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Friday (Brubaker) tome 1 sur 2

Ed Brubaker (Autre)Marcos Martin (Autre)
EAN : 9782344055038
120 pages
Glénat (11/01/2023)
3.79/5   147 notes
Résumé :
Retour aux sources : une enquête aux frontières du réel.

Quand Friday Fitzhugh revient à Kings Hill pour les vacances de Noël, la neige tombe à gros flocons… Elle qui a passé son enfance dans cette petite ville à élucider des mystères en tout genre aux côtés de son meilleur ami, Lancelot Jones, pensait bien avoir tourné la page en entrant à l’université. Mais il lui suffit de revoir Lancelot pour se laisser embarquer dans une nouvelle aventure ! Petit... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (27) Voir plus Ajouter une critique
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Ce roman graphique vaut surtout le coup pour l'esthétisme et la variété de ses planches aux couleurs changeantes et vraiment séduisantes.

Pour l'histoire, une enquête policière confuse qui vient flirter avec le fantastique au détriment de sa compréhension. Les personnages ne m'ont pas accroché à leurs préoccupations pas aisées à suivre.

Les dialogues manquent vraiment de style et ne servent pas la qualité du dessin.

Rien de mémorable, j'oublierai très vite cette lecture.

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L'inéluctabilité des changements qui viennent avec l'âge adulte
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Ce tome est le premier d'une série : il constitue une saison complète qui peut se suffire à elle-même. Il reprend les chapitres initialement parus en format dématérialisé, puis en format papier en 2021. Il a été écrit par Ed Brubaker, dessiné et encré par Marcos Martín, et mis en couleur par Muntsa Vicente. le tome se termine avec une postface d'une page du scénariste expliquant l'origine du projet en redécouvrant le plaisir de lecture de romans classés Jeune adulte et l'opportunité de collaborer avec cet artiste. Suivent dix pages d'études graphiques sur les personnages et l'architecture des lieux.

Chapitre I : la fille dans les arbres. Il fait nuit et la neige tombe en flocons épars sur la ville rurale de Kings Hill et sur les bois alentours. Cela ne faisait qu'une demi-heure que Friday Fitzhugh était de retour et c'était déjà comme si elle n'était jamais partie. Elle aurait dû s'y attendre bien sûr. Elle avait imaginé une nuit tranquille à la maison, avec sa mère et sa tante Jody. Dans les faits elle se retrouvait, comme un millier de nuits avant, en train de crapahuter dans la forêt de Kingswood, à essayer de ne pas se faire distancer par Lancelot Jones, accompagné par le shérif Boby. Chaudement habillé, ce dernier avance avec une lampe torche à la main, suivant les traces encore fraîches dans la neige, ayant la certitude qu'ils sont en train de réduire l'avance que peut avoir le fuyard. En son for intérieur, Friday sait bien que Lancelot n'aurait jamais monté un mystère de toute pièce pour la distraire, mais elle peste d'être entraînée dans cette enquête, plutôt que de pouvoir parler avec Lancelot de ce qui s'est passé avant qu'elle ne parte de la ville, avant qu'ils ne se séparent. Elle finit par marquer une pause, et observer la forêt malgré l'obscurité. Les deux hommes s'arrêtent également et lui demandent ce qu'il se passe. Elle répond qu'elle a vu une silhouette dans les arbres, une forme humaine en train de les observer, peut-être une fille.

Le trio continue à progresser dans la forêt, et Jones fait observer qu'ils s'approchent du lieu-dit Crescent Rock. le shérif lui demande ce qu'il a de particulier. Jones explique que les légendes locales veulent qu'à une époque enténébrée, lors des longues nuits d'hiver, les femmes qui vivaient dans la forêt chemineraient dans la neige, pour aller sacrifier le plus faible fruit de leurs entrailles, à d'anciens dieux. Une offrande pour garantir l'arrivée d'un nouveau printemps chaque année. Elles élevaient le nouveau-né dans la froide nuit, au-dessus de leur tête, à Crescent Rock, où les dieux entendraient leurs cris. Jones termine son histoire en ajoutant qu'il y a beaucoup de choses agitées qui errent dans ces bois, et il y en a toujours eu. Friday se demande si son ami n'est pas en train de sous-entendre des choses. Mais avant qu'elle ne puisse verbaliser son interrogation, il reprend son avancée car il peut voir Weasel. Elle avait passé tout son voyage en train, à se demander ce qu'elle allait lui dire, au point que ça en devenait ridicule. Ils avaient été les meilleurs amis du monde quand ils étaient des enfants, et maintenant elle ne savait même plus comment lui parler. Les rares fois où elle l'avait appelé depuis son université, il n'avait fait que parler de ses enquêtes.

