie… 

Pourquoi je veux enlever mes rides ? Parce qu'elles montrent mes failles, mes secrets peut-être ?

Mes rides, qui s'inscrivent sur mon visage si naïf autrefois, plis qui vont se multiplier, s'intensifier, me racontent, me dévoilent. Je ne peux plus me cacher. 

Il y a ces nuits où j'ai enchaîné avec mes amis les fête, quand j'ai été malade, quand j'étais triste, quand j'étais dominée par la colère. Mes années d'insomnies, les jours mal nourris, mes angoisses, mes peurs, mes deuils puis doutes et humeurs... Mes petits arrangements avec la vie, pour supporter.

Mes rides nouvelles, celles qui naissent de mes lèvres, alors que je n'ai que 42 ans, mes plis sur le front, déjà là… Ma Mamie me dit que j'ai l'air trop sérieuse.

Je connais des femmes plus mûres qui n'en ont pas à cet endroit. On en vient à se comparer.

Ces plissements qui donnent un nouvel aspect à mon visage. 

Mes rides, sont moi, elles ne sont ni laides, ni belles, elle raconte juste le principe de la vie, le principe de l'entropie, la leçon ultime. 

Nos rides nous dévoilent et nous désarment, il faut faire la paix avec soi-même peut -être pour pouvoir les aimer. Et je suis certaine que beaucoup ne se posent pas de questions à propos de leurs rides, comme mon mari par exemple.

Ce livre m'a bien détendue sur le sujet, même si je ne veux pas paraître plus jeune que mon âge, je me disais que j'aurais voulu que mes rides apparaissent plus tard. J'aurais dû m'y prendre mieux et ce ne serait pas arrivé.

Ce n'est rien, ça fait un bon sujet pour mes futurs poèmes.


J'ai adoré ce livre de Sophie Fontanel, qui est très bien écrit d'une douceur infinie, et j'ai très envie de lire d'autres romans de cette autrice !

En plus, elle cite Aragon


C'est le conte sur la dernière femme ridée sur terre. 

"Rien n'est précaire comme vivre 

Rien comme être n'est passager 

C'est un peu fondre pour le givre 

Et pour le vent être léger 

J'arrive où je suis étranger. "


Louis Aragon, J'arrive où je suis étranger, Voyage de Hollande 

P.144

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Fontanel nous plonge dans un monde où les rides sont considérées comme une maladie, entraînant la mise sur le marché d'un médicament accessible à tous - le Mondoror - qui rend l'utilisation de crèmes anti-rides, les injections de botox et les opérations de lifting toutes obsolètes.

Son roman démarre 15 ans plus tard. Alors qu'on pensait les rides éradiquées, on découvre avec stupeur la dernière femme ridée sur Terre en la personne d'Admira ; une expatriée anglaise âgée de 70 ans goûtant jusque-là une vie pleine de frugalité et de quiétude au fin fond du Péloponnèse, en Grèce.

Comme à son habitude, l'auteure choisit la méthode douce pour s'attaquer à un nouveau sujet fort : l'invisibilisation des femmes âgées dans la société actuelle, fondée sur la peur de vieillir - donc de mourir, in fine.

Son héroïne est une allégorie. Ses rides lui confèrent un statut de mythe vivant ou d'espèce en voie d'extinction, tel le rhinocéros de Java ! le livre soulève une foultitude de questions engendrées par la prédominance de ces "faux jeunes" au sein de la société.

Une réflexion sur le tabou du vieillissement en forme de conte moderne, empreint de poésie et d'humour (la sphère politico-médiatique en prend gentiment pour son grade). Un roman mi-feel good mi-philosophique qui célèbre à sa façon l'amitié, ainsi que la beauté de prendre de l'âge et du moment présent. Carpe diem ;-)