Depuis une dizaine d'années, Ed Brubaker nourrit sa collaboration fructueuse avec Sean Phillips pour des polars ben noirs, dans la série Criminal, mais aussi Fatale, The fade out, ou encore Reckless. Cela ne l'empêche pas de réaliser quelques histoires avec d'autres artistes, comme Marcos Martin avec qui il avait déjà eu l'occasion de réaliser un épisode de la série Captain America. le premier contact du lecteur avec cet ouvrage fait apparaître qu'il est d'un format d'un tiers plus petit que celui d'un comics habituel. Il consulte la quatrième de couverture qui précise qu'il se range dans le genre Action & Aventure, ainsi que Crime & Mystère. Un peu plus bas, il lit qu'il s'agit d'une histoire de type Jeune adulte. Il voit également une citation louangeuse de Brian K. Vaughan, et une autre de Robert Kirkman. Il se dit que ce doit être un récit un peu jeunesse, avec de bons sentiments pour coller à l'esprit de Noël. L'histoire commence doucement avec une double page entièrement noire, puis une deuxième mais avec quelques points blancs sur la page de droite, et une troisième avec la neige qui tombe sur un plan large de la ville et un ciel noir d'encre. Puis encore quatre cases de la largeur de la page pour se rapprocher progressivement du sol jusqu'à être à hauteur de marche dans les bois. Les dessins sont tout en formes noires, presque des ombres chinoises. Commence alors les cellules de texte où se déroule le flux de pensées de Friday Fitzhugh qui commente les événements, en donnant son état d'esprit. Elle est focalisée sur ce qu'elle souhaiterait, et le décalage qu'il y a avec ce qui se passe. le lecteur comprend qu'elle a entretenu une relation amicale profonde avec Lancelot, qu'ils se sont retrouvés séparés et qu'elle aimerait pouvoir dire les choses, les sentiments. Cela introduit une forme de nostalgie.

Brubaker explique l'origine du projet dans le plaisir qu'il avait eu à relire des romans classés Jeune Adulte des années 1960/1970, et l'opportunité de pouvoir donner forme à ce projet qu'il murissait depuis des années, grâce à la possibilité de travailler avec Marcos Martín. En effet, le lecteur constate que la narration a un goût particulier, à la fois une aventure avec une forme de naïveté, à la fois des questionnements de Friday qui est devenue une adulte autonome et qui se pose des questions sur des facettes de sa vie qui n'étaient alors que des évidences. Cela génère une facilité de lecture très agréable. Ayant identifié la nature des licences artistiques, le lecteur ne se formalise pas de voir un adolescent comme Lancelot Jones montrer au shérif comment faire son travail. Il ne s'interroge pas sur les sources de revenus du jeune homme (totalement passées sous silence), ou même sur ses parents et son prénom inhabituel et fortement connoté, une convention de genre des romans Jeune Adulte. D'ailleurs le prénom de l'héroïne est tout autant connoté et renvoie à l'expression Girl Friday, la fidèle assistante, en référence au jeune indigène cannibale qui remplit le rôle d'homme à tout faire de Robinson Crusoé (1719), dans le roman du même nom de Daniel Defoe (1660-1731). du coup, la composante surnaturelle apparaît comme tout à fait à sa place dans le récit, ne nécessitant pas de consentir une suspension d'incrédulité supplémentaire.

Le scénariste joue donc sur la concomitance de l'enquête au temps présent, et la découverte de l'historique de la relation entre Lancelot et Friday. Il se produit une prise de recul générant une forme de nostalgie, tout en assurant l'intérêt de l'enquête au temps présent. le lecteur comprend rapidement la raison pour laquelle les caractéristiques des dessins de Martín ont plu au scénariste. le lecteur commence par regarder les personnages et il constate qu'ils présentent des caractéristiques subtilement simplifiées : un visage arrondi et tout petit peu trop gros, des morphologies encore marquées par l'enfance, des expressions de visage un peu intenses. Ainsi, ils sont immédiatement sympathiques. Dans le même temps, le degré de détails s'avère plus poussé que celui d'une bande dessinée pour en enfants, tout en étant très discret. Par exemple, le lecteur peut très bien ne prêter aucune attention aux vêtements en les considérant comme simplement fonctionnels. S'il s'y attarde à un moment ou à un autre, il voit qu'ils correspondent à la fois à l'époque, à la fois à la personne concernée, à commencer par le beau sweatshirt à rayure de Friday avant qu'elle ne quitte Kings Hill. Il se rend également compte que l'artiste prend bien soin que les tenues vestimentaires soient cohérentes avec les conditions climatiques, en particulier pour le petit groupe dans les bois sous la neige.