#MasseCritique #EditionsSeghers
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Comme le dit l'autrice lors d'une interview de promotion, en citant l'actrice américaine Bette Davis, "Vieillir, c'est pas pour les mauviettes". Même si vieillir est un processus naturel de la vie, il reste un sujet évité ou même tabou dans notre société, non? Vieillir équivaut à la perte de la jeunesse, de la beauté, de la vitalité - c'est comme un déclin ou une perte que nous subissons tous et voulons tous, même inconsciemment, éviter à tout prix. Qui rêve réellement de vieillir? Disons-le, personne, et encore moins les femmes, surtout quand les rides sont impliquées dans l'affaire. 😅

C'est ce que nous raconte Sophie Fontanel à travers ce conte philosophique, qui suit l'histoire d'Admira, une femme belle, drôle, âgée, dans un monde où les rides n'existent plus et sont considérées comme une maladie. Dès les premieres pages, un homme manque de s'évanouir en rencontrant par hasard Admira, sur une île perdue De Grèce. Il n'en croit pas ses yeux en croisant cette femme ridée, la dernière personne sur terre à en avoir. Elle est une véritable anonalie dans ce monde où la jeunesse physique éternelle est devenue la norme grâce à la pillule "Mondoror". Tous ces signes de vieillissement, ces plissements, ces marques du temps, ont été éradiqués de la surface de la population. Admira, quant à elle, n'est pas au courant de cette tendance et continue de vivre avec joie, en s'épanouissant dans sa propre réalité.

En lisant ce livre, on s'interroge forcément sur sa propre relation au vieillissement. Quelles sont ces rides qui nous marquent, nous transforment, changent même l'aspect de notre visage? Comment vivons-nous avec, et faisons face à la pression, de plus en plus grande, de les atténuer en utilisant des soins ou techniques pour rajeunir l'apparence? En fin de compte, pourquoi sommes-nous si obsédés par la jeunesse physique et pourquoi avons-nous si peur de vieillir? On découvre, au cours de la lecture, la perspective d'Admira, qui partage avec un certain "panache", sa beauté authentique et unique de femme âgée.

Même si j'admets que l'intrigue manque d'épaisseur et que la fin semble précipitée, ce livre mérite d'être lu. Il nous transporte dans un monde inconnu, quelque peu effrayant, où l'on remettra en question nos préjugés sur l'apparence et sur ce qu'est la véritable beauté. Bonne lecture!
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Forcément, l'idée de base est originale. Et voilà qu'une pilule magique vous assure la jeunesse éternelle en gommant les rides. Un monde sans ride, mais oui, des visages d'octogénaires lisses comme une pomme, des peaux de bébé ad vitam eternam plaquées sur votre tronche, de quoi remuer nos caprices de juvénilité. Que demande le peuple ?

Mais avec ça, seul hic, les gens deviennent encore plus cons, d'admirables pétochards incompétents dans la gestion de prise de risque. La peur parano de se tuer ou de se fracturer en tombant. Un escalier, une pente, pas touche, n'importe quel dénivelé se mue en un malfaisant ennemi face auquel même les "vrais" jeunes ont développé une peur panique. L'anticipation du danger devient un dada ordinaire.

Sophie Fontanel convoque, il me semble, la raisonnable idée que la rareté fait la valeur. Que nous flattons-nous d'un épiderme ferme, de courbes toniques quand toute la volaille de tous les continents, c'est même combat ? Admira, l'héroïne du roman, elle, a échappé à la pilule magique en vivant retirée du monde. de jolis sillons parcourent la peau de la vétéran. Fatalement, quand le monde entier la découvre, sa cote grimpe. Elle devient une icône. Les rides, c'est cool finalement.

L'autrice ébauche une réflexion sur la vieillesse, sur l'inamovible et décourageant âgisme enraciné dans notre société, ce désir absurde d'échapper, toujours vainement, à la prise du temps sur notre corps. Et pourquoi ne pas ancrer plutôt notre valeur sur la sagesse et aimer nos aspérités, témoins de nos vécus ?