En contrepoint à ces personnages sympathiques, à ces décors parfois banals, le dessinateur se fait un plaisir de contraster des moments adultes. le lecteur se retrouve véritablement choqué de voir Friday allumer une cigarette en page 32. Finalement, elle n'est pas juste une gentille fille bien élevée : c'est aussi une adulte avec ce qui est considéré comme un défaut. L'évocation des sacrifices de bébés en hiver est étrangement inoffensive, présentée visuellement comme un conte de bonnes femmes. Là encore, il se produit un fort contraste quand Martín montre un lancer de boule de neige avec une pierre en son centre, ou un coup de crosse énergique et sec qui envoie le palet de hockey sur le tronc d'un arbre, puis un peu plus tard, un autre coup tout aussi fort envoyant le palet sur un être humain. La narration visuelle joue ainsi avec les codes et les conventions pour osciller entre des images gentilles, même si elles peuvent être détaillées, et des images impliquant une violence qui fait mal, ou une créature surnaturelle réellement effrayante, ou encore un monde complexe qui ne tourne pas du tout autour du personnage principal ou d'un individu. Cette sensibilité narrative mouvante s'accorde parfaitement avec la tonalité du récit, entre souvenir d'une époque où tout allait de soi, et un présent plus complexe, plus frustrant, même si le sens du merveilleux n'a pas encore fondu sous les responsabilités, même si l'action individuelle peut changer le cours des événements de manière significative.

La quatrième de couverture annonce bien que cette bande dessinée s'inscrit dans une gamme Jeune Adulte. Ainsi prévenu sur le positionnement de l'histoire, le lecteur l'entame en toute connaissance de cause. En fonction de son âge, il appréhende différemment l'approche narrative, soit comme une aventure très intrigante avec une héroïne déjà dans un mode de réflexion adulte, avec une capacité à prendre du recul sur ses jeunes années, soit comme une phase de la vie qu'il a lui-même traversé ce qui lui permet de prendre du recul sur sa propre expérience. Dans les deux cas, la narration visuelle est à la fois facile d'accès et beaucoup plus riche qu'il n'y paraît.
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Club N°51 : Comics non sélectionné mais acheté sur le budget classique
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Le nouveau Brubaker mêlant polar et surement fantastique (à voir dans les prochains tomes).

2 ados enquêteurs à la Sherlock Holmes, dans une petite ville américaine...

J'attends la suite.

Aaricia
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Toujours un peu frustrant de lire un tome 1 dont la suite n'est pas encore sortie !

Malgré cette frustration, je n'attendrai pas avec impatience le tome 2.

Morgane N.
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Beaucoup de mystères et très/trop peu de réponses dans ce premier tome.

Mel
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Lien : https://mediatheque.lannion...
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Friday est une bande dessinée à mi-chemin entre Mercredi Addams et Stranger Things, une histoire policière qui flirte avec l'univers fantastique et ça se passe aux états-Unis, dans les années 70-80.
J'ai beaucoup aimé l'ambiance étrange et gothique qui se dégage de ces pages, mais j'ai ressenti une énorme frustration quand j'ai découvert qu'il s'agissait d'un tome 1 et que l'intrigue démarre à peine au moment où la bande dessinée se termine.
J'ai horreur de ça, c'est agaçant au possible, ça me gâche tout mon plaisir.
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Dans son article « The Lighthouse in Economics » (1974), l'économiste Ronald Coase a, en analysant l'histoire et la gestion des phares britanniques, tiré des conclusions de portée plus générale. Ce faisant, le phare est devenu un bien iconique pour les économistes et notamment dans les théories portant sur les biens collectifs réclamant (ou pas) l'intervention de la puissance publique.

Dans le premier tome de la nouvelle série d'Ed Brubaker et Marcos Martin avec Muntsa Vicente, le phare du village de Kings Hill - « chaque village côtier embrumé se doit d'avoir son phare » (extrait du Sketchbook, p. 118) -, localisé probablement en Nouvelle-Angleterre, joue un rôle à côté des deux principaux protagonistes, Friday Fitzhugh et Lancelot Jones - son père est le gardien du phare et le père et le fils vivent dans la maison attenante au phare.