Alors oui, j'ai trouvé ça mignon mais quelque peu timide. La plume est rafraîchissante, on ne s'éternise pas dans les descriptions, c'est bleu, les piqûres du soleil irisent l'océan infini, on sent le vent de la mer, les bourrasques fraîches, l'iode qui vient piquer nos lèvres. Tout ça est très agréable, j'en conviens, j'avais l'impression de jouer dans mon monde de polly pocket comme quand j'étais gamine, un lecteur non assidu y trouve son compte. Mais l'intrigue manque d'épaisseur, sans tout à fait s'essouffler, on est à ça de tourner court.
Puis j'aurais aimé que l'écrivaine aille plus loin dans sa critique, laquelle me semble trop voilée. Quid du double standard de beauté entre un homme et une femme ? Quid de l'invisibilisation des femmes passées 40 ans ? le curseur aurait pu être placé beaucoup, beaucoup plus loin, c'est dommage. Sans doute Fontanel n'a pas voulu d'un livre trop clivant, d'un machin encombrant étiquetté féministe.
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Sophie Fontanel n'en est pas à son premier essai concernant le tabou du vieillissement. Après avoir écrit sur les effets du passage aux cheveux blancs, elle nous propose une fable, peut-être prophétique, sur les excès du jeunisme, sur la compréhension de la philosophie de la vie.

Admira a décidé de se retirer auprès de la mer à Péloponnèse en Grèce. Elle est la dernière femme ridée sur terre mais elle l'ignore... Voici plus de 20 ans qu'elle vit en dehors du temps, plus exactement en dehors de la société. C'est à l'occasion d'une rencontre avec Siméon, un jeune homme en apparence, qu'elle va découvrir sa singularité.

En effet, un médicament miracle, le Mondoror, accessible à tous (la dose miraculeuse coûte 50 centimes), a été mis sur le marché il y a quinze ans par Josée Derida. Son but : créer un monde où il n'y a plus de rides, un monde où l'on va mourir jeune, un monde annoncé comme idéal !

Dans ce roman en trois parties,
Comment un homme a découvert la dernière femme ridée sur Terre,
Comment la dernière femme ridée sur Terre a retrouvé le monde,
Comment la dernière femme ridée sur Terre a sauvé le monde,
une question centrale nous est posée : lutter contre le vieillissement n'est-ce pas nier que le fait de vieillir a un sens ? Poussé à l'extrême, n'est-ce pas une des formes de folie de notre monde ? Pourquoi vouloir à tout prix cacher nos émotions ? N'est-ce pas accepter que la mort soit un précipice et non la pente de l'âge?

Mais tout n'est pas perdu et c'est ce que l'auteure, plus exactement Admira, va nous faire découvrir.

Ce roman se lit quasiment d'une traite. Dans un style facile (sauf peut être à la fin…) , où l'humour est souvent présent, l'auteure continue de nous interpeller sur notre rapport avec l'âge et l'image.

Un 3*** passé à 4**** pour la fin que nous réserve Sophie Fontanel et pour un moment de lecture distrayant un dimanche pluvieux.
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critiques presse (3)
Culturebox
11 décembre 2023
Un conte pour les grands, à lire pour voyager, réfléchir, sourire, et rire aussi, finalement le meilleur des soins antirides !
Lire la critique sur le site : Culturebox
Culturebox
03 octobre 2023
L’autrice Sophie Fontanel s’interroge sur la place des femmes vieillissantes dans la société actuelle.
Lire la critique sur le site : Culturebox
Elle
03 octobre 2023
Dans « Admirable », Sophie Fontanel imagine un monde où la jeunesse est éternelle : une fable enchanteresse.
Lire la critique sur le site : Elle
Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
"Ne vous inquiétez pas, Josée : je peux répondre. Vous n'aurez rien à faire de moi.
J'ai offert mon corps à la science. Elle s'est servie, ce matin. Et je vais retourner à mon or. »
Il fallut expliquer.
Que l'or, c'était le kaolin, comme à l'époque où le génie humain en fit de la porcelaine.
Que l'or, c'était le hameau, des coquelicots à l'infini, et un endroit microscopique qu'on appelait
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On entend souvent dire que ce n'est pas beau de vieillir. ce n'est pas faux. Ce qu'il y a, c'est qu'à la place d'être beau, c'est sublime. Mais le sublime, parfois, on n'en voit pas l'utilité.
Commenter  J’apprécie          50
Nous avons déridé le monde , madame, c'est ça, l'histoire. C'est ce que j'essaie de vous dire depuis le début. Vous êtes - cela ne va peut-être pas vous plaire - la dernière femme ridée sur Terre.
Commenter  J’apprécie          40
Que les rides donnent un sens à la vie, je l’ai compris trop tard. Et aussi que si l’on ne prend pas la pente de l’âge, la mort devient un précipice, et une angoisse insupportable survient.
Commenter  J’apprécie          20
Mais revenons au pli : sans plis de l'âme, pas d'âme. C'est par les rides que l'on comprend les choses, grâce à elles que l'âme peut descendre en rappel tous les échelons et les remonter. Aller profond et, pour finir, un jour, s'envoler.
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Videos de Sophie Fontanel (27) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Sophie Fontanel
Dans cet épisode, nous vous présentons des livres qui nous ont fait rire. Huit propositions de lectures pour différents âges : de l'humour, fin ou gras, des jeux de mots, de l'absurde, du comique de situation, de la satire sociales... Des livres que nous avons beaucoup aimés, auxquels nous repensons avec le sourire et que nous adorons mettre entre les mains des lecteurs. Une liste à garder précieusement, concoctée par nos libraires Laure, Rozenn, Nolwenn, Jérémy, Nicolas et Adeline !
Voici les livres cités dans cet épisode :
Un ours, un vrai, de Stéphane Servant et Laëtitia le Saux (éd. Didier Jeunesse) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23128786-un-ours-un-vrai-stephane-servant-didier-jeunesse ;
Horace. Tome 1, Cheval de l'Ouest, de Poirier (éd. Revival) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23359947-horace-tome-1-poirier--revival ;
Les Culs-reptiles, de Mahamat-Saleh Haroun (éd. Gallimard/Folio) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22745328-les-culs-reptiles-mahamat-saleh-haroun-folio ;
Admirable, de Sophie Fontanel (éd. Seghers) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22540820-admirable-l-histoire-de-la-derniere-femme-ride--sophie-fontanel-seghers ;
Chroniques du Château faible, de Jean-Christophe Mazurie (éd. Fluide Glacial) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23032241-1-chroniques-du-chateau-faible-tome-01-jean-christophe-mazurie-fluide-glacial ;
Stella et l'Amérique, de Joseph Incardona (éd. Finitude) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23109474-stella-et-l-amerique-joseph-incardona-finitude ;
Le Rire des autres, d'Emma Tholozan (éd. Denoël) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23030426-le-rire-des-autres-emma-tholozan-denoel ;
Roman fleuve, de Philibert Humm (éd. des Équateurs/Folio) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23286751-roman-fleuve-philibert-humm-folio.
Et quelques autres titres qui auraient pu faire partie de cette sélection de livres drôles :
Le Discours, de Fabrice Caro (éd. Gallimard/Folio) ;
Miracle à la tombe aux Aspics, d'Ante Tomi (éd. Libretto) ;
N'essayez jamais d'aider un kangourou !, de Kenneth Cook (éd. Autrement) ;
Je dénonce l'humanité, de Frigyes Karinthy (éd. Viviane Hamy) ;
Le Chien de madame Halberstadt, de Stéphane Carlier (éd. le Tripode) ;
Roulio fauche le poil, de Julia (éd. le Tripode) ;
La Vie est une corvée, de Salomé Lahoche (éd. Superexemplaire) ;
Idées noires, de Franquin (éd. Fluide Glacial) ;
#Les Mémés, de Sylvain Frécon (éd. Fluide Glacial).
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Les Éclaireurs de Dialogues, c'est le podcast de la librairie Dialogues, à Brest. Chaque mois, nous vous proposons deux nouveaux épisodes : une plongée dans le parcours d'un auteur ou d'une autrice au fil d'un entretien, de lectures et de plusieurs conseils de livres, et la présentation des derniers coups de coeur de nos libraires, dans tous les rayons : romans, polar, science-fiction, fantasy, BD, livres pour enfants et adolescents, essais de sciences humaines, récits de voyage…
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