À peine revenue à Kings Hill qu'elle a quitté pour poursuivre ses études, Friday est entrainée par Lancelot dans une enquête policière aux frontières du fantastique et du gothique, reprenant ainsi les habitudes du duo d'enquêteurs avant le départ de Friday. Mêlant flash-backs entre autres sur la rencontre entre Friday et Lancelot, sur certaines de leurs enquêtes passées, présentation psychologiques des deux adolescents et enquête en cours, ce premier tome alterne entre passé et présent, entre onirisme et action.

Fruit de la rencontre entre Ed Brubaker - Criminal, Fatale, Fondu au noir, Pulp ou Kill or be Killed - et Marcos Martin - co-créateur avec Brian K. Vaughan de la plateforme Panel Syndicate*, une plateforme de diffusion en mode « Donnez votre prix » - « name your price » -, sans DRM et directement des créateurs vers les lecteurs - « digital comics directly from creators to readers » sur laquelle avec Munsta Vicente The Private Eye et Barrier ont été initialement publiés avant des publications au format papier -, Friday est une série très prometteuse entre gothique, enquête policière et roman (post) young adult (voir les explications d'Ed Brubaker dans « Mais d'où vient Friday ? » en fin de volume) - le tout m'a fait pensé au fameux Club des cinq d'Enid Blyton, une référence que ne cite pas Ed Brubaker.

Un peu étonné que la série ne soit prévue qu'en trois tomes (si j'ai bien compris**), je me demande davantage « Mais où va Friday ? » que « Mais d'où vient Friday ? » - cela d'autant que le prochain tome ne sera publié en français qu'en septembre 2023. En fait, toute la série est déjà disponible en anglais et en espagnol, avec davantage de contenu, sur le site Panel Syndicate au format de 9 comics de 30 pages. Je ne suis pas certain de tenir jusqu'à septembre 2023 pour connaître la suite des aventures de Friday et Lancelot et vais me rabattre sur Panel Syndicate.

* http://panelsyndicate.com
** Dans « « Mais d'où vient Friday ? », Ed Brubaker parle de deux tomes suivants.
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critiques presse (3)
BoDoi
03 mars 2023
L’ambiance posée par Marcos Martin au dessin et Muntsa Vicente à la couleur fait merveille sur cette base scénaristique, car on est immédiatement immergé dans cette série finement construite, entre enquête sombre et flashback solaire sur les années lycée.
Lire la critique sur le site : BoDoi
LigneClaire
23 janvier 2023
De retour de la fac pour les vacances d’hiver à Kings Hill, Friday se retrouve derrière Lancelot Jonet et le shérif du patelin dans les bois. Lancelot ne lui a rien dit sur sa dernière journée avant son départ qui a marqué violemment leur relation amicale.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
Sceneario
03 janvier 2023
Brubaker signe un scénario solide, une introduction à cette nouvelle série. L'ambiance à la Stephen King et Peter Straub, mixée avec du Stranger Things, Friday captive d'emblée par son ton, son atmosphère et ces deux personnages principaux étonnants. Friday a du caractère et s'impose dès les premières cases.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Je m'échauffe à peine...

S'il y a d'autres volontaires pour se faire botter le cul.
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Nombreuses sont les épaves qui tapissent les fonds de Kings Bay...
Car au temps jadis, la reine des Filles de la Mer déchaînait sa colère par les nuits d'hiver. Son enfant avait péri et des siècles durant, elle porta le deuil...
Châtiant chaque navire qui osait perturber son chagrin.
A l'hiver 1779, c'est sa colère qui empêcha les Britanniques d'atteindre le rivage de Kings Hill. Les vents soufflaient si fort que les bateaux se renversèrent, avant que la glace ne les fassent prisonniers.
Peut-être que leur sacrifice fut suffisant car depuis, la Reine des Filles de la Mer dort enfin paisiblement.
Commenter  J’apprécie          30
L'espace d'une minute, elle en vint à se demander ce qui l'avait poussée à quitter la ville à tout prix...
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À croire que sa vie était un diamant de platine prisonnier d'un sillon interminable. (p. 11)
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une fois arrivés au lycée, là où tout le monde commence à se mettre en couple... là où on commence à aller en soirée, à picoler, à danser et à se bécoter... Eh bien, c'est là que les choses se sont gâtées entre elle et Lance.
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Merci à Emmanuel pour le montage et ClemB pour l'habillage sonore.
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